Claire (Épisode 1)
Comment en suis-je arrivé là ?
Toute cette histoire a commencé il y a quelques mois. A la recherche d'un nouveau boulot depuis quelques temps, je trouvais enfin une nouvelle place dans une entreprise de bonne taille. Vous savez ce que c'est quand on arrive dans une nouvelle boite, on ne connait personne !!! . Le problème est que je prenais un poste à responsabilité et que j'allais avoir une dizaine de ces nouveaux employés sous mes ordres. ... pas simple à gérer !. Car la consigne dans ce genre de cas est pourtant clair pour un cadre comme moi ! avoir de l'empathie pour mes collaborateurs, mais ne jamais "copiner" ... sinon c'est la fin !.
Comment cela a t il commencé déjà ??? ah oui !. Cette nouvelle boite étant assez loin de chez moi, et surtout étant tout seul à midi à la maison (ma femme mangeant sur son lieu de travail aussi), j'appris qu'une cuisine était à notre disposition pour se restaurer tranquillement sur place. La pièce, certes aveugle, était assez spacieuse, assez chaude, et équipée d'une téléviseur ... de quoi manger tranquillement. Le problème pour moi était de savoir combien de personnes aller l'utiliser, car je ne voulais pas me retrouver avec mes collaborateurs tous les midis et manger avec eux systématiquement, sinon, inévitablement, des liens aller se créer en dehors du travail. J'avais une dizaine de personnes à gérer, et en tout nous étions 40 dans la société, j'avais donc une chance de pouvoir ne pas manger avec eux !.
Le premier midi fut mortel !... car j'étais seul dans la cuisine. Au moins pas de copinage, mais je dois avouer que je m'étais embêté ferme. Le lendemain midi, je retournais dans la salle à manger avec la même idée, mais qu'elle ne fut pas ma surprise de voir Claire déjà installée en train de manger. Heureusement, Claire n'était pas dans mon service. Elle m'avait été présentée la veille, lors de mon arrivée, et depuis je l'avais juste croisé une ou deux fois dans les couloirs.
Cela faisait quelques mois que nous mangions quasi systématiquement ensemble dans la cuisine et quasiment tout le temps que tous les deux. De temps à autres, un ou deux employés venaient nous rejoindre, mais jamais plus. ment, à force de rester au moins une heure par jour ensemble, nous avons commencé à "copiner", et à nous raconter nos vies. Je n'avais aucun mal à le faire, car je considérais Claire comme une bonne copine maintenant, et certainement pas plus ! j'ai en effet horreur des "vieux" beaux qui courent après des petites jeunettes comme elle .... je ne voyais donc aucun mal, mais je ne savais pas encore que ce n'était pas réciproque.
Les premiers doutes ont commencé à apparaitre quand, au cours d'une conversation, je lui avais dit que je trouvais dommage de toujours la voir en pantalon alors qu'elle devait surement avoir de très belles jambes. Elle n'avait pas relevé ma phrase, mais dès le lendemain, et pour la première fois depuis qu'elle travaillait la, elle arriva dans une robe légère (c'était l'été) et moyennement longue (au dessus du genoux). J'avoue que cela m'avait troublé !.
Dès lors les choses se sont accélérées, et mes doutes ont fait place à des certitudes.
Moi j'étais marié, et fort heureux en couple, alors je ne cherchais rien, et surtout pas les embêtements !.
En plein moi de juillet, nous nous sommes retrouvé, Claire et moi mais aussi 5 autres salariés, en déplacement du coté d'Albi pour 4 jours. Pour moi ce n'étais pas un problème, étant habitué aux voyages d'affaire, même à l'étranger, mais Claire me fit part de ses craintes avant le départ, car pour elle s'était une première. Je la rassura en lui expliquant comment cela aller se passer. La secrétaire nous avait réservé 7 chambres dans le même hôtel de la périphérie d'Albi. Claire avait peur de mal dormir en n'étant pas dans son lit, et surtout de s'embêter le soir ... encore une fois je la rassurais en lui disant que tous les hôtels avait des TV avec plein de chaines dans les chambres et qu'elle pourrait passer le temps comme ça. Je me gardais bien de lui dire que nous pourrions sortir le soir ensemble pour se promener dans Albi, ayant un peu compris les attentes de la petite !!!
La semaine d'avant je planifiais ma semaine à Albi. Il faut dire que ces déplacements sont pour moi la possibilité de fréquenter les clubs libertins et autres saunas de ces villes en étant sur ne pas croiser quelqu'un que je connais. J'ai un petit péché mignon : je suis bi et tout particulièrement passif, je profite donc de ces soirées pour assouvir, de temps en temps, ce penchant de ma personnalité. Bien entendu ma femme n'en s'est rien et surtout ne s'en doute pas. Mes deux vies sont cloisonnées, et tout est très bien ainsi !. Le lundi soir à Albi, premier soir du déplacement, et après le repas, je pris congés de mes collègues et surtout de Claire en lui souhaitant une bonne soirée et je me retira dans ma chambre.
Après 10 minutes passées dans ma chambre à me préparer (et surtout bien me laver), je sors discrètement de lhôtel et prend la direction d'un Sauna réputé de la ville. J'avais repéré le lieux sur internet, et j'avais vu que c'était un sauna Mixte, ceux que je préfère, parce qu'on n'est pas à l'abri de voir un ou plusieurs couples s'exhiber devant nous ... je me doutais pourtant qu'un lundi soir, la fréquentation ne serait peut être pas maximum !. Après m'être garé non loin du lieux (jamais sur le parking on ne sait jamais), et après avoir rempli les formalités d'usages, je me retrouvais nu sous ma serviette en train de déambuler dans un lieu ma foi fort sympathique. Il y a avait pas mal de monde, plus que ce que je pensais, et, à ma grande surprise, pas mal de couple et même quelques femmes seules ... cela paraissait pour moi assez incroyable. Bien sur les femmes seules étaient entourées d'une nuée d'hommes, seuls aussi !!!. Cela parasitait je trouve, les rencontres possibles entre hommes tout simplement. N'étant pas très pressé, il était encore tôt, je me rendais dans la partie 'humide" du sauna et me partagais entre le jacuzzi, le haman et le sauna. J'avais bien compris qu'à l'étage se trouvait les pièces ou les hostilités devaient se passer .... Une chose qui me frappait dans ce sauna, s'était l'obscurité qu'il y régnait !. Je trouvais ça intéressant, car, même après s'être habitué, et à moins de se trouver à 5 cm du visage de la personne, il était quasi impossible de reconnaitre quelqu'un ... chose appréciable, même si je savais qu'à 400 kilomètres de chez moi, j'avais peu de chance de rencontrer mon voisin !.
Je me reposais donc tranquillement dans le grand jacuzzi en observant discrètement les alentours. Devant moi un couple, fort peu à l'aise, se serrait l'un contre l'autre en se bécotant, à ma droite 2 hommes se caressaient peu discrètement sous l'eau, et 3 hommes seuls en plus de moi, regardaient tout ça .
-tu cherches quoi ?
-Je cherche à me faire prendre, je suis exclusivement passif !
-avec un bel engin comme ça, c'est vraiment une honte (en souriant)
-je sais, mais ne t'inquiète pas, une seule personne s'en occupe très bien le reste du temps ...
-dommage, je ne prend pas ...bonne soirée
et il se lève et sort du jacuzzi, me laissant avec ma trique !
Je suivis le même chemin et cacha, tant bien que mal, mon érection sous ma serviette. Je décidais d'aller prendre une douche avant de monter à l'étage pour voir ce qu'il se passait.
Arrivait en haut, je constatais que tout l'étage n'était qu'un dédale de pièces, de tailles différentes, avec tv ou sans, avec quelques ustensiles (une table de gynéco, des sangles). La musique sur l'ensemble du plateau était assez forte, couvrant largement les différents bruits, et comme il faisait toujours aussi sombre, la discrétion était vraiment de mise ... et jappréciais.
C'est la que je croisa une blonde assez grande, avec derrière elle, et devant aussi d'ailleurs, une bonne dizaine d'hommes qui la suivait partout ...cela devait être oppressent et je ne comprenais pas pourquoi elle ne s'en débarrassait pas. je continuais mon tour, et tomba dans une petit pièce ou deux hommes faisaient un 69. Je restais dans lentrebâillement de la porte, et, mettant ma serviette sur mes épaules, commençais à me caresser en les regardant. Avec mes fesses bien en arrière, je ne désespérais pas de trouver quelqu'un qui comprendrais le message. Rapidement, lexcitation aidant, mon gros sexe se raidit et se redressa dans ma main, ce que le participant du 69, celui qui était au sol, ne semblait pas manquer de voir...il me fit signe de la main et me demanda de lui mettre dans la bouche en plus de celle de son copain (qui me présentait ses fesses dans le coup). Je me mis à genoux derrière eux et m'avança pour me faire sucer. C'était assez agréable, et le jeune homme (car il ne semblait vraiment pas vieux), poussait des petits cris à priori réglés sur les coups de langue de son copain qui commençait d'ailleurs à coller ses fesses contre moi ...il voulait surement se faire prendre ... voyant que la situation allait tourner dans le mauvais sens pour moi, je me releva et leur souhaita bonne continuation ...je n'entendis qu'un "non reste !" quand je m'éloignais de la pièce ... Un peu plus loin, je passa dans une autre grande pièce équipée d'un écran TV montrant un couple en train de forniquer, et au centre de la pièce, sur un grand pouf, ma blonde de tout à l'heure avec ses hommes ... je restais la encore en retrait dans l'ouverture de la pièce juste pour observer. Elle était assise sur le bord du pouf, sans sa serviette, et suçait alternativement 4 ou 5 bites qui lui étaient présentées. Elle avait les jambes écartées, et au milieu, un homme à 4 pattes sans serviettes non plus, lui suçait l'entrejambe bruyamment (et ceux malgré la musique, c'est vous dire !). De chaque coté d'elle sur le pouf, deux hommes lui malaxaient et suçaient ses seins, de fort beau volume d'ailleurs. La scène dura quelques instants, avant qu'un des hommes, qui lui suçait les seins, descendit du pouf, enfila une capote, lubrifia rapidement les fesses de celui qui était à quatre pattes entre les jambes de la fille, et le pris rapidement dans un grand râle.... veinard, j'aurai bien voulu être à sa place. Encore une fois, je posa ma serviette sur mes épaules, et commença à me caresser en regardant cette scène que je trouvais particulièrement excitante. La blonde, se tenait maintenant un peu en arrière, et semblait jouir sous les coups de langue de celui qui s'affairait entre ses jambes ... je m'astiquais encore plus fort, et tenais maintenant mon engin de 25 cm entre les mains le parcourant assez vite ... c'est à ce moment la que la blonde m'interpella ...
-c'est moi qui te fait cet effet et les deux qui s'enculent ? (cette fille était crue et ça me plaisait !)
-les deux peut être !
-tu veux prendre sa place (en me montrant celui qui était sur son sexe) ?
-Oui pourquoi pas, si quelqu'un veut bien passer derrière !
-toi au moins tu sais ce que tu veux !
Elle fit signe à celui qui se faisait prendre en la suçant d'aller sur la banquette derrière. Le second se retira du premier avec une trique d'enfer, et à peine son compagnon installé les fesses en l'air sur la banquette, repris sa pénétration aussi rapidement.
Je posé ma serviette sur le pouf, et me mis à 4 pattes entre les cuisses de la belle, qui s'avançait pour bien s'offrir. Elle fit signe à l'un des hommes qui était sur le coté de la pièce de venir me prendre, enfin c'est que ce que j'ai pensé. Je me suis avancé vers cet entre-cuisse qui était très humide, voir même poisseux et sentais différentes odeurs de mouille et de salive mélangé !. La belle blonde était entièrement épilée, et son sexe arborait de belles grosses levres bien épaisses comme je les aime. Sans attendre plus longtemps, je me colla à la fente de cette fille et commença à jouer de ma langue. Dans le même temps je sentis des mains se poser sur mes fesses et les écarter. Ce qui je pris pour du gel dans un premier temps, semblait plutôt être une langue, qui commençait à me lécher partout, des couilles jusqu'au haut de la raie ...c'était divin et je ne pouvais m'empêcher de gémir !
-on dirait que tu aimes ça mon salaud ! lança la blonde, tout en me collant ma tête sur son sexe pour mieux me sentir.
Je me cambrais un peu plus pour offrir le maximum à mon suceur, et surtout sentir sa langue, effleurer, puis contourner, et enfin s'enfiler dans mon anus que j'avais préparé à cette éventualité tout à l'heure dans la chambre d'hôtel.
Dans le même temps je fouillais littéralement la fente ruisselante de mon hôtesse, et ne tarda pas à sentir son clitoris gonfler à l'avant de ses petites lèvres. La belle était excitée, et cela me paraissait surnaturel vu la situation. Maintenant mon suceur s'était écarté et je sentis quelque chose de dur se promener dans ma raie à la recherche de mon anus ... qu'il trouva rapidement !. La pénétration fut rapide, il faut dire que je m'étais bien doigté avant de venir pour assouplir mon entrée et ne pas avoir mal. Mon baiseur me mettait de grands coups sur les fesses et me pénétrait très profondément avec une verge qui devait être de bon taille quand même. Je le sentais sortir à la limite de mon sphincter et rentrer d'un coup ... tout ce que j'aime. J'avais du mal à tenir à 4 pattes entre les cuisses de ma blonde tellement il cognait fort, et je faisait de mon mieux pour continuer à la sucer . C'est à ce moment que j'ai tenté de la doigter moi aussi avec ma main droite, mais la situation n'était pas idéale, et ma pénétration maladroite .... Mon baiseur cognait de plus en plus, et moi je commençais à venir de l'anus ... d'un coup j'ai senti son sexe se raidir dans mon anus et grossir, s'en ai suivi des râles, puis les mouvements ont cessé. Il s'est retiré en tenant sa capote, m'a fait une petite tape amicale sur la fesse et est parti.
-un autre amateur d'un beau cul ? demanda la blonde
Mais personne ne semblait intéressé. Elle baissa alors son regard vers moi et me dis
-tu veux me baiser dans une pièce tranquillement ? je rêve de ton braquemart dans mon cul !
-Pourquoi pas !
La blonde fit alors dégager tous ses "suivants", et nous nous enfermâmes dans une petite pièce très sombre, juste équipée d'un matelas en hauteur, d'un distributeur de capotes, de gel et de lingettes. A peine rentré et la porte fermée à clef qu'elle se jeta debout sur moi et m'embrassa avec fougue. Sa langue rentrait dans ma bouche à la recherche de la mienne.
-Ca fait un moment que j'avais envie de ça tu sais !!!
et aussitôt elle se baissa, me fit poser sur le coté du lit, et commença une pipe royale ... Cette fille savait y faire croyez moi. Elle faisait tourner sa langue autour de mon gland, autour de la verge, elle remontait, puis reprenait le tout en serrant ses lèvres dessus, bref, à cette vitesse la jouissance n'était pas loin !. Je lui fit comprendre.
-Met une capote et viens me prendre.
Pendant que j'enfilais difficilement la capote sur ma verge (capote trop petite), elle grimpa sur le matelas et se mit devant moi à 4 pattes les fesses bien en hauteur et semblait se caresser de sa main droite. Je monta à genoux derrière elle et chercha l'entrée de son vagin ...
-non pas par la, directement au dessus STP, je n'en peux plus !
Je remonta alors mon gland et du regard, le guida à l'entrée de son anus qui semblait bien ouvert déjà. Une fois à l'entrée, une petite poussette suffit à le faire rentrer dans son antre bien chaude. Elle se redressa un peu et imprima elle même les mouvements ... je la tenais pas les hanches, puis remontais vers ses seins qui ballotaient au rythme de la pénétration. Avec toutes mes émotions d'avants, j'étais déjà bien chaud et senti la jouissance monter rapidement. J'en averti mon hôtesse qui sembla accélérer sa branlette et les mouvements pour venir plus vite. Mes coups devinrent plus puissant, presque bestiaux, et je sentis d'un coup son anus serrer ma verge ...c'était le signal, elle jouissait !.
Je continua alors quelques coups puissants et me vida dans ma capote, avant de m'écrouler sur le dos de ma compagne d'un soir ...
Après quelques secondes, je sortis ma verge de son anus, retira ma capote et me nettoya rapidement. Elle était sur le dos et me regardait, me demanda une lingette pour se nettoyer. Je lui en fit passer une et elle s'essuya le sexe et l'anus sans aucune pudeur devant moi ... je trouvais cette scène très érotique malgré l'obscurité ambiante. Je m'approcha d'elle pour lui un rapide bisou et la remercier ...
-mais de rien, tout le plaisir était pour moi, et à bientôt peut être ....
Je ne releva pas sa réflexion, mais en moi même je pensais "ça m'étonnerais ..."
Après cela, je retourna directement au vestiaire pour me changer et rentrer, toujours très discrètement, à mon hôtel.
Devant ma voiture je consultais mon portable, aucun SMS, ouf ! Claire à du trouver à s'occuper ...
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