La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 183)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
- Les esclaves de L'Entreprise... Retour au bureau -
A l'issue de la soirée chez Maîtresse CoeurDeJade durant laquelle il avait été exhibé aux quatre coins de la pièce, mené en laisse par Celle qui venait de le supplicier, l'esclave philippe était resté chez L'Amie de son Maître Le Marquis. Trois jours durant, il fut "logé" dans une cage suspendue à 1 mètre du sol par de lourdes chaînes scellées au plafond. Cage qui ne lui permettait que les positions allongées ou à quatre pattes. Il n'en sortait qu'une fois par jour, mené par les deux esclaves qui l'avaient apprêté pour la soirée. Ces deux jeunes hommes semblaient prendre un plaisir tout particulier à s'occuper de l'esclave, le toiletter et soigner les marques de la dure flagellation qui lui avait été imposée. Comme l'avait ordonné son Maître avant de le laisser aller, philippe se montrait d'une totale docilité, ne rechignant à rien, même lorsque cela venait de ces deux là, dont l'état servile n'avait rien à envier au sien, comme semblaient le prouver les longues traces laissées par le fouet sur leurs corps, une fois ceux-ci débarrassés des crèmes et paillettes de la fête. Les deux esclaves semblaient fort complices, peut-être même étaient-ils frères, se disait philippe, tant ils se ressemblaient, sortes d'éphèbes blonds au visage impassible et humble face à leur Maîtresse, mais dont le visage laissait apparaître un sourire narquois dès qu'ils étaient seuls avec lui.
Depuis la fameuse soirée, l'esclave Du Marquis n'avait plus revu Maîtresse CoeurDeJade, il était donc exclusivement surveillé et soigné par les deux jeunes mâles. Lors des soins qu'ils lui prodiguaient, ils n'hésitaient pas à lui imposer de vicieuses caresses très poussées, des doigtages fort intrusifs, même. Des jeux auxquels philippe se pliait docilement, supposant que les deux ne se permettaient cette attitude que parce qu'ils y avaient été autorisés par leur Maîtresse.
Tandis que l'esclave philippe méditait ainsi sur sa condition servile dans sa cage chez Maîtresse CoeurDeJade, l'esclave émeline était quant à elle soumise à un moment du mois qu'elle n'appréciait guère. En effet, une fois par mois, Le Marquis tenait à ce que chacun des Ses esclaves soit examiné très en détails par un médecin, afin de s'assurer de leur parfaite bonne santé.
C'est donc dans son local médical équipé du meilleur matériel qu'émeline avait été menée ce jour là, nue sous le regard concupiscent du médecin qui pour l'instant, examinait son corps, palpant avec insistance ses seins à la recherche d'un éventuel signe inquiétant. Les mains perverses s'attardaient trop longuement sur les lourds globes de chair, pinçant les tétons, les doigts boudinés glissant nerveusement sur la peau. Son regard perçant mettait l'esclave mal à l'aise.
- "Allons, détend-toi... tu sais bien que l'examen doit être scrupuleux"
- "Oui Monsieur"
- "Bien... écarte un peu plus les cuisses... encore
Mmhh
moui ! Bien, comme ça et ne bouge plus"
Les doigts inquisiteurs s'immisçaient dans les chairs intimes d'émeline..
- "Mmhh... bien, bien... vas t'installer" ordonna-t-il.
Et émeline, docile malgré l'irrépressible dégoût que lui inspirait l'homme alla prendre place sur la table d'examen gynécologique, plaçant ses pieds dans les étriers, cuisses largement ouvertes... Le médecin la regardait, semblant la dénuder plus encore que ce qu'elle l'était déjà... émeline n'était jamais aussi mal à l'aise qu'en ces instants. Pourtant, Monsieur Le Marquis disposait d'elle de tant de façons ! Il usait de son corps, pour Ses Plaisirs, pour ceux de Ses clients ou partenaires... elle avait subi tant de choses, tant de situations scabreuses, de pratiques qu'aucune de ses amies de l'université n'auraient pu imaginer de la part de cette jeune femme sportive qui n'avait connu que bien peu d'aventures sentimentales... Mais tout cela, elle l'avait choisi par Vénération pour son Maître, Le Marquis. Elle avait accepté de Lui faire l'offrande totale de son corps comme de son âme et elle ne l'avait jamais regretté. Même en cet instant, car c'est en pensant à Lui qu'elle pouvait supporter cet homme qui la fouillait maintenant de ses mains gantées de latex... qui poussait ses doigts en elle, avant de placer le spéculum et de l'ouvrir si largement, qui contemplait ses chairs, son intimité béante...
- "Mmhh oui, oui... c'est bien ainsi... très sain... bien... ton Maître sera content" disait-il en faisant aller et venir sa main entre ses cuisses
Il délaissa un instant le sexe d'émeline pour venir lui saisir les poignets et tirer ses bras en arrière afin de les menotter à la tête de la table d'examen.
(à suivre)
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