Les Yeux Bandés, Soumise Docile Et Mouillée
Nous nous sommes peu parlé avant. Je tai dit mon besoin de me faire baiser. Je sais en toi cette force mâle qui me fait fantasmer depuis des jours. Qui mempêche de dormir. Des nuits sans sommeil où je me caresse, où je pince mes tétons déjà durs de désir. Je tai dit comment je voulais tout toffrir, devancer tes fantasmes, te proposer de tout prendre, de tout posséder, de me défoncer. Bien profond. Brutalement.
Je sonne, déjà mouillée. Ton sourire si doux, si calme. Jentre et pose mon sac. Mon blouson, mon pull à terre. Mes yeux dans les tiens. Tu attends. Je suis face à toi. Soutien-gorge noir, classique, couvrant mes seins. Mini jupe en jean, collants noirs, bottes de motard. Je te demande si je peux moccuper de mes seins. Tu hoches la tête, souriant. Carnassier. Jatt chaque téton entre le pouce et lindex. Je les pince et les maltraite, le temps nécessaire pour quils soient gonflés, irrités. Je prends les ciseaux de cuisine et sous tes yeux amusés, je découpe mon soutien-gorge pour quil mette en valeur un téton. Je te les tends et te propose de toccuper du reste de ma lingerie. Vas-y, découpe, libère lautre sein, profites-en pour pincer mes tétons, taquiner mes seins, tester leur fermeté
Je me retourne, soulève ma jupe. Je me penche en avant, jécarte les jambes. Les ciseaux soccupent dabord de mes collants que tu ouvres bien largement, au milieu, laissant apparaître une culotte en dentelle noire. Je me cambre. Tu joues avec les ciseaux sur ma chatte si peu couverte, tu me testes, tu me titilles du bout des lames, tu testes ma confiance en toi. Je ne bouge pas, je reste là, offerte. Tes doigts glissent sous la dentelle, tu lécartes et tu finis le travail : une belle culotte fendue. Tu poses les ciseaux. Tu admires le tableau : moi penchée, cambrée, mouillée, ouverte, offerte, ma chatte luisante, mon trou accessible
tu penches la tête et mates mes tétons enflés.
Mes premiers mots. Je veux te prendre et te faire grossir dans ma bouche.
Je minstalle sur ton canapé, à genou, écartée, appuyée sur le dossier avec mes coudes. Je moffre à toi. Sans restriction. Je te fais confiance pour bien me baiser, me laminer, me laisser brisée de plaisir. Je reste là, le plus cambrée possible, come tu aimes. Jattends. Les yeux fermés. Je ne sais pas par quoi tu veux commencer. Ma chatte ou mon con ? Ta queue, un gode, un vibro, des boulles de geisha, une fessée, le martinet ou la cravache, tes doigts
Lexcitation monte. Je tentends préparer quelques accessoires. Lesquels ? Je te sens derrière moi. Tu me bandes les yeux. Tu me relèves, toujours à genoux. Tu prends mes poignets lun après lautre tu les attaches dans mon dos avec un lien en cuir épais, probablement une laisse. Tu me tires en arrière, sans un mot et tu me guides dans la pièce. Je souris, je crois savoir où tu veux mutiliser. Tu me pousses contre le lit, genoux au sol, et tu mordonnes de prier. Je vous salue mon homme plein de force et de pouvoir, je vous choisis entre tous pour mutiliser, me baiser me limer jusquà la garde, jusquà ce que vos couilles soient vides et votre queue lassée. Tu tes calé derrière moi. Ta queue contre mon cul. Tu malaxes mes seins, un peu trop fort, juste assez pour que jai du mal à finir ma prière, hoquetant à chaque fois que tu pinces mes mamelons.
Tu me caresses avec le martinet, tu passes les lanières de cuir sur mes trous offerts, tu me fouettes un peu mes fesses. Jattends. Une bonne fessée. Oui. Merci. Jai le cul en feu, ça chauffe bien. Une dernière bonne claque, forte et jai a peine le temps de réaliser quun liquide froid coule sur ma raie, tu enfonces brutalement du métal glacé dans mon cul ;je sais que tu as choisi mon rosebud préféré : celui qui me prépare suffisamment pour que tu puisses quand tu le souhaites te déchainer dans mon cul, celui qui ne me détend pas trop pour que je sois bien serrée pour ton plaisir. Je gémis de plaisir, dexcitation, de frustration, je te supplie en silence, cest ton rythme, ton jeu, ton plaisir, ta femme. Doucement, déjà empalée par un diamant, tu me prends enfin, un mouvement lent et fort, une jouissance instantanée, des vagues de plaisir
Bien au fond de ta propriété, tu te penches sur moi me dis comme je suis bonne et accueillante, docile
une bonne petite chienne lubrique, ton vide couille préféré, tu mexpliques comment tu vas me prendre, tu saisis mes cheveux, tu tagrippes bien et tu commences doucement tes va et vient, le rythme augmente tranquillement, tu as tout ton temps, je suis à toi. Tu accélères, lâches mes cheveux et att mes hanches, tu sais comme jaime avoir la marque de tes doigts sur moi, tout le temps, des petits souvenirs bleus
Tu me pilonnes sans relâche, des claques tombent, je crie, je jouis, encore. Tu ralentis le mouvement, tu te retires et me laisse vide, pas longtemps : un gode te remplace, tu as choisi le plus gros, tu lenfonces impitoyablement, encore et encore, tu te reposes et tu me baises avec ce sexe géant, tu le pousse à chaque fois plus profond, je nen peux plus. Tu libères mes mains et mordonnes de maintenir le gode au plus profond de moi. Tu admires la scène : mon cul rougi par les claques, le diamant qui occupe mon trou, mes mains agrippées au gode qui rempli ma chatte gonflée de plaisir.
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