Ce Fut Un Beau Mariage

Je m’appelle Emilia, j’ai dix-huit ans, l’histoire qui va suivre s’est déroulée au court du mariage de ma cousine Nolwenn, nous ne nous côtoyons pas beaucoup mais comme elle m’a demandé d’être demoiselle d’honneur je n’ai pas refusé, pas plus que je n’ai imposé mon copain Freddy, avec qui je suis depuis six mois c’est lui qui a eu ma fleur, depuis j’aime le sexe je suis en extase devant un pénis qui bande !

Lorsque que j’ai rencontré Joé mon cavalier et garçon d’honneur je ne regrette pas d’avoir accepté, il me plait bien et au cours de l’après-midi une complicité s’installe, après tout Freddy ne l’apprendra pas, la complicité se transforme en flirt, rien de plus normal pour un mariage, pendant le repas distrayant nos pieds de se décollent plus, sa main effleure ma cuisse à moitié nue car j’ai troqué la robe longue de cérémonie pour une plus « d’jeuns » afin de pouvoir danser à mon aise.

Dès les premières danses c’est chaud ! Joé en pince pour moi et me le fait savoir par l’intermédiaire de son sexe durci, je ne le déçois pas et reste collée à lui :
- Ça te dirait de prendre l’air Emilia?
- Si tu veux…

Le garçon m’entraine dans un recoin sombre à l’extérieur de la salle des fêtes, me colle contre un arbre, m’enlace et m’embrasse, je réponds a son baiser ma langue fait connaissance avec la sienne, sa main descend sur mon sein, sa jambe s’incruste entre les miennes, ma culotte s’humidifie rapidement.

Je ressens l’air frais de la nuit quand ma robe remonte, ses doigts agrippent mon triangle de tissu, je vais stopper sa progression car à ce moment-là par-dessus son épaule, j’aperçois que nous sommes épiés par un homme, je reconnais l’oncle du marié qui était face à nous à table, loin d’être désagréable, bel homme, il nous a fait rire toute la soirée avec des blagues plutôt crues, à ses regards appuyés je crois que je lui plaisais… il me draguait devant sa femme.

J’allais donc repousser Joé devenu trop entreprenant quand, allez savoir pourquoi le fait d’être observée la robe retroussée décuple mon excitation, une main fouineuse entre mes cuisses ouvertes, le moment intense d’érotisme quand le tissu glisse sur la peau et met à jour la vulve sans défense décuple mon excitation, troublée par cet homme survenu a priori pour uriner dans la nature, qui me regarde offerte au jeune homme, celui-ci profitant de ma docilité enfonce un doigt dans ma chatte, je miaule et ouvre davantage les cuisses, l’homme ne pisse plus mais sa queue n’est pas rangée dans la braguette, il se masturbe ne perdant rien de nos faits et gestes pourtant il a vu que je l’avais repéré, je le fixe en exagérant mes soupirs , Joé me croyant prête à succomber baisse ma culotte à mi-cuisses sort sa queue qui tâtonne en cherchant ma fente, il va me crucifier sur l’arbre je le repousse en criant :
- Que fais-tu ?????
- Hé bien je vais te baiser ! Pourquoi tu ne veux plus ?
- Bien sûr que non je ne veux pas que tu me la mettes ! Pour qui te prends-tu ? Fous le camp idiot !
- T’es complètement tarée ma pauvre fille, quelle conne ! Salut !

Joé rajuste ses vêtements et part vexé d’avoir pris un râteau, il n’a pas vu l’oncle du marié qui s’est planqué derrière un arbre, pourquoi je reste là ? Ma robe retombée cache ma culotte encore descendue, je prends mon visage entre mes mains et sanglote… du moins je fais semblant…
- Ne pleure pas Emilia, Joé t’a manqué de respect ?
L’homme me serre dans ses bras, je me laisse aller contre lui, je suis bien …
- Il voulait me baiser…
- Tu te laissais faire, je croyais que tu étais consentante…
- Oui, non, il s’y est mal pris…
- Ça te dirait de tirer un petit coup avec moi ?

Ne pas répondre est la meilleure façon de consentir…… l’oncle me serre d’un peu plus près, sa main s’égare sur mon sein, il relève mon menton, je ferme les yeux quand sa langue entre dans ma bouche, son autre main part entre mes cuisses, évidement il trouve ma culotte baissée, son genou force mes jambes à s’ouvrir à nouveau.



Les doigts experts fouillent mon vagin trempé, il grogne de plaisir, enhardie je cherche sa braguette qui n’est pas refermée, ma menotte trouve à l’intérieur un membre raide d’une grosseur encore inconnue pour ma récente découverte du sexe masculin, mes doigts ne font pas le tour de ce rouleau de chair brulant.

- Si nous allions dans ma voiture ? Elle est planquée sous les arbres, à moins que tu ne veuilles plus baiser ?
- SI ! Je veux bien le faire avec vous, pas avec ce petit con !
- Alors suis-moi…
Je remonte mon slip pour pouvoir marcher, bien à l’abri des regards le gros quatre- quatre est là, il m’ouvre la porte arrière et me met la main au cul pour m’aider à monter.
- Ôte-moi vite cette culotte trempée, et le reste aussi.
Dans l’habitacle spacieux je me déshabille entièrement et m’allonge sur la banquette les talons aux fesses, ma chatte doit bailler… l’homme enlève son pantalon, la queue fièrement dressée il avance à hauteur de mon visage :
- Je suppose que tu sais sucer ?
- Beeeennnn, je ne l’ai pas fait souvent.
- Suce-moi, je vais te doigter en même temps, si tu avales je te boufferais la chatte après, pendant le repas je me doutais que tu ne refuserais pas de baiser ce soir.

Me faire bouffer la chatte ? J’en rêve, mon copain Freddy n’a jamais voulu, j’att la verge tendue et gobe le gland qui suinte d’une perle translucide, je me cambre quand ses doigts ouvrent ma moule et laboure mon clitoris, je me démène à fond sur ce membre, ma bave épaisse coule dans mon cou, pour accélérer sa jouissance je le branle énergiquement.
- Vas-y astique-moi la bitte, qu’est-ce que tu mouilles salope, je vais te montrer ce qu’est un vrai mâle !!
- Mmmmuuuuuummmmmmm…
- Fais gaffe je vais décharger… ooooooohhhhh aaaaaaaaaaaahhhhhh oooooouuuuuuuuuuiiiiiiiiiiii
Un raz de marée acre envahi mon palais, si je veux me faire lécher la motte je ne dois pas le décevoir aussi j’avale tout ce qui sort de sa queue jusqu'à la dernière goutte.

- Waouh pour une jeune ingénue tu t’y prends bien, tu ferais une bonne maîtresse toi !
- Vous me léchez ?
- C’est que je n’ai pas beaucoup de temps ma femme va se demander où je suis passé … j’ai une idée… Allô chérie ? Je suis parti à la maison j’ai oublié le chargeur de la caméra… et voilà je ne suis pas sûr qu’elle ait cru ça mais je m’en branle, c’est trop bon de baiser une jeunette, relève les cuisses je vais te faire minette.

Quel délice quand l’homme plaque sa bouche sur ma vulve en ébullition, sa langue dure fouille mes replis et retrousse mon clito, ses doigts viennent à la rescousse, c’est infernal comme sensation je me tortille comme un ver, ça dégouline partout, je ne proteste pas quand un doigt s’enfonce dans mon puits secret, ça aussi c’est nouveau pour moi, je sens monter un orgasme encore inconnu tellement il est puissant, une fois l’onde bienfaitrice passée je retombe inerte.

- Alors ? Satisfaite ? Réagis je vais te mettre ma queue !
- Ouuuffff ! Quel feu d’artifice ! Je suis groggy !
- Quand je t’aurais passé dessus tu vas voir autre chose ma poulette, tu vas passer tes jambes autour de moi ça va pénétrer plus profond
- Vous allez me défoncer !
- Je vais t’enlever les toiles d’araignée ! J’adore ta petite chatte… Regarde mon dard s’enfoncer je vais aller lentement.
- Aaah … Aaaaaahhhhhhhhh AAAAAAAAAAHHHHH !

La verge noueuse a disparu entre mes lèvres distendues, c’est autre chose que la quéquette de mon copain Freddy, je découvre des points sensibles qui me font sursauter à son passage, celui qui me fait le plus kiffer c’est quand il remonte de bas en haut juste à l’entrée de ma vulve, il m’a dit que je venais de découvrir mon point G, en quelques coups de queue je laisse éclater ma jouissance.
- Bon, maintenant que tu as ton compte à moi de prendre mon plaisir je vais te ramoner la chattoune à ma manière, tiens-toi aux branches ça va secouer !

Pour être secouée je suis secouée le mot est même faible, mes seins sautent en tous sens, ma tête cogne sur la portière, mes glandes se purgent de tout leur liquide je perçois ce que baiser veut dire, un deuxième orgasme monte encore plus ravageur que le précédent, accru par la puissante décharge qu’il lâche au fond de mon ventre, l’homme épuisé se couche sur moi mêlant nos sueurs, nos respirations s’apaisent peu à peu, dans un souffle il me dit …
- Si tu me suces pour me faire rebander je t’encule…
- Ce soir j’ai mon compte mais je te laisse mon 06.

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