Première Fois En Passif Avec Ma Transsexuelle Préférée

Salut à tous,
Depuis plusieurs années déjà, plus de 15 ans, j'ai découvert les transsexuelles. Tout avait démarré par curiosité et je me suis accroché assez rapidement après quelques bonnes expériences avec quelques transsexuelles. Un beau jour, je suis tombé sur Sarah, une belle blonde avec qui j’avais passé des moments inoubliables et depuis je ne vois qu’elle depuis plusieurs années. Elle est devenue ma maitresse et moi son amant.

Plusieurs fois, Sarah m’a demandé, une chose que j’ai toujours refusée de peur me sentir gay !!!!!!!!! Celle de me prendre, me pénétrer.

La semaine dernière et avec l’aide d’une amie auteur sur HDS, j’ai réussi à le faire.
Je n'ai été qu'actif jusqu'à la semaine derrière. Le week-end dernier, j’ai osé à franchir ce pas et j’ai compris, une fois fait, qu’il était un pas géant. Vous allez le voir et le comprendre en lisant ce témoignage que j’espère, vous aimeriez.
J’ai voulu partager ce dépucelage avec vous et ce récit représente la première nuit de nos deux nuits de dépucelage.
Merci de me laisser vos remarques.

Sarah m’a ouvert la porte, je lui fais la bise et je rentre. Elle était en peignoir. Je ne pouvais pas voir si elle était nue en dessous ou si elle portait des sous-vêtements. Elle ne portait pas de bas, c’est sûr. On se met sur le divan dans le salon. J’avais ramené du champagne avec moi, on ne se fait pas dépuceler tous les jours! Elle avait aussi préparé du champagne au salon avec des petits amuse-gueules. On entame le champagne, on prend une gorgée ou deux et je lui tends le bras, signe de se rapprocher plus de moi. Elle vient se coller à moi et on s’embrasse. Elle ne portait qu’une petite culotte sous son peignoir. D’habitude elle met plus que ça quand elle m’attend. Une petite tenue ou jeans avec t-shirt, ça dépend.

Je lui ai fait comprendre que j'étais prêt à m'offrir à elle entièrement en enlevant mon pantalon. Je continue à me déshabiller et je garde mon boxer.

Je lui ôte son peignoir et commence à l’embrasser et caresser son visage, sa nuque. J’arrête mes caresses sur ses seins, j’ai pris ses tétons entre mes doigts, les ai titillé un peu avant d’aller embrasser ses seins et sucer ses tétons qui durcissaient sous mes caresses. Je n'étais pas en reste et je voyais une belle bosse dans sa petite culotte.

Elle fut la première à sortir son sexe, un beau sexe de belle transsexuelle, toute mignonne et superbement femme, avec un beau gland épais même quand il ne bande pas complètement. Une queue à damner un saint. Je lui ai dit que je trouvais sa queue très belle aujourd’hui. Elle me répondit en disant :
- Pourquoi? Parce que d’habitude elle ne l’est pas? Tu ne l’aimes plus ?
- Bien sûr je l’aime ma chérie, tu le sais bien. Mais ce soir c’est différent. Ce soir, c’est cette queue qui va me dépuceler, alors tu comprends, j’ai envie de bien la gâter pour qu’elle s’occupe bien de moi.
- T’inquiète pas, elle le fera !

Elle m’a invité à aller nous doucher et m’a demandé si je voulais qu’elle me fasse une douche intime, sachant que je devais être encore nul dans ces petites choses de femmes. Je lui ai dit que c’était fait et que je ne suis pas complètement nul sur ces petites choses de femmes, grâce à l’internet.

Sous la douche, on s’est mis face à face. On s’est jeté l’un dans les bras de l’autre et l’eau coulait sur nous. Je sentais son corps, plus chaud que l’eau, contre le mien et sa queue touchait la mienne. Oh combien j’aime sentir sa queue toucher la mienne, c’est fou. Elle est belle cette queue. On a commencé à s’embrasser et je n'arrivais déjà plus à respirer tellement elle m'embrassait divinement bien et elle me faisait perdre pied avec toute réalité. Je lui ai tourné le dos et elle glissa ses mains et se saisit de mon sexe, le caressant doucement pour me faire bander plus et durcir.

Elle m’a donné une série de baisers dans le coup et le dos, tout en me branlant.
Des frissons ont parcouru mon corps et je me suis mis à bander comme un fou, quand j’ai senti sa queue durcir contre mes fesses et surtout quand je pensais qu’elle était en train de m’exciter pour me baiser. Rien que cette idée, me faisait bander encore plus. Mais en fait, je n’avais pas besoin d’être excite, je l’étais déjà depuis quelques jours quand j’ai décidé de m’offrir à Sarah et lui présenter mon cul comme une offrande.
Elle était en train de me branler doucement, chose qu’elle sait faire avec excellence, tout en frottant toujours sa queue contre mes fesses. Je sentais sa queue durcir et doubler de taille derrière moi.

Progressivement et sans faire exprès, j’ai cambré le dos pour écarter un peu les fesses, pour que mon trou aille plus à la rencontre de sa queue assez dure et qui était derrière moi. Je voulais sentir cette queue encore plus proche de mon trou, certainement une envie de longue durée ou plutôt un rêve depuis plusieurs années dans lequel la queue de Sarah était l’héroïne. Tout mon corps n'était que plaisir et je me demande comment j'ai fait pour ne pas jouir. Sa queue était chaude et douce et elle allait et venait sur ma raie d’une façon qui ne faisait qu’augmenter en moi le désir de sentir cette queue en moi. J’en avais envie.
Elle a certainement senti que j’étais très excité, impatient, ouvert à nos désirs communs, celui de me faire dépuceler. Alors elle a fait glisser tout naturellement sa queue dans ma raie et touche mon trou avec son gland chaud et dur, elle avait bien senti que j’avais envie de l’accueillir.
Elle m’a demandé si je voulais aller dans la chambre pour que nous soyons plus à l’aise. Je lui ai répondu :
- “ouiiiii, j’ai envie d’avoir ta queue dans mes mains et te sucer”
- C’est tout ce que tu veux?
On rigole et on sort de la baignoire.

Nous avons commencé à nous essuyer mutuellement en échangeant des baisers sur la bouche, le nez, les yeux, le front, le cou, partout. Je tenais un sein dans la paume d’une main et de l’autre je lui ai essuyé le corps en m’attardant sur sa queue pour l’exciter un peu plus et elle m’essuyait en s’attardant sur mes fesses et je cambrais le dos pour la laisser masser mon trou.
Chacun se concentrait sur la partie du corps de l’autre dont il avait le plus envie. Moi sa queue de plaisir et elle, mon trou d’amour.

On s’est jeté sur le lit, moi en premier sur le dos avec ma queue bien dressée et dure comme un dingue. Elle me rejoint en sautant sur moi. Elle m’écrase sous son corps, me prend dans ses bras, prends ma bouche entre ses lèvres et m’embrasse fort en faisant rentrer sa langue, cherchant la mienne. On passe un bon quart d’heure à nous embrasser en faisant coller nos ventres et nos queues se frottaient l’une contre l’autre. Sentir cette queue se frotter contre la mienne, m’a mis dans un état d’excitation maximale, j’ai toujours aimé sentir sa queue sur la mienne et elle le sait. J’ai écarté les jambes pour faire coller sa queue un peu plus contre la mienne en la tenant par ses fesses et la tirant de plus en plus contre moi.

J’ai glissé ma main entre nos corps, cherchant sa queue, la prenant d’une main en lui disant «on se fait une pipe ?» Elle répond positivement et elle a pris une position de 69 et on s’est mis à se sucer. De ses doigts elle me masse l’entrée. Je ne pouvais pas retenir des soupirs de bien-être et mon corps frémissait sous la double caresse de la fellation et de ses doigts sur mon anus. J’étais très excité et je bandais à mort au point que ma queue commençait à me faire mal, tellement je bandais depuis longtemps sans arrêt.

Vu mon état, elle me dit «dis donc mon chéri, tu es excité comme une puce aujourd’hui, tu veux toujours que je te pénètre ou tu veux me prendre comme d’hab ?» Elle m’a dit ceci avec un sourire large et un regard très malin et complice et sans attendre une réponse, elle vient se mettre derrière moi sur le côté. Elle nous a fait prendre la position des cuillères, ma favorite. Je l’ai senti bien collée derrière moi avec sa queue bien raide sur mes fesses.

J’étais là à attendre le plus beau cadeau qu’elle puisse m’offrir, pénétrer ce cul que je lui offrais.
J’ai senti un froid sur mon trou, j’ai compris qu’elle était en train de me mettre du gel. Elle a appliqué une bonne quantité de gel sur mon anus et a introduit un doigt pour lubrifier mon canal en faisant plusieurs allers-retours avec son doigt. Elle a retiré son doigt et a ramené un peu plus de gel en introduisant deux doigts cette fois. C’était la première fois que quelque chose me pénètrait le cul, ça me faisait un drôle d’effet et un petit frisson en même temps.

Elle me dit, “ça y est mon chéri, tu es bien lubrifié, n’aie pas peur, je ne te ferai aucun mal” et j’entends une voix comme un craquement, j’ai compris qu’elle ouvrait un préservatif qu’elle a mis, ”jai aussi lubrifié ma queue, aucune inquiétude à te faire” me dit-elle. Elle rapproche son sexe de mon cul et je mets ma main pour attr cette queue une dernière fois avant qu’elle me pénètre. Comme si je voulais me rassurer qu’elle bandait bien pour bien me pénétrer ou qu’elle bandait moins pour ne pas me faire très mal. En effet, sa queue bandait bien dur et j’avais hâte de l’avoir en moi. Cette queue que j’aime, allait être en moi dans quelques secondes, j’en rêvais, je la voulais, je la veux cette queue. Elle positionne son gland à l’entrée de mon anus. J’ai senti son gland d’abord frotter mon trou longtemps pendant une minute ou une heure, je ne sais plus, mais c’était bon à savourer, un vrai délice. Et sans me tirer vers elle, elle s’est incrustée dans ce trou que je crois qu’il était entrouvert de l’effet de ses doigts et comme si mon trou ne demandait qu’à la sentir le pénétrer.

Lorsqu’elle donne un tout petit coup de reins, j’ai senti son gland comme absorbé, et cette queue, que j’aime, que je connais millimètre par millimètre et que j’ai souvent pris dans ma bouche, est en train de glisser entre mes fesses. J'ai senti mon petit trou s'ouvrir et cette belle chose venir doucement mais sûrement. J'ai gémi, une petite douleur et une brûlure. Elle s’est arrêtée, je crois pour me laisser le temps de respirer. Mais j’en avais envie moi !! Je lui ai demandé d’y aller et bien m’enfoncer sa queue et je poussais comme pour chier pour la faire rentrer plus facilement, c’est ce que j’avais lu sur l’internet en me préparant à ce dépucelage.

A ma demande, elle commença à continuer à s’enfoncer en moi toujours très délicatement jusqu’à ce que je croie sentir ses couilles toucher mes fesses. Elle a lâché un énorme soupir, certainement de contentement. Moi, par contre, j’ai lâché un petit soupir, qui était dû plus au soulagement d’avoir réussi à la prendre en entier en moi, plus que du plaisir. Mais au fur et à mesure qu’elle faisait ces va-et-vient de plus en plus profonds, mais toujours très lentement et avec une douceur et une délicatesse qui me rendaient fou, je sentais un plaisir m’envahir. Un plaisir que je n’avais jamais senti de ma vie entière auparavant, même avec elle. Le plaisir de lui donner du plaisir. Le fait de la sentir en moi, me donnait un sentiment de jouissance ainsi que de fierté d’être capable de la prendre en moi d’un seul coup dès la première fois. Je ne sais pas si ceci est grâce à moi ou à elle, ou à la relation et aux sentiments de confiance et d’amour entre nous ? Je me suis rappelé de mes lectures, j’avais lu qu’en contractant son cul on devrait mieux sentir la pénétration. J’ai commencé donc à le faire et en contractant mon cul, j’ai senti de plus en plus que sa pénétration était délicieuse et je sentais de plus en plus du plaisir qu’elle m’encule. J’étais en train de me faire enculer par Sarah et je savourais de plus en plus, chaque instant, cette belle queue dressée en moi qui allait et venait de plus en plus au fond de moi et qui durcissait en moi sans arrêt jusqu’au point que je croyais que Sarah ne savait plus ni où ni comment s’arrêter. Je sentais comme une métamorphose, comme si cette queue était en train de transformer mon cul en petite chatte bien serrée et moi en femelle et que Sarah et moi, on devenait des lesbiennes.

A cet instant, je ne pensais pas ; ou je ne voulais plus penser si je devenais gay ou pas, je m’en foutais complètement. Tout ce qui occupait mon esprit c’est cette belle queue, que j’ai toujours aimée, qui occupait mon cul et mon ventre comme j’en ai toujours rêvé. J’étais en train d’apprécier de plus en plus ce qu’elle me faisait. J’aimais cette femme qui est en train de me faire l’amour comme je le lui ai souvent fais. J’ai connu le plaisir de la baiser et j’imaginais qu’elle était en train de prendre le même plaisir qu’elle me donnait quand je la baisais et mon plaisir doublait encore plus. Je sentais plusieurs plaisirs d’un coup, le premier celui d’avoir sa queue en moi et de la sentir taper contre ma prostate chaque fois qu’elle faisait son va et vient. Un deuxième plaisir de m’imaginer le plaisir qu’elle a et que j’étais en train de lui procurer et que sa queue me le prouvait puisque je la sentais de plus en plus épaisse en moi. Un troisième dû à ma queue qui durcissait, grandissait et grossissait de plus en plus comme je ne l’ai jamais eu sous la pression de sa queue par derrière et de sa main qui n’arrêtait pas de la toucher et me masturber d’une façon très délicate de sa main très douce. Un autre plaisir dû au fait qu’elle me tenait entre ses bras, je sentais ses bras, ses seins, son ventre et ses jambes contre mon corps. J’avais l’impression que Sarah était entièrement en moi et qu’il n’y avait pas que sa queue.

Sarah a changé de position, elle m’a fait m’allonger sur le ventre, les jambes bien écartées. Elle s’est assise devant mon anus et m’a pénétré. Je l’ai laissée me pénétrer et je me suis laisser faire et je savourais sa pénétration. Et puis elle m’a pris en missionnaire, j’étais sur le dos, les cuisses soulevées et Sarah s'est insérée entre mes jambes et m’a introduit son beau sexe. Nous étions comme un couple d'amoureux qui se découvraient pour la première fois. Ce face à face nous a permis de voir les émotions de chacun qui se dessinaient sur nos visages. Sarah m’a fait l’amour très tendrement, exactement comme je l’aime et comme j’en ai rêvé.

Alors que Sarah me bourrait et qu’elle devenait plus impétueuse entre mes fesses, j’entends son souffle rauque et ressens la chaleur humide de son haleine sur mon front et ma bouche. Quant à moi, cela faisait déjà longtemps que je râlais de contentement et de plaisir. Après longtemps, sans qu’elle me touche la queue, j’ai joui en criant très fort et éjaculant une grosse quantité de sperme. Sarah a continué quelques va-et-vient avant de retirer sa queue, d’enlèver le préservatif pour me maculer la queue et le ventre de son jus brûlant et qui se mélangeait au mien. Elle n’a oublié aucun détail, elle sait que j’aime sentir son sperme sur ma queue, comme j’aime éjaculer sur sa queue la plupart du temps. C’est l’avantage de faire l’amour avec quelqu’un qui nous connait bien et qui est au bien courant de tout ce qui nous fait plaisir. Je reste immobile, incapable de bouger. Sarah s’écroule sur moi, et se met à m’embrasser pendant quelques minutes en faisant bouger son corps contre le mien et nos spermes aidaient à faire glisser nos corps avant de rester immobiles pendant un certain temps pour reprendre nos esprits. Nous étions fatigués mais au septième ciel et nos corps respiraient ce plaisir que nous venions de se donner, chacun à travers les sens de l’autre. Je la prenais entre mes bras et j’étais aux anges, dans un monde à part.

J’ai été le premier à bouger et à parler.
- Sarah, je savais que tu étais une vraie femme et j’étais sûr que tu allais me faire l’amour tendrement comme tu viens de le faire. Je t’aime mon amour.
- Moi aussi je t’aime et je ne me suis jamais si bien amusée comme on vient de le faire. Comme tu me baises bien, tu m’as laissé bien te baiser et j’ai envie de reprendre dès que tu te sentiras en mesure de le faire ou que tu en auras envie. Il faut que je te prenne en levrette, tu vas aimer, c’est ce que je préfère.
- Je sais ma chérie que c’est ta position préférée, mais j’aimerais aussi m’asseoir sur ta queue face à toi et que je remonte et redescendes sur cette queue qui est magnifique ce soir. Pourquoi est-elle si belle ce soir? Qu’est-ce qu’elle a de plus, pourtant je la connais très bien? Tu sais, c’est comme si je la découvrais de nouveau ce soir ….
Elle rigolait en me regardant très tendrement et très amoureusement et me dit :
- Oui mon coeur, nous ferons tout ce dont tu as envie, je te ferai l’amour tendrement comme tu l’aimes. Nous avons encore toute la nuit devant nous et demain.

Elle s’arrêta de parler quelques secondes et puis elle me dit :
- Ne me dit pas que tu pars demain matin?
- Non, je t’avais dis que j’étais avec toi jusqu’à samedi matin, nous avons donc demain toute la journée et la nuit de demain.
Et là je sens que ma queue commençait à se réveiller sous l’effet de ses doigts qui n’arrêtait pas de la caresser. Je voyais la sienne aussi qui prenait des belles mesures. Je lui dis :
- Viens qu’on se rafraichisse vite fait, nous sommes complètement pleins de foutre partout. J’ai encore envie de toi tout de suite, bien que je sente une petite brûlure au cul, mais peut-être il faut lui donner un peu plus pour le calmer.

Elle me regarde sans rien dire et nous avons rigolé et nous nous sommes levés et vite fait, nous étions sous la douche. Ça commençait très tranquille, une douche normale comme deux grands garçons. C’était comme si on voulait faire vite pour retourner au lit. Sans faire exprès, je me suis mis derrière elle et j’ai trouvé ma queue en train de frotter ses fesses et sa raie. Elle dégage un soupir comme si elle me disait “oui gâte moi ce cul avec ta queue” et elle cambre son dos et m’offre sa belle croupe de femme en se pliant encore plus et en masturbant sa queue lentement. Je tends mon bras et récupère un préservatif d’un petit meuble se trouvant à côté de la baignoire et l’enfile sur mon sexe en ayant les couilles qui me faisaient mal comme si je n’avais pas éjaculé depuis des siècles. Je pose une main sur un sein et de l’autre je prends sa queue pour la masturber et je la tire vers moi. Je pose ma queue sur son trou et juste un petit frottage et fais pénétrer mon gland. Elle pousse son cul vers moi et laisse pénétrer entièrement ma queue sans aucune résistance. Je reste immobile pendant un bon moment comme pour apprécier ce cul qui serre bien ma queue et puis je commence à la limer doucement en bougeant ma main sur sa queue avec le même rythme que mon va-et-vient. Elle lâche un soupir et me dit “ouiiiiii baise-moi mon salaud, lime-moi parce que tout à l’heure je te prendrai et je te baiserai, tu verras ce que je ferai à ton cul, baise-moi, baise-moi”. A l’entendre parler ainsi, je devenais dingue j’ai poussé un cri et lâché mon sperme sans m’arrêter de la limer. Je n’arrivais pas ni à débander ni à retirer ma queue de ce cul. Je devenais de plus en plus dur dans son ventre en me rappelant de sa queue dans le mien et je faisais des va-et-vient avec une verge complètement trempée de mon sperme dans le préservatif. Je lui ai dit : “Sarah, je nage dans mon sperme et je n’arrive pas à débander ou à me dégager de ta chatte”. Ceci dit, elle a commencé à bouger son cul rapidement pendant 2 ou 3 minutes, je pousse un deuxième cri et j’éjacule encore une fois. Elle pousse son cul loin pour faire sortir ma queue de son cul, se met en face de moi et me masturbe. Je ne pouvais plus supporter qu’elle touche ma queue, ça me faisait mal tellement j’étais excité.

Elle tend sa main, récupère un préservatif, le met rapidement, le trempe de mon propre sperme et m’enfile aussitôt avant même que je puisse réagir ou dire un mot. En tout cas, j’avais nullement l’intention de faire ou dire quoi que ce soit. Tout ce que j’ai fait, était de cambrer mon dos, pour bien la récupérer. J’imagine que mon trou était resté ouvert car elle n’a eu aucun mal à s’introduire en moi et a commencé à bouger dans mon ventre en me disant qu’elle a toujours faim de mon cul et qu’elle voulait me baiser et me baiser encore. Et moi alors!! Je ne demandais que ça, qu’elle me baise et me baise et me rebaise. Et j’entendais sa voix s’éloigner, je n’étais plus là. Elle se met à accélérer et jouit également. Elle est restée un moment immobile avant de se retirer. Je me suis retourné, mis à genoux, enlever le préservatif et me suis mis à la sucer et lécher les dernières gouttes de son sperme chaud. Je me sentais femme !! Salope !! Un sentiment bizarre et nouveau pour moi. Je sentais aussi que mon anus avait toujours du mal à se fermer.

Nous finissons notre douche et partons dans la chambre. On s’est allongés sur le lit, nus, je l’ai prise dans mes bras, elle s’est collé contre moi. Je sentais sa queue toute molle contre mon corps quoiqu’elle avait gardé sa taille même sans bander. On s’est embrassé avec fougue et longtemps.
- Alors, me dit-elle, comment trouves-tu ton dépucelage?
- Génial, répondis-je, jamais je ne me suis imaginé que ça pouvait être aussi bon. J’aimais prendre ta queue dans ma bouche, désormais je te le confirme chérie, j’ai aimé ta queue dans mon ventre même plus que ma bouche et je peux t’offrir mon cul autant que tu voudras. Demain je voudrais que tu me prennes dans d’autres positions.
On a rigolé, elle m’a embrassé.
Nos corps collés, ma queue touchait sa hanche, la sienne touchait ma hanche, nos corps étaient chauds et on s’est endormis dans les bras l’un de l’autre, nus, jusqu’au lendemain.

Mais le lendemain est une autre histoire.

À suivre

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