Premier Week End À 2 (1/3)
Le vendredi soir marquait la fin des cours et la perspective dun week end mouvementé avec ma belle.
Nous nous retrouvâmes vers 18h30, puis nous partis en direction du centre ville afin de trouver un hôtel sympa pour passer le week end. Une fois dans la chambre, nous décidâmes daller prendre une douche ensemble. Une fois sous leau, je plaquais Marilou contre la paroi de la douche et me mit à lembrasser fougueusement. Mes mains parcouraient son corps et elle se trémoussait sous mes caresses. Lorsque ma main atteignit son entrejambe elle ne pût refreiner un soupir. Je caressais son clito et je sentais ses jambes se dérobaient sous elle. Malgré leau de la douche qui coulait, je pouvais sentir quelle mouillait très abondement. Jen profitais alors pour lui glisser 2 doigts au fond de sa petite chatte. Elle haletait :
« Hmmmmm
oui
cest bon
oui
continue
»
Je continuais encore quelques minutes puis je retirais mes doigts dun coup au moment où elle allait jouir. Elle émit un râle de frustration et tenta de venir se caresser. Je saisi sa main et vint lui plaquer les 2 mains contre la paroi.
« Tu ne jouiras que lorsque je laurai décidé. Je veux que tu sois excitée constamment durant la soirée et que ta petite chatte ne cesse de couler. Au retour tu me supplieras de te baiser » lui dis-je.
« Mmmmmmm » elle faisait la moue.
« Ne fais pas ta moue où tu risquerais de recevoir ta première fessée ».
« Daccord » dit elle en baissant les yeux. Puis elle tendit les lèvres pour quémander un baiser que je lui donné volontiers.
Une fois sortit de la douche, je lui dis :
« Montre moi un peu ce que contient ta garde robe que je choisisse ce que tu mettras pour sortir ce soir. »
Elle défit sa valise sur le lit. Elle possédait de très jolies jupes, des chemisiers, une robe assez courte, des ensembles de lingerie allant du plus sage au plus coquin, 2 porte-jarretelles avec les bas assortis ainsi quun bustier magnifique.
« Tu as oublié de me donner un string loulou ! » me dit-elle.
« Je nai pas oublié ! Ce soir je te veux accessible à tous moment donc tu ne porteras pas de string ».
« Mais
Mais
Rooo toi alors ! Quest ce que tu me fais faire ! »Dit elle en rougissant et en prenant le reste de ses vêtements.
Une fois habillés tous les deux, nous partîmes rejoindre dautre camarades de la promotion pour aller manger ensemble au restaurant puis sortir en boite de nuit. Dans la voiture, je demandais à Marilou décarter largement les cuisses afin que je puisse lui caresser le sexe. A peine posais-je la main dessus que je remarquais quil était toujours ruisselant. La situation lexcitait et je me disais à ce moment la que je pourrais aller bien plus loin avec elle.
Le repas se passât agréablement bien. Marilou était assise en face de moi et jen profitais parfois pour aller lui glissait mon pied entre les cuisses. Javais bien sûr pris soin de retirer ma chaussure et je frottais contre son clitoris avec mon orteil. A chaque fois que je faisais cela, je voyais son visage sempourprait et au bout de quelques instants je sentais le bout de ma chaussette shumidifiait. Je recommençai ce manège tout au long du repas.
Une fois sortie du restaurant je navais quun envie. Celle de baisait sauvagement la petite salope qui partageait désormais ma vie. Mais la soirée nétait pas terminée et il fallait que je me contienne encore pour pousser au maximum lenvie de sexe de Marilou et lobligeait à me supplier de la faire jouir.
Durant tout le trajet pour aller à la discothèque, soit environ 30 minutes de route, mes doigts ne quittaient pas son sexe. Elle se laissait parfois surprendre par une pénétration rapide de mes doigts et avait grande peine a refréner ses gémissements.
La soirée continua entremêlée de caresses furtives ou plus appuyées alors que nous dansions tous les deux, de baisers langoureux qui la faisait fondre de plus en plus et de doigts inquisiteurs qui venait jusquà caresser les pourtours de son anus, la faisant rougir à chaque fois.
Je lenvoyé parfois danser sur le podium pour mon plaisir mais aussi celui des garçons qui était au plus prés. En effet étant surélevée par rapport à eux, Marilou ne pouvait que difficilement cacher le fait quelle ne portait pas de culotte. Mais lorsque lun deux se faisait trop insistant, je partais au secours de ma belle et nous redescendions alors sur la piste pour danser ensemble.
Vers 4 heures du matin je lui dis :
« Vas aux toilettes et ramène moi ton soutif ! Je veux également que tu ouvres un bouton de plus sur ton chemisier ! »
Elle partit sans même chercher à protester et elle revînt quelques minutes plus tard avec le soutif dans la main. Soutif quelle allât déposer dans son sac avant de venir me rejoindre. Satisfait, je lenlaçais pour lembrasser tendrement puis glisser une main entre ses cuisses. Elle était littéralement trempée et de la mouille coulait même sur ses cuisses. A chaque caresses de ma part elle tressautait, elle était mûre à point et ne tarderait pas à jouir. Mais bien entendu, il nen était pas question. Je lui réservais bien dautres choses. Je décidais quil était temps que nous partions. Nous saluâmes nos amis puis nous repartîmes tous les 2, les autres rentrants plus tard en taxi. Au bout de quelques minutes de route et lorsque la voiture fût bien réchauffée, je lui dis :
« Déshabille toi entièrement et pose les pieds sur le tableau de bord. »
Elle sexécuta aussitôt sans même essayer de contester. Je passais tout le reste de la route à lui caresser le sexe sans trop insisté sur son clito car je la savais au bord de la jouissance.
« Tu tes déjà fait prendre par derrière ? »
« Non
» me dit elle gigotant
« Mais ceci ne me rebute pas et je sais que de toute façon si tu as envie de passer par là tu le feras
Je te demande juste daller doucement pour la première fois
»
Je la regardais en souriant puis je poussais encore un peu mon doigt pour y faire entrer la première phalange. Je la faisais bouger doucement en elle et je sentais son orifice se desserrait légèrement et jentendais sa respiration qui saccélérait.
Une fois arrivé sur le parking de lhôtel, je lui tendis son grand manteau noir et lui dit :
« Ne mets que ton manteau ça suffira largement pour aller jusquà la chambre ! »
Elle était super sexy ainsi et ma queue devenait plus quà létroit dans mon jean. Il était temps que nous arrivions en chambre car mes couilles me faisait mal dêtre si excitée.
A peine la porte de la chambre refermé je lui dis :
« A poil ma petite salope ! Et va tallonger sur le dos sur le lit »
Elle ne se fît pas prier et je la retrouvais bientôt nue sur le lit, attendant que je moccupe delle.
« Où as-tu mise tes menottes ? »
« Elles sont dans mon sac à main, dans létui en cuir ! ».
Je les récupérer ainsi que les miennes, je me déshabillai à lexception de mon boxer puis je vins la rejoindre sur le lit. Je pris son poignet droit, y passa une menotte que je vinsse fixer au montant droit du lit. Je fis de même avec son poignet gauche mais sur le montant gauche. Je pris ensuite 2 morceaux denviron 1 mètre de cordes descalade que javais dans mon sac et je men servis pour luis attacher les jambes écartées largement. Elle ne pouvait plus bougeait que la tête et moi javais tout pouvoirs sur elle. Sa chatte trahissait son état dexcitation car elle était luisante de mouille et quelques gouttes avaient même perlé sur le drap.
Je commençais par venir lembrasser tendrement sur la bouche, léchant ses lèvres, suçotant sa langue. Cela eut pour effet de la faire gigoter et se rendre compte quelle était belle et bien prisonnière. Durant ce baiser ma queue frottait allégrement entre ses cuisses et mon boxer devenait trempée de ses secrétions intimes. Ma bouche descendit alors dans son cou, puis continua son chemin en prenant soin déviter les parties sensibles de sa poitrine que sont les tétons et les mamelons. Je la sentais frustrée que je ne men occupe pas. Lorsque ma langue arriva au niveau de son nombril, elle se tendait dans ses liens. Je ny pris pas attention et ma langue continua jusquà son pubis que je couvrais de petit bisous. Puis je me plaçai entre ses cuisses et je regardais sa petite chatte complètement lisse. Ma queue était tendue à craquer dans mon boxer mais jarrivais encore à me maitriser. Elle sentait mon souffle chaud sur son clitoris et se tordait maintenant frénétiquement. Je lui donnais alors un coup de langue à cet endroit.
« Han ! »
Son corps se tendit et lorsque je retirais ma langue elle se mit à gigoter dans tous les sens pour amener son sexe au niveau de ma bouche. Mais elle était solidement attachée.
Un autre coup de langue.
« Han
Je ten pris
arrête
lèche moi ! Fais-moi du bien
»
« Demande le moi plus gentiment ! » lui di-je.
« Sil te plait ? » me dit elle en souriant.
Je lui assenais une gifle sur le sexe. Elle se tordit dans ses liens.
« Sois plus salope que ça ! Excite-moi un peu ! Car là je nai pas vraiment envie de te baiser ! » (Ce qui était bien sûr faux au vue de la tension palpable au niveau de mon bas ventre.)
«
» elle ne dit rien ! Je lui remis une claque sur son sexe qui eût comme leffet dun électrochoc.
« Han
Sil te plaît fais-moi jouir ! Baise-moi, lèche-moi, claque-moi la chatte, fais ce que tu veux mais fais-moi jouir ! Je nen peux plus
Fais jouir la salope que je suis pour toi ! Je ten pris ! »
Sa plaidoirie mavait satisfaite et jen avais profité pour retirer mon caleçon. Je mallongeai sur elle et sen prévenir lui enfoncer ma queue au plus profond de son sexe. Il ne lui en fallut pas plus pour venir dans un râle qui dû réveiller les voisins des 2 ou 3 chambres à coté.
« Hannnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn
ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Hmmmmmmmmmmmmmm »
Il ne men fallut pas beaucoup plus pour jouir en elle. Ma queue déversa une quantité de sperme impressionnante. Javais rarement jouie de la sorte.
Après un long et tendre baiser, je la détachais puis je la pris dans mes bras.
« Merci chéri, waow cétait fou ce soir
jamais je navais ressenti ça
bonne nuit mon beau. »
Je lembrassai sur le front puis nous nous endormîmes ainsi.
A SUIVRE.
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