Première Sodomie Pour Un Certificat Médical

PREMIERE SODOMIE POUR UN CERTIFICAT MEDICAL :



A l’époque je pratiquais le tennis, et je commençais à bien me débrouiller. J’étais à l’âge de toutes les découvertes. Je venais de gagner pour la première fois une demi-finale de tournois, j’étais euphorique.

Lorsque à la sortie du vestiaire, je suis entré dans le bureau du juge arbitre pour lui annoncer le score de mon match, il le nota, et releva les yeux vers moi, l’air embêté :

« Il y a un petit problème ! »

« Ah bon, pourquoi ? »

« La finale a lieu demain matin, votre certificat médical expirait aujourd’hui, et je ne peux pas vous laisser jouer sans un certificat en règle »

« Mais on est samedi, il est 19h, je ne vais jamais trouver de médecin pour m’en signer un ! »

« Ecoutez, j’ai un ami médecin qui a son cabinet à deux pas d’ici et qui finit ses consultations à 19h. Je vais l’appeler pour qu’il vous attende »

« Oh, merci ! »

Il décrocha son téléphone, et discuta assez longuement en expliquant ma situation.

« Soyez sympa, c’est un jeune qui doit jouer une finale demain matin, et je vous assure qu’il est en parfaite santé !... »

Après avoir raccroché, il écrivit une adresse sur un bout de papier et me le tendit en disant€ :

« Ecoutez, mon ami est en congé, mais son remplaçant a accepté de vous attendre. Voici l’adresse, vous connaissez ? »

« Oui, c’est tout près, pas de problème. Merci, et à demain ! »

Je me rendis à l’adresse indiquée en trottinant. Lorsque je suis arrivé, la salle d’attente était déserte, et la porte donnant sur le cabinet était ouverte.

« Entrez, entrez, je n’attends plus que vous ! »

Un homme, la bonne trentaine, souriant, m’attendait. Il m’invita à m’assoir sur la couchette de consultation. Il souleva mon T-shirt, délicatement, en m’effleurant de ses mains douces et légèrement fraiches.

Il me prit le pouls.

« Oh là là, votre pouls est relativement élevé ! »

« Je suis venu en courant »

« Ok, je vous le reprendrai en fin de consultation. Otez votre T-shirt, votre pantalon de survêtement et allongez-vous sur le dos »

« Euh, je n’avais de rechange, je n’ai pas mis de slip », Dis-je en rougissant.

« Oh, ce n’est pas grave, au contraire, ce sera plus simple et plus rapide ainsi »

« Pas de douleur particulière ? »

« J’ai un tout petit peu mal aux abdos quand je sers, mais je ne crois pas que ce soit grave »

« Ok, on va vérifier quand même »

Je me suis déshabillé, et je me suis allongé sur le dos, les mains pudiquement placée sur le sexe.

Il me palpa le cou de ses mains douces, qu’il fit ensuite descendre le long de mes tétons et de mon ventre, en les laissant traîner délicatement sur ma peau. Cela me procurait une sensation très agréable, mais qui me mettait mal à l’aise. Je sentais mon sexe commencer à gonfler sous mes mains.

A mesure que ses mains approchaient de mon sexe, je sentais mon sang affluer vers mon visage, lequel devenait écarlate, et vers mon sexe qui ne cessait de grossir. L’érection semblait incontrôlable, accélérée par le contact de mes doigts qui tentaient maladroitement de la contenir et par ces mains douces, qui semblaient commander à ma verge de se dresser, au fur et à mesure qu’elles s’en approchaient….Mon corps entier semblait se tendre à la perspective d’une issue humiliante…Mais comme par miracle, ses mains contournèrent les miennes pour venir me palper l’aine.

« Bon, apparemment, pas de ganglion »

« Euh, c’est quoi des ganglions ? »

« Oh, juste des grosseurs suspectes ! », Dit-il, en dégageant, lentement et comme naturellement, mes mains de l’objet de mon malaise.

A la vue de mon sexe déjà dur qui se redressait lorsque mes mains le libérèrent, Il esquissa un petit sourire et me dit, rassurant et enjoué :

« Oh, rassurez-vous, je ne voulais pas parler de ce genre de grosseur ! Celle-ci est tout à fait naturelle, et plutôt bon signe pour un jeune de votre âge »

Il posa ses mains à la base de mon sexe et remonta doucement, laissant délicatement ses doigts effleurer ma hampe qui durcissait encore.
Alors que je me concentrais pour ne pas bander, mon sexe épaississait encore, tendant ma peau à la limite de la douleur. Jamais il ne m’avait paru aussi gros ; il est vrai que c’était la première fois que des mains, autres que les miennes, se posaient sur lui. Et ces mains étaient si douces !

J’avais beau essayer de me raisonner, de me dire que c’étaient les mains d’un professionnel, un homme qui plus est, qui ne faisait que m’ausculter, mon esprit se brouillait par ce sang qui affluait à la fois dans ma tête et dans ma bite.

Celle-ci était gonflée, à la limite d’éclater, et échappait déjà à tout contrôle. Ma tête semblait maintenant entièrement occupée par des pulsions sexuelles et contrôlée par ces sensations jusqu’alors inconnues, et ma queue, qui ne semblait jamais pouvoir s’arrêter de gonfler, semblait affirmer ainsi sa toute puissance, et matérialiser la domination totale qu’elle imposait à mon corps tout entier et à mon esprit embué en particulier.

Une fois sa main arrivée au sommet de mon sexe, après une ascension qui me sembla une éternité, il posa le bout de ses doigts sur mon méat, et, écrasant entre son pouce et son index la goutte de liquide séminal qui commençait à perler, il redescendit doucement, enserrant mon gland turgescent entre ses doigts lubrifiés, jusqu’à le décalotter.

Mon gland jaillit alors, libre et à ce point gonflé que je réalisai, confusément, qu’un point de non-retour venait d’être franchi. Je ne pouvais plus espérer ni débander, ni même recouvrir pudiquement une partie de mon gland. Celui-ci allait rester gonflé et continuer de perler jusqu’à une issue que je ne voulais pas encore admettre, mais qui commençait à se dessiner dans mon esprit.

Je ne savais pas encore comment ni quand, peut-être piteusement, dans mon pantalon, dès que le médecin me laisserait enfin me rhabiller, mais je savais déjà que je ne pourrai pas me retenir de jouir avant de quitter ce cabinet.

Je réalisais également que la honte commençait à disparaitre, calmée par la douceur de la voix et des mains de ce médecin, qui paraissait parfaitement se contrôler.
Et j’ignore s’il prit conscience, lui-aussi, des changements qui s’opéraient en moi, s’il sentit que mon jeune corps d’adolescent commençait à s’abandonner, mais c’est le moment qu’il choisit pour commencer à me tutoyer :

« Tu n’as pas à avoir honte, tu sais, tu as un sexe très bien développé ! Rien à dire sur le recto, voyons le verso »

De ses mains, il me fit me retourner, ce que je fis sans me faire prier, dérobant enfin mon sexe bandé à sa vue. Mais mon soulagement fut de courte durée. Il promena très rapidement se mains sur mon dos, puis effleura mes fesses qui tressaillirent malgré moi. Là, la sensation était totalement nouvelle, ses mains caressant mes fesses me procuraient un plaisir aussi intense que lorsqu’elles avaient caressé mon sexe ! Mes fesses étaient-elles elles aussi érogènes ?

« Bon, ta musculature est correctement développée ! J’avais un peu peur pour tes fesses, qui sont vraiment petites, mais elles sont très musclées… Et sensibles, on dirait »

Il se mit alors au pied du lit d’examen, et m’attrapant par les hanches, il m’enjoignit de relever mes fesses vers lui. En obéissant à sa sollicitation, je fus rattrapé par une honte pudique. Au fur et à mesure que je relevais mes fesses vers lui, celles-ci s’écartaient, offrant mon sillon fessier à sa vue et … A ses doigts !

Il venait de poser son pouce encore gluant sur mon anus, le massant légèrement en un mouvement concentrique… C’était divinement bon !! Sous la douceur de sa caresse, je me détendis, mon thorax s’affala sur la couchette, cambrant mon corps encore davantage. La sensation était incroyable, mon petit trou s’offrait, impudique, à ce doigt, qui, en dessinant des cercles concentriques, semblait avoir pris le contrôle de son ouverture.

« Bon, pour votre douleur abdominale, je veux juste écarter la péritonite. Je vais devoir pratiquer un toucher rectal, mais rassurez-vous, vous réagissez bien, et si vous ne vous crispez pas, ce ne sera absolument pas douloureux »

Tout en me parlant d’un ton qui restait détaché, mais dans lequel il me semblait détecter un soupçon d’ironie, il poursuivit les cercles avec son pouce, tout en plaçant ses autres doigts sous mes boules, comme pour les soupeser délicatement.
Je sentis son pouce décrire des cercles de plus en plus petits et se rapprocher ainsi de mon petit trou, qui semblait s’ouvrir et s’abandonner totalement à la perspective de cette intrusion.

J’étais dans un état étrange, comme coupé en deux au niveau de la ceinture. Mon arrière train me dominait et déversait vers mon cerveau embué et soumis, un flot de sang et de plaisir insupportable, accentué encore par les caresses de ses doigts sur mes boules lisses et gonflées. Enfin le pouce arriva à son but, et à ma grande surprise, il pénétra mon anus, comme naturellement, sans que je ne ressente aucune douleur. Comme s’ils avaient pactisé avec l’envahisseur, mes sphincters avaient au contraire ouvert mon anus, livrant mon rectum à ce pouce qui l’envahit complètement.

« Humm, l’examen ne sera pas douloureux et les risques de péritonites semblent écartés. Mais du coup, je trouve votre appareil sphinctérien un peu lâche, cela m’inquiète un peu… », Dit-il en massant légèrement ma prostate du bout du pouce.

La sensation de plaisir fut extrêmement violente, et mon anus enserra immédiatement et avec force cet intrus qui me faisait tant de bien.

« -Non, apparemment, cela va aussi plutôt bien de ce côté-là. Par contre, il reste votre tachycardie qui ne se calme pas, et je ne peux pas signer d’attestation positive sans aucun fondement... En fait, le seul fondement accessible dans l’état actuel des choses semble être le tien, mais il faudrait que tu acceptes une visite approfondie… »

« Quoi ? »

J’eus à peine le temps de m’étonner de son tutoiement soudain, les choses s’enchaînèrent trop vite. Plutôt que de protester plus avant, je restais prostré tout à ma surprise, le cul en l’air, sentant le médecin retirer son pouce tout en actionnant sa couchette pour la remonter, si bien que je sentis mes fesses se hisser comme si elles étaient tirées par le doigt qui se dégageait de mon anus. J’entendis alors un zip de fermeture éclair. Le médecin se pencha légèrement au-dessus de mon postérieur et lança sa main gauche vers mon entrejambe. Il se saisit avec douceur mais fermeté, de mes petites boules qui pendaient sans aucune défense.

Une fois encore le contact de sa main était extrêmement agréable, mais mes sensations étaient ambigües, plaisir et crainte se mêlaient. Je restais ainsi, tétanisé par la peur que ses doigts continuent à se refermer et écrasent mes pauvres petites boules, qui, dans sa main puissante, semblaient aussi fragiles que des œufs de caille. J’étais complètement à sa merci.

Je sentis alors une boule gluante et élastique se poser entre mes fesses et masser délicatement ma raie offerte, sur toute sa longueur. J’étais pétrifié.

« Dommage que dans ta position, tu ne puisses pas jouir du spectacle : Tu as un petit cul magnifique tu sais ! Tu sens à quel point tu me fais bander ? Allez, décontracte-toi ! »

Pas de doute, c’était son gland. Il posa sa main droite sur le bas de mon dos, et appuya doucement mais fermement, m’obligeant à me cambrer davantage. Entre mes deux fesses écartées, il pouvait ainsi, en oscillant de haut en bas, balayer toute ma raie avec le bout de sa queue. Lorsque celle-ci arrivait au niveau de mon petit trou offert, il s’attardait, exerçant une légère pression vers l’avant.

Son gland, sans le pénétrer vraiment, ouvrait légèrement la corolle de mon anus et s’y enfonçait légèrement, avant de riper et continuer son chemin le long de ma raie. Je ne sais combien de temps dura son manège, mais la caresse de mon petit trou me donnait un plaisir incroyable. De nouveau, il semblait prendre le contrôle de mon corps et je n’avais qu’une envie, que cette caresse ne s’arrête jamais, et que ce gros gland gluant ne cesse de progresser. A chaque passage, j’avais envie qu’il pénètre encore un tout petit peu plus loin, pour m’engluer encore un peu plus profondément. Et le médecin m’encourageait :

« Oui, vas-y, laisse-toi aller, profite ! »

Comprenant que j’avais abandonné toute idée de rébellion, il cessa son mouvement de piston et posa ses mains sur chacune de mes fesses, comme pour les guider et maintenir mon petit trou au contact de son gland.

« Allez, vas-y, écarte tes petites fesses, caresse-toi ton petit trou sur mon gros gland, tu vas voir comme c’est bon »

Et j’obéissais, poussant pour ouvrir mon anus chaque fois que ses mains attiraient ma croupe, et me relâchant lorsque ses mains relâchaient leur étreinte. Ainsi, mon petit trou, tour à tour absorbait une partie de son gland, puis l’expulsait comme une bouche en cul de poule pourrait suçoter un Chupa-Chups. Mais c’était vraiment bien meilleur qu’un Chupa-Chups !

« Oui, vas-y, continue ! Hummm, t’as un petit trou de champion tu sais ! »

« Aaaah, mmmh, aaahhm ! »

Je n’en revenais pas, des propos de ce médecin, qui n’avaient décidément plus rien de professionnel, ni des gémissements qui commençaient à sortir de ma bouche malgré moi. J’avais une voix étrange que je ne me connaissais pas.

Dans une volonté de lucidité et de reprise de contrôle, je me suis représenté mentalement la scène que j’étais en train de vivre : J’étais nu, agenouillé sur une couchette d’auscultation, la croupe relevée au maximum, et j’essayais pathétiquement de happer avec mon anus un gland trop gros pour lui, tout en poussant des cris grotesques de pucelle. Et je devinais que mon médecin, debout, la braguette ouverte, devait avoir perdu une bonne partie de son flegme !

Mais l’étrangeté et le ridicule de la scène n’avaient finalement aucune prise sur moi. Dans cette situation insensée, mes sens, seuls, comptaient. Et ils voulaient que cela continue, que cela aille plus loin encore.

« Oui, continue, c’est bien, vas-y, je vois ton petit trou qui s’ouvre, c’est incroyable ! Vas à ton rythme, si tu sens que ta peau tire trop, relâche la pression »

Je suivais ses conseils, comme s’il s’agissait d’un coach sportif. Tout comme son gland, une idée commençait à me pénétrer, et je réalisais qu’elle s’était maintenant imposée à moi : Je n’arrêterais pas avant que cette bite, raide et gluante, n’ait emprunté le même chemin que le pouce tout à l’heure. L’idée était pourtant irrationnelle tant le gland semblait gros, et mon anneau tout petit. Mais je ne me posais même pas la question. Mon petit cul voulait être pénétré et mon corps tout entier voulait maintenant être possédé. C’est cela que réclamaient ces gémissements de pucelles qui sortaient de ma bouche !

« Hmmmm, Hmmmm ! »

« Oui, vas-y, régale-toi ! Pousse encore ! Doucement ! Oooh ! »

« Aaah ! »

« Je crois qu’on y est, ne bouge pas ! Souffle ! Relâche-toi ! »

Un cri de douleur m’échappa lorsque ce salaud tira fermement ma croupe, juste au moment où je m’apprêtais à relâcher la poussée. Il tira juste ce qu’il faut pour que son gland franchisse l’entrée de mon petit trou. La peau de mon anus était étirée, à la limite de la rupture. Mais comme son gland était maintenant dedans et que ses mains m’interdisaient tout mouvement, j’obéis, je restai immobile, regrettant d’être allé trop loin dans cette expérience insensée.

« Ouille ! Ca fait mal ! Arrêtez ! »

« Du calme, relaxe ! »

Sentant que je n’osais plus bouger, il relâcha son emprise et se mit à me caresser les fesses, en me murmurant des paroles apaisantes.

« Ca y est, ça va passer, tu vas voir, ta peau va se détendre »

Ses caresses étaient agréables et à ma grande surprise, la douleur commença à se dissiper.

« Ca va mieux ? »

« Oui, un peu »

« C’est sûr, j’ai un gros gland ! Mais tu vas voir, maintenant qu’il est passé, tu ne vas plus souffrir, au contraire ! »

Et, tout en me murmurant ces paroles rassurantes, il empoigna ma croupe et poussa, pour faire pénétrer son sexe lentement mais de manière continue. Et je sentis l’invasion se poursuivre, inexorablement, sans aucune douleur supplémentaire. Au contraire, j’avais l’impression que cette longue pénétration me récompensait des épreuves endurées. Cette longue queue me pénétrait et c’est exactement ce que je voulais !

La lente pénétration me parut infinie. Curieusement, le gros gland gluant vint s’écrasé au fond de ma cavité anale au moment où je ressentais le contact du pantalon du médecin sur mes fesses tendues. Mais je ne m’en étonnai pas, abandonné que j’étais au sentiment de plénitude, que procure un abandon total.

« Voilà, çà y est, je l’ai toute enfoncée ! Ca va ? »

« Oui »

Mon « Oui » sembla donner le signal. Comme une locomotive à vapeur s’ébranlant en réponse au dau du chef de gare, le médecin se mit à me pistonner avec lenteur et puissance. Je sentais sa bite coulisser dans mon fourreau étroit, aidé par le lubrifiant libéré par son gland. C’était incroyable ! Je ne ressentais plus aucune douleur. Au contraire, c’était bon, et je recommençai à gémir de plaisir :

« Hhhha ! »

« Oh, oui, c’est bon, ma bite dans ton petit cul serré ! »

« Ouuiii ! »

Encouragé par mes cris de plaisir, le médecin augmenta progressivement le rythme et la puissance. Je n’avais plus aucune douleur, au contraire, ce piston du plaisir m’affolait littéralement. Il ahanait maintenant en donnant des grands coups de reins, comme s’il voulait me défoncer le fondement.

« Oui, vas-y » prend ça, ha, ha »

« Hmm, oui, oui ! »

Ses coups de reins étaient si puissants que mes genoux décollaient de la couchette à chaque coup de boutoir ! Et c’était bon ! Son amplitude augmenta encore, si bien que sa queue sortait maintenant complètement, avant de forer mon trou toujours plus violemment. Mais c’était encore meilleur !

Même les tapes sonores qu’il m’administrait sur les fesses me procuraient du plaisir !

« Ha, Ha, Haaa !! »

Soudain, un coup de rein plus violent encore me fit décoller de la couchette, mais cette fois-ci, le piston ne recula pas, je sentis son gland toucher durablement le fond de ma cavité annale. Je me suis alors redressé, et les bras du docteur vinrent aussitôt m’enlacer avec force. Alors que sa main gauche venait se crisper sur mon mamelon droit gonflé, sa main droite vint enserrer mon gland turgescent, en y imprimant un va-et-vient nerveux. Le plaisir fut immédiat et intense, j’ai éjaculé dans la main du docteur, au moment où son gland, immobilisé au plus profond de moi, libérait des jets saccadés et puissants. Il me saillissait pour mon plus grand plaisir.

Nous restâmes ainsi, tétanisés par le plaisir, pendant un temps qui me sembla infini. Il se retira ensuite très délicatement puis alla se laver les mains. Ensuite, il remonta le zip de son pantalon et vint signer l’attestation. Il me la tendit en me disant :

« Bon match demain ! J’ai mis mon numéro de portable au dos de la feuille. Si tu as besoin de quoi que ce soit, n’hésite pas ! Surtout si tu as envie d’une nouvelle visite approfondie ! Par contre, moi je suis sain, et je sais que tu l’es, mais si jamais tu refais ça avec qui que ce soit, même avec moi, surtout utilise un préservatif.

J’ai retenu le conseil et le numéro de téléphone, que j’ai appelé bien des fois depuis ce fameux week-end.

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