Transformation 3

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Depuis l’achat de ses boules de geishas, notre sexualité avait changé du tout au tout. Sophie s’habillait de plus en plus sexy, ne portant que des bas avec porte-jarretelles ou guêpière ainsi que des chaussures à haut-talons, jamais moins de 15cm et jusqu’à 18cm. De temps en temps elle sortait en tenue de salope, chemisier transparent sans soutien-gorge et pas de string sous sa jupe. Elle savait que cela m’excitait. De mon côté, je me retrouvais au chômage et je passais tout mon temps libre à la maison, effectuant les tâches ménagères afin d’en délester Sophie. Ma récompense venait du fait qu’elle prenait un plaisir à m’enculer avec différents godes qu’elle achetait sur internet. Il faut dire que j’étais devenu accro à la sodomie, j’aurais fait n’importe quoi afin que Sophie continue à m’enculer.
Sophie venait de changer de directeur à son travail, l’ancien étant parti à la retraite. Son nouveau patron s’appelait Pierre, un quadragénaire fraichement divorcé et très séduisant dixit Sophie. D’ailleurs celle-ci s’habillait de plus en plus sexy pour aller à son travail. Un jour je la vis mettre un soutien-gorge redresse-seins.
-Tu vas au travail avec ça ?
-Oui cela plait à Pierre, ça peut servir pour mon avancement.
Je n’osais rien dire car Sophie, depuis qu'elle m’enculait, avait pris un net ascendant sur moi, révélant ma nature de soumis. Sophie me tenait par le gode et elle le savait.
Un samedi soir, jour de mon anniversaire, nous avion finis le gâteau et Sophie me tendis mon cadeau. Je l’ouvris et découvris un bijou d’anus, un rosebud.
-Il te plait, j’ai pris un assez large, 6cm. Je sais que tu aimes que ton cul soit bien rempli.
Je rougis, elle avait raison.
-Tu ne l’essayes pas ?
-Si.
Je me dévêtis et Sophie enduit le bijou d’huile et vint me l’enfoncer dans mon anus qui maintenant acceptait d’être pénétré assez facilement.

Une fois bien enfoncée, Sophie m’amena devant la glace de notre chambre.
-Cela te fait un joli petit cul mon chéri.
C’était vrai le bijou, de couleur jaune, ornait parfaitement mon anus.
-Attends-moi là mon chérie.
Sophie alla dans la salle de bains et en ressortis un moment après, seulement vêtue d’une guêpière seins-nue, bas et d’une paire de hauts-talons d’au moins 20cm, 22cm me précisa-t-elle un peu plus tard. Mais surtout elle était maquillée outrageusement et sa chatte était entièrement épilée.
-Qu’as-tu fais à ta chatte ?
-Ah oui, je l’ai épilée, vient toucher comme elle est douce.
Effectivement je passais ma main sur sa chatte qui était d’une incroyable douceur.
-Et ma tenue, mon maquillage, tu en penses quoi ?
-ça fait un peu pute, non ?
-Ah merci, c’est justement ce que je voulais. Depuis son divorce, Pierre se paye des call-girls et comme tu ne travailles plus j’ai acceptée d’être sa call-girl ce soir. Il paye bien, regarde.
Elle me tendit un chèque. Effectivement la somme était rondelette.
-Et puis cela te fera un beau cadeau d’anniversaire d’être cocu.
Je la vis mettre son manteau.
-Tu ne mets que ça.
-Ben oui, pour ce que l’on va faire avec Pierre, cela suffit et n’oublie pas que je suis une pute.
Elle sortit de l’appartement me laissant tout seul, nu avec un plug dans le cul et le chèque en main. J’avais une forte érection et je dus me branler pour me calmer. Après avoir joui je me sentis un peu honteux a l’idée d’être excité par le fait que me femme aille faire la pute. Sophie rentra vers trois heures du matin, je ne dormais pas, je l’attendais sur le canapé du salon, toujours nu et mon plug dans le cul.
-Oh mon chérie, tu ne dors pas ?
-Non, je t’attendais.
-J’ai passé une soirée formidable, Pierre est un sacré amant. Il m’a prise par tous les trous, le salaud.
Je vis des traces de sperme sur ses cheveux et son visage. Je lui en fis la remarque.

-Oui, c’est un cadeau de Pierre pour toi, je lui ai dit que c’était ton anniversaire et il a tenue à éjaculer sur mon visage en me faisant promettre que je ne me laverais pas avant demain. Il m’a dit que cela t’exciterais et vu la taille de ta bite, je vois qu’il avait raison.
Effectivement je bandais à mort. Sophie se pencha vers moi pour me sucer. J’éjaculais dans sa bouche et elle avala tout. Nous allâmes ensuite nous coucher enlacés comme deux amoureux.
A partit de ce soi la, Sophie se mît à faire la pute pour Pierre assez régulièrement et même des week-ends entier. Dans ces cas-là, elle me ramenait toujours un cadeau pour mon cul, gode ou plug. Un soir après un de ces week-ends, Sophie me tendit un paquet. Il contenait un costume de soubrette avec des bas, un corset et des escarpins.
-Qu’est-ce que c’est ?
-C’est pour toi mon chérie. Avec Pierre on a pensé que tu t’ennuyais seul le week-end, alors Pierre veux bien t’embaucher comme soubrette mais pour ça il faut que tu portes ce costume.
-Mais je suis un homme, pas une soubrette.
-Ecoute, tu ne travailles plus et c’est l’occasion de gagner de l’argent et vu le plaisir que tu prends dès que je t’encule, tu peux bien te vêtir en soubrette, en plus il n’y aura que Pierre et moi.
Je dus me soumettre. Je mis l’habit de soubrette puis les bas avec le corset que Sophie me laça. Le contact des bas sur mes jambes me fit bander.
-Ah tu vois que tu aimes ça ? J’en étais sure, tu n’es qu’une petite lopette.
Elle avait raison, j’aimais ça. Je mis les escarpins, 10cm de talons. J’eus du mal à marcher avec.
-Cela viendra me dit Sophie, on va t’entrainer. A partir de maintenant, corset tous les jours même dans la rue et escarpins à la maison.
L’entrainement dura six bon mois. Tous les matins Sophie me laçait le corset et je marchais en escarpins dans l’appartement, je tenais maintenant facilement sur des 18 cm et je pouvais marcher avec des 20cm. Cela cambrait bien mon cul, me disait Sophie.
J’étais aussi entièrement épilé, mes jambes étaient toutes douces.
-Je pense que tu es prêt me dit Sophie, j’en ai parlé à Pierre, ce week-end tu viendras faire la soubrette pendant que je ferais la pute.
Ce fût le samedi après-midi que nous arrivâmes chez Pierre. Celui habitait une belle villa en banlieue. Il était absent mais Sophie avait les clés. Elle m’expliqua que nous devions tout préparer pour son retour vers 19 heures.
-Viens avec moi je vais t’habiller me dit Sophie.
Elle m’entraina dans une chambre et je me dévêtis puis Sophie me laça le corset, j’enfilais mes bas et elle me tendit un shorty en dentelle.
-Tiens, cela mettra en valeur ton petit cul.
Puis elle me donna une perruque noire cheveux court, me maquilla et enfin me tendis une nouvelle paire d’escarpins, talon 20cm. Enfin j’enfilais ma tenue de soubrette avec tablier blanc et la petite coiffe dans les cheveux.
-Tu es très « bandante » mon chérie, je pense que tu vas plaire à Pierre.
Sophie me conduisit ensuite à la cuisine.
-Voilà tout est prêt, Pierre a fait venir un traiteur, tu n’auras qu’à nous servir. Pour la soirée tu t’appelleras « Aline ». Je vais aller me préparer, lorsque Pierre arrivera, tu iras lui ouvrir.
Je me retrouvais seul, dans la cuisine de l’amant de ma femme, en tenue de soubrette. Soudain j’entendis la porte s’ouvrir. Je me rendis dans le salon et je vis Pierre, c’est vrai qu’il était séduisant.
-Bonjour Monsieur.
-Ah vous devez être « Aline », vous êtes ravissante, très sexy.
Je rougis. Cela me plaisait de recevoir des compliments en tant que femme. A ce moment la apparut Sophie, elle était vêtue d’un ensemble résille transparent de la tête au pied avec ouverture au niveau de son cul et de sa chatte, et bien sûr talons aiguilles de 20cm, très bandante la salope.
-Bonjour mon chérie, dit-elle en se jetant dans les bras de Pierre.
Ils s’embrassèrent goulument devant moi. J’en fus un peu jaloux mais excité aussi.

-Allez nous chercher un apéritif, « Aline ».
-Oui monsieur.
Quand je revins avec l’apéritif, Pierre était nu, assis sur le canapé, Sophie à ses genoux en train de le sucer. Je restais la, me délectant du spectacle de ma femme suçant un autre homme.
-Vous devriez venir l’aider, « Aline », au lieu de nous regarder bêtement.
J’obéis et m’agenouilla à côté de Sophie.
-Regarde comment je fais. Je pose délicatement mes lèvres sur le gland et j’entrouvre la bouche pour avaler tout cette queue puis je fais un mouvement de va et vient le long de cette colonne de chair.
Joignant le geste à la parole, Sophie avala la bite de Pierre devant moi, puis elle la tendit vers mon visage. Je fis comme elle m’avait dit, je posais délicatement mes lèvres sur le gland, comme pour l’embrasser, il était doux. Mon cœur battait fort dans ma poitrine, j’étais tout excité. Puis j’entrouvris les lèvres et la queue de Pierre pénétra ma bouche. A ce moment-là je compris pourquoi Sophie aimait tant sucer, c’était divin d’avoir ce morceau de chair bien dur dans la bouche. Je m’appliquais de mon mieux à sucer Pierre, soudain je le sentis se raidir, il grogna et je sentis ma bouche se remplir de son sperme. Je savais que pour être tout à fait une « bonne suceuse », je devais avaler, je le fis donc et trouva le gout délicieux. Sophie me pris par la main et m’entraina vers la cuisine.
-Je t’ai trouvé super mon amour, je suis sûr que tu aimes sucer ?
-Oui, tu as raison, j’adore ça.
-Et le goût du sperme ?
-Délicieux.
-Tu es une vraie salope, « Aline ».
-Merci.
Sophie se pencha alors, sortit ma bite du shorty et me suça, j’éjaculé assez vite mais au lieu d’avaler comme à son habitude, Sophie vint m’embrasse, la bouche remplit de mon sperme. J’en avalé une bonne gorgé. Sophie me sourit et retourna dans la salle à manger avec Pierre.
Je fis le service et pendant tout le repas, Pierre baisa Sophie dans toutes les positions, celle-ci criait son plaisir. Je bandais sec et je me surpris à aimer voir et entendre jouir ma femme dans les bras d’un autre. Quand je vins pour débarrasser le dessert je vis Sophie entièrement nue, sauf ses escarpins qu’elle avait gardée, en position de levrette sur le canapé.
-« Aline », déshabillez-vous. Me dit Pierre.
J’obéis et me retrouvais nu moi aussi avec mes escarpins.
-Mettez- vous à coté de cette pute, je vais vous enculer toutes les deux.
Je me mis à coté de ma femme, elle me sourit. Pierre encula d’abord Sophie, il lui disait des mots crus, la traitant de pute, de petite enculée, qu’elle n’était qu’un trou à bites. Sophie gémissait et lui répondait qu’elle était une chienne obéissante, qu’elle aimait se faire enculer. Je n’avais jamais osé dire de tels mots à ma femme et Sophie ne m’avait jamais parlé ainsi, cela me troublé et m’excité beaucoup.
-Maintenant je vais m’occuper de ton petit cul de salope « Aline », on va voir s’il est aussi bon que celui de cette pute.
Pierre se plaça derrière moi, posa sa bite sur mon petit trou, m’agrippa par les hanches et m’encula d’un seul coup. J’eus un peu mal, mais très vite je ressentis le plaisir d’être enculé, c’était beaucoup mieux qu’avec les godes de Sophie. Comme avec Sophie, Pierre n’arrêta de me traiter de pute, de salope jusqu'à ce qu’il éjacule bruyamment dans mon cul.
Nous étions tous les trois rassasiés de sexe, mais avant de partir Pierre décida que nous devions nous habillés toutes les deux avec la même tenue, corset, bas, petite robe noire moulante, sans culotte et escarpins de 20 cm. Nous prîmes congés de Pierre et nous nous retrouvâmes dans la rue, Sophie et moi, vêtue comme les deux putes que nous étions. Nous dûmes marchés un petit moment pour arriver à la voiture, heureusement qu’à cette heure tardive la rue était déserte. Cela me plût de marcher dans la rue habillé en femme. Sophie remarqua que je bandais.
-En fait tu n’es qu’une salope de travesti, tu aimes autant la bite que moi ?
-Oui c’est vrai, j’ai adoré la queue de Pierre.
Arrivé à la voiture Sophie retroussa sa robe et se pencha en avant sur le capot de la voiture.
-Encule moi salope, il me faut ta bite dans le cul.
Je retroussais ma robe, moi aussi et enfilait ma bite dans le cul de Sophie. Elle hurla sa jouissance tandis que je lui éjaculais une grosse quantité de sperme dans son cul.
Nous rentrâmes enfin à la maison ou nous nous endormîmes épuisés après cette belle et jouissive soirée de travail.

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