Prêt À Tout Pour Garder Notre Maison
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Le contrat
Nous sommes un couple moi Jean-Marc 38 ans et ma femme Isabelle 37 ans avec une fille Sandrine très belle jeune fille blonde comme sa mère qui vient d'avoir 18 ans. Il y a 13 ans nous avons racheté le corps de ferme de mes grands-parents, ayant une bonne situation à cette époque nous avions contracté un prêt sur 15 ans . Il y a un an à cause de la crise l'entreprise dans laquelle je travaille s'est séparée de plusieurs cadres dont je faisais parti. Dans les premiers mois et avec mes indemnités de licenciement nous avons clôturé le prêt des travaux ainsi que celui de la voiture. Mais il restait le principal : celui de la maison, ma prime de chômage diminuant les fins de mois était de plus en plus difficile malgré le salaire de mon épouse. j'ai retrouvé un travail mais pas le même poste donc pas le même salaire. Il nous arrivait de plus en plus souvent d'être à découvert en fin de mois. Etant à moins d'un an de la fin du crédit, la banque avait refusé de renégocier le prêt et ces deux derniers mois le prélèvement du crédit ont été rejetés. Nous avons donc été convoqué par le directeur de la banque, un bonhomme de 65 ans environ, gros , laid et vicieux. Il nous propose un contrat que voici :
Je soussigné Monsieur Laporte directeur de la banque x m'engage à ne pas poursuivre M et Mme Richard des retards du crédit de leur maison moyennent quoi les personnes nommées si dessus s'engagent à exécuter toutes mes demandes sans exceptions, tout refus de leur part annulera ce précédent accord. Si toutefois ils refusait ces conditions leurs biens seraient vendus aux enchères pour payer les frais de crédits.
DATE et SIGNATURES
Il nous demande de lui remettre ce document le lendemain si nous acceptons, si non se sera la saisie de nos biens. Après réflexion, nous acceptons, perdre notre maison si près du but se serait dommage.
A notre arrivée nous sommes conduits au bureau de M.
- Sors le sexe de ton mari et suces le.
- Non, pas ici tout le monde peut nous voir et je n'aime pas sucer.
- Tu suces ou je déchire le contrat et vous perdez votre maison.
N'ayant pas envie de perdre la maison Isabelle s'agenouille devant moi, ouvre ma braguette, sort mon sexe mou et le prend en bouche. Au bout de plusieurs minutes de ce traitements, je bande. Pensant qu'il va obliger ma femme à me sucer jusqu'à ce que je jouisse dans sa bouche je dis à haute voix :
- Oh ! Oui ma chérie continue je sens que ça vient.
- Arrêtez, et toi relèves toi et penches toi sur mon bureau et regarde moi.
Une fois Isabelle en position il me fait :
- Maintenant relève lui sa robe au milieu de son dos et retires lui sa culotte.
- Oh ! Non si des personne passent dans le couloir il vont voir mes fesses et plus.
- Je n'en ai rien à faire que d'autres personnes que ton mari puissent voir ton cul et même plus et toi Jean Marc fais ce que j'ai dit.
N'ayant pas d'autre choix, je relève sa robe et retire sa culotte, une fois celle-ci retirée le directeur m'ordonne de m'écarter pour que les deux personnes qui regardent depuis le couloir puissent voir le cul de mon épouse et ordonne à Isabelle d'écarter les cuisses. Une fois qu'elle a pris la position, je m'aperçoit que nous voyons son sexe. Au bout de 5 minutes M. Laporte le directeur me dit :
- Maintenant baise la, enfonces ta queue dans sa chatte sans ménagement.
- Aïe doucement.
- Vas-y baises la plus fort plus vite
- Ah ! Oh ! c'est bon, je jouis.
- Oui moi aussi je vais bientôt jouir
- mets lui ta queue dans son cul.
-Non j'aime pas ça fait trop mal.
- T'occupes pas de ce qu'elle dit et encule la.
- Aïe, non j'ai trop mal.
- Mets lui une bonne claque sur les fesses.
- Aïe, ouille
- Que tu es serrée ma chérie.
- Oh oui continue je viens.
- Oui moi aussi je vais jouir dans ton cul.
- Oui vas-y viens dans mon cul, je jouis c'est bon
Alors que nous jouissons le directeur se lève sort son sexe et se branle devant la figure de mon épouse en lui ordonnant d'ouvrir la bouche et il gicle sur son visage et dans ses cheveux.
Après avoir repris nos esprits , nous quittons le bureau et traversons la banque, tous le monde nous regarde car ma femme n' a pas eu le droit de s'essuyer le visage ni de remettre sa culotte.
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