Le Deal 6

La route du retour me semble défiler à une allure vertigineuse tant je suis empli de sensations complètement folles. En à peine vingt quatre heures, j'ai fait la connaissance d'une femme exceptionnelle qui m'a déjà transformé en une espèce de jouet vivant, j'ai vécu ma première expérience homosexuelle qui me trouble au plus haut point tant j'y ai pris du plaisir, je me sens fort et en même temps si exquisément en danger dans ma totale nouvelle dévotion à Karine. J'ai une envie soudaine de m'exhiber nu devant la terre entière pour montrer au monde ma nouvelle appartenance à cette minuscule communauté qui va m'apporter, je n'en doute pas un instant bien plus que tout ce que j'aurais pu imaginer. Bien évidemment tout cela n'est pas fait pour calmer mon mandrin qui continue encore et toujours à palpiter dans mon ample bermudas devenu d'un seul coup bien trop petit pour contenir toute la vigueur exprimée par ma bite. Je me dis que dans quelques minutes je serai arrivé chez moi et qu'une bonne douche glacée me fera retrouver mes esprits. C'est alors que la sonnerie caractéristique de réception d'un SMS de mon portable retentit: "Mail à lire dès que tu arrives." Bon, ben la douche glacée attendra. Décidément, elle doit vraiment lire dans mes pensées. Comment as-t-elle su que j'étais à quelques dizaines de mètres de la barrière d'entrée de ma maison qui, même si elle n'est en rien comparable à celle de Karine et Pierre est un havre de paix ou j'ai plaisir à vivre dans le calme et la tranquillité. Dès mon arrivée j'allume mon PC et comme prévu je trouve un mail dans ma boite avec comme objet Karine:
"As-tu fait bonne route, mon beau camarade? Je t'ai senti à la limite d'une explosion magnifique juste avant ton départ du domaine mais je voulais attendre ton retour chez toi pour en profiter pleinement et me délecter du spectacle que tu vas m'offrir. Tu vas maintenant te diriger vers une plage à ta convenance. Tu te mettras à genoux écartés sur le sable assis sur tes talons et tu m'offriras alors ta semence.

Des mains viendront peut-être à ta découverte. Tu leur autoriseras tout ce qu'elles demandent sauf l'offrande de cet orifice qui je te le rappelle n'appartient qu'à moi seule. N'oublie pas de prendre avec toi la pochette que tu trouveras dans la boîte à gants de ta voiture."
Immédiatement, je reprends le volant et fonce en direction d'une grande plage de dunes à quelques minutes de chez moi, dont une partie est naturiste et a la réputation d'être assez chaude. Je ne me reconnais plus. Il m'a suffit de lire quelques lignes sur un écran pour d'un seul coup me rendre comme un dingue vers une plage pour me faire certainement mater dans une position plus que suggestive par les occupants de cet endroit et bien qu'il soit 18h30, je suis sur que des occupants, il y en aura encore vu le temps superbe de cette fin de week-end et que les journées sont encore bien longues en ce mois de juillet. Mais peu importe, mon simple but est juste de satisfaire celle que je ne veux pas décevoir. Je suis super excité, déterminé et je me fous pas mal de ce qui peut m'arriver. Je me gare sur le parking de la plage, ou je remarque un nombre de voitures important. J'ouvre alors la boîte à gants et en sort un étui noir contenant un petit caméscope HD et une carte:"me faire parvenir les images de la séance sans aucune retouche." Dix minutes de marche dans un dédale de chemins sinueux et j'accède enfin au détour de quelques grandes dunes à la zone naturiste qui m'intéresse. Il y a encore beaucoup de monde et je fais exprès de passer tout habillé sous l'oeil réprobateur des occupants de la plage. J'ai toujours la pine en érection et ils doivent tous me prendre pour un mateur en voyant la bosse que fait apparaître mon bermudas. Sur de l'effet produit, je grimpe sur une haute dune. Le vent à crée à son sommet une sorte de cratère assez plat et les nombreuses traces de pas que je remarque me font penser que beaucoup de gens sont déjà venus ici soit pour bronzer tranquille soit pour mater du haut de ce promontoire qui offre une vue imprenable et discrète sur la plage plus bas. Je me mets tout de suite au travail. Je commence par pratiquer une sorte de petite plateforme dans le sable, puis je place dessus ma serviette de bain pliée qui fera office de tablette et enfin, je sors le caméscope que je place sur la serviette. Mes baskets placées au centre du cratère me permettent de faire les ajustements de cadrage. La caméra qui va bientôt immortaliser cette scène étant suffisamment stable sur ce socle improvisé, j'appuie sur la touche REC. Je suis incroyablement excité et troublé et impatient et... je pourrais continuer longtemps à faire l'inventaire de tout ce que je ressens mais je décide maintenant d'apparaître devant l'objectif qui scrute et enregistre maintenant le moindre de mes mouvements. Je commence par me présenter de dos. J'enlève doucement t shirt et bermudas après avoir écarté du pied ces baskets devenues encombrantes. Je reste un instant debout immobile, bras croisé dans le dos, tête baissée et jambes légèrement écartées dans cette même posture qu'avait adopté Constance plus tôt dans la journée. Puis je m'agenouille lentement, cuisses écartées, me penche en avant en me cambrant légèrement. Je saisis alors mes fesses et les écarte largement de façon à ce que ma spectatrice puisse vérifier que mon plug est toujours en place. Puis je pivote pour me retrouver enfin face à l'objectif. Bien évidemment, nul besoin de solliciter ma bite pour l'instant fièrement dressée et gorgée de sang qui n'aurait besoin que de quelques attouchements même maladroits pour exploser immédiatement. Je remonte les mains, croise les doigts derrière ma tête et reste immobile attendant docilement que quelque chose veuille bien se passer, dans cette position qui j'en suis sur n'aurait pas laissé indifférent le plus intégriste des hétéros que la terre ait jamais porté, comme par exemple celui que j'étais encore il y a un peu plus de vingt quatre heures. L'attente n'est d'ailleurs pas bien longue, puis que j'entends soudain dans mon dos un toussotement et des chuchotements. Je ne trouve rien de très choquant à cela puisque le propre du mateur est de ne pas se faire voir. De petits rires étouffés se font également entendre et me rappelant de ce que m'intimait le mail, j'interpelle tout à coup celui ou ceux qui se trouvent encore derrière moi et je ne comprends même pas comment ces mots peuvent sortir de ma bouche:
-"Ne restez donc pas comme ça derrière moi, venez me rejoindre."
Les chuchotements reprennent un instant, puis cette voix:
-"Allons-y les gars, elle a l'air tellement gentille cette petite salope."
Résultat, je crois que Karine sera satisfaite car ils ne sont pas deux mais quatre et il y a un peu de tout. Un mec assez vieux, genre 65 ans, assez trapu, deux autres qui ont à peu près mon âge, de tailles moyennes et que visiblement leurs périples dans les dunes n'empêchent pas d'afficher des surpoids importants. Enfin, un petit jeune, il n'a pas plus de 20/21 ans tout maigre et tout blanc de peau qui me fait croire qu'il n'est pas dans la région depuis très longtemps, parce que chez nous, même s'il ne fait pas très beau tout le temps, on bronze à vitesse grand V. Il n'y en a pas un dans le tas qui ait un visage assez agréable à regarder bien qu'ils ne soient pas complètement repoussants non plus. Ce sont juste des physiques banals. Ils s'approchent, me tournent autour avec des sourires béats ne sachant trop quelle attitude adopter tant la surprise d'un tel spectacle les déconcerte. Pour la première fois de leur vie certainement, ils peuvent se rincer l'oeil sans crainte d'être démasqués et visiblement ils n'y sont pas habitués. Je comprends tout de suite en revanche que ce ne sont certainement pas des femmes qu'ils viennent mater en priorité au regard des bosses qui se forment dans leurs shorts de plage. Deux d'entre eux commencent même à se rouler des pelles cosmiques tout content de l'aubaine dont ils bénéficient. Le vieux se plante soudain devant moi sort sa pine et commence à se branler. Elle est de petite taille mais semble tout de même assez épaisse et vigoureuse vu l'âge de son propriétaire:
-"Elle est pas mal à regarder ta queue," dis-je, mais j'aimerais que tu t'écartes un peu sur le côté, tu me caches le soleil;" avec une expression qui en dit long sur mes intentions. Il obtempère en regardant derrière lui et apercevant le caméscope:
-"Mais il se filme en plus! Ca fait des années que je viens mater ici, je croyais avoir vu des trucs de fou, mais alors là!"
Un des autres mecs s'écrit alors:
-Tu en veux du spectacle, grosse pute, alors en avant pour le show!"
Une panique soudaine s'empare de moi, bien que je fasse mon possible pour ne rien laisser paraître. Pourvu que tout ça ne se barre pas en vrille et j'en viens à craindre tout à coup que mon plug ne soit plus mon seul pensionnaire d'ici peu. Le mec continue:
-"T'inquiète, on va juste tourner une belle séquence."
Il dit au vieux de se placer sur la droite, au plus jeune de faire face au vieux sur ma gauche, pendant que les deux autres se placent en arc de cercle dans mon dos. Au froissement de tissu sur les peaux je comprend que les shorts sont en train de descendre et mes quatre compagnons du jour commencent à s'astiquer joyeusement. Puis alors que le jeune et le vieux continuent leurs va et vient incessants sur leur membre dressé, les quatre mains placées derrière moi, commencent par prendre possession de mes épaules, de mes bras, puis de tout le reste de mon corps en mille caresses aussi douces qu'excitantes à l'extrême en plus d'être expertes. J'ai de la chance en plus, ce sont des hommes qui savent faire plaisir à leurs congénères. Bien que placés derrière moi, ils arrivent à ne pas négliger l'intérieur de mes cuisses écartées , remontant jusqu'à l'aine, jouant avec mes couilles, les palpant puis les sous pesant, s'amusant avec ce corps totalement imberbe, ce à quoi ils n'ont pas l'air d'être habitués non plus. Encore quelques tapes sur mon cul qu'ils n'ont même pas cherché à investir plus avant quand l'un d'entre eux risquant un doigt dans ma raie s'exclama:
-"C'est la totale, elle est pluggée en prime!"
C'est alors que les mains se retirent toutes en même temps et je me sens bizarrement frustré par l'effet de manque que provoque immédiatement l'arrêt brutal de toutes ces gentilles attentions à mon égard . Le leader autoproclamé de cette meute de pervers décroise mes doigts et dirige mes mains vers les seuls à ne pas m'avoir touché et qui continuent à s'astiquer frénétiquement. Je suis bientôt obligé de prendre les bites du vieux et du jeune en main et de les branler pour terminer le travail qu'ils ont si bien commencé. Je suis étonné que tout cela se passe dans un silence quasi total seulement perturbé par quelques gémissements furtifs et les bruits des respirations qui s'accélèrent. Si le membre du vieux bien que très court me remplit bien la main, par contre, celui du jeune est étonnement fin, dur et très long. Je peux voir leurs glands violacés à l'extrême, et sentir en les branlant leurs jambes qui commencent à flageoler. Ils ne vont pas tarder à exploser mes compagnons du soir. C'est incroyable, moi sur qui les mains d'un homme ne s'étaient jamais posées et encore moins l'inverse, me voilà maintenant en train de branler deux générations en même temps, puisque d'après ce que j'ai pu comprendre au peu de mots que le jeune est arrivé à grogner, que celui-ci vient s'adonner à sa passion pour le voyeurisme en compagnie de son grand père qui connaît bien tous les coins et les lui fait découvrir. Ca s'active aussi sérieux derrière moi, ça soupire, ça gémit et ça respire de plus en plus fort et de plus en plus vite jusqu'au moment ou j'entends la voix de celui qui s'est improvisé chef d'orchestre de ce concert improbable me dire presque à l'oreille:
-"Ne bouge pas chérie, je vais t'aider à venir en même temps."
Je n'avais vraiment pas besoin d'être aidé beaucoup car après un temps très court en raison de l'excitation intense que tout ceci avait déclenché en moi et de la compétence du mec à qui appartenait cette main qui me masturbait avec génie je lâchais un:
-"Je vais venir maintenant..."
Il n'en fallu pas plus à mes quatre complices improvisés pour commencer à m'asperger d'une véritable douche de sperme intégrale sur mes cuisses, mes épaules,celui qui était en train de me vider, se vidant lui, sur ma raie et moi qui déversait en longs jets puissants ma semence épaisse et chaude sur le sable face à cet objectif que je fixais profondément. Je lâche ensuite les engins, puis recroisant les mains derrière la tête pour retrouver ma posture initiale, mes cinq potes du moment se reculottent prestement, comprenant que le clap de fin vient de se faire entendre. En guise de conclusion j'entends un plus qu'hésitant:
-"Bon...ben...salut." et les quatre types disparaissent dans mon dos par le même chemin qu'ils avaient emprunté pour arriver jusqu'à moi. Je reste immobile encore un moment puis je me lève, appuie sur la touche STOP, range soigneusement cet oeil espion dans son étui, essaie d'effacer au mieux les traces de jouissance qu'ont laissé sur moi les quatre compères avant de disparaître et décide de rejoindre ma voiture dans le plus simple appareil, me foutant pas mal, dans l'état euphorique où je me trouve, de la réaction d'éventuels promeneurs tardifs. Je ne croiserai finalement qu'un couple d'allemands qui me voyant ont l'air plutôt amusé. Mais en fait, je m'en fiche totalement étant tellement fier de la mission que je viens de remplir avec je le crois un certain succès.
Sur ce, je reprends le chemin de ma maison où m'attend cette bonne douche qui cette fois n'aura plus besoin d'être glacée, ma queue ayant maintenant reçu bien plus que son compte ne risque pas de se réveiller de si tôt, mais qui sera tout de même certainement hautement réparatrice. Une fois calme et détendu, je m'assois devant mon PC. Tiens c'est drôle, maintenant, je me promène à poil chez moi. Mais essayant de rester sérieux, je sors la carte contenue dans le caméscope et commence l'envoi de ma séance numérique par l'intermédiaire d'un site de transfert haut débit que j'utilise d'ordinaire pour échanger musique, films ou photos avec des amis. Je n'ai même pas contrôlé la qualité de ma production. Je crois que Karine ne l'aurait pas voulu. C'est en tout cas l'interprétation que je fais du "sans retouches" de la petite carte. Le fichier à transférer étant assez lourd, je décide de laisser l'électronique finir seule le travail. Je vérifierai demain matin au réveil que tout s'est bien déroulé ne me sentant plus la force d'attendre l'achèvement de ce transfert et finalement brisé par tous ces évènements je me couche en me promettant de m'offrir une parure de draps en satin dès que j'en aurai l'occasion.

(à suivre...)