Sur Une Aire D'Autoroute
Sur une aire dautoroute
Ceci mest arrivé en juin dernier, javais effectué un stage de deux jours à Bordeaux pour mon travail. Jai 51 ans, je suis marié. Après la dernière journée nous avons eu un cocktail, ce qui fait que je nai pas pris la route très tôt et javais environ 4 heures de route. Environ à la moitié du chemin, une envie pressente est arrivée. Il était 21h30, je me suis arrêté sur la première aire de repos. Cétait une aire sans station service, juste des sanitaires. Il y avait peu de véhicules arrêtés. Je suis allé me soulager. En ressortant je me suis assis sur un banc pour faire une pose, boire un coup et fumer une cigarette.
Avant de reprendre la route je retourne aux toilettes, alors que jétais devant un urinoir, la porte souvre et un homme entre, il se place à mes côtés, alors quil y avait plusieurs place. Je jette un coup dil, cest un routier petit et trapu, dégarnis. Alors que je soulage doucement un mouvement à côté de moi me fait tourner la tête. Je vois le routier qui caresse une bite de bonne taille en semi érection et quil me regarde. Nos regards se croisent, il me sourit en me disant « tu veux la sucer mec » avec un accent. Je suis surpris, mais narrive pas à détacher mon regard de sa bite. Bien que marié jai déjà eu parfois des relations avec des hommes et je dois dire que sa bite me fait envie. Je me dis que jai le temps, ma femme étant chez sa mère pour quelques jours. Le type recule un peu et se tourne vers moi pour mieux me présenter sa bite. Il prend ma main et la pose sur sa queue. Elle est dur et chaude, je commence à le masturber, mais il se recule et mentraine dans une cabine. Sitôt la porte fermée, il madosse contre la cloison et se colle à moi, sa bouche se pose sur la mienne et sa langue force ma bouche. Il a une haleine de tabac et de bière, ce mélange mexcite énormément. Son sexe roide est collé à mon ventre. Alors quil me roule toujours une pelle, il déboutonne ma chemise et défait ma cravate.
- Tu aimes ça que je pince tes tétons me dit il avec son accent.
Je ne pu que répondre oui, il sen était bien rendu compte. Il sest occupé de mes tétons pendant un petit moment regardant sur mon visage mes réactions, quand il me pinçait plus fort. Ca avait lair de lui plaire. Il me les a ensuite lâché pour se reculer et sadosser sur la cloison en face, il ma prit par la nuque pour me faire maccroupir à ses pieds. Sa bite était la devant moi, longue épaisse noueuse. Son gland était encore protégé par son prépuce. Il tenait sa bite de sa main droite et me frottait son gland sur mes joues, mon front, mes lèvres.
- Lèche dit il
Il tenait sa hampe dans sa main seul le gland recouvert ressortait, il le pointait sur mes lèvres, je sorti ma langue pour lécher le bout du gland sorti du prépuce et la petite fente, doù perlait déjà le pré-sperme. Je le récupérais, il avait un gout un peu acide. De sa main gauche il me prit la tête et poussa son gland pour lentrer dans ma bouche. Je le laissais faire, dans le même temps le gland se décalotta. Javais sa bite dans ma bouche, il ne bougeait pas. Je commençais à enrouler ma langue sur son gland en le tétant. Cest lui qui maintenant poussait des petits soupirs de plaisir. Je reculais ma tête pour ressortir une partie de sa bite avant de la ravaler. Une de mes mains sétait posée sur ses fesses pour me tenir alors que lautre caressait ses couilles. Il se laissa faire un moment, me laissant seul rythmer ma fellation sur sa queue. Mais au bout dun moment, il prit ma tête à deux mains et commença à baiser ma bouche.
Je manquais dair, mais pourtant jaimais que ce type baise ma bouche, comme il en avait envie. Je sens sa bite palpiter annonçant la jouissance prochaine, son gland gonfla encore, il me bloqua la tête avec sa bite au fond de ma bouche et en râlant il déchargeant son foutre brulant dans ma bouche et sur ma langue. Il en avait une bonne dose, que je du avaler pour ne pas . Il relâcha ensuite un peu la pression, les décharges se tarissaient, le trop plein coulait sur mes lèvres. Il lâcha ma tête sorti sa bite dont il essuya le gland sur mon visage. Jétais tombé sur les genoux à ses pieds. Il rentra sa bite dans son pantalon et sorti. Jétais toujours a genoux dans la cabine, la porte était ouverte, un mec devant les lavabos me regardait au travers de la glace. Je me suis relevé, jai fermé ma chemise, mis ma cravate dans ma poche, puis suis allé me rincer la bouche aux lavabos. Lhomme a côté de moi me regardait. Quand je suis sorti des sanitaires, mon routier était assis sur une table de pique nique. Il minterpella, me proposant une cigarette. Je lai rejoint, nous étions assis côte à côte à fumer. Il me disait que jétais un bon suceur, quil avait bien jouit. Je vis lautre homme sortir des sanitaires, il se dirigea vers nous. Cétait en fait un collègue du routier, ils étaient ensemble. Il me regardait en demandant à son collègue si je lavais bien sucé. Le routier lui dit que oui quil avait bien jouit et lui a dit quil devrait en profiter lui aussi. Ces deux types parlaient de moi sans soccuper de ce que je pensais. Le gars sapprocha de moi en déboutonnant son pantalon. Il sorti une bite moins grosse que le premier et encore molle. Jétais assis face à lui, il me dit « suce-moi » sans réfléchir plus je me suis penché pour prendre cette nouvelle bite dans ma bouche. Je suçotais le gland circoncis, je le tétais, il commençait à durcir dans ma bouche.
- Tu veux quon tencule me demanda til.
Je nai pas répondu, mais il ma dit
- Lève toi baisse ton froc et penche toi sur la table.
Je me suis levé en défaisant mon pantalon puis en le baissant avec mon caleçon, jai pose mes coudes sur la table en tendant mes fesses. Le type sortait une nouvelle fois sa bite en érection, dune main il écarta mes fesses, puis il crachat sur mon anus.
- Doucement tu es gros.
- Pousse salope ca va passer.
Un nouveau coup de rein de sa part et jenglouti une partie de sa queue, il me prit par les hanches et ressorti sa bite avant de lenfoncer entièrement jusquaux couilles. Je me cramponnais à la table. Lautre avait sorti sa queue et se branlait doucement en nous regardant. Mon baiseur, commença à faire des aller retour dans mon cul, je le sentais bien, il me faisait du bien, je gémissais. Le premier routier, me releva la tête.
- Alors la lope elle est bonne la queue de mon pote dans ton cul, ca te fait du bien.
- Oui elle est bonne je la sens bien elle est dure, il va loin.
- Tauras la mienne après dans ton cul, je vais te défoncer aussi.
- Oui si tu veux tu pourras me prendre le cul aussi.
- Si ta femme te voyait faire la pute pour routier sur lautoroute.
Ses mots mexcitaient je me faisais enculer par un inconnu contre une table en plain air, alors que son pote me parlait de ma femme. Mon routier se déchainait dans mon cul, je recevais des claques de plus en plus forte sur mes fesses alors que son plaisir montait dans ses reins. Je sentais quil allait jouir, sa bite me défonçait en vibrant. Il donna un dernier coup de rein et resta au fond de mon cul ou je le senti jouir, son foutre brulant inondait mon cul. Alors quil sortait de moi déjà lautre sapprochait de mes fesses, son gland trouva facilement louverture déjà faite et lubrifiée par le foutre de son collègue. A son tour il mattrapa par les hanches pour me bourrer le petit trou. Celui qui venait sortir de mon cul me prit par les cheveux et tourna ma tête vers sa queue ramollie.
- Lèche salope nettoie ma bite qui sort de ton cul.
Jai ouvert la bouche et sorti ma langue pour nettoyer son gland recouvert de son foutre, je lai pris en bouche pour sucer et avaler, puis il menfonça sa bite à fond. Lautre me bourrait le cul, il était plus gros, je le sentais plus.
- Tu la sens ma bite, elle te fait du bien ?
- Ha oui je la sens elle est grosse oui cest bon jaime ta bite.
- Ouais mec tu préfères une bite dans ton cul que mettre la tienne dans la chatte de ta femme.
Les salops pourquoi ils me parlaient de ma femme, alors quils me défonçaient le cul, dentendre ça mexcitait encore plus, moi qui suis plutôt un hétéro dominant avec ma femme, jétais la en lope soumise à deux routiers inconnus, qui avaient utilisé ma bouche et mon cul pour y déverser leur foutre.
- Oui je préfère prendre ta grosse bite dans mon cul que de mettre la mienne dans la chatte de ma salope de femme.
- Si ta femme avait été avec toi on lui aurait montré la lope que tu es et on laurait baisé ta salope de femme avec nos grosses bites, pour lui montrer ce que cest des vrais hommes, pas des lopes comme toi son mari. On taurait fait cocu mec.
Jen pouvais plus sa bite dans mon cul, les mots quil disait jétais en transe.
- Oui oui vous lauriez baisée elle aussi devant moi avec vos grosses queues, je vous aurais regardé baiser ma femme, vous mauriez fait cocu et vous lauriez faite jouir.
Mon enculeur dans mon dos planta sa queue au fond et maspergea de son foutre, je jouissais moi aussi sur le sol sans mettre touché. Il sest retire et sest assis sur le banc.
- Putain mec tu mas bien vidé avec ton cul, cétait bon.
Javais du mal à me redressé, ma bite molle pendait avec un filer de foutre au bout du gland.
- Putain ta jouis mec sans te toucher.
Les deux routiers rigolaient en me regardant me rhabiller.
- Tu crois que tu vas pouvoir baiser ta femme ce soir en rentrant ? Tu penseras à nos queues dans ton cul, dommage quelle nétait pas avec toi, on sen serait chargé crois moi.
Javais honte, je leur ai dit en revoir et me suis dirigé vers ma voiture, ils retournaient à leur camion. En conduisant je repensais à ce quil venait de se passer jétais resté plus dune heure sur cette aire avec ces deux types, je les avais suce, avalé leur foutre, puis ils mavaient enculé chacun leur tour et avant rempli mon cul de foutre chaud. Javais mal au cul assis à conduire, je sentais que le foutre refluait tachant mon caleçon, jespère que ça ne traversais pas. Jai du marrêter sur une nouvelle aire.
Je suis allé dans les toilettes, je me suis enfermé dans une cabine jai baissé mon pantalon et mon caleçon, jai nettoyé le fond avec du papier. Puis je me suis essuyé lanus, il était très sensible, javais limpression quil était ouvert et ressorti, ça me faisait frissonner, jai jeté le papier souillé et jy ai passe mes doigts, javais limpression de sentir encore les deux bites, jenfonçais un doigt, ma bite sest raidi. Javais encore envie, je me suis redressé le front contre la cloison, les cuisses écartées, les doigts de la main gauche sur mon anus et ma bite dans la main droite, je me suis enfilé deux doigts bien profond alors que ma main branlait ma bite raide. Je ressortais mes doigts souillés de foutre de mon cul pour les lécher et les sucer avant de me les renfiler. Jai jouis rapidement en me mordant les lèvres pour ne pas gémir. Jai envoyé deux grosses giclées de foutre sur la cloison, comme un fou je me suis agenouiller pour lécher mon foutre qui dégoulinait sur la cloison. Jai tout bien nettoyé avec ma langue avalant mon propre foutre. Une fois calmé je me suis rhabillé et jai repris la route. Plusieurs fois mon anus à palpité dans mon caleçon avant darriver à destination.
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