Leslie Ar65

LESLIE AR65 - Angie, suite

En fait, nous avons recommencé tout de suite.
Le lendemain au réveil, Angie, encore toute excitée par l’expérience avec Mathieu et Luce, se mit à me sucer comme jamais. Puis au bout d’un instant alors que je constatais en lui doigtant la chatte qu’elle était complètement trempée, elle se releva et me dit :
- Sodomise-moi !
Angie, me demandais de la sodomiser pour la première fois.
- Ainsi, ajouta-t-elle, je serais prête à toutes éventualités pour nos prochaines rencontres.
Voyant mon étonnement, mais se doutant du plaisir qu’elle me procurait, elle ne s’empêcha pas d’ajouter :
- Tu sais, je ne pourrai pas éternellement me refuser à cette pénétration, alors je préfère t’offrir la priorité de me dépuceler le petit trou.
Après l’avoir préparée en lui caressant son petit œillet plissé, je lui ai introduit un doigt, puis un deuxième, constatant qu’elle était très serrée, mais consentante en faisant des efforts pour se décontracter au maximum.
Après l’avoir enduite de gel, j’ai pénétré son petit trou serré de vierge anale, la faisant hurler dans un premier temps puis gémir ensuite, elle a même redemandé de recommencer deux fois dans la journée en me disant :
- Il faut que je m’habitue, mais c’est tellement jouissif de s’offrir sans pudeur !

Les deux jours suivants, elle se laissa pénétrer l’anus tout en cherchant sur internet nos futurs compagnons. Angie prenait goût à la sodomie et était impatiente de trouver nos futurs partenaires.

Un soir, elle me dit :
- Et si nous faisions une partouze, plusieurs hommes et plusieurs femmes ?
- Tu accepterais de baiser avec plusieurs ? lui demandais-je.
- Humm… oui, pourquoi pas, mais j’ai un peu peur que ce soit bestial, ou sinon un week-end avec un ou deux couples, dans un endroit sympa.
- Pourquoi pas, dis-je.
Sa chatte dégoulinait et je voyais bien qu’elle était très excitée par sa proposition qui n’était pas un simple fantasme, elle était réellement prête à partouzer !
D’ailleurs elle m’avoua avoir trouvé un couple qui organisait une soirée à la campagne, dans leur villa, et qu’il pouvait héberger les invités.



Après avoir envoyé nos photos et un petit mot de présentation, nous reçûmes un message cordial nous expliquant l’organisation de la soirée. Il s’agissait en fait d’un groupe d’amis composés de trois couples et d’un homme célibataire. L’un des couples étant indisponible, ils avaient passé une annonce pour trouver des remplaçants.
- Votre profil nous plaît beaucoup, nous disaient-ils, Leslie nous attire beaucoup et ce serait une première pour nous et nous serions ravis de vous accueillir.
Suivaient les photos de chacun des futurs participants. Un couple était de notre âge, l’autre, celui qui nous recevait, cinq ans de plus, l’homme célibataire quant à lui, était aussi de notre âge, et plutôt bien foutu. Angie regarda attentivement les clichés, puis elle se tourna vers moi et me dit :
- Ok, on essaye, mais promis si nous ne les sentons pas, on rentre !
- Pas de problème, lui répondis-je, moi aussi je suis un peu stressée, mais ils ont l’air sympa.

Deux semaines plus tard, nous nous sommes rendues dans une jolie maison de l’arrière-pays varois, une villa de deux étages entourée d’un grand jardin.
Lionel et Béatrice, nos hôtes, nous attendaient sur la terrasse, un verre de champagne à la main, en compagnie d’Olivier, l’homme célibataire.
Ils nous accueillirent chaleureusement et je vis les deux hommes me détailler, puis détailler la silhouette d’Angie avant d’échanger un regard coquin.
Ils nous firent des compliments sur nos beautés respectives et de mon côté je me tournai vers Béatrice et la complimentai sur son physique et sa tenue, un petit bustier très simple et une minijupe qui dévoilait de longues jambes très fines.
Béatrice me sourit en disant :
- Venez prendre un verre de champagne avec nous, Michel et Patricia vont arriver d’une minute à l’autre.
Effectivement, quelques instants plus tard, le troisième couple arrivait, tous les deux blonds et bronzés, revenant apparemment de vacances.
Leur arrivée s’effectua de façon plus naturelle que la nôtre, car ils connaissaient déjà tout le monde, et, tout de suite après, nous étions en train de discuter tous ensemble sur la terrasse.

Pendant que nous buvions tout en faisant connaissance, dans le salon, mon regard ne pouvait se détacher de la silhouette de Patricia. Une femme vraiment magnifique, mince comme Béatrice, mais juste avec un tout petit truc en plus, des yeux de braise et une poitrine sous un corsage blanc transparent, libre sans soutien-gorge, laissant visible ses seins, qui sans être très gros étaient ronds, fermes et parfaitement dessinés
Surprenant mon regard, elle s’avança cers moi, releva son bustier et me montra en souriant une poitrine parfaite, naturelle, légèrement bronzée.
Les conversations s’arrêtèrent pour laisser place aux rires, Angie me regarda d’un air étonné et Michel, le compagnon de Patricia, me lança en riant :
- Eh bien je pense que vous lui plaisez, vous n’allez pas vous embêter.
Aussitôt après, les conversations reprirent de plus belle et, en regardant Angie discuter avec Olivier et Lionel, les yeux brillants et déjà un peu éméchée par le champagne, je compris que cette soirée allait être à la fois très décontractée et très chaude.

Je me rapprochai de Patricia et me mis à discuter avec elle de ses vacances. Tout en me parlant, elle me prit la main et la posa sur sa cuisse, le plus naturellement du monde, en m’invitant du regard à la caresser là, devant tout le monde.
Elle continua à me parler, comme si de rien n’était, en buvant du champagne pendant que mes doigts caressaient sa cuisse, puis m’invitant du regard à aller plus loin, mes doigts trouvèrent sa fente épilée et déjà bien humide qu’aucune culotte ne protégeait. Elle eut juste un petit soupir surpris lorsque j’introduisis un doigt, puis deux, dans sa chatte, en battant des paupières en signe d’approbation. Mon pouce posé sur son clitoris le durcit ostensiblement, mais elle continua de me parler.

A un moment, brusquement elle se raidit, bascula la tête en arrière et se mordit les lèvres en poussant un petit cri, puis elle reprit son verre, m’embrassa de façon langoureuse en me disant :
- Tu sais donner du plaisir aux femmes !
Tout cela n’avait pas pris très longtemps, dix minutes peut-être, mais en tournant la tête, je m’aperçus que les choses s’étaient véritablement accélérées dans le salon.

Michel et Béatrice étaient debout près de la balustrade de la terrasse, s’embrassant à pleine bouche, et en se caressant mutuellement, tout en regardant les scènes qu’offraient les autres convives.
Angie, assise dans un fauteuil, avait maintenant les seins à l’air, la jupe retroussée sur ses jambes écartées et sa culotte avait disparu. Assise, Olivier qui était à côté d’elle lui léchait les seins en la masturbant. Lionel était debout à côté d’eux, le pantalon baissé sur les chevilles, et se faisait sucer par Angie, une main posée sur la nuque d’Angie, guidant sa tête et lui imposant son propre rythme.
Puis Olivier se releva, baissa son pantalon et présenta lui aussi sa queue à Angie pour qu’elle le suce. Angie se mit à sucer les deux queues en alternance, sans se préoccuper de l’entourage. Très naturelle, elle se donnait totalement et abandonnait toute pudeur.
À côté de moi, Patricia me souffla dans l’oreille :
- Tu aimes le spectacle, ça t’excite ?
Je la regardai, la trouvai vraiment très belle et lui dit :
- Oui, mais c’est toi qui m’excite !

Patricia me caressa doucement la poitrine, puis le sexe qu’elle sortit de mon string, avant de le prendre dans sa bouche. Elle suçait divinement bien, elle enfonçait mon sexe très loin dans sa gorge, et me malaxait en même temps les couilles et parfois l’anus avec le bout de ses doigts.
Je m’abandonnai entièrement à sa bouche divine et chaude, Patricia voulait visiblement me faire jouir, elle n’avait pas l’intention de baiser tout de suite. Elle continua donc de me sucer lentement pour faire durer au maximum ce moment magique, se doutant de l’effet de sa bouche sur mon membre raide.

En me suçant, Patricia me regardait d’un air coquin, prenant du plaisir à me faire vibrer, c’était divinement bon et Patricia le savait.
Béatrice était maintenant appuyée sur la balustrade et Michel la prenait debout par derrière, la limant lentement en lui caressant les seins.

Je ne vis pas Angie tout de suite, ses deux partenaires l’avaient entraîné à l’écart près de la grande baie vitrée et l’avaient disposé à quatre pattes sur un divan. Elle était maintenant en train de sucer Olivier tandis que Lionel, derrière elle, s’approchait de ses fesses et s’apprêtait à la prendre en levrette.
Angie tout en continuant sa fellation, passa sa main derrière elle et encouragea Lionel à venir la pénétrer. Lionel lui enfonça sa queue dans la chatte d’un seul coup, lui arrachant un petit cri, et se mit à la limer assez fort, mais pas trop pour ne pas l’empêcher de sucer Olivier.
Ce dernier ne put se retenir plus longtemps et il jouit dans la bouche d’Angie en poussant un râle de démence. Un peu de sperme coula sur les lèvres d’Angie, mais elle en avala la plus grande partie.
Puis, la croupe relevée, la tête enfoncée dans les coussins du divan, elle se livra entièrement aux assauts de Lionel, une main passée entre ses jambes pour pouvoir à la fois se branler et caresser les couilles de Lionel. Celui-ci la pistonna avec force, de plus en plus vite et de plus en plus brutalement. Malgré les coussins, les cris de plaisir d’Angie étaient clairement audibles et elle jouit au moins deux fois avant que Lionel, dans un dernier coup de rein, n’éjacule à son tour en elle.
Entre temps je n’ai pu me retenir plus longtemps et j’ai joui dans la bouche de Patricia pour son plus grand plaisir.

Après quelques minutes, nous nous retrouvâmes tous autour de la table. Les couples légitimes se reformèrent provisoirement. Angie s’assit près de moi et me dit doucement à l’oreille :
- C’était trop bon pour moi !
- Pour moi aussi, lui dis-je.
- Tu vois, me dit Angie, c’est Olivier qui me branche et je sens que je vais aimer quand il baisera fort avec sa grosse queue qui me fait envie.
Je la regardais avec un mélange d’amusement et d’étonnement, car effectivement, Olivier était le mieux membré de nous tous, sa bite était vraiment impressionnante, même au repos.
- J’aimerais bien voir l’effet que ça me fait, d’en avoir une aussi grosse dans le ventre, me dit Angie, et pourquoi pas dans mon petit cul !
Béatrice, qui arrivait avec un plateau à la main surprit notre discussion. Elle éclata de rire et répéta devant tout le monde :
- Vous savez, Angie, après le repas, aimerait bien qu’Olivier s’occupe d’elle et plus particulièrement de son petit trou !
Les rires fusèrent de nouveau puis nous nous mîmes à table pour le diner.

A suivre…

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