Ma Toute Toute Première Fois.

Je m’appelle Karl, j’habite au Tampon, à l’île de la Réunion, j’ai 28 ans et suis marié. Je ne me voyais pas attiré par les hommes jusqu’à cette première fois et pourtant j’aime toujours ma femme autant voire plus qu’avant. Mon aventure remonte à il y a un an quand j’ai emmené un copain en stop, Pascal qui se trouve être mon filleul (vente de produits de soin du corps en marketing de réseau).

Depuis quelque temps, en regardant les films pornos (eh oui je suis pourtant marié mais ma femme n’est pas très portée sur la chose et hors de question pour moi d’aller en voir une autre), j’ai commencé par être attiré par le sexe de ces hommes bien montés surtout comparés à moi avec mon p’ti 12 cm. Il m’est arrivé de me branler en pensant être en train de sucer une belle queue bien dure et à avaler tout le sperme des belles couilles.

Donc ce fameux jour, j’ai prétexté au bureau que je devais aller chez le médecin à cause d’une gastro, j’ai alors quitté à 14h00 au lieu de 18h00. Sur ma route, je croise Pascal qui fait du stop, je m’arrête et lui fais signe de monter. Pascal est rouquin, 1m75 pour 70 kg environ mais pas attirant à mon gout. Mais bref, il s’est passé un élément déclencheur ce fameux jour. Je lui demandais où est-ce qu’il partait et pourquoi il faisait du stop. Il m’a avoué que sa copine l’a largué pour une meuf et que sa caisse était au garage. Il rentrait donc chez lui à la Plaine des Palmistes (1).

- Karl, tu sais me faire larguer par ma meuf, c’est dur à avaler.
- J’imagine lui dis-je.
- Tu sais le plus dur c’est quand t’apprend qu’elle te quitte pour une nana. Ça me rend dingue. J’aurais mieux accepté si c’était un mec au moins je pourrais me dire qu’il avait quelque chose de mieux que moi.

Je le regarde et souris. Ben, peut être que Pascal n’était pas un bon coup au pieu avec sa meuf, peut-être qu’il n’était pas monté comme un âne.

- Tu sais Pascal, on sait pas ce qui passe par la tête des gens, peut-être qu’elle veut juste découvrir autre chose et elle va certainement venir te rejoindre, et qui sait peut-être qu’elle te proposera un plan à 3.


- Oh arrête, avec tes pensées de pervers.
- Quoi, j’essaie de te remonter le moral.
- Qu’est-ce qui peut bien l’attirer pour prendre « l’autre voie » comme ça ?
- Je ne sais pas lui dis-je, je n’ai pas encore franchi le cap.

Je restais là, bouche bée et lui me regardait et ne dit aucun mot. Mince qu’est ce qui m’a pris de dire çà.

- Tu sais me dit-il après une minute qui me parut une éternité, il y a un début à tout.
- Comment ça, dis-je ?
- Il y a 2 ans, en chattant sur le net j’ai rencontré un mec qui a voulu m’initier au sexe entre hommes.

Le cochon, moi qui le connaissais depuis des années, il me serait jamais arrivé de penser çe de lui. C’était pour moi une occasion de voir s’il y avait une ouverture.

- Euh oui
- C’était un métro qui habite sur Paris, on a échangé pendant 3 mois et après on s’est retrouvé un week-end dans un hôtel sur St-Gilles (2).
- Et ta copine ?
- Ben tu sais elle était partie une semaine à l’île Maurice et moi je n’avais pas de vacances.
- Quoi, lui dis-je, tu as baisé avec un mec et maintenant que ta meuf s’est cassée avec une nana tu me dis que tu n’es pas bien.
- Oui c’est vrai mais je préfère faire cocu qu’être cocu.
- Oh, arrête avec cette mentalité.
- Dis-moi Karl tu n’as jamais franchi le cap, si tu veux et je sais que c’est le cas, j’aimerais bien te donner ce plaisir.
- Mais t’es fou ou quoi ?!
- Arrête depuis des mois tu as les yeux pointés sur mon pantalon qui ne cache pas ma bosse. Si tu veux un truc soft ç’est bon, c’est déjà ça et plus après si tu le souhaites
- Mais…
- On peut commencer par « touche-zizi » si tu veux
- Oh là, c’est quoi ces gamineries dis-je
- Tu as bien compris, si tu veux tu peux me toucher le sexe et me branler ensuite.

En disant çà, mon sexe me faisait mal dans mon boxer serré, mon gland n’étant pas assez décalotté, quand je bande j’ai les poils qui coincent

- Ah je vois que ça bouge la dessous
- Mais t’es…

J’ai pas eu le temps de terminer ma phrase qu’il posa sa main sur mon petit paquet.


- Laisse toi faire...

Il déboutonna mon pantalon et sorti mon titi (c’est comme ça que je le surnomme)

- Oh qu’il est tout mignon.

Je rougis et lui dis que j’avais honte d’en avoir une petite.

- Ne t’en fais, les femmes disent qu’il faut savoir l’utiliser. Si tu veux, je pourrai juger par la suite.

Il commença à me branler, j’étais crispé au volant de peur d’être vu. Il accéléra le mouvement en prenant soin de tirer en arrière et au bout de 2 petites minutes il dégrafa sa ceinture de sécurité et approcha sa tête pour me faire une pipe. Que c’était bon, il passa sa langue de haut en bas, il serra ses lèvres humides sur mon gland et aspira puis relâcha.

- Alors tu aimes ?
- Non, j’adore… tu suces mieux que ma femme. Ne t’arrête pas.

On commença à prendre les rampes de la Plaine des Palmistes jugées dangereuses avec tous ses virages. Je sentais que j’allais exploser et tout déverser.

- Je sens que ça vient
- Ne t’en fais mon doudou, laisse toi aller

En moins de deux, je me déversais dans sa bouche. Que c’était divin ! Après avoir éjaculé, il continua à me pomper la queue et aspira très fort jusqu’à la dernière goutte puis il se releva.

- Alors, pour une première fois, tu aimerais le refaire ?
- Que tu me suces comme çà et surtout en voiture c’est le pied.
- C’est quand tu veux.
- Au fait, montre-moi ta queue…
- Oui mais il faut que tu la sortes de mon pantalon
- Je peux pas, je conduis.

Il la sortit alors de son pantalon et j’étais bluffé par la taille et la grosseur.

- Waouuhhh quel monstre !!
- Je suis peut-être pas beau physiquement, mais la nature m’a bien doté, 19 cm et environ 5 cm de diamètre
- On doit la sentir passer
- Oui mais je sais être doux

Je posais ma main sur queue et tenais mon volant de l’autre. C’était très risqué mais impossible de s’arrêter, il fallait attendre 5 minutes pour trouver un endroit sur le bas-côté et je n’en pouvais plus.


Putain qu’est-ce qu’elle est énorme !! Je le branlais lentement, je la sentais gonflé dans ma main et j’accélérais le mouvement. Au bout de 3 minutes je l’ai senti gonflé et il lâcha tout son sperme qui est venu s’écraser sur mon pare-brise et mon tableau de bord. Je venais de faire jouir un mec, mais j’aurais voulu sucer cette bête. Il rangea son engin et essuya tout avec un kleenex.

- Alors çe te fait quoi de m’avoir vidé ?
- Ben c’était bien mais j’aimerais aussi sucer
- Si tu veux on est à 15 minutes de chez moi et je te donnerai ce plaisir. Mais avant arrête à la pharmacie du village, je vais acheter du gel et des capotes
- Mais je veux juste sucer
- Je sais mais on sait jamais… avec son petit sourire.

En arrivant chez lui, il me proposa d’aller directement à la chambre. J’étais un peu déçu car pendant le temps qu’il était à la pharmacie, je pensais à le sucer à son entrée. Après avoir refermé la porte, je le plaquais contre la porte et me mis à genoux devant lui.

- Pas le temps d’aller au lit, la pipe je la veux de suite et pas après.
- Pas après, t’es sûr.

Je déboutonnais à mon tour son jean et sortis sa queue de son boxer. Je commençais par renifler, ça sentais le sperme. Je la mis en bouche et commença une fellation. J’essayais comme dans les films mais j’étais un peu maladroit. Il me demanda de lécher son gland et de faire des petits cercles. Je descendais ensuite sur la hampe jusqu’aux couilles et remontais lécher le gland. J’ouvris la bouche et commença à l’engouffrer cm par cm… Que c’était bon, ma première pipe. Putain si ma femme voyait ça. J’accélérais puis ralentissais la cadence et cela pendant une dizaine de minutes. J’avais mal à la mâchoire mais j’aimais çà. J’étais à genoux la bouche offerte à mon amant… eh oui c’est comme ça que je l’appelle aujourd’hui. Il me prévient qu’il allait jouir et je luis dit que je vais voir si le sien était meilleur que le mien.


- Ah bon, eh bien prend ça !!

Il tira ma tête vers sa bite et me donna de grand coup de queue, j’avais des haut-le-cœur mais il n’arrêta pas. Au bout de 2 minutes il me plaqua contre son ventre et cracha en moi et sortit une fois les couilles vidées. Il y en avait tellement que je n’ai pas tout avalé, du sperme coula sur ma joue.

- Alors ma petite cochonne ça t’a plu ?
- Oh que oui, mais je suis ta cochonne et non ton doudou ?
- Quand tu me suces tu es ma cochonne et quand je te suce tu es mon doudou ?
- Ok doudou.
- Tu m’as bien excité de me sucer derrière la porte. Alors tu veux passer à la chambre ?

Je n’oublierai jamais ma première pipe et le gout du sperme de mon amant.

La suite dans un nouvel épisode.

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(1) : Prochaine ville sur la route en allant vers la montagne
(2) : Station balnéaire de la côte ouest, très prisée par les touristes

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