Surprise Par Mon Mari...
Entrée :
Je rentre du taf, fatiguée davoir couru de réunion en réunion. Jai hâte denlever mes talons, de prendre une douche délassante. Je passe la porte et appelle « Chéri ». Je lentends crier depuis la chambre « Ferme les yeux, ne les ouvre pas, si tu les ouvres, je te punis. ». Je souris, amusée. Depuis quelques temps nous explorons de nouveaux espaces de jeux sexuels, les fessées en font partie, à mon grand bonheur. Je ferme les yeux. Je lentends saffairer dans la chambre puis il me rejoint. « Bonjour mon amour, jespère que tu as passé une bonne journée, je tai préparé une surprise. » Il membrasse tendrement, comme dhabitude. Nous sommes mariés depuis 9 ans. Tout en me parlant, il me déshabille petit à petit, mon chemisier, bouton par bouton, ma jupe qui glisse à terre, mes talons puis mes bas, ma culotte et mon bustier pour finir. Je suis nue, dans lentrée, je garde les yeux fermés. Il me parle amoureusement, me caresse, membrasse
lexcitation monte. Puis il me demande daller à la salle de bain. « Il faut te préparer ». Curieuse, javance, guidée par mon homme qui prend grand soin de méviter les obstacles, toujours les yeux fermés insiste-t-il. Oui mon amour. Les yeux fermés
Salle de bain :
Assise sur une chaise (ce doit être une chaise du salon, je reconnais le tissu au toucher) je me laisse faire. Il me coiffe, lentement, fais attention à ne pas tirer mes cheveux (jai des cheveux blonds vénitiens, jusquau milieu du dos, il en est fou), puis il me fait des couettes. Placées haut, juste au dessus des oreilles. Je men étonne. « Des couettes !? » « Tu verras ma chérie, tu vas comprendre, dans pas longtemps ». Puis il me bande les yeux. Un bandage très serré. Il me demande de monter dans la baignoire et de minstaller à quatre pattes. Jobéis, de plus en plus étonnée. Il me laisse là et sort de la pièce. Des pas et leau se met à couler
je suis mouillée depuis les doigts de pieds jusquà la nuque.
Leau sarrête. Bruits. Je ne comprends pas, jécoute, jattends. Je demande. Silence. Puis leau coule à nouveau, tant mieux jai un peu froid comme ça à attendre mouillée. Leau coule sur mon dos, un jet tiède, agréable. Puis je sens une main glisser entre mes fesses, un doigt senfoncer dans mon rectum, un doigt qui mécarte et massoupli, toujours le jet deau tiède qui sort du tuyau et le doigt se retire, immédiatement remplacé par un tuyau, je comprends vite que cest le tuyau de douche, que la pomme a été dévissée
le tuyau et leau tiède. Je me remplis, mon ventre se gonfle
la voix de mon mari « détends-toi mon amour ». Une main me masse le ventre et je me détends. Le lavement dure de longues minutes
puis vient le temps où lodeur du gel douche se répand, on me lave, on me fait mousser, on me rince, on me redresse, on me sèche
Bureau :
Cette pièce un peu sombre lui sert peu, mais il la aménagée comme un havre de paix, son havre de paix, un fauteuil et un bureau, celui de son père, une vielle chaîne hifi, ses disques, ses livres, une banquette lit qui ne sert jamais. Il minstalle en travers du lit, à quatre pattes encore (il adore cette position, moi aussi), il me caresse, me cajole, me dit combien je suis belle, bandante, quil a de la chance de mavoir à lui, quil fait des jaloux
il se met devant moi et me demande de le prendre en bouche, je mexécute, ravie de ces débuts prometteurs.
Pendant que je le suce avec application, il me caresse la tête, je sens mes couettes bouger et me caresser mes bras, il me complimente « jadore ta façon de me pomper, une vraie petite pute, une pro, oui mon amour continue
» et jaccélère le mouvement
et au moment où, je le connais bien, je sais quil ne lui reste que quelques secondes avant de jouir, jentends un bruit derrière moi. Surprise, jessaye de me retourner en abandonnant mon travail en cours
Sans que jai le temps de réagir, il matt par les couettes (je comprends !) et enfonce sa queue si profondément au fond de ma gorge que je ne peux plus bouger.
Dans le même mouvement je me sens empalée sauvagement par un objet froid et dur, énorme. Jessaye de crier, la panique est là, mais il me baise la bouche si fort que je ne peux rien faire, il me pilonne et me remplit en violentes giclées, jai du mal à respirer, à avaler, la bouche toujours plaquée contre lui, maintenue fermement par les cheveux, ses mains autour des couettes, comme agrippées à des poignées. Ses couilles vidées, sa bite se ramollie. Il me continue à me parler tendrement, mon amour, ma chérie
pendant que des va et vient me labourent la chatte. Jessaye de deviner qui peut être là à me baiser avec un gode géant
je ne réfléchis pas longtemps, lémotion est si forte que mon esprit ne fonctionne plus normalement, je me laisse aller et me concentre sur la queue de mon mari qui, au chaud dans ma bouche, commence à reprendre vie. Il mencourage « oui, fais-moi bander, bien dur que je te baise à nouveau » soumise à sa volonté, je joue avec ma langue et il faut peu de temps pour quil bande comme un cerf à nouveau. Lhomme derrière moi (ou la femme ?) me défonce consciencieusement, me ramone à fond, le gode sactive puis senfonce si profondément que je hoquète. Il (elle ?) se cale derrière moi sa cuisse entre mes jambes, bloque le gode en place, se penche et me caresse, att mes seins, les palpe, les évalue, joue avec mes tétons, les pince, les tord, les pince très fort, mes gémissements augmentent
Mon mari « ne lui fait pas mal ». Lhomme (maintenant jen suis sûre : jai senti les poils de ses bras, de son torse dans mon dos) se redresse, toujours la cuisse entre mes jambes, toujours bien baisée par le gode, il me malaxe les fesses, en silence, menvoie quelques bonnes claques, mon mari continue tranquillement à me baiser la bouche, mimpose son rythme en me maintenant fermement par les cheveux, et lui demande, tellement poli (on dirait quil lui demande de lui passer le sel !) « Tu veux bien toccuper de lautre ? Vas-y, occupe-t-en. » Un mouvement, il enlève sa cuisse, le gode bouge un peu, il fait quelques pas, bruits, il se rapproche à nouveau.
Il att mes fesses, une dans chaque main, et sa langue vient me lécher le petit trou bien propre, bien préparé pour ce qui va suivre
il fourre sa langue dans mon cul, me doigte vigoureusement, il mécarte, détend mon trou serré, de temps en temps, il repousse fort le gode dans mon vagin, à chaque fois je sursaute, je crie, cri étouffé par la verge de mon mari qui me remplit la bouche qui me tringle en de longs mouvements, une machine ! Lautre sactive dans mon fondement, ses doigts, sa langue senfoncent encore et encore jai envie quil en finisse, je fatigue, mes bras tremblent sous la tension
Jen arrive à espérer quil mencule le plus vite possible. Que ce soit fini. Mon état dexcitation est dément mais je ne jouis pas, le stress surement. Lhomme me claque le cul. Mon mari me félicite « tu es formidable mon amour, formidable, tu me fais bander, tu es à moi
» et à lautre « vas-y maintenant elle est prête, nest-ce pas chérie ? » Jacquiesce comme je peux, hochant à peine la tête « Hummmmhummm »
Lhomme ne parle toujours pas, je nentendrai pas le son de sa voix, je ne saurai jamais qui était là
Il grogne, rit, gémit mais ne parle pas. Ses doigts toujours en moi, il sexcite, me fesse, me caresse, me pince, ses doigts toujours en moi, dans mon cul maintenant bien ouvert. Prêt. Il retire enfin ses doigts, replace le gode au fond de ma chatte, et me plante un autre gode dans le cul, enfin, je crois que cest un gode mais il le place le plus profondément possible et le met en marche, position rapide, un vibro donc. Me voici embrochée de toute part, bouche vagin et anus. Il bloque le gode et le vibro en place avec sa cuisse et je lentends sastiquer le manche en haletant, il tape sa queue sur mes fesses, et recommence à se branler. Mon mari annonce, victorieux « on y va, ensemble ? » Grognement de lautre. Et lamour de ma vie sagrippe encore plus fort à mes cheveux il jouit, décharge encore dans ma bouche pendant que je sens lautre gicler dans mon dos, sur mes fesses, son sperme dégouline sur mes cuisses
Quand ils ont fini, je reste là tremblante, jentends lautre partir, il se rhabille, la porte claque, pendant ce temps mon mari me caresse la tête, le corps, étale la jute de lautre sur moi, pince un téton en passant, il arrête le vibro, le retire, enlève le gode, sallonge à coté de moi, me prends dans ses bras, me cajole, me félicite « tu es merveilleuse, la meilleure, tu dépasses tous mes rêves, je taime mon cur, mon tendre amour, ma femme
» Je me détends enfin et je suis immédiatement submergée par un orgasme sans fin, mes larmes coulent, je ris, je pleure, je respire, je ressens, je sens lodeur de mon mari sur mes lèvres
Mon homme.
admin
Jan. 31, 2023
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