Soumis À Ma Cousine 1/?
Cest quelques temps plus tard, que je reçus une invitation de ma cousine à me rendre chez elle. Ce fut donc intrigué que je sonnai à la porte du bas de son immeuble. Jattendis quelques instants, puis la vis traverser le hall. Elle était vêtue dun peignoir, qui cachait ses trésors à ma vue, hormis ses longues jambes fines, presque totalement offertes Jai toujours eu une grande attirance pour elle : étant petit, je me branlais sur ses strings sales, reluisant parfois de cyprine sèche. Cela mexcitait de les enfiler et de jouir en les portant.
Cela me rappela une nuit passée chez elle durant notre adolescence. Etendus côtes à côtes dans son petit lit, nos visages nétaient quà quelques centimètres lun de lautre, et nos corps seffleuraient, ses tétons frôlaient mon torse. Elle nétait vêtue que dune petite culotte sage, malgré sa poitrine naissante, mais déjà imposante et complétement offerte à mon regard : il faisait trop chaud pour que nous nous couvrions davantage. Je portais moi-même un unique slip enserrant mon paquet. Une semi-érection commençait déjà à le tendre, bien que cette fille demeure ma cousine. Ou une femme, à linstar de toutes les autres ? Nous discutions alors de tout et de rien, elle minterrogeait notamment sur mes dernières performances sportives. Je lui déclarai avoir marqué deux buts le week-end davant et mêtre blessé au dos. Un petit sourire sétait alors allumé sur son visage.
- Ça te dirait que je te masse ?
Jacceptai sans réfléchir, et bientôt la douceur de ses mains fut sur mes omoplates. A cheval sur moi, elle ne massait pas dune façon exceptionnelle, mais me détendit remarquablement. Ses mains descendirent lentement le long de ma colonne vertébrale, variant la pression, et caressèrent bientôt mes reins, puis furent sur lélastique de mon slip. Elle joua quelques instants avec, passant régulièrement ses doigts dessous et prenant mon silence pour un consentement, elle prit bientôt mes fesses à pleines mains, à travers le tissu.
Elle mouvrit la porte et me fit la bise sur les deux joues, puis se tourna et avança de quelques pas dans le hall. Là, elle sarrêta, et son peignoir tomba aussitôt à ses pieds, tandis quune lueur sallumait dans ses yeux en me regardant. Ses seins étaient compressés par le latex de la tenue quelle avait achetée au sex-shop. Au nombril brillait un nouveau piercing, en forme de fleur dargent et une jupe blanche opaque voilait le haut de ses cuisses. Une érection commençait déjà déformer mon pantalon, ce dont elle sen aperçut.
- Bon. Enlève tes vêtements, ordonna-t-elle, sans équivoque.
La sentence me jeta des frissons dans le dos. Et si quelquun nous voyait ?
- Immédiatement. Tu aimes offrir ton amie à tout le monde, eh bien prouve que tu oses aussi montrer ta queue denculé à des inconnus.
Je balbutiai, mais commençai aussitôt à déboutonner ma chemise. Le pantalon la suivit aux pieds de ma cousine. Bientôt il ne me resta que mon caleçon, et le doute traversa à nouveau mon esprit. Du coin de lil, je pus voir une caméra de surveillance braquée sur nous. Génial
- Quest-ce que tu attends ?
Dun geste, je baissai mon sous-vêtement à mes chevilles. Alea jacta est. Un petit sourire satisfait se dessina sur le visage de ma dominatrice, qui dun geste du menton mordonna de ramasser mes vêtements et de la suivre. Je restai prudemment trois pas derrière elle, ma volonté soudain matée. Elle laissa son peignoir gisant au milieu du hall. Nous commençâmes à monter les escaliers : elle vivait au quatrième étage. Durant toute la montée, je pus observer à loisir ses jambes frotter les unes contre les autres, sans toutefois parvenir à discerner tout à fait son entre-jambes, ni oublier ma nudité et la peur que quelquun sorte de chez lui. Les trois premiers étages étaient déserts, mais du bruit descendait du quatrième. Je regardai ma cousine dun air suppliant, mais elle me regarda alors dun air encore plus vicieux, sadique.
- A quatre pattes !
Je mapprêtais à refuser avec véhémence, mais fus coupé dans mon élan par la douleur. Mon cri resta étouffé dans ma gorge, tandis quelle me forçait à me baisser, tenant fermement mon téton droit entre ses doigts. Nous montâmes côtes à côtes, moi, les yeux baissés et les siens me foudroyant.
Cétait deux femmes qui bavardaient, la trentaine chacune. Elles se figèrent en me voyant, comme nous continuions notre chemin sans leur prêter attention. Les commentaires se firent à voix basse. « Mon dieu
» « Le pauvre
» « Peut-être que cest ce quil aime
» « En tout cas ils se gênent pas ! ».
- Mets-le.
Je mexécutai sans dire un mot, tout en sentant la ficelle rentrer entre mes fesses, puis me remis à quatre pattes. Le tissu était humide.
- Bien. Tu es gentil. Maintenant, va chercher mon peignoir dans le hall, tu las oublié.
Je sentis mes yeux sécarquiller. Mais elle ne sarrêta pas là.
- Ah au fait, jai failli oublier.
Elle sortit alors un vibromasseur de derrière son dos. Elle venait de lavoir enlevé, à en juger par son aspect reluisant et, comme pour me le prouver, elle fit à nouveau disparaître une main sous sa jupe, puis la ressortit après quelques secondes pour me les faire lécher. Sa cyprine était délicieuse. Dun geste, elle planta le sextoy dans mon cul. Le choc marracha un cri, ou plutôt un gémissement. Mon anus était déchiré ; trop serré pour accueillir cette énorme chose. Les deux voisines nexistaient plus. Et pourtant elles continuaient à nous regarder, rouges comme des pivoines. Cest à ce moment-là que mes jambes décidèrent de me lâcher, et je tombai à plat ventre au sol.
- Tu es une bonne petite pute. Va.
Ses mots crus mexcitèrent davantage.
- Mesdemoiselles, dit-elle en sadressant à ses voisines, voulez-vous bien lui donner un coup de main ?
Les intéressées neurent pas le temps de répondre, que ma dominatrice avait disparu dans son appartement, et refermé la porte derrière elle. Je sentis bientôt des bras féminins courir sur ma peau et me relever tant bien que mal. Leurs regards convergèrent vers ma queue tendue hors du string. Les deux femmes se regardèrent avec complicité, et lune osa prendre ma verge dans sa main.
- Vous feriez mieux daller chercher ce peignoir, me dit-elle.
Jacquiesçai, le visage en feu, et me dirigeai à grands pas vers les escaliers. Je dévalai les étages du mieux que je le pus, massurant régulièrement que le vibromasseur ne glisse pas de mon trou, en le remettant à chaque fois bien au fond. Et à chaque fois, je ne pouvais mempêcher de relâcher un soupir dextase. Ma queue avait repris de la vigueur, et se dressait à nouveau fièrement. Je ramassai en vitesse le peignoir, et repris mon chemin en sens inverse. Cette fois-ci, ce fut au deuxième étage, que ma honte sagrandit, car un homme sortait de chez lui, au bras de sa compagne, dont les yeux exorbités étaient braqués sur moi. Lui, occupé à verrouiller la porte, ne mavait pas encore vu. Je demeurai immobile. Lentement, lhomme se tourna, et un sourire vint tordre son visage lorsquil me vit :
- On dirait que cette jeune pute en string a besoin de vêtements. Viens chérie, on va lui en prêter.
Sa jeune compagne me regarda dun air lubrique, et en me prenant par la queue, mentraîna chez eux ; je navais visiblement pas mon mot à dire. Traîné dans leur chambre, je fus jeté sur le lit. La bouche de la femme vint engloutir ma verge, alors que ses mains massaient mes boules et dirigeaient le sextoy vibrant dans mon boyau.
A suivre
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