Le Congrès 5 ( Du Boulot À La Maison)

Debout ce matin à sept heures pour commencer le boulot à neuf heures.
Le matin j’aime bien prendre mon temps.
Ce matin je me lève avec un mal au cul toujours présent.
Il faudra que je fasse avec.
Comme je travaille dans le commerce et j’ai souvent l’occasion de renseigner des hommes.
J’adore ça, certains sont super beaux, d’autres un peu plus classiques et il reste les autres.
Je me fais souvent des films quand je parles avec certain, j’imagine bien volontiers que je me fais baiser par eux dans les toilettes du magasin, j aimerai trop...
Je m’invente des scénarios.
Je garde mon téléphone avec moi quand je bosse, ainsi je peux consulter mes mails et répondre à ceux ci tout comme les s.m.s.
Très souvent je donne rendez-vous à des hommes en milieu de soirée.
Comme je termine ma journée de travail à dix neuf heures, le temps de faire la caisse et de ranger deux ou trois bricoles.
Le temps de rentrer de me préparer, je ne peux pas être disponible avant vingt et une heures.
Ce soir je vais rester tranquille car j ai toujours mal au cul.
Je repousses tous les Rendez-vous.
Pour certains très alléchants je donnes de faux prétextes, d’autres sont des demandes bidons.
Je viens de recevoir un s.m.s de mon directeur commercial qui s’appelle « Aurélien »
Il m’informe qu’il veux venir ce soir et me demande à quelle heure je vais être dispos.
Ce soir, ça ne va pas être possible, j’ai bien trop mal au cul.
Je lui dis donc que ce soir je suis invité chez des amis et que je ne suis pas disponible.
Il me demande habilement dans la conversation à quelle heure je vais être de retour chez moi.
Je comprends bien qu’il est prêt à attendre mon retour pour venir me baiser.
Je lui répond que j’ai quand même besoin de me reposer et que je lui propose le prochain rendez-vous pour fin de semaine.
Il s’impose et me dit d’être chez moi pour minuit au plus tard et que ça serai dommage que je perde mon poste.


Je lui répond que je n’aurai pas le temps de me travestir.
Il me demande alors de rentrer avant pour pouvoir le faire car depuis qu’il a vu a quoi je ressemble en femme,il veut me baiser que comme ca.
Je ne sais pas si il se doute que je lui raconte un mensonge mais il a vraiment quoi qu’il en soit envie de me baiser et je dois m’incliner.
Je vais donc rentrer normalement après le boulot et me préparer tranquillement en espérant qu’il ne m’enculera pas.
A dix neuf heures trente je suis chez moi.
Je prends une douche et fais très attention à la propreté de ma partie intime en espérant qu’elle ne sera pas explorer.
Je me maquille, fond de teint, rimmel me fais de beaux ongles, rouge à lèvres bijoux.
Je m’habille, bas résille porte jarretelle, culotte en dentelle, soutien gorge rembourré.
Une petite robe qui s’arrête juste au dessous de mon cul.
Je mets une jolie perruque et pour finir des talons aiguilles. Je ressemble vraiment à une femme quand je me travestis.
Même moi je m’y tromperai presque...
J’ai tellement peur qu’il me prenne que je me mets beaucoup de gel lubrifiant pour éviter d’avoir trop mal.
Je lui demanderai quand même de ne pas me sodomiser ce soir.
Ce soir j’ai plus peur que ce que j’ai envi car je m’aperçois aussi que je peux perdre mon emploi si je ne me fais pas sauter à sa volonté.
Mais je ne vais pas attendre minuit en lui faisant croire que je viens d’arriver,
Je lui envoi un s.m.s en l’informant que j’ai annulé ma soirée avec mes amis.
Il me répond immédiatement :
que ce soir il va baiser une autre pute que moi, comme j’étais censé rentrer tard et qu’il passera demain.
Il me demande d’être au rendez-vous et d’annuler toutes mes activités si j’en ai de prévu.
J’incise un peu pour qu’il passe ce soir.
Au fond de moi je me dit que je ne me suis pas préparé pendant une heure et demi pour qu’en fin de compte il ne passe pas.

Rien ni fait, il passera demain.
Il est vingt et une heure quinze et je suis comme un con « comme une conne » habillé en femme.
Je me suis préparé pendant une heure et demi pour rien !
Non impossible, je n’ai pas fais ca pour rien et j’ai comme une envie de bite qui monte en moi peu à peu.
Je retourne sur mes s.m.s de la journée précédemment reçus et j’envoie des réponses du style :
« erratum » si vous voulez je suis dispo, ma soirée a été annulée.
Ou encore je leur dit que j’ai très envie de sucer ce soir.
Aucuns de tous mes s.m.s n’a eu de réponse.
Pourquoi ?
Parce-que tous les mecs qui m’ont contactés sont mariés ...tiens !
Comment justifié une escapade nocturne à sa femme ?
Résigné je me dis que mon cul sera tranquille ce soir.
J’envoie quand même un dernier s.m.s.
« Bonjour comment allez vous ? »
mais au bout de 10mn toujours pas de réponse.
J’ai quand même trop envie d’une bite, je me demande si je dois rester sur ma faim.
J’ai deux solutions :
Soit Je retourne dans la salle de bain pour défaire ma tenue et mon maquillage.
Manger un morceau et filer me coucher.
Soit aller sur l’aire de repos de l’autoroute pour me faire sauter par un routier.
Je l’ai déjà fait et les routiers adorent ca les salopes qu’ils baisent dans leur cabine.
J’opte pour la deuxième solution.
Pour ne pas que mes voisins me voient partir travesti je passe par le sous sol.
Ils ne pourront jamais me reconnaître de toute façon.
La seul chose qui peut me trahir sera ma voiture que tous connaissent.
Super, personne ne m’a vu…
voilà j’arrive sur la parking, je me gare au milieu des camions et sort de mon auto.
Je regarde autour de moi pour me trouver un beau mec, pas obèse, j ai horreur de ca. Et c’est justement un vieux avec un gros ventre qui vient me trouver.
« vous cherchez quelque chose ? » me dit il
« -Non merci j’attends quelqu’un qui va arriver »
« -Tu es venu pour te faire sauter t’es une pute travlo, t’as une voix de mec »
« -j attends quelqu’un laissez moi tranquille s’il vous plaît.
 »
Et qui vois je arriver ?
Une voiture bleue s’arrête juste à coté de nous entre les camions ou je suis avec le vieux routier.
La vitre de la voiture descend, le vieux routier dit :
elle vient nous aguicher c’est une pute, tous les soirs c’est pareil sur les aires d’autoroutes.
L’homme coté passager sort de l’auto en lui disant ironiquement :
«Et bien sûr vous n’étiez pas intéressé et vous lui demandez de partir c’est bien ca ? »
il répond :
« -Oui monsieur l’agent »
le policier lui dit de partir est il s’adressa à moi.
Le deuxième policier nous rejoint.
Ils ont tous les deux la cinquantaine.
Ils ont tous les deux la barbe rasée de près.
Cheveux grisonnants sur les tempes.
Je ne distingue pas si ils sont poilus ou pas à cause de leurs uniformes.
Ils n’ont pas de bosse sur la braguette pourtant j’ai l’impression que celui qui me parle est bien monté.
Ils ont tous les deux une alliance.
« -On racole ? Papiers s’il vous plaît »
je répond un mensonge bien évidemment en allant chercher mes papiers dans la voiture.
Je suis certain qu’il mate mon cul quand je me baisse pour récupérer mon sac.
Et je réponds :
« -non j’attends quelqu’un je ne racole pas. »
il me répond en contrôlant mes papiers :
« -racoler c’est pénalisable ! combien tu prend ? Tu viens souvent ici ?? »
Je lui répond que c’est la première fois et que je ne me fait pas payer.
Il rigole avec son collègue et dit :
« Ah si c’est gratuit alors ce n’est pas du racolage mais je dois faire quand même un procès verbale au préfet. »
il me demande de confirmer mon adresse, me demande mon numéro de téléphone qu’il écrit.
Me dit de vider mes poches, ce que je fais sous le regard d’une quinzaine de routiers.
Le policier leur demande de se disperser,
Ce qu il font
Il me dit de poser mes deux mains sur le toit de ma voiture et ajoute en commençant la fouille :
« -pas de stupéfiants ? »
« -Non monsieur »
il procède à la fouille et sa main me tâte mes couilles et ses doigts glissent sur ma raie du cul.

Il dit :
« - c’est bien un trav !
en plus toute mouillée, déjà prise quelque fois j ai l impression»
« vous n’avez pas le droit de me fouiller là monsieur l’agent. »
« c’est sûr tu préférerai que je te fouille ailleurs » me dit il en ricanant.
« Allez c’est bon remonte dans ton auto et file,je ne veut plus te voir ici.
Je garde tes papiers jusqu’à demain.
Tu viendras les chercher au poste. »
et ironiquement il ajoute
« n’embête plus ces pauvres routiers, rentre chez toi ».
Tout penaud je m’en veux de m’être fait remarquer par la police mais je rentre chez moi sans demander mon reste.
Dix minutes plus tard
Je remontais dans mon appartement de la même façon que j’en étais sorti.

J’ai gaspillé ma soirée.
Je quittais mes talons aiguilles quand mon téléphone sonna.
Je répondais :
« allo ? »
« -je suis le gendarme qui vous a confisqué votre carte d’identité tout à l’heure.
J’ai besoin de vous voir pour compléter le dossier.
J’espère que que vous êtes chez vous et pas en train de racoler une nouvelle fois ? »

« -non je ne racole pas suis chez moi, je viens d’arriver. »
« -pourquoi ? C’est quoi que vous n’avez pas clôturer ? »

« -tu n’as pas signé le procès verbal
et je doit passer pour te faire signer,ca ne sera pas long. »

« - je signerai demain au poste c’est possible ca ? »

« -le procès verbal sera remit au procureur demain il si il n’est pas signé il te convoquera ultérieurement et te demandera pourquoi tu ne l’as pas signé ce soir, mais c’est comme tu veux. »

Je ne sais pas si il m’embrouille ou si c’est vrai. Est ce que je pense juste ?
Je lui dit donc de venir.
Mon envie de me faire sauter me reviens soudainement.
Je remet mes talons et mon interphone sonne déjà.
J’ouvre la porte et laisse monter le gendarme.
Je le laisse rentrer et referme doucement la porte.
« -je suis devant lui je le regarde de haut en bas, j’essaye de percevoir une bosse sous le pantalon que je ne vois pas.
Il me dit sèchement :
« -il faut que tu me signe le pv mais avant je veux versifier un truc, j’ai rien dit tout a l’heure pour ne pas te mettre en défaut.
Mais j’ai senti quelque chose de dur dans ton trou du cul alors je veux te fouiller une nouvelle fois.
« - je n ai rien dans mon anus monsieur »
« -tu dis monsieur l’agent ! »
Mets toi a genou sur ta chauffeuse là
je verrai mieux. »
j’exécute
« -laisse moi vérifier par moi même »
j’entends une descente de braguette
un ceinturon
« viens plus par là »
« cambre toi plus »
je sens un gros doigt me pénétrer
j’entends et vois son pantalon tomber à ses pied et je sa bite me pénétrer doucement.
«  oh monsieur l’agent »
« -tu vois tu as quelque chose de dur dans ton cul. »
« -Oui Monsieur l’agent très dur . »
il me répond en me limant moyennement vite :
« -j’ai bien vu que tu es rempli de foutre de mâles alfa grasse truie, mais ca m’excite,j’adore passer derrière les autres, nager dans le foutre.
Je sens qu’il est en train de me remplir en disant ca.
Il reste immobile une dizaine de seconde, se retire,remonte son pantalon.
Je n’ai pas vu sa queue ni quoi que ce soit d’autre de son anatomie.
« -pour cette fois je n’enverrai pas le pv au préfet mais comme j ai ton numéro je le garde pour quand j’aurai envie de tirer un coup.
Prend le mien si tu fais baiser par des mâles alfa tu m’appelles et je viendrai te remplir derrière eux.
Il laissa mes papiers sur la table et sorti de l’appartement.
Il ne m’a pas fait jouir mais il faut que j’aille me coucher…..

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