Coiffeuse À Domicile
Je vous ai parlé lors de mes premiers récits, du plaisir des salons de coiffure mixte. En principe les femmes coiffent les femmes, et les hommes les hommes, mais en cas de bourre d'un côté ou autre on peut arriver à du vrai mixte. C'est ainsi que j'ai connu Claire, cette salope de lesbienne qui rêvait de bouffer de bonnes chattes tout en se faisant casser le cul par de grosses bites inconnues et passagères. Je me suis éclaté avec elle et mes copains et copines, mais elle a malheureusement disparu du jour au lendemain, pour un autre employeur sans doute. J'ai continué à fréquenter le salon, mais les coiffeuses à mon intention étaient rares, voire inexistantes.
J'ai alors cherché un autre coiffeur, et ai découvert la perle des perles; un coiffeur mixte où il n'y a que des employées, employées "é" "e" "s", que des filles. J'y vais à chaque fois avec excitation, sachant que je pourrais me rincer l'il à voir ces belles femmes, pour la plupart, évoluer autour de leurs clients(es), et aussi parfois de très jolies clientes.
Lors des cinq premières fois j'ai eu à faire à trois coiffeuses différentes, dont trois fois la même. Elle est jeune, entre 25 et 30 ans, charmante et très agréable; je plaisante avec elle, et elle participe avec le sourire. Je lui dis alors que j'aimerai bien l'avoir à chaque fois, et elle me répond qu'il n'y a pas de problème, que c'est habituel que les clients(es) souhaitent la même personne, et qu'il me suffit de la demander, de demander "EVA".
Ca me semble bizarre comme prénom, sans doute un pseudo, mais peu importe. Je me fais alors coiffer systématiquement par elle, et il y un lien qui se fait entre nous, pour moi c'est sûr et j'ose croire que pour elle aussi. On plaisante toujours, des plaisanteries de plus en plus osées de ma part, et dans lesquelles elle me suit avec amusement. On parle aussi de nos vies privées et elle se dévoile en toute impudeur; je sais ainsi qu'elle est mariée, que c'est son troisième petit ami, et qui a été le bon, et qu'au niveau sexuel tout va bien.
Plusieurs mois qu'elle me coupe les cheveux, et je me suis autorisé à lui faire la bise et à la tutoyer. Elle accepte cette familiarité comme une chose normale, il est vrai que j'ai l'âge d'être son père.
Lors d'une visite, je crois discerner quelques rondeurs, et lui en fait part. Elle me dit alors qu'elle est enceinte, et je la félicite pour cette bonne nouvelle. Les mois passent, et elle est de plus en plus ronde à chaque fois, de plus en plus belle. Elle a maintenant son ventre si proéminant, qu'elle me coiffe les bras tendus. Je lui sors alors une de mes plaisanteries à la con, et qu'elle feint d'apprécier en bonne commerçante:
- Tu es bien avec la patronne j'espère?
- Oui, mais elle est où la blague, là je n'ai pas saisi.
- C'est que ce serait bien que tu aies le bras long, sinon la prochaine fois tu vas me coiffer dans le vide!
- Lol, trop drôle.
- Ah, tu n'apprécies plus mon humour?
- Mais oui, rassurez vous, c'était bien trouvé. Mais j'ai le droit de vous faire marcher moi aussi.
- Ok, un à un. Mais plus sérieusement si tu veux te rapprocher et me toucher avec ton joli ventre, tu peux, je te promets de ne pas porter plainte.
- Vous êtes un coquin, mais vous avez raison, j'ai les bras qui fatiguent.
Elle s'avance alors vers moi, et n'hésite pas à se plaquer contre moi pour reposer ses bras. Je voudrais lui dire comme c'est bon de la sentir se frotter à moi, mais je passe à autre chose pour ne pas la choquer.
Elle est maintenant proche de son congé maternité, c'est ma dernière fois, et je lui dit, avec une tristesse réelle, que ce n'est pas gentil de m'abandonner et que je vais être perdu sans elle. Elle me répond qu'il y a ses collègues qui sauront bien s'occuper de moi. Je lui dit que ce n'est pas pareil, et que je vais faire la grève du coiffeur jusqu'à son retour, et me les tailler moi même s'ils me gênent. Elle me sermonne comme un , mais je m'entête dans ma décision, lui disant que c'est elle ou personne.
Elle me propose alors une solution. Il lui arrive de coiffer chez elle, uniquement des membres de sa famille, et elle veut bien faire une exception pour moi, parce qu'elle m'aime bien et qu'elle n'ose m'imaginer avec des cheveux longs, ou mal taillés. Je la remercie, lui disant qu'elle ne peut savoir à quel point elle me fait plaisir.
On est en caisse, et elle s'assure d'avoir mon téléphone dans son ordinateur. Elle me propose de m'appeler dans un mois, entre midi et deux, pour fixer un rendez-vous. Je lui laisse un pourboire plus généreux qu'à l'habitude, et lui fait deux tendres bises en la remerciant chaleureusement.
Vingt-six jours plus tard (je les ai comptés) je reçois son appel pour un rendez vous:
- ..............................
- .....................................
- Je vous appelle comme promis, mais je vous préviens ce ne sera pas possible un samedi à cause de mon mari qui pourrait ne pas apprécier votre présence. En semaine, la semaine prochaine, ça vous va?
- Oui, pas de problème. Lundi si tu veux, ou un autre jour. Tu veux que je vienne à quelle heure?
- Entre 10h et11h, ça vous va?
- L'après midi, ce n'est pas possible? Je vais prendre une demi journée en RTT, et j'aime autant bosser le matin. Il rentre à quel heure ton mari?
- Pas avant 18h, mais je fais la sieste après le repas, et me réveille à des heures irrégulières. Bon, mais ok, je mettrais le réveil. 15h, ça vous convient?
-Oui, mais je ne veux pas t'empêcher de te reposer. Si tu veux je peux venir plus tôt, et faire la sieste avec toi. Comme ça je serais là à ton réveil.
Elle éclate de rire:
- Ah, et bien vous, vous ne manquez pas d'air. Je note 15h, lundi, vous êtes d'accord?
- Oui..................................
- .............................
Le lendemain elle me rappelle:
- Je suis désolée, mais ça ne pas être possible la semaine prochaine. Vous voulez bien qu'on reporte de huit jours?
- Oui, mais tu ne me poses pas un nouveau lapin?
- Vous n'êtes pas gentil.
- Excuse moi Eva, je ne voulais pas te fâcher. Donc je note, lundi en huit, à 13h pour la sieste.
- Vous êtes incorrigible, mais si ça doit vraiment vous faire plaisir, et pour me faire pardonner de mon report, je veux bien. Mais en tout bien, tout honneur.
- Bien sûr ma chérie, je suis trop vieux pour espérer autre chose.
- Ne dites pas de bêtises, vous êtes très bien. Bon, je vous laisse, à lundi à 13h, je vous attend. Bisous.
- Bisous Eva, et merci; à bientôt.
Le jour est enfin venu, et elle referme la porte derrière moi. Je la prends dans mes bras pour lui faire deux grosses bises, puis m'écarte pour la regarder:
- Ca me fait plaisir de te revoir. Tu es en pleine(s) forme(s), autant au singulier qu'au pluriel.
- C'est pas gentil de vous moquer de moi.
- Mais je ne me moque pas ma puce, tu es très belle, et tu es enfin habillée en fille.
- En fille! comment ça?
- Et bien oui, quand je viens au salon tu es toujours en pantalon; c'est la première fois que je te vois en robe, et tu es ravissante.
- Merci. Elle n'est pas très jolie ma robe, mais pour rester chez moi ça va. Je ne supporte plus grand chose avec mon ventre, même pas le vestiaire soi disant spécial grossesse. C'est tout juste si je supporte les culottes.
- Oh, pour ça il y a une solution, il suffit de ne pas en mettre.
- Mais ce c'est ce que je fais parfois.
Ah, et en ce moment tu es comment?
Elle refuse de me répondre, me disant que je suis trop curieux, et m'emmène au salon pour m'offrir un café tandis qu'elle se sert une tisane.
Je lui délivre alors une de mes blagues, archi connue, et que l'on se raconte au primaire ( C'est un gars qui dit à son copain: ta femme, elle ne porte pas de culotte - Ah, et qui t'a dit ça? - Mon petit doigt)
- Vous rigolez, mais il y a des filles qui aiment çà.
- Qui aiment quoi?
- Qu'on leur mette la main.
- Ah bon, parce qu'il y a une technique?
- Oui, en général ça se passe dans les métros. Il y des femmes qui y vont en mini jupe, avec parfois rien dessous, dans l'espoir de se faire fouiller.
- Si elles aiment ça pourquoi pas. Et puis ça doit être agréable, si c'est bien fait. Qu'est ce que tu en penses?
- Oui possible, mais de toute façon il n'y a pas de métro ici.
- Mais on doit pouvoir le faire ailleurs qu'en métro.
- Vous essaierez puis vous me direz. Mais ne vous étonnez pas si vous recevez une baffe! Bon, assez plaisanté, vous finissez votre café, et on va se coucher?
Je la suis dans la chambre, et elle ouvre le lit. Je suis surpris, pensais qu'on allait s'allonger dessus tout habillé, mais elle aime faire la sieste sous le drap, et en petite tenue. Elle me fait me tourner et fermer les yeux le temps qu'elle se change, puis me dit qu'elle est prête. Je suis un peu embarrassé:
- Et moi je fais quoi? Je m'allonge habillé sur le lit, ou je te rejoins sous le drap?
- C'est vous qui voyez, vous êtes un grand garçon. Je vous rappelle quand même que vous avez insisté pour venir de bonne heure. Mais dépêchez vous parce que je vais éteindre.
Elle se met sur le côté, me tourne le dos, et j'ai vite fait de prendre ma décision. Je me met en slip et la rejoint; la lumière s'éteint. Je viens contre elle, me penche sur elle pour lui faire une bise et lui souhaiter une bonne sieste. En même temps ma main s'est posée sur son flan, et elle ne semble pas s'en offusquer.
- Elle est douce ta chemise, c'est de la soie?
- Oui, c'est un cadeau de mon mari, une nuisette très large et que je peux encore mettre.
- Ouah, il ne se fout pas de toi, il te gâte.
- Sans doute que je le vaux bien, et puis il aime me voir en tenue sexy.
- Et tu as les dessous assortis, ou tu ne portes rien?
- Demandez à votre petit doigt.
- Bonne idée, et il y même ta méthode groping qui doit être plus efficace; mais je ne voudrais pas me prendre une tarte.
- Il faut savoir prendre des risques dans la vie.
Je vois là une invitation à passer à l'acte, et je cesse de discuter, pour la caresser. Ma main va et vient sur son corps, avec des mouvements tendres et lents, de plus en plus amples. Je vais du dessous de son bras en effleurant son sein, jusqu'au bas de sa hanche. Elle ne porte rien, c'est sûr, mais puisqu'elle me laisse faire, je continue mon examen.
Je descend sur sa cuisse que sa petite nuisette ne recouvre pas. Je remonte sur sa hanche, relevant sa fine protection. Je redescend sur sa peau nue et glisse ma main sur ses fesses. Je m'arrête quelques secondes par peur de sa réaction, mais son silence vaut acceptation. Je caresse ses miches, puis mes doigts s'enfoncent entre ses cuisses, jusqu'à sa chatte. Je caresse ses lèvres, sa fente, sans la pénétrer. Elle est déjà mouillée, et je sens son souffle qui s'accélère.
Je retire ma main pour la passer par dessus elle, sous son ventre, et la caresser de face. Je me suis rapproché d'elle, collé à elle:
- Oh, Eva, tu me fais bander ma chérie.
- Merci pour l'info, mais je m'en étais rendu compte. Je la sens bien votre queue, même à travers votre slip.
Je m'écarte alors et cesse de la toucher:
- Ne bouge pas ma puce, je vais l'enlever, et tu vas encore mieux la sentir.
Je reviens me frotter à elle, et caresser sa chatte:
- C'est bon de caresser ton minou, et toi elle te plait ma queue contre toi.
- Oui, elle est chaude et bien dure, et puis elle a l'air grosse.
Je prend sa main pour venir la poser sur mon sexe:
- Tiens, caresse là, tu verras mieux comment elle est.
Elle enserre mon manche dans sa douce main, et me masturbe délicatement.
On passe un petit moment à échanger nos caresses, sans un bruit, sinon nos respirations haletantes et nos soupirs.
A suivre.......................
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