Comment J'Ai Gagné Mes Galons De Pute (6)
Javais attendu le jeudi avec une impatience digne dune adolescente avant son premier flirt. Il faut dire que je supportais de moins en moins la présence de Guy. Ne pas pouvoir baiser quand je le voulais avec son fils me pesait énormément et ça jouait beaucoup sur mon humeur. Je devenais odieuse avec mon mari: je lui cherchais des noises pour tout et rien, je ne manquais aucune occasion pour lui faire des reproches, ou pour me moquer de lui. Bref, une vraie peste. Mais ça ne me calmait pas. Combien de fois ai-je pensé à lui jeter au visage tous les détails de ma relation perverse avec Rémy! En finir avec les caresses furtives (même si jadorais les mains baladeuses de Rémy sous mes jupes quand Guy était dans la pièce à côté), les baises rapides en rentrant du travail, et pouvoir enfin assouvir tous les caprices de mon maître! Projet séduisant au premier abord, mais qui aboutirait fatalement à diviser mon train de vie par 3, au bas mot
Et je nétais pas prête à ça, jaimais trop mon petit confort.
Et puis aussi, qui aurait payé ma lingerie? Certainement pas moi, (je gagnais trop peu au regard des fortunes que je dépensais dans ces petits bouts de tissu) et encore moins Rémy, qui était sans le sou et qui dépendait financièrement de son père. Du reste, je ne me lassais pas de ce petit plaisir méchant daller acheter des bas et des tenues affriolantes avec la carte bancaire de mon mari, pour ensuite en faire profiter son fils.
Ce petit jeu mexcitait tellement quen la matière mon imagination devenait fertile: javais par exemple demandé à Rémy de « baptiser » mes strings de dentelle. Une fois rentrée de ma journée de shopping, après avoir procédé à lessayage de mes achats (chose que Rémy adorait par-dessus tout), je lui demandais déjaculer dans mes culottes neuves, puis le les rangeaient dans mon placard. Quel bonheur au moment de les porter pour la première fois avec mon mari de sentir le sperme séché de Rémy contre ma toison!
Justement, le jeudi en question, javais mis une de ces culottes.
Rémy était dans le couloir lorsque je suis entrée. Javais pris lhabitude de ne dire bonjour à Rémy quen embrassant et en léchant ses couilles. Dans le meilleur des cas (cest-à-dire, à lépoque, quand mon mari nous foutait la paix pendant au moins 24 heures, et désormais tous les jours depuis que je vis avec Rémy) cest trois fois par jour: le matin au réveil, en rentrant du travail et le soir avant de dormir. Jadore ça, parce que souvent Rémy sabandonne à mes caresses buccales et il me laisse lui pomper la queue et avaler son sperme sans faire dhistoires. Je dis « sans faire dhistoires » car Rémy se plaint fréquemment de ne pas pouvoir profiter assez de ma chatte et de mon cul. Mais que voulez-vous, jaime tellement quil me nourrisse avec son gros biberon
Donc, après un rapide baiser baveux, je me suis agenouillée pour cajoler ses testicules lourds du foutre accumulé au cours de la journée. Quand jai vu que sa bite se mettre au garde-à-vous, jai embouché sa queue. Il a eu un soupir de bonheur quand mes lèvres ont commencé à lui téter délicatement le gland.
-« Ooooh! Doucement, petite pute, tu vas me faire gicler
»
Cest vrai que je sais my prendre avec lui : à croire que je suis née pour lui traire les couilles! Pour toute réponse, jai creusé mes joues pour le téter un peu plus fort. Il sest retiré brusquement:
-« Ce que tu es gloutonne! Attends un peu! Jai invité quelques amis
Viens, je vais te les présenter
»
Jai miaulé:
-« Non! Ton jus dabord
- Tinquiète pas, tu vas en avaler, du foutre!
- Cest vrai?
-Mais oui, je le promets! A vrai dire, tu nauras même rien dautre à manger jusquau retour de mon père
»
A cette phrase, jai frissonné de bonheur.
-« Voilà! Je vous amène ma belle-mère, mon vide-couilles personnel! »
Les copains de Rémy ne devaient pas croire à leur chance. Lun deux a dit:
-« Cest pas croyable, tu te fous de notre gueule
- pas du tout! Soulève ta jupe, salope
» a ordonné Rémy en me donnant une tape sonore sur les fesses.
Jai piqué un fard en sachant ce quil y avait dessous. Maladroitement, jai relevé ma jupe sur ma taille, découvrant mes bas noirs maculés de sperme. En plus, je ne portais plus de culotte: Pierre me lavait confisquée (souiller mes dessous était quelque chose que lui aussi aimait bien. Cela concernait aussi bien mes culottes que mes soutien-gorge. Il me les rendait le lendemain souvent encore humides de son sperme, et je devais les porter le reste de la journée et me caresser la chatte et les seins au travers du tissu, assise devant lui sur son bureau, entre autre
). Un murmure a parcouru le salon.
-« Son patron et moi, on la défonce par tous les trous; ils sont très accueillants comme vous allez pouvoir le constater! Vous avez vu la dose de foutre que ma pute ramasse en une journée ? Dhabitude, ça part dans ses trois trous, mais je tenais à vous montrer
Maintenant, la petite souillon va aller se changer, pour bien nous donner envie de la bourrer, nest-ce pas?
- Que veux-tu que je mette? » demandai-je timidement.
-« Tu le sais
Et puis bien sûr, tu gardes tes bas sales! »
Je savais en effet à quoi Rémy faisait référence
Guy mavait très gentiment offert il y a deux semaines (oui, offert, vous avez bien lu: en plus des fortunes que je dépensais en lingerie avec son argent, il trouvait encore le moyen de men offrir!) un sublime déshabillé de soie noire transparente dont le col et les manches étaient agrémentés de duvet.
Jai complété ce « vêtement » par mon porte-jarretelles et mes bas tâchés; pour les chaussures, une paire de très hauts talons vernis avec une bride de cheville ferait laffaire. Jai fait sensation quand je suis revenue dans le salon! Je métais remaquillée, coiffée, parfumée, et mon déshabillé ne cachait rien de ma lingerie, pas plus quil ne masquait mes seins lourds ou le triangle de poils de ma chatte
Jétais très angoissée par les réactions: je me sentais ridicule dêtre vêtue comme une pute de bas étage devant eux, mais heureusement les invités de Rémy mont immédiatement rassurée en poussant des sifflements dadmiration qui lalcool aidant ont rapidement laissé la place aux commentaires salaces.
-« pas mal!
- pas mal? Tu veux dire que cest une superbe femelle!
- une superbe pute, daprès ce que dit Rémy
- va falloir quon vérifie!
- on va lui en mettre plein le cul, à cette salope
»
En dépit des commentaires injurieux, jai osé lever les yeux sur mes spectateurs. Ben
Je devenais folle, ou quoi? Tout à lheure, ils étaient bien six! Pourquoi est-ce que jen comptais huit à présent? Dun air faussement assuré, jai demandé à Rémy:
-« Tout le monde est là, où tattends encore des gens?
- petite insolente! » ma répondu Rémy, « tu feras ce que je te dirai de faire! Mais puisque tu es si curieuse, sache quil manque encore mes copains du hand qui avaient un match ce soir et qui arriveront un peu plus tard
».
Mince! Une équipe de hand-ball, cest combien de joueurs, au fait? Je ne savais plus très bien, mais il ne fallait pas compter moins de six autres bonhommes. Jai de nouveau jeté un regard vers la réunion masculine. Ces 8 là, plus les handballeurs, plus celui ou ceux qui arrivaient, plus Rémy, ça faisait au moins à 16! Soudain, jai eu la trouille.
Quand Rémy est revenu près de moi après avoir été ouvrir, je lui ai murmuré discrètement:
-« Rémy, je ne veux plus
»
16 hommes au moins pour un premier gang-bang, cest un peu excessif, convenez-en! Déjà quavec Pierre et Rémy, je finissais sur les rotules, alors là
Et puis surtout javais honte. Honte de savoir que jallais sans doute adorer dêtre à leur totale disposition, honte de savoir que jallais sans doute jouir à nen plus finir sous leurs assauts, et ma dignité de femme refaisait surface une dernière fois. Le chant du cygne quand on voit la pute que je suis devenue
En tout cas, jai dû avoir lair drôlement convaincante, car pour toute réponse, Rémy a rigolé, il ma embrassé tendrement tout en me caressant la joue et ma répondu, assez fort pour tous puissent entendre:
-« Ne fais pas ta timide
Tous mes amis savent que tu aimes le sperme! Ne tinquiète pas, ils ne seront pas du tout choqués de te voir te goinfrer de leur semence! Je suis même sûr que si tu leur demandes gentiment, ils veilleront à ten donner plein
Pas vrai les gars? »
Lassistance a approuvé.
-« Te voilà rassurée? Allez, dépêche-toi daller les sucer, je suis sûr que tas le ventre qui gargouille dimpatience
» ma-t-il dit en passant sa main sur mon estomac.
Jai tout de suite senti des ondes de plaisir parcourir mon bas-ventre. Il sait y faire, ce petit salaud et il nen fallait pas plus pour que je cède! Je me suis avancée au milieu de la pièce en me déhanchant et en me caressant la chatte comme une salope, jai ouvert les pans de mon déshabillé pour faire apparaître ma vulve poilue et mes seins dont les tétons pointaient durement. En jetant des illades à lassistance, jai posé une jambe sur la table basse et jai ouvert avec mes doigts mes lèvres intimes, qui étaient brûlantes et toutes collées par ma mouille. Sentir tous ces regards sur moi, savoir que ces mâles étaient venus pour me sauter moi et moi toute seule, ça me rendait dingue dexcitation. Un copain de Rémy, le plus téméraire ou le plus excité par la scène, je ne sais pas, a sorti sa bite bandée à bloc et a commencé à se branler doucement. Il sest adressé à Rémy:
-« Elle accepte tout, tu disais?
- absolument tout! » a confirmé Rémy. «Vous pouvez lenculer, la baiser, vous faire sucer ou branler, seuls ou à plusieurs. Et nhésitez pas à lui gicler dans les trous, elle adore ça! Hein traînée?
- Javale aussi
» ai-je précisé, soucieuse quils noublient pas ma gorge assoiffée
-« Ah! Ah! Viens me montrer ça! » sest exclamé le copain de Rémy.
La vue de cette queue prête à cracher son jus a achevé danéantir ma maigre résistance. Sur un signe de tête de Rémy, je suis allée minstaller entre les jambes du jeune homme, je lai débarrassé de son pantalon et de son caleçon et, en bonne élève appliquée, jai commencé par lécher ses bourses poilues.
-« Eh, les mecs! Zavez-vu ça? Cette salope me bouffe les couilles! » a-t-il commenté.
Des ricanements et des insultes ont fusé. Sil ne fallait que ça pour les impressionner, ils nallaient pas être déçus du reste! Après quelques instants, jai englouti la bite qui sest mise aussitôt à gonfler et à tressauter. Bon signe! Tout de suite, je me suis mise à saliver comme une chienne car je savais que cétait le signe précurseur dune bonne rasade de foutre chaud au fond de ma gorge! Elle est arrivée, abondante, un peu liquide et presque sucrée. Jai dégluti sagement puis je suis passée à la bite dà côté. Celle-là non plus na pas été longue avant de menvoyer sa purée. Cette fois, cest un jus très âcre et très épais qui a empli ma bouche. Surprise, je découvrais que tous les spermes navaient ni le même goût, ni la même consistance. Du coup, je me suis ruée sur une troisième queue alors que javais à peine fini davaler le sperme de la deuxième, tellement jétais pressée de tous les goûter.
Toujours à genoux, Rémy ma ordonné de me mettre en levrette en écartant bien les cuisses. Pendant que je continuais ma pipe, les autres sont passés derrière moi et ont admiré lintérieur de ma fente que Rémy maintenait ouverte avec ses doigts. Jai senti dautres doigts sintroduire dans mon vagin ou titiller mes petites lèvres et mon clitoris, et je coulais comme une fontaine. Des mains ont caressé mes seins au travers de mon déshabillé; parfois, on me pinçait mes tétons raides dexcitation, ce qui me faisait grogner de contentement. Deux autres types ont encore gratifié ma bouche du contenu de leurs testicules puis, dans ma position de chienne, avec une bite dans la gueule, jai pris ma première queue de la soirée dans le vagin. Un des copains de Rémy venu se placer contre mes fesses et il ma enfilée dun seul coup. Jai poussé un soupir de soulagement davoir la chatte enfin remplie: ça commençait sérieusement à me gratter lintérieur du con! Hélas, mon baiseur na pas pu résister très longtemps aux contractions et à la chaleur de mon vagin quil a inondé de sa jute au bout de quelques instants seulement. Il a été suivi de près par celui que je suçai. Farcie par les deux bouts, jai quand même eu un orgasme fantastique! Le type que je suçai a fini de se vider, il sest retiré et un autre la aussitôt remplacé. Mon vagin non plus nest pas resté vacant très longtemps avant quune autre queue vienne le combler. Celui qui me baisait ma traitée de vide-couilles en éjaculant en moi. Ce terme ma électrisée et je me suis mise à hurler :
-« Ouiiii ! Je suis un vide-couilles ! Je veux que vous veniez tous décharger dans mes trous de pute
Aaah! Tout ce foutre dans vos couilles! Je ferai tout ce que vous voudrez
remplissez-moi à ras-bord... »
Je crois que les copains de Rémy ont été sur le moment un peu surpris, car cest le silence qui a accueilli mes cris de chienne en rut. Heureusement, lun deux a tout de même fini par dire:
-« Tinquiète, on va ten donner!
- Regardez les gars, elle a la chatte qui déborde
» a ajouté le type qui venait de se vider tout au fond de ma matrice.
Je sentais en effet que ma moule commençait à dégorger les giclées que lon venait à peine de lui administrer. Le sperme sécoulait le long de ma vulve et venait noyer mon clitoris avant de tomber sur le sol. Instinctivement (je parle dun instinct de putain), jai porté la main à mon entrejambe pour récupérer le foutre que jai ensuite léché avec gourmandise. Ce que cest bon davoir le vagin plein de sperme! Les garçons ont applaudi mon initiative de salope, puis lun deux a pris place pour me baiser encore. Au total, tous les copains de Rémy me sont passés dessus une première fois, jouissant ou dans ma bouche, ou dans ma chatte.
A la fin, Rémy ma demandé de mallonger sur le tapis, les cuisses bien écartées pour exhiber ma chatte engluée de foutre. Je ne me suis pas faite priée et jai même tiré sur mes lèvres vaginales en relevant mon bassin pour quils puissent mieux voir! Je me sentais bien dans mon rôle de salope et je voulais les exciter pour jouir encore. Puis Rémy, qui était le seul à ne pas mavoir encore juté dedans, ma dit:
-« je taurais bien fait du broute-minou, mais vu létat de ta chatte, va falloir songer à autre chose
»
Les invités ont pouffé tandis que Rémy ma fait me remettre à quatre pattes. Je minterrogeais sur le trou quil allait choisir. Jai vite eu la réponse quand il a enduit mon anus de sperme! Après quelques efforts, mon cul déjà bien entraîné a absorbé sa queue épaisse jusquà la garde et jai émis de petits glapissements de chienne quand Rémy a entamé son va-et-vient.
-« écoutez la petite chienne comme elle est heureuse quand elle a une bite dans le cul! Taimes ça, hein, salope?
- Oui, mon amour, encule-moi bien, jadore ça
- moi aussi jadore ça, enculer une pute avec du sperme plein la chatte
»
Rémy a continué, il prenait son temps et jouait vicieusement avec mon cul. A chaque mouvement, il veillait à bien faire ressortir sa queue de mon anus pour me la remettre aussitôt en senfonçant le plus loin possible. Cette sodomie exquise, en public de surcroît, me rendait lascive au plus haut point. Je bougeais mes fesses pour aller à la rencontre de la bite de mon amant et je gémissais en cadence, cest-à-dire à chaque fois quelle était bien au fond de mon trou. Soudain, Rémy sest retiré de mon cul et il ma pénétré le vagin en éructant:
-« Tiens, prends aussi mon sperme dans ta chatte de pute! »
Jai joui en sentant sa semence asperger mon utérus. Je suis restée un moment à quatre pattes, abasourdie, puis jai regardé autour de moi et jai pu constater avec ravissement que les premiers à qui javais servi de déversoir étaient prêts pour maccorder dune deuxième tournée de jus de couilles. En attendant, Rémy a collé trois doigts dans ma chatte visqueuse puis les a retiré en disant:
-« Bien fécondée, la femelle
Heureusement quelle est sous stérilet : si elle tombait enceinte, cette pute ne saurait pas qui est le père ! On va la vider un peu
»
Rémy ma relevée et ma faite asseoir sur un fauteuil dans sa position favorite: les jambes bien écartées et posées sur les accoudoirs! Avec la cuillère souple dont il se servait de temps en temps (et dont je vous ai déjà parlé), il est allé récupérer le foutre qui baignait au fond de ma chatte pour le porter à ma bouche avide. Il sy est repris à six ou sept fois tellement jétais pleine! Je me suis régalée dautant plus que ma chatte avait conservé le foutre bien au chaud (même si je suis une bouffeuse de sperme insatiable, je déteste quand il a refroidi; hélas pour moi, Rémy sen moque éperdument
). Mes baiseurs ont assisté à la scène complètement médusés. Jétais très fière de mon effet, et jai décidé de continuer à leur en mettre plein la vue.
Une fois la jute passée de ma chatte à mon estomac, deux gars à la queue dressée se sont approchés pour se mettre de part et dautre de mon visage, et lorgie a repris. Je crois que pendant les trois heures qui ont suivi, ma bouche nest pas restée vide plus de cinq secondes, car il y avait toujours une bite à téter ou une paire de couilles à dorloter. Quant à mes cuisses, je nai pas pu les refermer un seul instant à cause des queues qui occupaient en permanence ma chatte ou mon cul. Assise sur le fauteuil, ma bouche passait alternativement de la bite de gauche à celle de droite pendant que face à moi, un homme me défonçait un des mes orifices, le plus souvent mon cul. Bien vite, je me suis aussi retrouvée avec une queue dans chaque main, puis comme Rémy a estimé que ce nétait pas très pratique pour quils puissent profiter de moi correctement, il a étalé une couverture sur le tapis et je suis allée mallonger dessus.
Aussitôt sur la couverture, la ronde des doubles pénétrations (voire des triples, si on compte également ma bouche
) a débuté. Jai dû mallonger sur un type qui a fourré illico sa bite dans mon cul dilaté et un autre sest introduit dans mon vagin tandis deux compères me maintenaient les jambes bien ouvertes. Jétais traitée comme une vraie poupée à sperme, docile et accueillante! Dans la mesure où ils avaient déjà tous joui une fois, la deuxième série de pénétrations a été autrement plus longue que la première. Mes muqueuses, avec toutes ces queues qui me limaient, commençaient à être à vif, mais je savais quil était inutile de demander grâce car je naurais pas eu droit à dautres réponses que: « ferme-là et suce, salope! ». Ils mont utilisée à leur guise et la soirée a été orgiaque: jai encore sucé, jai été baisée et enculée, jusquà ce que leurs burnes soient à sec. Entre-temps, léquipe de hand était arrivée. A un moment, deux potes de Rémy ont eu lidée de me fourrer le vagin tous les deux en même temps. Il était tellement lubrifié par le sperme quil a laissé passer les deux queues sans difficulté. Jai adoré être ainsi remplie, et jai poussé de petits halètements de chienne pendant tout le temps où ils mont besognée! Rémy, très excité, sest approché pour se faire sucer. Quand les deux mâles ont joui dans mon orifice, jai abandonné la queue de Rémy pour lui murmurer:
-« Oh, mon dieu, ils me jutent dedans
ta pute est remplie de sperme, Rémy chéri, cest si bon
»
Ces deux salauds mont tellement dilaté la chatte que les autres ont estimé quelle nétait plus bonne à rien. Du coup, ils se sont concentrés sur mon petit trou qui, malgré le passage incessant des bites, restait plus serré. Au bout du compte, jai joui par le cul à nen plus finir! Lui aussi a eu sa dose de foutre! Quand tous eurent bien profité de moi, je me suis effondrée comme une masse à même la couverture, suintante de sperme par tous les orifices. Hélas pour mes pauvres orifices endoloris, ce repos a été de courte durée. Je nai pas tardé à être réveillée par une bite qui cherchait lentrée de mon conduit vaginal. Jai dinstinct écarté les cuisses pour faciliter sa pénétration et tous les hommes présents me sont encore repassés dessus, dont deux fois pour certains!
Au petit matin, Rémy a estimé que cela suffisait. Mon déshabillé était luisant de sperme, tout comme mes bas dont les attaches de porte-jarretelles étaient défaites, ou mes orifices endoloris qui suintaient de jus. Les derniers participants sont partis et nous sommes allés nous coucher. Enfin, je devrais dire que Rémy est allé se coucher, parce que moi, jai dû dormir sur la couverture souillée de foutre. Je men fichais, jétais tellement épuisée que je me suis endormie rapidement, après avoir savouré pendant quelques instants les effluves de sperme qui se dégageait de ma couche.
Vers midi, mon portable ma réveillée. Cétait mon mari qui mannonçait que sa réunion était annulée et quil rentrait. Celle-ci devant, daprès mes souvenirs, se passer à Rouen, il lui faudrait environ une heure avant dêtre à la maison, et vu le bazar qui y régnait, la panique ma vite envahie. Je suis allée précipitamment alerter Rémy qui a aussitôt bondi de son lit pour me donner un coup de main, tout aussi affolé que moi. Nous avons fait le plus gros, mais quand mon Guy est arrivé, je navais pas encore eu le temps de me doucher. Je puai le sperme, mais mon mari na pas semblé sen apercevoir. En revanche, une tâche de sperme maculait son fauteuil préféré, celui sur lequel son épouse sétait faite enfiler à la chaîne la veille au soir, et il la remarquée. Devant son étonnement, jai bafouillé que cétait une tâche de crème glacée. « taurais pas pu trouver plus con ? » ai-je immédiatement pensé. Pourtant, cest passé. Guy a râlé contre ma maladresse, puis il sest assis en poussant un long soupir. Quant à moi, je décidai de ne pas tenter le diable plus longtemps et je suis allée prendre ma douche.
Rémy, qui était censé être à la fac, sétait éclipsé peu avant le retour de son père. En rentrant, il était un peu inquiet de la réaction de son père. Quand il ma demandé, jai été prise dun violent fou rire, et cest avec beaucoup de mal que je suis parvenue à lui raconter lépisode de la tâche de « crème glacée »
-« ton père est le roi des cons ! » ai-je conclu, rieuse, tandis que je magenouillai devant Rémy. Jai pris un plaisir infini à lui pomper la bite avec amour et jattendais impatiemment quelle me crache son onctueuse purée.
-« Alors, salope, on oublie les règles ? »
Zut ! Je ne pouvais pas me faire gicler dans un de mes orifices si je ne portais pas de bas, je le savais. Son père était dans le salon, et il y avait peu de risques quil monte à létage. Jai lâché la queue de Rémy pour enfiler une paire bas auto-fixants noirs (dans ces circonstances, mon maître les tolérait). Je lai rejoint dans sa chambre. Là, je me suis lovée contre sa jambe, ma bouche à bonne hauteur, et jai pompé son gland comme un veau pompe le pis de sa mère, malaxant ses couilles recouvertes de ma salive. Sa décharge est arrivée, abondante, et jai tout englouti en gémissant de bonheur. Un instant après, mon mari mappelait du salon pour savoir à quelle heure le dîner serait servi. Cest vrai, manger, je ny pensais plus! Rémy ne mavait pas menti, je navais rien avalé dautre que du sperme depuis les dernières 24 heures, et je navais même pas eu faim!
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