Leslie Ar66

LESLIE AR66 - Angie, suite

C’est plus ou moins dénudés que nous avons diné, le repas, excellent, commença autour de discussions salaces sur les goûts sexuels des uns et des autres et sur leurs expériences.
Nous apprîmes ainsi que Lionel et Béatrice, qui étaient cinq ans plus âgés que nous, libertinaient depuis trois ans. Ils avaient commencé par les clubs, où ils avaient rencontré Michel et Patricia avec lesquels ils étaient devenus amis.
- Maintenant, dit Lionel, on ne va presque plus en club, Vincent et Corinne, ceux qui devaient venir ce soir, nous ont rejoint, on s’entend tous bien et parfois nous invitons un nouveau couple pour pimenter le moment.
- D’ailleurs, reprit Béatrice, ensemble nous sommes libres et sains, c’est pour cela nous avons des rapports, entre nous, sans protection.
- Et Olivier, demanda Angie, comment a-t-il intégré votre groupe ?
- C’est l’ami d’enfance de Corinne, répondit Béatrice. Nous l’avons rencontrés en club en même temps qu’eux, et comme la nature a été généreuse avec lui, c’est tout naturellement qu’il a intégré le groupe.
- Pour le plus grand plaisir de ces dames, rajouta Michel.
- D’ailleurs, rajouta, Lionel, Corinne a souvent dit qu’elle fantasmait sur lui, mais elle n’est jamais passée à l’acte.
- Je la comprends, dit Angie, moi aussi je fantasme sur lui, mais je crains ne pouvoir l’accepter !
- Essayer, c’est l’adopter ! dit Béatrice. Tu verras, tu en redemanderas.
- Bon vous pouvez changer de sujet, dit Olivier, un peu mal à l’aise.
- Comme nous aimons tous faire un petit trio de temps en temps, c’est l’homme de la situation, on l’appelle, et on passe la soirée ou la nuit ensemble, rajouta Béatrice.

La discussion continua pendant le reste du repas.
Après le dessert, Béatrice nous invita passer au salon pour le café et c’est le moment qu’Olivier choisit pour attr Angie par la taille et, tout en lui caressant les seins, il lui demanda :
- Alors petite ingénue, tu es prête maintenant à jouer avec moi ?
Angie lui répondit en l’embrassant, puis ils s’installèrent en soixante-neuf dans un canapé pour des ébats torrides et bruyants, totalement indifférents à notre présence.

En fait, nous ne faisions rien, sinon que de les regarder en buvant notre tasse de café.

Au bout d’un moment, Béatrice s’approcha de moi et commença à m’embrasser, en me branlant doucement. Elle prit un préservatif, l’enroula sur mon sexe puis, me demandant de rester assise, elle vint s’empaler sur ma queue et commença un lent mouvement de va-et-vient.
Michel et Lionel, eux, s’occupaient de Patricia tout en se faisant sucer alternativement. Puis Patricia demanda à Michel de la sodomiser, pendant qu’elle se faisait baiser, allongée sur Lionel, elle se fit énergiquement prendre par les deux trous en y prenant apparemment beaucoup de plaisir.
Béatrice, elle, continuait d’aller et venir sur mon sexe. À un moment, n’en pouvant plus, je l’allongeais sur le dos, lui relevais les jambes au-dessus des épaules et me mis à la pistonner avec énergie.
Mon excitation était à son comble, une femme magnifique dans mes bras, Angie en train de sucer une queue monstrueuse, et enfin Patricia en train de se faire prendre en sandwich.
Angie venait de se mettre sur le dos et Olivier commençait à la pénétrer. Je vis Angie faire une grimace puis tout de suite après, un râle sortit de sa gorge et très vite, elle se mit à geindre, puis franchement à crier de plaisir, s’abandonnant totalement à la queue impressionnante d’Olivier.
Béatrice me prit la tête dans les mains, m’embrassa à pleine bouche, pendant que je la baisais plus vite et de plus en plus fort. Notre jouissance fut incroyable et nous sommes restées accouplées pendant un long moment pour reprendre nos esprits.

Patricia vint vers moi alors que je séparais de Béatrice, en me disant :
- Regarde ta chérie, elle a l’air d’aimer ça !
Angie était très occupée, encore sur le dos, se faisant baiser par le gros sexe d’Olivier. Michel et Lionel de chaque côté de son visage se faisaient sucer alternativement. Béatrice enfin, l’aidait à sucer les queues tout en l’embrassant et en la caressant.
Au bout d’un moment, Michel et Lionel éjaculèrent sur les visages des deux femmes, qui continuèrent à s’embrasser en mélangeant les spermes.
Angie continuait de gémir perpétuellement sous l’effet de la grosse queue d’Olivier. Celui-ci se retira, puis pointa son membre sur l’anus d’Angie pour l’embrocher d’un coup de reins. Angie hurla, en disant :
- Non, non, tu vas me déchirer, arrête un peu !
Mais Olivier continua sa pénétration, puis une fois calé au fond des entrailles d’Angie il resta un moment sans bouger, juste le temps à Angie de se laisser aller et être sodomisée. Angie vaincue, se laissa faire, totalement soumise, abandonnée à ses pulsions et celles de son partenaire et elle hurla son plaisir et perdit connaissance quand Olivier jouit en elle.

Il était tard, et tout le monde avait besoin de se reposer. Je demandai à Angie si elle voulait partir. Béatrice répondit à sa place :
- Vous n’allez pas partir maintenant ! Il est tard, vous êtes fatiguées, nous avons bu. Vous pouvez dormir ici sans problème, venez, je vais vous montrer votre chambre.
Nous la suivîmes à l’étage et nous installâmes pour la nuit.
Après une bonne douche, Angie se lova contre moi en m’embrassant. Sentant ma queue encore raide, elle se l’introduisit dans son cul et nous nous sommes donc endormis dans cette position, épuisés, mais heureux.

Mon réveil, le lendemain, fut des plus agréables, je sentais une bouche chaude me sucer le sexe avec de lents mouvements de langue. Que c’était bon, puis soudain, je sentis une deuxième bouche se poser sur mes lèvres.
Ouvrant les yeux, je m’aperçus que j’étais entre les mains et les bouches de Patricia et Béatrice, elles étaient là toutes les deux, occupées à me sucer et à se caresser mutuellement, mais pas d’Angie.
- Ne t’inquiète pas, dit Béatrice, on a réveillé Angie et on lui a proposé d’échanger nos trois hommes contre toi, et ne sois pas vexée, mais elle n’a même pas hésité, elle est dans la chambre à côté et apparemment, ça se passe très bien pour elle…
À ce moment-là en effet, je pris conscience des gémissements dans la pièce voisine et impossible de se tromper, Angie était en effet en train de se faire baiser.
Décidément, elle devenait vraiment insatiable, trois hommes pour elle au réveil, je n’en revenais pas.

A suivre…