Un Moment Avec Tom
Je séjournais chez des amis qui possédaient une grande maison dont une partie était réservée aux amis et aux s : ils en avaient trois, trois grands garçons, deux étudiants partis dans la grande ville toute proche et un troisième encore à leur charge.
Une nuit, je fus pris d'une envie d'aller aux toilettes. Je me levais donc le plus silencieusement possible afin de ne pas réveiller Tom, le plus jeune de leurs fis qui dormait dans une chambre juste à côté de la mienne, sur le même palier. J'allumais ma lampe torche de manière à ne réveiller personne. Je me dirigeais vers la salle de bains-wc. Dans le couloir, japerçus la porte de la chambre de Tom qui était entrebâillée et, en passant devant, j'entendis des bruissement de draps et de frottements.
- « Tiens, il ne dort pas ? » .
Au moment de me laver les mains, je fis tomber dans la panière à linge un gant de toilette qui était posé sur le bord du meuble lavabo.
- Mince ! Dis-je en étouffant ma voix.
Alors que je me penchais pour le ramasser, j'aperçus au fond de la panière des sous-vêtements : chaussettes et boxers. En même temps que le gant, je saisis une chaussette en coton, blanche, enfin presque. Elle était « cartonnée » de crasse et se transpiration à tel point que la semelle en était jaune, presque marron et comme amidonnée.
Voici le moment de laisser libre cours à mon fétichisme naissant et surtout pas refoulé ! Je l'ai portée à mon nez et la humai avec un coupable délice. Une forte odeur de vestiaire, de transpiration et de cuir mouillé s'en dégageait. Elle ne pouvait appartenir qu'à Tom qui était le seul de la maison à utiliser cette salle de bains. Tom ; jeune homme châtain clair de 21 ans, assez sportif et bien foutu. Pas très grand, un mètre soixante-quinze et soixante-dix ou douze kilos. Tom avait comme réputation de sentir des pieds. Ses parents, mes amis le lui reprochaient souvent lorsqu'il se déchaussait en public.
Ce plaisir provoqua dans le caleçon que je porte la nuit une petite réaction qui me mit en émois. Je frottais le coton sali de sueur contre mon nez à m'en . Voulant aller plus loin, et me demandant comment pouvaient être les caleçons, je reposais la chaussette sur le bord du meuble de toilette et me penchais pour prendre un boxer. Il y en avait plusieurs.
Le premier que je saisis, de la marque Dim était froissé, en coton gris clair et résille.
Aussitôt, mes yeux se portèrent sur l'intérieur du devant maculé de taches jaunes et de traces légèrement marrons. Quel délice ! Je le portais goulûment à mon nez. Ce boxer avait dû être porté au moins quatre ou cinq jours de suite. Les traces jaunes et l'odeur de pisse sèche en témoignaient. Mon érection commençait à prendre de l'ampleur et tendait la toile de mon caleçon. Je frottais le tissu jauni contre mon nez et le portais même à ma bouche, sortant ma langue pour en goûter les saveurs. Un goût un peu salé s'en dégageait. J'étais à la fois dégoûté par ce que je faisais et très excité. La bosse qui grossissait sous mon caleçon en était le plus probant témoin. En plus de taches jaunâtres, je me rendis compte y avait des gouttes plus épaisses : des traces de liquide pré spermatique. Ce petit salaud de Tom avait dû bander et mouiller dans son sous-vêtement. Ou peut-être avait-il éjaculé et rentré son sexe directement sans l'essuyer. Mon excitation redoublait à l'idée de son sexe en érection, dressé vers le haut et jutant, enfermé, coincé à l'étroit dans ce boxer. Je fantasmais sur l'image de son gland suintant et mouillé. J'avais honte d'avoir de telle pensées mais ne pouvais résister à l'envie d'aller plus loin. Je baissais donc mon caleçon et pressais contre mon sexe raide le tissu imprégné de pisse et de sperme secs.
Je commençais à me branler dans le caleçon de Tom. Je sentais la toile amidonnée rendue légèrement rugueuse gratter et presque irriter la peau de ma verge rendue sensible par une érection encore plus puissante.
En sortant de la salle de bains je me redis compte que les bruits venaient bien de la chambre de Tom. Je m'approchais donc de l'encadrement de la porte en silence, effleurant le sol de mes pieds que je faisais les plus légers possible, espérant qu'aucune lame de plancher ne me trahirait en grinçant. Je passais ma tête par la porte entrebâillée mais l'obscurité qui régnait dans la pièce mempêchait de voir quoique ce soit. Je dis dans un son étouffé :
- Ça va Tom ?
Puis je dirigeais ma lampe vers le lit qui se situait juste contre la porte. Le rayon lumineux se porta comme par hasard sur le bassin de Tom. Il était en train de se branler.
Son corps nu était étendu sur le lit complètement découvert. Il alluma la lampe de chevet. La lumière de celle-ci me permit de découvrir un corps musclé, à la peau blanche et laiteuse sans aucune marque de bronzage. Visiblement, Tom n' exposait pas souvent son corps au soleil.
Il avait des épaules assez puissantes et musclées et des bras dont les biceps saillaient avec à la fois vigueur et grâce. Son ventre imberbe, tendu par l'effort et l'excitation révélait des abdominaux aux courbes délicates et bien dessinées. Ses jambes que je trouvais assez massives lorsqu'il était en short paraissaient plus fines légèrement couvertes d'un duvet blond. Et enfin ses pieds pointaient des orteils écartés, tendus et crispés par l'excitation. Ces pieds qui m'avaient tant fait fantasmé, il y a quelques minutes.
En m'apercevant Tom me lança un sourire à la fois gêné et engageant . Il savait que j'étais homo mais il n'y avait jamais eu entre nous aucune équivoque. Je ne me doutais pas que je me retrouverais un jour ou plutôt une nuit dans une telle situation.
Tom écartait les jambes ce qui me permit de découvrir en pleine lumière la beauté de son sexe. Il dépassait l'image que mes fantasmes avaient fait naître en moi il y a encore quelques minutes dans la salle de bains. Il était dressé vers le plafond, long d'à peu près vingt centimètres, très renflé à la base. De couleur blanche, il laissant apparaître des veines gonflées par l'envie et l'excitation.
En émergeait un gland rose-violacé, énorme et turgescent encore bordé par un prépuce qui se révélait visiblement imposant. Tout ce que mon imagination m'avait dicté était bien en deçà de ce que j'avais sous les yeux. Je me déshabillais en quelques gestes rapides et mallongeais tout contre Tom qui, en se glissant dans ses draps me laissait la place.
Tout contre lui, je sentais la chaleur de son corps, ses cuisses contre les miennes, la douceur de leur duvet. Ses hanches saillantes et ses épaules faisaient monter en moi des vagues de plaisir et de désir que je ne pourrais pas maîtriser encore bien longtemps.
Sa main se porta sur mon sexe long et dur et, d'un geste lent et expert, il commença à me branler de haut en bas. Ses doigts glissaient avec une voluptueuse douceur. Je fis de même.
Mes doigts arrivaient à peine à enserrer sa bite qui regonflait de plaisir sous mes caresses.
N'en pouvant plus, je m'assis sur le lit et me penchai sur la bite de Tom. Je commençais à gober son gland juteux, gluant et salé. Sa queue sentait l'urine et la sueur.
J'enfouissais mon nez dans ses poils pubiens abondants et serrés.
Tom me susurra alors à l'oreille qu'il voulait me faire la même chose. Je pense qu'il avait besoin de répit car vu l'ampleur que sa bite prenait, il n'était pas loin de jouir. Que dommage ! Pas déjà !
Nous nous mimes en position du 69. Tom commença par lécher ma bite enserrant mon gland de sa langue qui me paraissait bien experte. Je pense qu'il n'en était pas à sa première expérience avec un homme.
Il l'introduisait dans mon méat en extirpant des filaments de liquide pré spermatique.
Quel délice. Moi, je continuais à le sucer avec application et régularité. Mais sous les a coups de la bouche de Tom, je sentis que j'allais jouir. Je le prévins afin qu'il n'ait pas la surprise de mes premières giclées dans la bouche. Mais dès que mes paroles furent noyées dans le silence qui régnait autour de nous, Tom repris ses assauts et je ne pus retenir mes premiers jets de sperme qu'il accueillit avec gourmandise. Il me pompa jusqu'au bout et me suçait encore quand mon sexe commençait à diminuer. Pour ma part je redoublais de plaisir en continuant de le sucer lorsque je sentis son sexe se gonfler, se raidir. Quelques soubresauts ébranlèrent ses jambes et ses orteils se crispèrent. Ces orteils aux délicieuses effluves que j'aurais bien aimé lécher. Moi que les odeurs rebutaient d'habitude, là, l'excitation et les fantasmes me portaient bien au delà de mes réticences. Il laissa échapper d'abord quelques gouttes de son sperme qui me parut bien salé puis il se vida en abondantes giclées qui vinrent me caresser le palais et même le fond de la gorge. Une dizaine. Ce qui m'extirpa un haut le cur. Mais je n'en perdis pas une goutte.
Quand il eut terminé, il vint se coucher sur moi pencha sa tête sur la mienne et approcha sa bouche de la mienne. Je compris où il voulait en venir. Il avait gardé tout mon sperme en bouche, comme je l'avais fait moi-même. Il laissa couler un filet de bave mêlé de sperme que je recueillis en entrouvrant la bouche encore pleine de sa semence. Il posa alors ses lèvres contre les miennes et introduisit sa langue en moi. Nos liquides corporels se mêlèrent. Quelques gouttes de sperme coulèrent le long de mon menton jusque sur son torse.
Nos langues roulaient dans une purée faite de nos spermes mélangés qui donnait à ce baiser une saveur que je n'avais jamais encore goûtée. Nous nous embrassâmes jusqu'à ce que tout liquide séminal eut disparu, nous laissant dans la bouche un goût très prononcé à la fois amer et salé. Curieuse sensation. A part le mien, je n'avais jamais goûté le sperme d'un autre homme.
Nos ébats revenus au calme, je me suis recouché contre Tom et de ma main caressais son sexe redevenu normal et quand-même d'une bonne ampleur. Ce sexe qui remplissait ce sous-vêtement laissant des traces de pisse et de liquide séminal et qui m'avait fait tant fantasmer tout à l'heure. Mais rien à voir avec ce que je venais de vivre avec Tom ; nos sexes dans nos bouches. Quelle baise !
Après quelques instants de répit, je me suis levé et ai ramassé mes vêtements sans les remettre. J'avais envie de me coucher nu, encore couvert des dégoulinades de nos spermes et de l'odeur de Tom. Bien que je n'aime pas dormir nu, je me suis laissé gagner par le sommeil presque instantanément.
Le lendemain, je n'eus pas la chance de revoir Tom qui était parti avec son père.
J'étais un peu contrarié par cette dérobade car j'aurais bien voulu admirer mon bel amant avant de prendre définitivement congé de mes amis. Peut-être que lors d'un prochain séjour je pourrais retrouver des moments d'aussi grande extase avec ce beau jeune homme.
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