Un Si Bel Été, Et Ses Suites (8)
Un si bel été, et ses suites (8)
Ce week-end inattendu mavait perturbé. Javais dabord été choqué et un peu fâché des indiscrétions qui avaient révélées ma relation avec Cécile. Mais réflexion faite et comme ça avait eu lair de leur faire un effet aphrodisiaque, cela mavait offert une occasion inespérée de faire lamour avec mes tantes. La question qui se posait à présent ! me serait-il possible de récidiver ? Avec ma tante Aline cela paraissait peu probable, elle me lavait clairement fait comprendre. Mais avec Julie ? Elle ne mavait pas semblé fermer la porte à cette éventualité mais ny avait pas non plus fait précisément allusion et comment en avoir le cur net ? En ce début de semaine, je tournais la question dans ma tête : Julie attendait-elle un signe de ma part ou serait-ce elle qui ferait un geste ? Je finis par décider de passer à la librairie quelle gérait avec ma mère.
Julie my accueille comme dhabitude, cest-à-dire comme une tante accueille son neveu. Je traine dans les rayons, je feuillette un ou deux livres, en réalité je guète un signe de Julie. En vain, car elle vaque à ses occupations sans plus prêter attention à ma présence.
Enfin une occasion me semble offerte : Ma mère est occupée avec un client et ma tante se dirige vers la pièce qui, au fond de la librairie, sert de réserve. Je prends mon courage à deux mains, je la rejoins et quand elle se retourne je tente maladroitement de lembrasser. Elle esquive en douceur :
« Non, garçon, pas comme ça, pas ici. Je naime pas les petits coups vite fait. Mais peux-tu passer chez moi un soir prochain ?
-Oui, bien sûr, Tatili !
-Alors demain soir, ça te va ? Nous pourrons prendre notre temps. »
Elle me caresse la joue et retourne à son travail. Je suis aux anges !
Jai dit à ma mère que je dormirais chez un copain, elle na pas eu lair dy croire mais imagine sans doute que je vais chez Cécile. Dans lascenseur qui memporte vers le petit appartement de ma tante, je suis de nouveau comme un gamin intimidé.
Celle-ci me fait entrer, pose un rapide baiser sur mes lèvres et minvite à me mettre à mon aise. Il fait chaud, en effet, et jôte mon blouson et mon pull. Elle-même est en jeans et T-shirt
« Jen ai pour une minute et je suis toute à toi. Je nous ai préparé quelque chose de tout simple, sers-toi un verre de rosé en attendant. »
Plus que de boire ou de dîner, javoue que jai hâte en effet quelle soit « toute à moi » !
En finissant de disposer quelques assiettes de tapas sur la table, elle me demande :
« Alors, comment vas-tu, depuis dimanche ? »
Je lui avoue avoir beaucoup pensé à elle et à ce qui sétait passé, que ça mavait énormément plu. Sautant du coq à lâne, je lui raconte mêtre fait un peu mal aux reins en aidant maman à déplacer une lourde armoire.
« Oh, mon pauvre !
Attends, on va arranger ça ! Je suis la championne des massages. »
Elle me fait passer dans sa chambre, me dit de me déshabiller et de mallonger à plat ventre sur son lit. Comme, pris dun stupide accès de pudeur, jallais garder mon slip, elle rit : « Allez, garçon, à poil ! »
Elle-même retire son jeans et mapparait en petit culotte noire très mini. Elle se verse un liquide dans les mains, et me chevauchant, ses cuisses contre les miennes, entreprend de me masser. Elle me pétrit dabord assez énergiquement les reins, puis remonte lentement le long du dos en un effleurement plus doux. Elle fait à plusieurs reprise ce va et viens des reins aux épaules, alternant massage et léger pianotement des doigts. La douleur a vite fait place au plaisir des caresses et quand ses mains frôlent mes fesses, que lune delles se glisse entre mes cuisses jusquà mes testicules, mon érection est complète depuis longtemps et mon sexe est bien dressé lorsque Julie me fait me retourner. Tout en me prenant un téton entre les doigts et après mavoir rappelé quelle ne voulait pas de sperme dans la bouche, elle se penche et, du bout de la langue, titille mon gland.
« Tu es satisfait de mon massage, garçon ? ça ta fait du bien ? Alors on va pouvoir passer à table en attendant la suite.
Si tu nas pas froid, ce serait amusant de dîner nus, tu ne crois pas ? »
Joignant le geste à la parole, elle ôte son T-shirt, libère ses jolis petits seins tout ronds de leur soutien-gorge et retire sa petite culotte.
Cest ainsi que moi qui était encore puceau trois mois auparavant, je me retrouve ce soir à table, tout nu face à ma tante dans la même tenue.
Nous parlons de choses et dautres, nous évoquons des souvenirs :
« Tu étais un gamin adorable, et Jacqueline était fière de son bébé. Elle te couvait.
-Jaimais bien te voir, Tatili. Tu me faisais sauter sur tes genoux.
-Tu te souviens de ça !
-Oui. Et quand tu me faisais faire ma toilette
-Ah oui ! Jusquau jour où jai vu ton petit zizi tout raide. Quand jai raconté ça à Jackie, elle en a ri, mais nous avons compris quil valait mieux que je ne te donne plus le bain. Tu tes bien développé, depuis, ajoute-t-elle en riant, je ne laurais pas reconnu. »
Elle a tendu la jambe sous la table et posé doucement son pied sur mon sexe.
« Tu ne crois pas quil serait temps de retourner au lit, Nicolas » ? »
Je suis tout-à-fait daccord. Bakounine se lève lui aussi, nous suit dans la chambre et se couche sur son tapis, au pied du lit.
Nous sommes étroitement enlacés, corps contre corps, je sens ses seins contre ma poitrine, nous nous embrassons passionnément.
Nous restons immobiles, essoufflés, lun contre lautre. Elle a posé une main sur mon sexe désormais au repos contre mon ventre, la mienne est sur sa chatte trempée de sa mouille et de mon sperme mêlés.
« Eh bien, garçon, cétait parfait ! »
Venant delle, et compte tenu de son expérience, ce compliment me remplit de fierté.
Nous avons dormi et je suis tiré du sommeil par une voix douce et lodeur du café. « Room service, monsieur. » Julie sassoit sur le lit et me tend une tasse. Elle est toujours nue et je ne peux mempêcher de ladmirer encore une fois. A-t-elle remarqué, sous le drap ; la bosse que fait mon sexe tendu.
Je ne me fais pas répéter linvitation. Comme, allongée près de moi, elle ma tourné le dos, je présente mon gland contre lorifice convoité. Je progresse lentement, mais ma verge entre sans aucune difficulté, moins à létroit même que de lautre côté. Dès que jentreprends mon va-et-vient, ma tante se met à ronronner, signe de plaisir que je commence à reconnaitre. Son anus se serre et se desserre ; imprimant régulièrement une pression sur ma queue. De plus en plus excité, jaccélère la cadence. Bientôt nos gémissements se mêlent et je jouis en même temps que Tatali écrase ses fesses sur mon ventre en râlant, emportée par un violent orgasme. Je reste en elle jusquà ce que son anus rejette ma verge ramollie.
« Oh la la, quel orgasme ! » dit simplement Julie.
Se levant, elle ajoute :
« Cest une excellente façon de commencer une journée. Mais à présent, il faut que je me dépêche. Jackie va ouvrir la librairie, mais je ne peux pas lui laisser tout le travail sous prétexte que jai baissé avec son fils. Je prends une douche vite fait et je me sauve. Mais toi, prends ton temps, Nicolas ; tu nauras quà tirer la porte en partant. »
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