Un Anniversaire, Ça Se Fête...
Hier. Notre anniversaire. Je roule vers toi. Tu ne réponds pas à mes SMS. Tu téloignes de plus en plus. Tu me manques. Ton corps me manque. Je veux te retrouver, me rapprocher. Depuis le début, jaime faire lamour avec toi. Tes caresses, ta langue experte, ta belle queue
jadore. Mais depuis quelques temps, jai envie de passer à autre chose, davancer, daller plus loin. Jai envie que tu me baises. Envie de sexe. Message* : une photo très suggestive du body en résille noir que je porte. Pas de réponse. Message* : Dans pas longtemps, je te prends en bouche et je te gâte. Pas de réponse. Je suis inquiète, jai peur de ne pas te retrouver sur ce terrain. Pour me rassurer, jéchange des SMS avec un homme, un ami, qui mexcite beaucoup. Je lui explique ma tenue, mon programme : fellation dès lentrée, moi à genoux, jean baissé pour quil ait une belle vue sur mon cul pendant que je le suce
Il me répond fantasme, soumission, érection, fessée, je mouille et me balance sur mon siège, accrochée au volant. Léchange se finit devant chez mon homme. Et rien ne se passe comme je lavais prévu !
Quand jentre, il est dans la cuisine, il fait la vaisselle. Le salon, cest la guerre, javais oublié quil faisait des travaux. Impossible de se mettre à genoux, des gravats partout ! Je lembrasse goulument, le regard lubrique, il me regarde étonné. Et il me propose une pizza ! Après une seconde dhésitation
Non, jai faim mais pas de bouffe : de toi, de ta queue. Je le prends par la main et lentraîne dans la chambre. Je vire mon pull, déboutonne mon jean, lui tourne le dos, découvre mon cul sous la fine résille noire
Il est debout, stupéfait. Je mapproche, souriante et provocatrice, lui fourre la langue dans sa belle bouche et déboucle sa ceinture, ne bouge pas. Une fois débarrassée de son fut, je reste à genoux et enfourne son sexe déjà raide dans ma bouche gourmande. Faut vous dire, jadore le sucer. Je men donne à cur joie, ma langue court, je prends ses couilles bien pleines dans ma bouche, je le pompe, je le titille, je le goûte et il profite.
Au bout dun long moment, je sens quil va jouir, mes mains prennent le relais, et je lui donne le pouvoir : Fais de moi ce que tu veux, prends ce que tu veux, comme tu veux, dans le sens où tu veux. Je mallonge sur le lit et lincite : si tu en as envie, tu peux commencer par baiser ma bouche. Une seconde de stupéfaction, dhésitation. Une seconde. Pas plus. Et tout bascule. Il sinstalle à cheval sur moi, enfile sa verge dans ma bouche qui lattend, ouverte. Son mouvement, lent au départ, accélère, ses coups de rein prennent de lampleur, sa bite tape le fond de ma gorge, ses couilles claquent sur mon menton, je le regarde dans les yeux, son regard passe du mien à sa queue qui disparait dans ma bouche
Mon excitation est intense, jaime quil mutilise comme ça, je suis secouée comme un prunier, par moment jai du mal à respirer mais jaime ça, cette impression dêtre une bonne salope, une vraie débauchée, sa pute. Encore quelques coups de rein, il vient, je sens ma bouche se remplir de jets brulants, longs et puissants, il balance la sauce, il me donne à boire son jus, je ne laisse rien séchapper, je lèche sa queue et récupère la moindre goutte de son sperme, je le lèche et il recommence déjà à bander. Il sassoit à coté de moi, me retire sa queue de la bouche. Puis il commande : viens là, allonge-toi à cheval sur moi, là en travers. Une fois en place, je comprends ce quil veut, je me tends un peu, inquiète. Il me caresse les fesses, me dit comme jai un beau cul, que la résille le rend encore plus beau, que cela devrait être interdit dêtre aussi bandante
Et le premier coup tombe, une claque brutale qui me fait crier, de douleur et de surprise, une autre, et puis la suite rythmée sans arrêt, je crie, jessaye de bouger mais il me maintient fermement, et la fessée continue
et je jouis intensément, des vagues de plaisir me submergent, les caresses reprennent. Il me sourit doucement et constate : tu aimes ça. Puis il glisse sa main entre mes jambes, cherche les pressions et clac clac clac ouverture du body.
Il fourre ses doigts dans ma chatte et me les donne à lécher. Sur son ordre je me relève, et je me place selon son désir, à quatre pattes, jambes écartées. Il sinstalle derrière moi, glisse ses doigts, deux dabord, puis trois, il me masturbe et ses gestes précis me ravissent, je sens quil étale mon humidité vers le haut, je nen peux plus de désir, il prend son temps, et quand je lui demande prends-moi, encule-moi il menvoie une claque et me rappelle les règles du jeu tais-toi, obéis. Et jaime ça. Lui obéir, être sa chose. Il me demande décarter mes fesses, jobéis. Plus écartées. Ok. Il continue ma préparation en prenant son temps, il va et vient dans mon sexe trempé, il va et vient entre ma chatte et mon petit trou, il y met un doigt, puis deux, il lécarte, le détend, lassoupli, lentement. Je nen peux plus dattendre mais je me tais, soumise, docile. Puis, plus rien. Il ne me touche plus. Jattends. Je lentends se déplacer mais je ne bouge pas, ne tourne pas la tête, jaime être soumise. Il sort de la chambre et quand il revient, il murmure : redresse-toi, à genoux. Ferme les yeux. Je mexécute. Il dégage mes seins encore couverts par le body, att un téton, tire dessus et quand je pense que la douleur est à son maximum, je sens un pincement violent je baisse les yeux et découvre stupéfaite une pince à linge enserrant mon mamelon, jai le souffle court mais ne dis mot. La douleur se dissipe lentement, et le mamelon devient dur et gonflé. Lautre sein maintenant. Une autre pince. La douleur, le gonflement. Et il prend des photos. Il me dit quil les mettra sur un site de cul. Il me repousse à quatre pattes et le mouvement fait bouger les pinces et la douleur
Il me demande de me cambrer encore plus, de bien écarter mes fesses rougies, de bien exposer la salle de jeu pour la photo, pour que dautres que lui puissent se branler sur moi. Et jaime son pouvoir. Et je me tais. Il sassied à nouveau et me demande de venir massoir sur lui, de dos. Il précise vise bien ma chérie, jai envie dêtre serré.
Alors je viens me poser à genoux devant lui en lui tournant le dos, les cuisses bien écartées et je descends lentement, une main guidant sa verge, lautre ouvrant mon cul, je menfonce doucement, je mempale sur lui, comme il le veut. Je commence à monter et descendre, jaccélère un peu, à chaque descente je menfonce un peu plus sur son énorme queue, je membroche. A chaque mouvement, les pinces sur mes tétons bougent. Il en profite pour libérer mes seins, les caresse, mes tétons sont tellement gonflés et durs, cest fou, il les tourne et les repince, la douleur encore, je perds le rythme, il menvoie une grande claque sur la cuisse pour me remotiver, je reprends mon balancement, quand il se lasse de mes seins il bascule vers lavant, sa queue toujours plantée dans mon petit trou (qui ne doit plus être si petit !) la douleur est fulgurante, il senfonce tellement en moi que je hurle. A nouveau en levrette, il me coince dans le coin du mur, la tête dans loreiller, att mes cheveux dune main, et me baise le cul comme jamais, me claquant la cuisse de lautre main, je crois mourir mais je jouis encore
Et quand il me remplit, sa jouissance est si forte quil crie comme jamais avant. Il tombe sur le coté me laisse le cul en lair défoncé et dégoulinant de son jus, je ne peux plus bouger, épuisée par ces jeux, endolorie et heureuse. Je mendors en boule dans le coin du mur, poisseuse, la peau rougie, les tétons, la vulve et le rectum en très mauvais état, Je mendors sans bouger, en rond comme une chienne. La prochaine fois que lui proposerai de jouer à « Prends le pouvoir » je sais à quoi mattendre. Jespère le revoir dans 4 jours
PS : il a reçu mes SMS* le lendemain matin.
admin
Jan. 31, 2023
385 views
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!