Les Vigiles

Nous étions arrivés dans cette petite station du bord de mer depuis quelques jours déjà et, comme à nos habitudes, le matin était consacré à nos sports personnels, Madame partait faire son footing et moi, j’arpentais les bois voisins qui courraient sur les dunes ensoleillées.

J’aimais me promener dans ces endroits déserts à ces heures-là, me sentir seul me donnait l’impression d’être au bout du monde et m’excitait terriblement. Dès que j’approchais des buissons, je retirais mon slip très gênant et après l’avoir caché sous un taillis, je déambulais la braguette béante et le short à demi baissé laissant le vent caresser mon service à trois pièces en essayant de ne pas trop bander.

Je savais que le soir, ces endroits sont très fréquentés par les homos et c’est cela qui m’émoustillait, me faisait bander, moi qui pourtant n’est jamais approché un homme de cette façon, je cherchais les recoins garnis de kleenex froissés, je savais qu’ils avaient servi dans la nuit à essuyer des queues bavant de foutre et rien que d’y penser mon cœur se mettait à battre la chamade sans que je puisse le contrôler, en même temps que la bête se mettait à battre l’air entre mes cuisses. C’est en fouinant que je me sentis soudain tout bandant : un préservatif gisait au pied d’un arbre, abandonné là après usage…

Il était là par terre, tout rose, entre les aiguilles de pins, tout détendu et je le fixais comme une relique commençant déjà à me raidir comme un malade. Je le ramassais comme un voleur et le roulant de nouveau, je le présentais sans hésiter sur le bout de mon gland tendu de désir, emprisonnant mon dard dans l’écrin tout chaud.

Savoir qu’une autre queue l’avait remplie m’excitait terriblement et je ne pouvais plus maîtriser ma main qui commença malgré moi ses aller et retour sur ma bite bouillante dans son doux étui oubliant que mes contacts avec les autres hommes se limitaient à des phantasmes quand je faisais l’amour avec les dames et que je fuyais dès que la réalité se concrétisait.

Pourtant, l’envie était là, cachée en moi… et quand ne pouvant plus me retenir, j’accélérais ma branlette, mon jus jailli remplissant le bout du fourreau en saccade… Quel délice, il allait falloir que je m’équipe...

C’est en faisant les courses le lendemain, que j’en ai subtilisé discrètement une boite non pour le prix mais, ne voulant pas être vu en train d’acheter ce truc-là. Je passais à la caisse avec une bricole sans encombre mais, au moment de sortir, je me senti rougir soudain : le vigile, un petit type mal fagoté et odorant me dévisagea avec un drôle d’air en me demandant de le suivre : j’avais été filmé !!! Tout penaud je me retrouve bientôt enfermé dans une pièce sans fenêtre au fond d’un couloir…

Une petite caméra est fixée dans un angle et un matelas est posé dans un coin, un homme doit vivre ici et les femmes ne doivent pas être sa préférence vu le magazine gay rempli de mecs musclés qui trône sur la table. Étant seul, je ne peux m’empêcher de le feuilleter et mon sexe commence à s’agiter en voyant toutes ces queues dressées en gros plan, elles sont bien plus grosses que la mienne j’en suis sûr et elles doivent faire un sacré gros paquet dans la braguette des mecs…

Je m’empourpre soudain en voyant une des photos : un gus qui vient de faire une sucette est en train de recevoir des grosses giclées de foutre sur la figure, le sperme lui coule sur la bouche et je ne peux m’empêcher de sortir la langue pour me lécher, imaginant le jus chaud qui me coule sur les lèvres. Je me frotte sur le meuble tant je suis excité quand la porte s’ouvre soudain sur les deux vigiles.

Ils me regardent bizarrement, et mon cœur commence à s’emballer. Ils ont vu avec la télé que je m’excitais à la vue des queues dans le bouquin et ils commencent à faire joujou avec moi, me coinçant entre eux deux. La gorge toute sèche, j’entends le chef me demander en me tutoyant soudain si les capotes étaient destinées à protéger mon petit cul… Ils me prennent pour ce que je ne suis pas et j’ai beau protester, ces deux salauds commencent à se branler contre mes cuisses en rigolant sûr de leur fait…

Une main s’empare soudain de mes cheveux me basculant la tête en arrière et une grosse bouche toute piquante de barbe s’écrase sur mes lèvres, la langue toute gluante essayant de les forcer.
J’essaye de résister mais, manquant de souffle, je cède et le gus en profite pour me rouler une pelle magistrale comme si j’étais une nana… Je sens sa langue qui fouille ma bouche jouant avec la mienne et l’autre salaud remarquant que cela me fait bander saisit ma pine à travers mon survêt et se met à me branler pour finir de m’exciter et me rendre à point…

Je me laisse entraîner vers le matelas en les entendant me traiter de PD. Je me retrouve sur les genoux, la tête plaquée contre une braguette toute gonflée de désir. La queue emprisonnée sous le tissu est tendue sous la fermeture éclair qu’elle soulève en venant butter jusqu’à la grosse ceinture de cuir craquelée. Et quand, descendant la fermeture éclair, il m’enfouit de force la figure contre le slip tout moite, je sens mon cœur qui se met à battre la chamade pendant que ma queue se met à sauter dans mon slip tant la situation m’excite. Je sais que je vais faire un baroud d’honneur pour résister mais je sais bien au fond de moi que la cause est perdue, la pine est bouillante contre ma figure et depuis le temps que je me demandais le goût qu’elles pouvaient avoir…

l’odeur âcre du foutre me donne une envie folle de la toucher, de la serrer au creux de ma paume pour pouvoir la décalotter, je ne vois plus qu’elle et surtout la goutte de sperme rosée qui perle au bout du gland que j’ai une envie folle d’aller la chercher d’une langue gourmande… J’en ai la salive à la bouche, je sais que je vais franchir le pas et la sucer pour la nettoyer, je vois bien qu’elle n’est pas nette, des bouts de résidus blanchâtres de sperme séché sont collés contre son gland, je suis sûr que ce sont eux qui dégagent cette odeur de musc. Je la prends doucement en la maintenant bien décalottée et je commence à la nettoyer doucement par petits coups de langue juste derrière le gland, qu’elle est belle toute tendue de désir, et puis cet arôme dans ma bouche maintenant j'adore…

Elle commence à se balader par secousses de haut en bas, comme les filles ont de la chance de pouvoir assister à ce spectacle régulièrement, un coup de langue et elle remonte et quand le gland commence à forcer mes lèvres, je le laisse passer, l’accueillant d’une bouche impatiente…

Ca y est, je suce une bite, moi le jules impénitent, et serrant les lèvres encore plus fort pour bien la réchauffer, je commence mes allers et retours en la tenant d’une main tremblante pendant que l’autre main réchauffe les deux grosses balloches poilues.
J’ai franchi le cap et en plus, je suis béat de plaisir !

C’est la fraîcheur du gel entre mes fesses qui me ramène à la réalité, je ne m’étais même pas rendu compte que l’autre avait baissé mon pantalon de survêt et il est en train de me préparer. Mais là, je ne suis pas d’accord et comme je commence à me débattre, je me retrouve la tête coincée entre les grosses cuisses poilues de celui que je suçais en même temps qu’un ustensile commence à forcer mon trou du cul. Plus je me débats, plus ce salaud accélère la manœuvre dilatant ma rondelle, je me mets à me débattre de plus belle quand je sens la chaleur de la pine, qui a remplacé le gode, se branler contre mes fesses…

Je suis là, écrasé sous lui, son haleine chaude dans mon cou me gêne terriblement, je suis sa proie et il entend bien me le faire ressentir, je dois le subir et je le subis au plus profond de mon âme. J’essaye bien de me débattre mais, il est bien plus fort que moi et plus je gigote pour échapper à son étreinte, plus je sens son corps massif qui se vautre sur moi, me faisant subir sa loi avec un plaisir évident. Plus je me tortille, plus je le fais bander, il sait bien qu’il va me transpercer de son dard puissant, il me traite comme un mâle qui soumet sa femelle à son plaisir…

Et, le pire c’est que ça me fait bander de résister et, quand il se cambre en présentant le gland à l’entrée de mon fourreau, je suis surpris de sa chaleur, il est bouillant et il s’enfonce d’un coup en moi tant ce salaud a déjà dilaté ma pastille…

Il me lime doucement et je sens ses poils qui viennent lécher mes fesses à chaque fois qu’il arrive en fin de course dans mon cul et comme je me calme, vaincu, il me redresse brutalement en me prenant par les hanches et cette fois, il accélère sa course « han ahan » à chaque fois que ses grosses couilles s’écrasent contre les miennes…

Je suis rempli comme un PD, mais, c’est vrai que j’en suis un maintenant, bourré comme il faut, et quand je sens le premier qui me retourne la tête vers lui, je devine ce qu’il désire et entrouvrant les lèvres, j'avale la queue qui bavant.
J’essaye de la retenir de mes deux mains à chaque fois que l’autre loustic me propulse en avant de son pieu plantée dans mon cul et quand il se met à me serrer la tête de toute ses forces en m’enfonçant son dard au fond de ma gorge, je ferme les yeux pendant que les jets de foutre chauds et gluants se mettent à fuser et pour ne pas m’, je commence à les avaler en même temps que deux mains puissantes m'arrache mes poignées d'amour en me collant sur l'autre queue qui se met à cracher dans mon cul envoyant sa décharge dans le préservatif qui manque de se rompre tant il y a de foutre…

Enfin, après de longues minutes, il se retire de ma pastille douloureusement dilatée et comme je me dirige enfin vers ma voiture en marchant les jambes un peu écartées, je commence à sentir le liquide qui coule le long de mes cuisses: ce salaud m'a laissé le préservatif dans la raie et il est en train de se vider sur mes couilles…

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