Famille Recomposée, Décomposée , Recomposée !
Le lundi Célia revient de chez son père, elle à lair heureuse de me voir mais elle est aussi anxieuse :
- Tu es resté seul avec ma mère tout le weekend ?
- Ben oui pourquoi ?
- Jai eu un pressentiment étrange, jai rêvé que tu couchais avec elle, surtout quelle ne fait que des éloges sur toi...
- Tu es folle ? au fait pour ta pilule ?
- Eh bien je suis bluffée, elle a accepté sans sourciller
. Tu nas pas changé davis pour nous deux ?
- Je veux bien être ton premier amant.
- Où et quand ?
- Laisse-moi arranger ça avec Éva.
- Tu lappelles Éva maintenant ?
- Oh ne me gonfle pas ! cest oui ou cest non ?
- Cest oui
..
- Ce soir ta mère va sortir et nous laisser seuls.
- Je viens nue dans ta chambre ?
- Non habille toi comme si tu allais à un rendez vous galant, une robe légère et des sous-vêtements sexys que tu vas emprunter à ta mère, tu vas avoir droit à des préliminaires dignes de ce nom.
- Je mouille déjà !
Le soir Éva se prépare à sortir
- Je te confie ma petite fille fait en une femme comblée, à demain.
- Fait moi confiance, on se revoit quand nous deux ?
- laisse-moi un texto
..
Jattends lheureuse élue en caleçon et teeshirt dans ma chambre, dés que le bruit de la voiture sest éloigné Célia toque à ma porte.
- Entre Célia, assied toi devant lordinateur comme lautre jour.
- Jai le trac !
- Ça va passer vite fait, laisse parler tes envies, Hummmm tes épaules sont nouées
Après avoir malaxé ses épaules, je descends lentement vers léchancrure de la mini robe. Son souffle saccélère, je défais un bouton pour glisser mes deux mains sur les bonnets bien remplis, Célia saisit mes poignets pour me bloquer :
- Fabien
..
- Chuuuuuuuuut
.. délace tous les boutons de ta robe
Je fais passer les bonnets par-dessus les seins déjà gonflés, les tétons raidis roulent entre mes doigts, la fille ferme les yeux et vagit doucement.
- Lève-toi
.
Toujours derrière son dos ma main glisse sur le ventre plat en dessinant des cercles jusqu'à toucher le haut du string, Célia se cambre quand ma main passe outre lélastique.
- Fabien
touche moi
Mes doigts démêlent les poils pubiens pour trouver la fente déjà juteuse, elle se frotte sur mon érection qui pèse sur ses fesses, mes doigts imprégnés de mouille débusquent le clitoris exacerbé, ses genoux fléchissent, je la soutiens et la fait reculer jusquau lit.
- Assied toi Célia
La jeune fille pose ses fesses sur le lit, ôte le soutien gorge devenu inutile et se laisse choir en arrière, un bras sur ses yeux comme pour se protéger de la vision que je vais lui imposer, je repousse les pieds qui fermaient le compas de ses genoux, la culotte est déjà tachée, jy pose mes lèvres, le parfum quelle dégage est plus subtil que celui dÉva femme confirmée.
Ma langue cherche à sinsinuer par les aines, le string un peu grand men laisse la possibilité, je réussis à dégager une lèvre ourlée de poils courts, les cuisses se relèvent pour bloquer mon visage.
- Muuuuuummmmmmmmmmmmm !!!! tu métouffes !
- Excuse-moi Fabien...
Cette fois elle se détend et soffre totalement en arquant son ventre, les talons au ras de ses fesses. Mes doigts entrent en action et repoussent le tissu sur une aine pour laisser ma langue lécher la vulve en eau, je me gave de ce nectar qui surgit quand sa jouissance explose, apaisée elle devient inerte sur le lit, je me déshabille et me hisse à sa hauteur, ma queue posée sur un sein.
- Hooooouuuuuuuuuu ! je crois que jai perdu pied ! !
- Je crois plutôt que tu las bien pris !! tu connais le goût de ta mouille ?
- Oui jai déjà testé, cest bon !
- Alors tu vas découvrir le goût du sperme, caresse ma verge fait connaissance avec elle.
- Je la connais déjà mais je nai pas eu le temps de lembrasser lautre jour, approche
Sans sourciller Célia avale mon gland et suce comme si elle lavait toujours fait, une main prend mes couilles pour faire rouler les glandes dans leurs poches, le bassin en avant je me laisse faire, la fille branle énergiquement mon membre, impatiente de sentir les jets sortir du petit trou.
- Célia
ça vient attention
tu nes pas obligée de tout avaler
.
- MUUUUMMMMM !!..... Aaaaaaaaaaaah ! pouah !!!!!!!
- Cnest pas bon ?
- Si mais cest trop à la fois !...tu veux gouter ta propre crème ?
- Pourquoi pas embrasse moi
..
- Fabien ? le moment est venu ?
- Si tu es prête oui, je te conseille la position traditionnelle du missionnaire, je veux voir tes yeux au moment où ta membrane va sauter.
- Alors je dois les garder ouverts ?
- A mon avis, quand ton pucelage va craquer, tes yeux et ta bouche vont souvrir en grand !
- Je suis bien comme ça ?
- Très bien, en grenouille ta craquette est béante, je vais mallonger sur toi sans peser de tout mon poids, je vais tembrasser et caresser tes seins, à linstant propice je plongerai ma queue dans ta chatte...
- Vient sur moi chéri ! tu permets que je tappelle chéri ?
- Au moment de faire lamour pratiquement toutes les femmes disent cela, donne moi tes lèvres
.. rhuuuuuuuuummmmmmm
- Muuuuuummmmmmmmmmm
Nos langues sentremêlent, nos salive séchangent, jécrase un sein dans ma main. Célia est complètement détendue sans résistance, discrètement je guide ma queue entre les lèvres entrebâillées, mon gland trouve le trou vaginal je nai plus quà pousser
.notre baiser redouble dintensité, elle menserre de ses bras à m, cest le moment que je choisis pour porter lestocade suprême...
- HAN !
- AIE !.... chéri je sens ta queue dans mon ventre ça y est ! je suis femme !
- Alors je vais baiser ma femme ! tu vois, ça cest passé comme jai dit, ta bouche était grande ouverte !
- Hummmm ça fait du bien quand tu bouges
..va plus vite
PLUS VITE ! PLUS VIIIIIIITE !!!!
En appuis sur les mains, je démarre une sarabande sexuelle infernale, mes couilles frappent violemment son petit trou, sa poitrine ballotte en tout sens, sa tête balance de gauche à droite, Célia devient hystérique, elle murmure des mots incompréhensibles, son bassin se jette sur le mien, nos pubis sont trempés, je décharge une quantité industrielle de foutre dans le vagin fraichement percé, dans quel état vais-je retrouver le drap ?
- Cétait fabuleux et tu sais quoi ? maintenant que tu mas dépucelée je vais te faire un aveu, jai hésité entre toi et ton père, maintenant jaimerai le faire avec ton père, je ferai ainsi la différence avec un jeune et un vieux, maman ne sera pas contre étant donné quelle baise avec toi
.
Je nai pas répondu à cette vérité
Célia épuisée se tourne sur le coté, je me retire et la laisse se reposer, quelques heures plus tard Éva vient me voir :
- Alors ça y est ? ma fille est devenue femme, à son air radieux je suppose que ça cest bien passé...
- On ne peut mieux !
- Par contre je me sens fautive vis-à-vis de ton père
nous faisons lamour dans son dos.
- Que peut on y faire ?
il y a bien une solution mais je ne suis pas sûr que ça te plaise
..
- Dis toujours ?
- Cest Célia qui détient la clé
.
- Tu veux dire quelle serai prête à baiser avec ton père ?
- Elle men a vaguement parlé, elle sait pour nous deux.
- Mon dieu dans quelle galère somment nous !
Après avoir tenus un vrai conseil de guerre la chose cest faite, Célia ma tout raconté :
Ton père était nerveux de savoir que nous nétions que tous les deux dans la maison dés le matin, il est allé prendre sa douche, quand jai entendu leau couler je suis allée dans la salle de bain enroulée nue dans une serviette.
- Que fais tu là Célia tu vois bien que cest occupé ?
- Continuez, je ne fait que me couper les ongles de pieds.
Je lui tournais le dos, rassuré il a finit de se doucher, pendant ce temps un pied sur le tabouret courbée en deux je maffairais à mes pieds, ma serviette est tombée , je nai rien fait pour la retenir , la porte de la douche sest ouverte , jentendais son souffle dans mon dos , il devait mater mon entre-jambes , soudain une main humide sest posée sur mes reins , je nai pas bougé , la main a caressé mon dos, mes flancs, mon sein avant de revenir carrément entre mes cuisses que jai ouvertes sans hésiter.
- Tu es encore vierge Célia ?
- Non cest Fabien qui ma dépucelée...
- Tu étais consentante ?
- Plutôt oui ! ça ma fait du bien ! Maman est au courant...
A ce moment là jai sentis son érection sur mes fesses, il se frottait sans oser la pointer sur ma fente , je me suis penchée encore plus en magrippant au lavabo, il nen fallait pas plus pour le faire craquer, son gland a pesé sur mes lèvres qui se sont écartées , lentement il sest enfoncé dans mes entrailles , ses testicules ont atteint mon cul ,il est resté ainsi longtemps se demandant sil devait continuer alors cest moi qui ai donné le départ en reculant sur lui , fou de désir il ma agrippée par les hanches et ma pilonnée très longtemps.
Depuis ce jour là mon père et moi nous partageons nos femmes, sans jalousie de part et dautre, le soir un simple regard ou un simple mot décide de qui va venir dans notre lit.
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