Première Sodomie

Cette histoire se passe le lendemain de «ma première expérience sur la plage».

Tout au long de la journée je n’arrivais pas à me concentrer sur mon travail, je ne faisais que penser à la veille et à ce moment de bonheur que m’avait offert Loïc. Malheureusement en début d’après-midi le ciel s’est couvert et le vent et la pluie font leur apparition faisant tomber à l’eau mon projet de retrouver Loïc à la plage le soir ; je décidais donc de lui envoyer un texto :

- Vu le temps je n’irai pas à la plage ce soir.
- Moi non plus on a qu’à se voir chez moi si tu veux ?
- Si tu veux, c’est où ?
- Au camping bungalow 6.
- Marrant ça, je bosse juste à côté !
- Bah viens direct après le boulot.
- Je préfère repasser chez moi me changer et prendre une douche.
- Pas la peine tu pourras prendre ta douche chez moi.
- Et pour me changer ?
- Pas besoin de vêtement pour ce soir.
- Ok alors je serai là vers 19h10.

Que l’après-midi fut longue, passée à fantasmer sur la soirée à venir avec Loïc avec une érection quasi constante.

L’heure de fermeture arrive enfin, je fonce chez lui direct, j’arrive dans le camping, je trouve son bungalow, m’approche et par la fenêtre je le vois assis dans son canapé, il porte un débardeur noir moulant toutes ses formes et un short noir qui lui moule parfaitement le paquet. Ses jambes velues sont posées sur la table, il porte des petites chaussettes s’arrêtant juste au-dessus de la cheville dans des chaussures de course jaune et noir. Il m’aperçoit, se redresse et s’approche de la fenêtre :

- Je ne t’avais pas entendu arriver tu es là depuis longtemps ?
Me dit-il en se penchant pour plaquer ses lèvres contre les miennes me faisant goûter la chaleur de son souffle et la douceur de ses lèvres avant que celles-ci ne s’ouvrent laissant passer sa langue qui est venue caresser mes lèvres puis ma langue. Il retira sa langue, décolla ses lèvres des miennes les laissant à quelques millimètres seulement et se mit à pouffer légèrement :
- On va ralentir un peu, me dit-il en se décalant de la fenêtre, sinon je vais avoir du mal à me retenir.



Il se dirigea vers la porte, m’ouvrit, je pus alors voir à travers son short de running qu’effectivement son excitation était au plus haut, son sexe formant une bosse le long de sa cuisse gauche, qui se déformait régulièrement lorsque son pénis soulevait le tissu. Mon excitation était tout aussi grande mais étant vêtu de ma tenue de travail (polo gris et pantalon de bleu) elle restait discrète.

- Entre et fais comme chez toi.
- Tu reviens de courir ?
- Non, je devais y aller mais comme il s’est mis à pleuvoir j’ai renoncé mais j’ai gardé la tenue.
- Ça te va bien…
- Merci, installe-toi sur le canapé, tu veux boire quelque chose ?
- Une bière si tu as, lui répondis-je en posant mon sac près de son canapé.
- Qu’est-ce que tu as dans ton sac ?
- De quoi me changer, je n’aime pas rester en tenue de boulot le soir.
- Dans ce cas mets-toi à l’aise, hésite pas…
- Je me changerai après une petite douche si tu es toujours d’accord que je t’emprunte un peu d’eau.
- Ok, bah après la bière je te montrerai où est la douche

Il m’a tendu une bière et s’est assis sur la table basse juste en face de moi, ses cuisses encadrant les miennes. Nous avons discuté assez longtemps de tout et de rien et au fur et à mesure de la discussion il a commencé à poser ses mains sur moi, d’abord sur mes genoux, me caressant le bas des jambes puis remontant, me caressant les cuisses puis passant sa main au niveau de mon sexe, c’est à ce moment-là qu’il fit dériver la conversation vers le même endroit.

- Et niveau garçons tu en es où, me demanda-t-il.
- Je n’en suis pas très loin, une seule expérience, hier soir, avec toi…
- Tu étais plutôt filles avant ça ?
- Non j’ai jamais été attiré par les filles.
- Tu veux dire qu’hier soir c’était ta toute première ?
- Oui, tu es le premier à m’avoir jamais touché…

C’est à ce moment-là que son short s’est remis à bouger au rythme de l’excitation de son sexe, attirant mon regard que je n’arrivais pas à détacher de son paquet.


- Tu n’es pas très discret quand tu me mattes, me dit-il en rigolant.
- Excuse-moi mais j’aime beaucoup ta tenue… et ce qu’il y a dessous…

Il s’est alors mis à accen le massage qu’il exerçait sur mon sexe me faisant à mon tour avoir une érection. Il se leva de la table et vint m’embrasser, un baiser bien plus sauvage que celui pour me dire bonjour, il sortit directement sa langue qui força mes lèvres à s’ouvrir puis alla chercher ma langue pour commencer à tourner dans un sens puis l’autre de plus en plus vite. Il s’assit alors sur mes jambes, les genoux sur le canapé et commença un mouvement de bassin qui faisait passer et repasser ses fesses sur mon sexe à travers le tissu. Ses mains me tenaient l’une la joue et l’autre l’arrière de la tête alors que je mettais les miennes sur son dos, le caressant des épaules jusque ses fesses rendues magnifiquement rondes par son short. Il commença à m’embrasser sur les joues, le nez, le cou, les oreilles, me faisant découvrir la sensibilité de toutes ces parties de mon corps. Mes mains glissèrent sous sa tenue, l’une sous son débardeur et l’autre dans son short me faisant constater qu’il ne portait rien dessous. Il m’enleva mon polo me caressant le torse et le ventre en continuant à m’embrasser l’ensemble du visage. Je remontai alors son marcel, il leva les bras me permettant de lui enlever puis il approcha son torse de mon visage et je me mis à l’embrasser de partout lui suçant les tétons tout en remettant mes mains dans son short. Il saisit mon menton, me leva la tête et vint placer ses lèvres contre les miennes alors que sa seconde main avait rejoint la mienne dans son short la guidant vers sa raie. Je passai ma main de haut en bas sur sa raie avant de commencer à tourner un doigt autour de son trou. Ce massage lui faisait pousser de petits gémissements alors que notre baiser se prolongeait.

Puis il se leva me fit écarter les jambes, se mit entre elles, prit mes mains, les mit dans son short pour le faire descendre, libérant son sexe qui se plaça à la verticale de son corps, le gland à demi-sorti de son prépuce humide de liquide séminal.
Il dirigea ma main jusque son sexe que je commençai à branler et emmena mon autre main à son visage, mit mon index dans sa bouche le suçant sur plusieurs aller-retour avant de diriger ma main entre ses cuisses jusque la raie de ses fesses, il leva sa jambe posant son pied sur mon genou et me facilitant l’accès à son trou. Mon doigt entra facilement arrachant un râle à Loïc, il reprit mon poignet, me fit sortir le doigt et le ramena jusque sa bouche pour le mouiller de nouveau avant de le remettre à ses fesses le faisant entrer et sortir dans un mouvement très long puis il lâcha ma main me laissant le doigter au rythme de mon choix, c’est-à-dire au même rythme que je le branlais.

Je ne pensais pas pouvoir être autant excité en ayant toujours mon pantalon mais le fait de le voir nu se trémousser et gémir au rythme de ma main sur sa queue et de mon doigt entre ses fesses me faisait mouiller mon boxer comme jamais. Puis il prit ma tête entre ses mains et la guida vers son sexe sur lequel je déposai un baiser avant de l’engloutir jusqu’à avoir mon nez dans ses poils pubiens. Je le suçais tantôt vite, tantôt lentement, en variant parfois insistant autour de son gland parfois sur toute sa longueur. Il remit ses mains sur ma tête, m’empêchant de la bouger et il commença d’amples mouvements de bassin choisissant à son tour le rythme de la fellation et de mon doigt dans son trou. Il accéléra de plus en plus, gémissant de plus en plus fort puis d’un coup s’arrêta me disant :

- Bouge plus s’il te plait !
- Pourquoi ?
- Sinon ça va sortir !
- En même temps c’est fait pour ça, non ?
- Oui mais je ne veux pas être le seul à prendre du plaisir.
- T’inquiète, je prends mon pied, continue.

Et pendant que je lui dis cela je reprends son sexe en main, le branlant rapidement et remet mon doigt dans son trou, le faisant tourner à l’intérieur. Il remit alors ses mains sur ma tête et recommença ses mouvements de bassin en gémissant de plus en plus fort, se retira et éjacula de 5 longs jets atterrissant sur mon visage.
Il retira mon doigt de son anus, enleva son pied de sur mon genou et vint coller un baiser sur mes lèvres.

- Désolé de t’en avoir mis partout, me dit-il en rigolant.
- C’est pas grave, de toute façon je voulais prendre une douche !
- Viens, je te montre où c’est.
Il me devança jusque la salle de bain ! me laissant profiter de la vue de son dos et de ses fesses nus.
- Fais comme chez toi, y a des serviettes sous l’évier, pendant ce temps-là je vais préparer à manger si tu veux bien partager mon repas ?
- Avec plaisir.
- A tout de suite alors, me dit-il en déposant un baiser sur mes lèvres avant de fermer la porte.

Me voilà seul dans sa salle de bain, le visage couvert de son sperme et le sexe en érection maximum. Première chose à faire le libérer !! Je défais donc les boutons de ma braguette et fais descendre mon pantalon. Je me rends alors compte que mon boxer blanc présente une grande tache là où mon gland se trouve retenu. Je fais tomber mon boxer sur mes chevilles, m’appuie sur le lavabo et retire mes chaussures, chaussettes, pantalon et boxer. Me voilà nu, je me retourne et m’aperçoit dans le miroir, j’ai la joue gauche barrée de deux traits de sperme, j’en ai également sur la paupière droite, le nez et le front. Je trouve un gant et me passe un coup sur le visage.

Je pris ma douche profitant longuement de la douce caresse de l’eau sur ma peau, insistant sur la toilette des zones intimes au cas où la soirée se termine comme je l’espérais. Je sors, prend une serviette et me sèche, c’est à ce moment-là que je me rends compte que j’ai oublié le sac avec mon change à côté du canapé. Ne voulant pas remettre le pantalon et le boxer que j’avais porté toute la journée, je décide de sortir nu et d’aller chercher mon sac. Rien que l’idée de sortir rejoindre Loïc nu redonne à mon sexe une érection intense, je sors, il est assis dos à moi sur son canapé, je m’approche et me rends compte que lui-même est très peu habillé il a toujours ses chaussettes courtes dans ses baskets bicolore qu’il n’a pas enlevé depuis mon arrivée et au-dessus il a juste enfilé un boxer jaune moulant son sexe au repos vu la taille raisonnable du paquet que cela forme. Il regarde la télé, les pieds posés sur la table basse, une clope dans une main et un verre dans l’autre. Sur la table un verre et une clope attendent. Je me place de l’autre côté de la table, entre Loïc et la télé, att la clope et l’allume, il me regarde des pieds à la tête et me dit :

- Tu as trop chaud pour t’habiller ?
- Non, j’ai juste oublié mon sac ici, je lui réponds en prenant mon sac, il se redresse et m’att le poignet.
- Tu es magnifique comme cela, si tu n’as pas froid reste comme cela s’il te plait.
Je repose mon sac et m’aperçois que son boxer jaune commence à s’agiter. Me tenant toujours par le poignet il me fait m’assoir juste à côté de lui et me tend le verre resté sur la table.
- Whisky, ça te va ?
- Très bien merci.

Nous avons discuté un long moment autour d’un, de deux puis de trois verres et tout le long il n’a cessé de passer sa main sur mes jambes, mon ventre ou mon sexe, me maintenant continuellement en érection. Puis l’alcool et ses caresses ayant fini de me désinhiber je grimpe sur lui et l’embrasse goulument, une main caressant ses cheveux et la seconde cherchant la sienne pour la conduire sur mes fesses. Je sens sur mes fesses le mouvement du tissu de son boxer traduisant son excitation et sa main qui commence un va-et-vient le long de ma raie. Nous nous embrassons longuement puis de sa main libre il me fait me redresser légèrement, présentant ainsi devant son visage mon torse qu’il commence à embrasser, lécher, insistant notamment sur mes tétons qu’il aspire, qu’il suce et qu’il mordille tout en accentuant la caresse de sa main sur ma raie, commençant à jouer de ses doigts autour de mon trou, ce qui a pour effet de me faire gémir.

Il me fait ensuite m’allonger sur le canapé sur le ventre, place un coussin sous mon bassin et vient s’agenouiller derrière moi, il masse mes fesses de ses mains, d’abord de simples caresses avant de les malaxer de plus en plus fermement. Il approche son visage, embrasse chacune de mes fesses puis dirige sa bouche entre elles et embrasse mon anus. De ses mains il écarte mes fesses, sort sa langue et commence à me titiller l’anus, il commence par en faire plusieurs fois le tour, déposant un baiser dessus régulièrement avant de commencer à la rentrer millimètre par millimètre avec une délicatesse adorable, ce qui a pour effet de me mettre en transe ! Je commence à gémir de plus en plus fort et à me tortiller au rythme de sa langue. Il glissa alors sa main entre mes jambes pour dégager mon sexe et le mettre contre le coussin, ce qui lui permet alors de faire voyager sa langue de mon anus jusque mon gland en passant par mes bourses et toute la longueur de mon sexe, je me mets alors à pousser de petits cris que je n’arrive pas à contrôler sous tant de bien-être. Pendant que sa langue s’occupe de mon trou, sa main malaxe délicatement mes testicules et mon sexe et quand il alterne et qu’il joue de sa langue autour de mon gland, il fait danser son doigt autour de mon anus avant de commencer à le rentrer de plus en plus, aussi délicatement et lentement qu’il l’avait fait avec sa langue. Plus son doigt bouge plus je fais entendre mes gémissements de bonheur. Il revient une dernière fois mettre sa langue entre mes fesses, la rentrant et la sortant du plus qu’il peut et très rapidement, puis je l’entends se redresser, il approche son visage de moi, embrassant au passage mon dos, mes épaules et mon cou, et vient murmurer à mon oreille «je reviens de suite», il me suce délicatement l’oreille et je le sens s’éloigner, je reste là, couché dans un état second, appréhendant légèrement la suite mais totalement prêt à enfin connaitre la sodomie.

Il revient, m’embrasse le pied et la jambe en passant, avant de remettre sa tête entre mes fesses et de reprendre l’anulingus. Je l’entends ouvrir un tube et faire sortir un peu de lubrifiant puis une sensation de froid se fait sentir sur mon anus alors que son doigt rentre facilement dedans, il l’emmène loin, le faisant tourner en moi, me faisant gémir derechef. De nouveau le bruit du tube, puis il place ses 2 mains sur mes hanches et je sens le froid sur mon anus alors qu’il approche son sexe. Comme pour la langue et le doigt il y va tout en douceur, mon trou s’adapte au fur et à mesure, seule une légère douleur vite remplacée par du plaisir me fait pousser un cri quand son gland finit son entrée. Sa tige étant bien plus fine que son gland le reste entrant bien plus facilement, je sentais enfin un sexe d’homme en moi !!

Loïc commence son lent mouvement de va-et-vient, me faisant râler de plaisir à chaque mouvement que je sentais au plus profond de moi. Il accélère son mouvement, serre de plus en plus mes hanches, je sens à chaque mouvement ses testicules qui viennent caresser les poils des miennes augmentant encore mon extase. Il se retire, me fait me redresser quelque peu, je me retrouve à quatre pattes sur son canapé il se met debout derrière moi, appuis son gland contre mon anus et fait rentrer sa tige en entier d’un coup sec. Mon anus ayant été magnifiquement préparé par la langue, les doigts et le sexe de Loïc, cela se fait sans douleur mais avec un grand cri de ma part, synonyme du plaisir que cela me procure. Il ressort et recommence plusieurs fois, j’enfonce ma tête dans un coussin pour mes râles de jouissance. Il remet son sexe en moi, met ses mains sur ses épaules et entame un va-et-vient du plus vite qu’il le peut. Je sens son souffle rapide sur mon cou, tout en maintenant son mouvement, il vient m’embrasser le cou, je penche la tête en arrière, il m’embrasse la joue puis nos bouches se rejoignent dans un baiser long et vigoureux qui étouffe mes gémissements de plaisir. Il accélère encore et se met à son tour à râler, je sens la pénétration encore plus profondément qu’avant, puis il s’arrête et est pris d’un rire nerveux et chuchote :

- Désolé, je pouvais plus attendre !
- T’inquiète pas j’ai pris mon pied.

Et effectivement j’avais pris mon pied, cela reste pour moi un des meilleurs coups que j’ai connus, bien que je n’ai pas éjaculé de la soirée alors que lui l’a fait deux fois, je reste persuadé que j’ai pris plus de plaisir que lui, c’est ce soir-là que j’ai compris qu’on pouvait prendre son pied sans utiliser son pénis.

Loïc finissait ses vacances le lendemain de cette soirée, je ne l’ai pas revu depuis mais je garde un magnifique souvenir de lui.

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