Famille Recomposée... Décomposée !

De nos jours les familles recomposées sont monnaie courante, maintenant ce sont les ados toujours avec leurs parents ‘ d’origine ‘ qui sont montrés du doigt, moi, Fabien dix huit ans n’échappe pas à la règle :

Ma mère s’est cassée en Afrique, je suis donc resté avec mon père qui vient de se mettre en ménage avec Éva une femme de trente cinq ans , il en a quarante neuf , cette femme a une fille , Célia, qui a bientôt dix huit ans , bonne aubaine me direz vous ? ouais, surtout qu’elle est jolie, filiforme, bien sous tous les angles , mais ce n’est pas elle qui me fait kiffer, c’est sa mère ! D’allure féline dans un slim qui la moule de partout … surtout là où il faut, dès son arrivée elle m’a mis en garde :
- Fabien je me doute qu’une relation peut avoir lieu avec toi et Célia, si ça doit arriver nous n’y pouvons rien, je ne te demande qu’une chose c’est de te protéger, Célia ne prend pas encore la pilule et est encore vierge.
- Raison de plus pour que je la laisse tranquille, rassurez vous ce n’est pas elle que je kiffe …c’est vous !
- Fabien ! tu es mignon mais je suis avec ton père ne l’oublie pas !
- A moins qu’avec mes copains nous faisions l’éducation de Célia ? ……..
- Tu es fou Fabien ?
- Et si c’est elle qui me le demande ?
- Bon cette conversation a assez duré...
Je me suis mis à la recherche des petites culottes usagées d’Éva et après m’être enivré de son odeur intime j’y suis allé au culot : je lui ai envoyé un texto :
- Si tu cherches ta petite culotte elle est sous mon oreiller, la clé de ma porte de chambre est cachée dans le tiroir de la salle de bain, je veux que tu la remplaces par une bien ‘parfumée’ tous les jours...
Je n’ai pas de scrupules direz vous ? Avant qu’elle n’arrive à la maison mon père m’a parlé :
- Tu sais fiston je vais me mettre en ménage avec une femme dans le besoin, bien que j’ai toujours ta mère dans la peau, à mon âge j’ai besoin d’une présence féminine, si elle me trompait je crois que je passerai l’éponge pour la garder.

J’ai reçu une réponse à mon texto ….
- Fabien si tu continues je vais parler à ton père…
Je dois casser sa résistance …..
- Comme tu veux, ce soir je vais regarder un film avec Célia dans ma chambre !
Bingo ! Le lendemain un string odorant m’attend, cette fois je me suis masturbé dedans, en prime j’ai envoyé une photo prise à bout de bras du bas de ma personne en boxer zébré par une barre significative, j’ai eu une réponse … la même d’elle : son slim ouvert sur un string blanc, putain je touche au but !
Dans la journée Éva me jette de regards appuyés mais quels sens ont-ils ? Le soir dans ma chambre je reprends une photo, cette fois de mon sexe à l’air en pleine érection, une demie heure plus tard un bip sur mon portable …
Une photo d’Eva, de son nombril à ses genoux ouverts, entre eux une toison brune j’aperçois des lèvres brillantes, le string sous mon oreiller en prend une deuxième couche !
Celui que je découvre le lendemain soir et amidonné de cyprine encore fraiche, un mot est joint ….
- Ton père part pour six jours la semaine prochaine … en attendant ne me contacte plus.
Mais c’était sans compter sur la présence de la fille ……
- Fabien tu peux m’aider à faire mes maths ? -

- Bien sûr Célia, suit moi...

Célia est en pyjama, ses seins pointus voutent la veste fine, je lui laisse mon tabouret et me penche au dessus d’elle une main sur son épaule gauche, mon regard cherche la faille de sa gorge, ses tétons pointent sur des seins bien ronds, mon sexe est au milieu de son dos, bloqué par mes vêtements, heureusement car il prend de l’embonpoint .
- Fabien ? je peux te poser une question ?
- Vas-y ?
- Tu sors avec une fille en ce moment ?
- Non pourquoi ? et toi ?
- Boff seulement un flirt sans importance, il est trop jeune, il n’ose même pas m’embrasser !
- Tu aimes quand on t’embrasse ?
- Oh oui c’est chouette de se prendre pour une actrice de cinéma dans le bras de son héros !
Sans un mot je me penche sur elle, elle tourne la tête et nos lèvres se joignent. Ma langue force sa bouche, elle répond timidement puis se relève pour m’enlacer, ses seins durs appuient sur mon torse, ma jambe se fraye un passage entre les siennes qui s’ouvrent sans restriction
- CELIA ? FABIEN ? ON VA DINER !
- Zut ! ce soir je laisse ma porte de chambre ouverte jusqu’à minuit…
- Je … je ne sais pas si je viendrai Fabien …..
- A minuit tout le monde dort, c’est simplement pour parler.
A minuit pile ma porte de chambre s’ouvre, j’ai laissé une veilleuse qui diffuse une pénombre complice, je suis allongé sur mon lit en caleçon, Célia est vêtue de son inséparable pyjama :
- Je ne reste pas longtemps, de quoi veux tu que nous parlions ?
- Allonge-toi à coté de moi.
- Je te préviens je ne couche pas.
- Où en es tu sexuellement ?
- Ben je suis encore vierge … je ne connais pas grand-chose sur le fonctionnement de l’homme.
- Tu n’as jamais vu ni touchée de queue ?
- Vue si, vite fait quand des cons se masturbent quand ils nous voient arriver dans des coins déserts mais de prés non.
- Ça te plairait de voir comment ça marche ?
- …… euh oui...
- Alors passe ta main dans la fente de mon caleçon, ma bite est au repos, tu vas la sentir grossir dans ta main.
- J’ai les chocottes !
- Va y ça mord pas …..
La fine menotte entre par la fente de mon vêtement, ma queue est lovée sur elle-même...
- Oh c’est tout p’tit ! c’est doux comme un petit oiseau parmi tes poils …. Houlà ça grossit dans ma main, ça s’échappe ! ouah !!!
- Sort-la vite.
- j’peux plus ! la fente n’est pas assez grande, dommage.
- Je vais ôter mon caleçon, n’ai pas peur je ne vais pas te violer, lâche ma queue une seconde.….
Mon membre pointe vers le plafond sous le regard ébahis de Célia :
- Tu peux la reprendre en main.
- Dit donc, elle a doublé de volume ! ce n’est pas aussi doux qu’au repos mais la peau est veloutée, c’est le gland qui pointe son nez ?
- Oui tu veux le voir en entier ? tire sur la peau ……
- ……. Ça ressemble à un champignon, c’est normal ces grosses veines bleues ?
- Oui, elles font du bien au vagin de la femme quand ça coulisse dedans, dessous y’a comme un gros tube, c’est par là qu’arrive le sperme.
- J’ai bien fait de venir, j’ai déjà appris pleins de trucs, et dessous ? Ce sont les couilles je suppose ?
- Oui prend les dans ta main, tu va sentir les glandes.
- Oh ça se sauve !
- Malaxe les, j’aime ça.
- Tu vas décharger ?
- Peut être, tu veux assister ?
- Pourquoi pas !
- Ok mais montre moi ta choupinette avant, de quelle couleur sont tes poils ?
Sans hésiter Célia fait glisser son pantalon de pyjama, son mont de vénus et ses grandes lèvres sont tapissés de poils blonds.
- Tu me laisses voir de plus prés ? écarte les cuisses vers la lumière, je peux toucher ?
- Oui mais n’enfonce pas tes doigts.
- je n’suis pas con quand même …. Je vais ouvrir ta fente … huuuuummmmm tu mouilles hein ?
- Oui c’est la faute à ta quéquette !
- T’appelles ça une quéquette ? un gros zob oui ! si je te la mettais tu la sentirais passer ma belle !
- Pas maintenant mais je vais y réfléchir, comment trouves tu mon clitoris ? il est petit non ?
- Attend …. Offf il est bien je trouve … je vais passer mon doigt mouillé dessus …
- HOULA !
- Chuuuuuuuuut je t’ai fait mal ?
- Non au contraire mais j’ai été surprise.
- Tu veux jouir ? j’ai une idée, je vais passer mon gland dessus, c’est plus doux que mon doigt, je ne l’enfonce pas dans ta chatte juré.
- Alors vas-y …
- Soulève ton cul et pose le sur mes genoux … c’est à bonne hauteur, je vais me servir de ma queue comme d’un pinceau …..un peu de mouille à l’entrée de ta moule et voilà ….
- Hou houh houh ooooooooohhhhhhh oooouuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiii, fait la glisser sur toute ma fente … huuuuuuuummmmmmmmmmm c’est comme si on baisait !
Je fais un effort surhumain pour ne pas obliquer ma queue vers la faille, encastré entre les lèvres lippues recouvertes de poils gluants je bouscule le clito à chaque passage, Célia se tord de plaisir, elle est mûre pour une bonne jouissance, sa moule transpire de plus en plus de sécrétion, pour ma part je lâche tout dans sa toison.
- Voilà maintenant file dans ta chambre !
- Tu serais d’accord pour me dépuceler ? je ne t’impose pas de t’afficher avec moi en ville, je veux simplement profiter de ton savoir faire.
- Si tu veux, surtout que je vais surement me perfectionner avec une femme mûre !
- Ah qui est- ce ?
- C’est un secret !
- Bon je vais tarabuster ma mère pour avoir la pilule, je file dans ma chambre pour me masturber avec ton foutre salut !
Ça n’a pas manqué, le lendemain Éva me coince….
- Tu y es pour quelque chose dans la demande de ma fille pour la pilule ?
- NON ! pourquoi ?
- Bizarrement elle est pressée de la prendre et m’assure qu’elle n’a pas de petit copain, bref, si elle a décidé de le faire avec toi je m’en fous mais je veux m’assurer que tu es a la hauteur, demain matin ton père s’en va pour six jours et Célia va passer le weekend chez son père nous serons donc seuls….
- CHOUETTE ! Je t’attends dans ma chambre dés qu’ils seront partis.
Le lendemain je suis nerveux, mon père vient de partir et Célia aussi, je vais dans ma chambre et attend nu sous le drap, dans l’encadrement de la porte Éva apparait dans un déshabillé vaporeux, je distingue ses seins et sa toison brune
- Tu es si timide que ça pour te cacher ?
- Oh non ! tient regarde …
- Oh la belle verge ! bon, ça démarre bien tu es mieux membré que ton père ! règle numéro un, c’est l’homme qui fait des avances pour échauffer la femme, comment t’y prends tu ?
- Hé bien je la fait coucher et commence par l’embrasser en caressant d’abord ses seins par-dessus le tissu...
Éva s’allonge les bras le long du corps et les jambes serrées, je me penche au dessus d’elle, pose mes lèvres sur les siennes, sa bouche s’entrouvre et sans hésiter j’y plonge ma langue, fougueusement. Elle répond à mon baiser, ma main serre son sein plus volumineux que ceux de sa fille, ses genoux remontent, la nuisette glisse sur les cuisses, ma jambe cherche à s’introduire entre les deux siennes, mon genou laboure sa motte, ma queue raide pèse sur son flanc, sa main s’en empare pour retrousser la peau derrière le gland, pourvu que je ne décharge pas trop vite …..
- Muuuuummm bouffe moi la chatte ….
D’un mouvement rageur elle fait valser son vêtement et s’allonge, impudique, je me glisse entre le compas ouvert, mes deux pouces séparent les lèvres luisantes je reconnais le parfum qui polluait ses petites culottes, ma langue s’enfonce avidement dans le puits odorant, ses gémissements m’encouragent, mes doigts entrent en action, elle s’offre totalement, je dévie sur son œillet plissé pour tester son envie :
- Petit salaud tu t’y prends bien, mais je te déconseille de faire ça à une vierge tu vas l’effaroucher, va y enfonce tes doigts dans mon fondement j’y suis habituée.
Dés lors je me déchaine sur ses deux trous, je la maintiens de force, son jus coule jusqu’à mon poignet, je lui arrache une formidable jouissance... Une fois l’orage passé elle reste inerte, je me positionne à cheval sur sa poitrine, mon membre bien calé entre ses seins que je resserre formant ainsi un fourreau à masturbation, Éva se saisit d’un oreiller qu’elle positionne sous sa tête :
- Merci pour cet orgasme ! Avance un peu, baise moi la bouche.
- Je vais te laver les amygdales salope !
- Oui insulte moi je suis ta pute !
- Les pouffiasses de ton espèce je leur défonce la chatte avant de les enculer.
- HOOOOOO OOOOOUUUUIIIIIIIII
- Pour l’instant avale çaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa hhhhaaaaaaaaaaaa
Elle me pompe jusqu’à ce que mon sperme soit tari ...
- Viens entre mes cuisses Fabien...
La vue de ce vagin de femme expérimentée aux poils collés par la mouille m’excite, pas de positions farfelues je veux sentir pleinement les réactions engendrées par les frottements de ma queue, Éva me ceinture avec ses longues jambes tandis que je m’enfonce dans les profondeurs de son vagin, ses bras en colliers autour de mon cou nous communions pleinement.
Rien à voir avec les quelques minettes que j’ai baisées vite fait, ses muscles vaginaux se resserrent étreignant ma queue qui coulisse avec peine, ça doit être ça faire l’amour ….Éva soupire d’aise je me concentre en dirigeant ma queue vers les points qui lui arrachent le plus de soupirs, je découvre que ce n’est pas en gesticulant au maximum qu’une femme apprécie une queue.
- Fabiiieeeennnnnn ! c’est merveilleux, tu sais travailler une vulve comme un dieu, continue comme ça, prend ton temps, je vais jouir très vite …. Pendant ma jouissance change de trou …..
- Oui Éva, je vais te sodomiser, je te ferais don de ma semence dans ton boyau !
- Oui chéri, tu vas faire un très bon amant pour ma fille, elle se souviendra de sa première fois comme d’un moment intense...