Ma Logeuse
Je m'appelle Romain, j'ai 18 ans.
Je suis étudiant dans une école d'ingés à Marseille dont je terrais le nom.
L'année dernière, alors en quête d'un logement étudiant comme des dizaines de milliers d'autres dans la galère, j'ai finalement opté pour la location d'une chambre chez l'habitant par l'entremise d'une amie de ma tante dans une petite commune proche de Marseille. Bon je sais, c'est pas terrible comme intro, mais c'est pourtant comme ça, et vu les difficultés pour se loger, cette opportunité était la bienvenue.
Au début l'été, je décidais d'y descendre quelques affaires en avance: vélo, quelques vêtements, ordi, et une paire d'instrument intruments de musique, car j'envisageais si j'en avais l'occasion de donner des cours de musique, de solfège, ou de jouer dans quelques soirées pour me faire 4 sous.
Olga, l'amie de ma tante et maitresse de maison était un petit boût de femme, approchant la quarantaine, souriante, bien proportionnée, divorcée, et qui avait visiblement soit fait un riche mariage, soit avait une situation confortable, soit les 2 à la fois au vu de sa belle villa au milieu des pins et avec une piscine.
Bien qu'étant encore jeune, ces s n'étaient pour leur part déjà plus à la maison, car ils étaient déjà grands et faisaient eux aussi leurs études loin de la maison (elle les avait eu tôt de toute évidence).
Cette solitude lui pesait un peu, et c'est la raison pour laquelle elle avait décidé de louer une chambre d'étudiant d'après ma tante.
En fait de chambre, c'était plutôt une dépendance confortable avec ma douche, mes toilettes et mon coin cuisine.
Le premier week-end où je suis venu déposé mes affaires, je me faisais très discret, mais le dimanche matin, alors que je m'étais levé très tôt pour faire du vélo et que je rentrais justement, je tombais par hasard sur elle qui faisait un footing en sens inverse.
Échange de "bonjour", de sourires, 3 mots, un peu surpris l'un et l'autre, je n'en disais pas plus, j'étais fatigué de mon tour en vélo, encore peu habitué au coin, bref, j'étais pressé d'aller prendre ma douche.
Je pouvais profiter de sa piscine, on avait convenu d'un jour par semaine où je pouvais utiliser la machine à laver, bref un petit paradis.
L'été, c'est aussi la saison où des animations, je cherchais sur Internet les petites annonces de recherche de musiciens où j'aurais pû servir et me faire un peu d'argent.
Le dimanche en fin d'après midi, je reprenais la route pour rentrer chez mes parents.
Deux semaines plus tard, je revenais, cette fois pour faire des essais musicaux avec un groupe qui avait besoin d'un bassiste en remplacement, pour jouer un répertoire de variétés, et avec des cachets très corrects pour faire danser les gens.
Fait du hasard ou quoi, mais cette fois encore, nous nous croisions pendant nos séances sportives.
Lors de mon 3ème séjour, j'avais déjà joué 2 soirs d'affilée, le dimanche matin jeus plus de mal à me lever tôt que d'habitude, je décidais d'aller courir un peu, plutôt que d'aller faire un grand tour en vélo, et c'est là que je trouvais Olga, en short long et moulant sur le départ elle aussi, elle en revanche s'était levée plus tôt que d'habitude.
- "Bonjour"
- "Bonjour, ça va ?"
- "Vous allez où ?" demandais-je un peu niaisement pour meubler la conversation
- "Par ici, je connais un parcours, je te montre ?
- "Euh, je vous suis..."
Olga avait un sacré rythme à la course à pieds, rapide, je me demandais si elle ne m'avait pas juste proposé de la suivre pour me tester et à l'occasion de faire cracher mes poumons en me montrant qu'elle était super entrainée à la course à pied.
De temps en temps quand j'étais derrière elle, mon regard s'était attardé sur son short blanc moulant les fesses, la forme du string que l'on distinguait à peine et sur ses globes fessiers rebondis qui témoignaient d'une grande fermeté.
Au retour, encore dans les vapes et le tempes pleines de sueurs, un peu à bout de souffle, je la remerciais de m'avoir montré le coin, et je tournais le dos pour aller me mettre au plus vite sous la douche et souffler un peu.
Je ne la félicitais pas pour sa prestation à la course, pas la peine de m'auto-humilier encore un peu plus avec ce que je venais de subir.
Elle eu un petit pouffement de rire, comme par satisfaction de m'avoir montré sa supériorité à la course, et me proposa promptement de déjeuner avec elle puisque c'était Dimanche et qu'elle avait "du super poisson pour mettre au barbecue, et une salade rucola avec des tomates cerises", et qu'une de ses amies venait lui rendre visite.
Bon j'allais pas dire non.
Le repas se déroulait bien, avec Olga et son amie, Olga lui vanta mon assiduité sportive régulière où d'ailleurs je me suis demandé pendant une seconde si elle se foutait pas de ma gueule devant son amie, enfin bon, passons...
L'après midi dans le sud, après le café, je sais pas si c'est le bruit des cigales, le peu de sommeil de la veille, la course à pied un peu rapide du matin, le vin à table, ou bien le tout à la fois, mais j'avais un petit coup de barre, je m'éclipsais en fin de repas auprès de mes hôtes pour aller pratiquer un autre sport régional: la sieste.
Les persiennes descendues à moitié, un peu d'air qui devait venir de la mer, et je m'affalais sur mon lit comme une masse.
Je ne sais pas depuis combien de temps je dormais, mais je sentis une effluve salée et épicée mélangée à une odeur de parfum me remplir les narines pour me parvenir directement au cerveau. je sentais une raideur dans mon bas-ventre comme lors de certains réveils matin.
Olga était nue, sur mon lit, retournée en 69 sur moi pendant que je dormais, et elle frottait son sexe suintant sur mon visage.
Le spectacle qui s'ouvrait devant mes yeux était celui de sa croupe, de son vagin qui m'agressait, et de ses cuisses qui me tenaient prisonnier.
Ca fait vraiment bizarre comme tableau quand on a pas été prévenu et qu'on est réveillé de la sorte, mais pour être franc, la grosse surprise ne dure qu'une seconde, car une fois qu'on réalise ce qui se passe, c'est un plaisir extra-ordinaire aussi bien physique que mental.
Rendez-vous compte, cette femme que je ne connaissais que depuis un mois, et avec qui je n'ai presque pas discuté, a dû à un moment donné se projeter dans l'hypothèse d'une aventure sexuelle avec moi au point de briser toutes les étapes, et se mettre carrément nue (enfin, elle avait quand même gardé son soutif) dans ma chambre et me coller son sexe sur le visage alors que je dormais. Il faut d'abord qu'elle soit bien sûre d'elle (bon ok, avec son physique, elle peut), mais je veux dire par là que c'est ... c'est très direct.
Quand mes mains se sont agrippées à ses fesses, et quand j'ai commencer à pousser ma langue entre ses lèvres chaudes et humides, délicieuses, j'ai bénis ma tante pour ce qui était en train de m'arriver, surtout 4 mois après une rupture qui m'avait quelque peu affecté.
Alors que j'étais encore en train de me délecter du plaisir qu'elle m'offrait, Olga entreprenait de tâter mon entre-jambe et de le libérer de mes vêtements.
Finalement, alors que je glissais de côté pour virer mon short et mon slip, je voyais Olga, qui s'était mise en place à 4 pattes sur mon lit, cambrée, une main sur ses fesses bien écartées, qui me donnait une vue directe sur son interdit et qui me siffla en me fixant du regard:
"maintenant c'est là ... , viens me lécher"
C'est la première fois de ma vie que je léchais le cul d'une femme, et Olga agrippait sans ménagement mes cheveux pour me forcer à la lécher encore plus fort.
À la façon dont elle soufflait fort en geignant sans même se poser la question si le voisinage aurait pû entendre depuis les jardins, en serrant les dents, en me faisant mal avec ses ongles dans les cheveux, en remuant son derrière de toute force sur ma langue, et à la facon dont elle avait eu de me demander avec fermeté de lui offrir ce plaisir, je compris là qu'elle était adepte des plaisirs anals.
Pour ma part, j'étais furieusement excité à l'idée qu'une femme puisse être aussi vicieuse au point de réclamer que je lui bouffe le cul avant autant d'insistance alors que c'est là un niveau supérieur dans la sexualité je trouve et qu'en plus je n'avais jamais fait ca à personne auparravant et qu'elle ne s'était visiblement pas demandée si ca allait me choquer ou non.
Quoi qu'il en soit, je ne sais pas combien de temps cela a duré, car vu le plaisir que j'y prenais moi-même, au vu de ses commentaires, je n'ai pas caché que j'y trouvais un intérêt certain, et n'ai pas ménagé non plus mes effort à pousser ma langue au plus profond de ses entrailles. Ah là là, si ma tante me voyait faire maintenant... Quand je pense que c'est grâce à elle que je suis ici.
Enfin, je veux pas non plus qu'elle assiste au spectacle, mais c'est ce à quoi j'ai pensé quand j'étais à 4 pâtes derrière Olga en train de lui fourrer ma langue dans le cul.
Au bout d'un moment, Olga se retourna prestement sur ma bite pour lengloutir et faire des va-et-vient remplis de salive et bien brillants.
Cette bonne pipe n'était pas destinée dans l'immédiat à me faire partir en l'air mais plus une étape de transition à ce en quoi j'étais aussi novice: Olga empoignait mon sexe dans sa main droite, et le forçait directement sur son anus que j'avais longuement léché juste avant.
Une fois mon gland passé la frontière, elle et moi reprenions notre souffle. Je sentais les spasmes en elle serrer la base de mon gland avec une force inouie, presque douloureuse.
Elle pris un appui ferme avec ses mains sur le lit, puis recula ses fesses vers moi pour engloutir ma bite en plusieurs va-et-vient.
J'étais emprisonné avec une force qui me laissait peu de fantaisie de mouvements tellement jeus mal au début.
Après quelques mouvements, ce fût vraiment l'extase, je découvrais le plaisir anal, je n'ai surtout jamais autant eu l'impression que mon corps ne fasse autant qu'un avec le corps d'une femme.
La vue obscène des pourtours de son anus suivant mon sexe à chaque mouvement du bassin gardait ma bite dans un état dérection que j'avais rarement ressenti comme aussi fort. Intérieurement je remerciais ma tante de m'avoir conduit si je puis dire jusqu'ici.
J'avais la bite tellement en érection dans les entrailles de la belle Olga, et son anus me serait tellement fort, elle m'entraina sur le bord de la piscine pour continuer dans d'autres positions.
J'avais la trouille que l'on se fasse remarquer par les voisins, il y avait bien une dense haie de cyprès (ou une autre sorte d'arbre touffus je ne sais pas trop), mais Olga était un peu bruyante et je me demandais si on pouvait pas nous observer depuis la clôture du voisin.
Alors qu'il me devenait difficile moi aussi de retenir mes grognements, surtout quand Olga donnait de violents coups de reins en arrière et que ses fesses venaient me frapper le bassin, je ne pouvais plus me contrôler, Olga l'a senti venir, et elle a empoigné mon sexe pour diriger mon éjaculation sur son anus.
Alors que je m'inquiétais de savoir si des voisins nous avaient entendu, c'était encore en milieu d'après-midi, Olga me masturba encore, et ré-enfonca mon sexe une nouvelle fois sans son petit trou.
J'eu une vive douleur au moment du passage du gland qui était déjà rouge d'avoir autant besogné Olga auparavant.
Incroyable, je baisais Olga dans mon sperme, c'était tellement obscène de voir mon sperme gluant coller mon sexe et son trou quand je rebandais de plus belle. Bon sang, si ma ma tante savait ce que j'étais en train de faire....
Quel paradis (enfin, façon de parler), je ne pensais plus à rien d'autre au plaisir que de faire l'amour avec Olga.
Celle-ci s'agitait de façon brutale maintenant sur ma bite, et hélas, la fin arriva.
Alors que je voulais rester en elle au plus profond et la serrer contre moi comme pour la remercier de m'avoir donné tout ce plaisir, Olga me planta violemment ses ongles dans le cou, me ramena de force devant elle (je me suis même égratigné un genou sur le bord de la piscine), elle me prit par les cheveux comme elle l'avait fait la première fois sur le lit, me tourna une grande gifle qu'elle retourna ensuite du dos de la main dans ma figure, là je me suis vraiment demandé pourquoi elle faisait preuve de violence avec moi.
Ensuite elle posa un pied sur une chaise longue en me tirant les cheveux pour me tenir à genoux devant elle, et elle m'urina à grand jets sur le visage....
Les premières secondes, je fût plus que choqué qu'elle ne me pisse dessus comme ça. J'ai attendu des mois avant d'écrire ça, je me suis posé des questions pendant longtemps après subir de tel traitements.
Ensuite, quand je l'ai vu jouir alors qu'elle frottait son sexe humide contre mon visage, j'ai compris que cela faisait partie de son "plaisir".
"Ça c'est parce que toutes les femelles dominantes marquent les hommes comme leur territoire !" me lanca-t-elle
Je dois dire que ça m'a un peu permis de faire passer la pilule car au début, je me suis bien demandé ce que j'avais pu faire pour mériter un tel traitement (la gifle, ça m'a laissé des marques rouges quand même).
Je suis allé me doucher sans rien dire, sous le charme du plaisir, mais aussi un peu choqué par les manière brutales d'Olga.
On ne soupçonnerait pas ça d'elle, car en plus elle a une petit voix fluette de petite fille, qui font qu'on la croit presque innocente.
Je suis donc aller me doucher, fort heureusement, la douche de la salle de bain était super bien foutue (douche à l'italienne, bien vaste, agréable quoi).
Quand je suis revenu vers elle, elle était en train de fumer une cigarette (ouais, sportive, mais fumeuse quand même), et tenait son iPhone à la main, elle téléphonait avec sa copine Mounia, sa copine maghrébine qui était venue manger avec nous quelques heures plus tôt.
En me fixant et en fumant sa cigarette, elle lui disait: "ça y est, ... il a .... perdu son pucelage si je puis dire..."
Non pas que j'étais puceau avant, mais il est clair que Olga m'avait initié à de nouvelles pratiques jusqu'alors un peu inexplorées jusqu'alors.
en tout cas, j'étais halluciné de voir qu'une femme pouvait avoir l'audace d'appeler sa copine au téléphone pour lui raconter qu'elle avait eu une relation amoureuse avec un homme.
Olga eu un sourire au coin des lèvres qui montrait bien sa satisfaction. "Il a été docile et très obéissant".
De mon côté, j'ai ressenti une certaine fierté à l'idée que j'ai pu être utilisé comme un vulgaire objet sexuel, je n'aurais jamais pu penser qu'une femme fasse ça de moi.
Ce fût le début d'une relation entre Olga et moi que je continuerais à vous raconter si cette histoire vous a plut.
Romain.
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