Leslie Su01
Leslie SU01 Sumalee, déception et tristesse
Depuis le temps que vous lisez mes histoires, vous savez que je partage ma vie avec Laure, et quentre nous, cest open : Pas de tabous et une liberté totale de faire ce que lon veut, quand on le veut.
Nous sommes ensemble depuis maintenant deux ans, nous vivons à Paris, mais tout cela vous le savez déjà.
Vendredi dernier, javais oublié mon portable dans ma chambre, et comme cest le mois daoût à Paris, je décidais de passer le récupérer entre midi et deux. Ca roule bien, donc pas de problème de circulation. Laure devant rentrer en fin de journée, je mangerais sur le pouce, seule dans lappartement.
En rentrant, mon attention fut attirée par un bruit qui venait de la chambre de Laure. Immédiatement, je me dis que cette salope devait se taper une nana ou un mec, et me tromper sans me lavoir dit.
Je me rapprochai donc de la chambre de Laure à pas de loup et jetai un il par lentrebâillement de la porte. Et là, ce que je vis ? Un mec en 69 avec ma chérie, un mec quelle mavait présenté comme une relation de travail.
Elle avalait sa queue, lui caressant les fesses et lui léchait les couilles. Je vis le mec descendre jusquau petit trou et tenter de lui enfoncer la langue.
Il y déposa beaucoup de salive puis, en même temps quil la suçait avec sa bouche, il lui enfonça son majeur dans le cul et commença alors des va-et-vient rapides, et aux cris que poussait Laure, je compris que ça lui faisait de leffet.
La situation ne dura pas longtemps ainsi, ils partirent tous les deux à lunisson et je vis Laure déglutir plusieurs fois pour ne rien perdre de ce que le lascar venait de lui envoyer dans la bouche.
Ils se redressèrent et se mirent face à face pour se rouler une pelle magistrale, puis Laure le reprit en bouche jusquà redonner à sa queue la vigueur suffisante pour continuer les ébats.
Le mec lui dit alors :
"Tournes-toi que je tencule"
Elle se retourna et dit :
"Oh oui, vas-y, encule moi à fond"
Il prit le tube de lubrifiant que Laure lui tendait et commença à lui enduire la rondelle, puis lentement, il lui introduisit son majeur, puis son index, et il fit quelques aller-retours rapides.
Jugeant sans doute, que Laure était prête, il se positionna derrière elle et je vis son gland sécraser contre la rosette de ma chérie.
Rapidement, les fronces disparurent et le sphincter cédant, le gland entra dans le cul de Laure.
Le mec fit une pause de quelques secondes puis dun coup sec, senfonça jusquà la garde dans le boyau de Laure. Cette dernière poussa un hurlement, certainement de surprise, car aussitôt elle dit :
"Oh mon salaud, vas-y maintenant, démonte-moi le cul"
"Avec grand plaisir, mon chou", Lui répondit-il.
Jassistai alors à un déchaînement. Il pilonnait le fion de Laure à une vitesse folle. Aux hurlements quelle poussait, je compris quelle prenait un pied denfer.
Après un temps que je serais bien incapable de déterminer, il la retourna, dos sur le lit, jambes repliées, et à nouveau lembrocha à fond, en reprenant son rythme endiablé.
Au bout de quelques minutes, ils poussèrent ensemble ces cris caractéristiques de lorgasme. Il se retira du cul de ma belle et je vis sa rondelle complètement dilatée laisser échapper la jouissance du type.
Il se pencha pour aller lembrasser tendrement.
Lentement, sans bruit, je méclipsais de lappartement, le ventre serré et le cur gros. Pour la première fois Laure ne mavais rien dit.
Je retournais au boulot, le ventre vide. Je pris un sandwich au café du coin, en bas du boulot, en me disant que Laure me cachait cette nouvelle relation et que cétait la première fois, mais bon, cest la vie et je retournai bosser.
Mon patron, Michel, mappela dans son bureau pour me proposer daller à Montpellier pour lancer un projet quil venait de signer, en attendant dembaucher quelquun pour me remplacer.
Il ne me trouva pas très en forme et sinquiéta de mon état, nous avions eu une aventure par le passé et il connaissait ma situation.
"Cest une question de deux semaines, pour commencer et lancer le projet, ensuite un mois, peut-être plus, nous verrons cela en temps utile", Me dit-il.
"En plus, comme cest le début de larrière-saison, tu vas pouvoir en profiter et cela te fera le plus grand bien"
En réfléchissant deux secondes, je me dis que ce serait loccasion de laisser la liberté à Laure de vivre sa relation, et de mon côté, de faire un break, mettre de lespace entre nous quelques temps et, peut-être, pour mieux retrouver Laure ensuite.
Je devais prendre mon poste dès que possible et donc partir le lendemain. Il me donnerait les consignes par téléphone et viendrait me voir autant que possible pour faire le point.
Jai donné mon accord.
Nous nous sommes expliquées le soir même avec Laure. Ne pouvant lui mentir, je lui ai dit ce que javais vu.
Elle tenta de mexpliquer que cétait nouveau pour elle, que cétait la première fois quelle se taisait pour ne pas me faire souffrir. Elle était amoureuse, il fallait que je la comprenne, ça pourrait marriver... Enfin tout ce que peu dire une femme pour ne pas se sentir coupable.
Alors je lui dis :
"Je te demandais simplement, comme nous lavons toujours fait, de men parler. Nous sommes libres et c'est sur cette liberté que sest bâtie notre relation, notre amour. Je me suis sentie trahie"
"Mais je ne voulais pas ça, pas te faire souffrir"
"Ecoute-moi, ce déplacement est une opportunité, après ce que tu mas fait vivre, cest mieux pour nous deux de vivre un moment séparées"
"Mais je taime !"
"Moi aussi, sinon je serais déjà loin, mais ainsi, nous ferons le point sur nous", Lui dis-je, "Pour mieux nous retrouver après"
"Mais nous garderons lespoir
"
"Oui, peut-être que je te reviendrais un jour, peut-être"
Bien quelle soit chagrine, Laure se rangea à mon avis.
Et cest ainsi que le lendemain soir, jemménageais dans un hôtel à Montpellier, toute seule.
Le boulot me plaisait et jai compris très vite que jétais à Montpellier pour plus longtemps que prévu. Alors je me suis inscrite à un club de fitness, à côté de lhôtel, ayant envie de revenir encore plus belle.
Courant le matin et allant chaque fin daprès-midi à la plage, mi-septembre, javais un corps ferme et remodelé, entièrement hâlé par la plage et les séances dUV.
Jallais, pour ceux qui connaissent, à la plage naturiste de LEspiguette, au Grau du Roi.
Mon teint halé se mariait très bien avec mes cheveux blonds, métant fait teindre.
Je revivais, libre de faire ce qui me plaisait, sans avoir à mexpliquer ou avoir des comptes à rendre.
Je ne téléphonais pas et ne répondais pas à Laure, lui écrivant tous les trois jours pour lui dire que je laimais.
A suivre
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