Collection Histoire Courte. Madame Henriette (1/1)

• Bonjour, madame Henriette, puis-je vous demandez un service.
• Bien sûr, monsieur Robert, vous savez que vous pouvez tout me demander.
Depuis la mort de mon mari, je suis seule tous les week-ends.
Bonjour Yann, tu es avec ton papa !
• Non, madame Henriette, c’est pour lui que je suis là.
Je dois partir pour deux jours et Yann doit travailler son bac.
Si je le laisse seul, je suis sûr qu’il va sortir et dans deux mois, il loupera son bac et terminé l’école d’ingénieurs où il est inscrit.
Si vous acceptez, vous lui trouvez un coin où il pourra travailler sur son ordinateur.
Attention regardez régulièrement sur quel site il travaille.
Il sait où se trouvent les films pornos.

Je m’appelle Yann, mon père à raison, à 17 ans, j’ai pris l’habitude de glander et de m’occuper des filles plutôt que mes cours.
Venir demander à Henriette sa veille secrétaire, c’est une véritable punition.
J’ai refusé de le suivre avec mes affaires, mais il m’a menacé de me priver de mes 1 000 € d’argent de poche qu’il me donne sur mon héritage de ma mère morte lorsque j’étais petit.
Maman était riche et c’est lui qui a été désigné comme le tuteur légal de l’argent qu’elle a souhaité que je sois le seul héritier à ma majorité.
J’aime la fête, mais il est vrai qu’il faut que je me reprenne.
Maman souhaitait ma réussite dans la vie et une clause stipule que si je loupe mes examens, presque la totalité de ses biens iront à des œuvres caritatives.
Robert, mon père trop affecté par sa mort, refuse d’avoir une liaison durable et s’éclipse régulièrement en me laissant seul depuis mes 13 ans.
C’est à 15 ans, que j’ai commencé à déconner, lorsqu’il m’a acheté cet ordinateur portable.
On sait ce que, rapidement j’ai trouvé, avec aussi des sites de rencontres, ce qui m’a permis de perdre mon pucelage.
Un jour où ayant séché les cours, j’ai rejoint Maryse, une belle salope qui aimait tromper son mari.


Elle avait de gros seins ou j’aimais fourrer ma bite avant de la prendre jusqu’à la sodomie dont elle était une adepte.
Son mari était routier et je voyais des photos de lui partout, j’avais une grande hantise qu’il débarque et me fiche des mandales à me décrocher la tête.
Dès que j’ai ferré une autre salope, elle divorcée, je l’ai quitté avec une pointe de regret.
Papa parti, je m’installe sur le canapé alors qu’Henriette vaque à ses occupations.
De temps en temps, elle s’approche pour suivre les conseils de mon père, mais je suis sagement sur un site de math me démontrant que deux et deux font quatre.
Henriette porte le même tailleur quand elle a ouvert et que ceux qu’elle porte, dans l’étude de mon père, était sa secrétaire.
J’ai envie de m’amuser ayant assez travaillé.
Arriverais-je à dévoiler ses charmes, même sa chatte certainement vieille école avec une touffe comme il en existe dans les vieux films X ?
Elle vient de mettre le couvert, ça sent bon la blanquette de veau.
Chez nous, je mange des plats surgelés seuls nourriture que papa sait cuisiner.
Elle vient vers moi et regarde mon ordi posé sur mes genoux.
Mon plan est simple, je referme mon ordi sans le risquer qu’il coupe.
Elle avance sa main pour remonter l’écran.
Ma main part sous sa jupe cherchant sa petite culotte.
Merde, elle a la chatte libre de toutes entraves alors qu’elle est toujours restée dans la cuisine ou le salon salle à manger.

• Que fais-tu Yann, respecte la femme âgée que je suis, je vais le dire à ton père ?
• Tu rigoles, que dirait-il s’il savait que sa secrétaire ouvrait à ses clients la chatte à l’air !
Tu semble une adepte de la minette dénudée, depuis quand ?
• Tu as raison, depuis mon mariage, mon mari a voulu que je sois toujours disponible pour sa queue, c’est pour perpé son souvenir que j’ai continué à être nue sous mes tailleurs.
• Déloque-toi, je veux t’admirer nue !

Je pensais ça dure, mais j’enlève, ma main et veste et chemisier s’envolent.


• Yann, tu es si jeune et moi si vieille, tu me contrains à faire cela pour que je puisse garder mon emploi si proche de la retraite.
Tu sais depuis la mort de Raymond, tu es le premier à qui je montre mes seins, j’ai un peu honte.
• Allé à poil, je vais te rafraichir quelques vieux souvenirs, si depuis presque dix ans, tu as oublié d’être une femme.
Je vais t’enlever les toiles d’araignée qui doivent tapisser ta chatte.
Mais si j’ai bien compris, Raymond était un vieux vicelard.
• Oui et non, il aimait le sexe et moi aussi, on était fait pour s’entendre.
• Enlève ta jupe, non avant défait ton chignon.

Elle enlève quelques barrettes, ce que je pensais se produit une longue tresse, tombe jusqu’au creux de ses reins.
Je vais fréquemment sur un site de modèle se dénudant et s’exhibant devant des webcams.
Megany, c’est ma préférée, grande femme aux cheveux noirs, elle les déroule de temps en temps si les hommes derrière leur écran lui donnent des jetons qu’ils ont achetés avec leur carte bancaire.
Chaque mois, j’en achète pour 100 €, j’ai réussi une fois à ce qu’elle les déroule pour moi.
Ce soir-là dans ma chambre, mon sperme a giclé jusqu’à mon écran atterrissant sur sa poitrine qu’elle cachait en partie grâce à eux.
Si je suis là découvrant que la secrétaire de mon père est plus salpe qu’elle nous le montrait, c’est pour garder ces moments que je perdrais si papa m’ôte mon argent de poche.
Un peu moins long, il tombe jusqu’au milieu de son dos et lorsque je lui enlève l’élastique les tenants serrés, j’aime les voir s’épanouir tout autour de sa tête.
C’est moi qui dégrafe sa robe, je voulais la voir nue, ça été relativement facile que ce que je redoutais.

C’est elle qui défait la ceinture de mon pantalon avant de me sucer comme une véritable experte.
J’ai de la chance, Henriette a été parfaitement formée par Raymond son mari.
Elle me masturbe tout en me suçant.


• Qu’est-ce que je fais, j’avais perdu l’habitude de sucer des mecs !
• Des mecs, tu partouzais !
• Oui, dans un club échangiste pendant nos vacances, ils étaient comme des morpions autour de nous.
• Tu te faisais enculer.
• Arrête de me r, oui j’ai eu plusieurs hommes qui s’occupaient de moi, j’étais jeune et j’étais devenue la star de la boîte.
• Alors, montre-moi la salope que tu étais.
• Merci papa, de m’avoir puni de sortie, mets-toi à quatre pattes sur ton canapé, je vais te rajeunir la chatte.

Je l’ai prise classiquement pour cette première fois ensemble.
Dès que ma queue a été dans son vagin, je l’ai prise par ses cheveux regroupés dans ma main.
J’étais debout derrière elle et je les tirais à moi afin que mes coups de bite entre au plus profond que je pouvais.
Elle hurlait de plaisir pour mon plus grand plaisir à moi.
Je découvrais, elle redécouvrait la grande salope qu’elle avait été.
Un moment juste avant d’éclater vidant mon sperme dans son tabernacle, j’ai eu un doute qu’une femme aussi sensuelle que ma maîtresse était soit restée chaste toutes ces années.
Une grande gerbe de lumière et nous nous écroulons sur la banquette quand une dernière convulsion la traverse.

• Tu m’as donné faim petit salopard, ma blanquette va être cramée.

Elle était parfaite, nous sommes restés nus les deux jours.
Nous baisions dans la salle, dans la cuisine et dans son lit qui fut marital.
Nous mangions jusque dans ce lit, elle me donnant des bouchées, moi tartinant de la confiture sur ses seins que je tétais goulûment.
Elle avait des radis, je les mettais dans sa chatte et j’essayais de les retrouver avec ma langue.
Neuf fois sur dix, j’enfonçais ma mon jusqu’au poignet pour les récupérer.
Le reste du temps, elle me faisait réviser mes cours.
Dans sa jeunesse, elle avait été prof des collèges, mais la phobie des élèves l’avait contrainte à changer de métier et c’est là qu’elle est devenue veuve et secrétaire de mon père.


Le dimanche à quelques minutes du retour de mon père, nous prenons un bain, nous savonnant mutuellement.
Ça a été une dernière partie de trou du cul.
Erreur, de trou de chatte, elle m’a promis que je la sodomiserais si j’avais mon bac avec mention.
Quand papa est arrivé, il m’a sagement trouvé assis sur le canapé, mon ordi sur mes genoux.

Le lendemain j’ai fait un sac avec quelques affaires.

• Ou vas-tu ?
Tu sais ce que je t’ai dit si tu loupais ton bac.
• Oui, mais Henr...

J’ai failli dire simplement Henriette.
Je tousse et je me reprends.

• Madame Henriette a été prof des collèges et doit m’aider à réussir.
• C’est une brave femme, la vie a été dure avec elle.

Pauvre con, tu avais sous les yeux une magnifique salope qui aurait pu faire ton bonheur.
Tu me diras, c’est mieux que ce soit moi qui en profite.
Depuis deux jours où je me suis morfondu seul dans ma chambre, mon père a-t-il su que sa secrétaire est sans culotte comme moi je le sais.
Hier avant de me coucher, j’ai mis ma webcam et elle la sienne.
Elle m’a fait un strip allant même à se fister elle-même avec sa main ses cheveux en cascade autour de sa tête.
J’ai eu une érection et c’est elle qui a reçu mon sperme sur ses cheveux quand j’ai violemment déchargé.

• Je vais la rejoindre, elle doit me faire travailler un possible exercice de math incontournable pour le bac.
Demain, on est mercredi.
• Dis-lui que je lui donne sa journée, elle te fera travailler ce devoir plus longuement.

Heureusement, que je la sexe très souvent, car elle sait relancer ma libido entre deux petits plats ou jeux érotiques avec un concombre que je fais aller et venir dans sa chatte.
Lui a le droit de la sodomiser, rongeant mon frein, mais redoublant d’ardeur pour travailler mes cours.
Papa semble avoir assimilé que je vive une grande partie du temps chez sa secrétaire.

• Fiston, je te présente Olga, elle arrive de Russie et je vais l’épouser.
Je viens d’aller la chercher à l’aéroport.
Nous correspondions depuis des semaines et je lui ai payé le voyage pour qu’elle me rejoigne.

J’attends avec impatience les résultats de mon bac.
Reçu avec mention très bien.
Entre deux moments de sauterie russo-française.
Il fait sauter le bouchon de champagne avant de manger un bortsch suivi d’un Stroganov plat de bœuf très connu dans son pays par Olga, le changeant des surgelés ayant quitté son congélateur.
En dessert des Syrniki, gâteau qu’Henriette vient manger assise sur mes genoux sans que papa semble choquer.
Par chance l’école d’ingénieurs se trouve proche de chez ma maîtresse.
Je vais pouvoir conjuguer baise et études supérieures avec celle qui a quitté son travail remplacé par une jeune beauté, pour se consacrer à la gestion de mon héritage.
La seule chose qu’elle a acceptée, c’est que je lui paye ses points de retraite pour qu’elle assure ses vieux jours si la situation évoluait défavorablement.
Pourquoi le ferais-je, je la sodomise régulièrement ?
Quand nous avons envie que je me détende, nous allons dans un club échangiste non loin d’ici.
Nous y sommes depuis une heure.
Vous m’excuserez de vous quitter une jolie blonde assise poitrine dénudée en forme de poire, en la piscine me fait signe de la rejoindre.
Je vais pouvoir la baiser tout en regardant Henriette, ses seins légèrement tombants, ce qui m’excite au plus haut point, se faisant prendre par deux forces de la nature en double pénétration.

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