Elle (5/?)

Je me dirige vers l'adresse qu’elle m'a donné. J'arrive devant un grand immeuble, le genre d'immeuble gris moche datant de 1980. Il est 21h15. Je regarde les nom sur l'interphone et cherche son nom. 7 ieme étage sans ascenseur, la soirée commence bien ! Je compose donc le code qu'elle m'a donné et entre dans le bâtiment. L’intérieur est en cohérence avec la façade, des escaliers de pavés sale avec des rambardes dont la peinture (sûrement au plomb) commence à s’écailler à certain endroits. Je monte les marches rapidement, je sais ce qu'il va se passer, elle le sait aussi. Je me fais plein de scénarios en montant : La faire crier sur le lit de ses parents, ou en levrette sur le coffre à jouet de la petite sœur ! J’atteins enfin l'étage tant attendu. Je regarde à droite et à gauche. Il y a 5 portes et aucun numéro ou nom sur les portes ou les sonnettes. Je m’apprête à frapper à la première porte, quand celle d'en face s'ouvre à la volé. Sur le coup je sursaute, et la voit.
Elle sort en pleur et en claquant la porte derrière elle. Elle s'engage dans la cage d’escalier sans même me voir.
- « Hé, attend moi, je suis là » criai-je.
je cours pour la rattr mais elle continue. Elle a mis ses écouteurs et ne m’entend pas, elle cours dans les escaliers. Elle pourrais tomber et se faire mal. Je cours derrière elle, j’essaie de la rattr, je risque de tomber deux fois et la ratt enfin. Je pose ma main sur son épaule. Je la vois se retourner le poing levé. Le poing se rapproche. Une douleur au niveau du nez. Et plus rien !
J'ai mal à la tête. J'ouvre les yeux. Il fait sombre, où suis-je ? Je vois une lumière vers le fond de la pièce. Quand j'essaie de me lever, je sens un poids sur ma cuisse. À peine je l'ai bougé que je la vois se relever. Elle se tend vers moi et m'embrasse avec passion. Le baisé dure et dure. Puis je décide de couper le contact, je pousse sur ses épaule pour la regarder à bout de bras. Le peu de maquillage qu'elle portait à coulé.

Elle a pleuré.
- « Enfin tu reprends conscience. Je suis désolé je ne voulais pas te frapper, j'ai des problème avec mes parents, je ne t'avais pas vu arriver et quand tu m'as toucher j'ai eu comme un reflexe, pardonne moi s'il te plais. » elle enchaîne ça d'une traite, sa voix est pleine de larmes. Elle a l'air tellement désolée.
- « Ce n'est rien, je vais bien, lui répondis-je, ne t'en fais pas, arrête de pleurer »
je tends ma main vers sa joue et elle se penche dessus. J'essuie les quelques restes de larmes et l'embrasse à nouveau.
Elle est sur moi. Je suis assis contre le mur. Elle m'a dit que nous sommes dans la cave et que personne ne vient jamais à cette heure. Je passe mes mains sur ses hanches, elle se tortille sur mes cuisses. Je lâche une de ses hanches pour ouvrir son chemisier et découvrir sa poitrine à travers son soutien-gorge. Ma seconde main passe derrière pour dégrafer l'objet qui me cache la vue à cette merveilleuse paire de sein. Celui si tombe et je peux plonger mon visage dans sa poitrine. Je commence à mordiller un téton, puis son voisin. Passant de l'un à l'autre en léchant ses seins. D'un coup la porte s'ouvre, une vielle femme rentre nous voit et ressort aussi vite qu'elle est rentré.
- « Personne ? Lui demandais-je »
- « En général, mais il faut bien un exception pour confirmer cette règle. »
Je lui souris, elle aussi, et reprend là où j'ai été interrompus.
Je continus à mordre ses tétons, cette fois si plus fort. Je l'entend gémir de plaisir, et sens sa main descendre à l'endroit où mon érection déforme mon jean. Elle dé zippe de sa main, se recule et me prend en bouche. Elle me suce avec force, sa langue joue avec le bout de mon gland. Elle le lâche pour le lécher sur toute sa longueur. Je la tient désormais par une sa queue de cheval et la pousse à allé plus loin encore. Je l’entend toussoter mais elle continue. Elle reprend son souffle de temps à autres puis se remet au travail.
- « Comment fais tu cela ? » ces mot mon échappés, j'ai du penser trop fort !
- « Un jour peux être je t'expliquerai » je perçois dans sa voix une tristesse.

Mais elle continue, sa langue tourbillonne autour de ma bite. Je la repousse encore une fois dans ses limites. Elle se redresse et j’entends le bruits familier d'un préservatif que l'on ouvre. Elle le déroule sur moi et me branle légèrement avant de se placer juste au dessus de moi. Elle relève sa petite jupe, écarte sa culotte et d'un coup s'empale sur moi. Elle bouge de haut en bas, donne des petits coups sur le coté. Je la tiens par les hanches et accélère le rythme. Elle se tient à mon cou et pose sa tête sur mon épaule. Je maintiens un rythme soutenu. Malgré le fait que je sois assis, le fait de me soulever et de me rabaisser sans cesse m’épuise rapidement. Je décide alors de la soulever. Je me retire d'elle, la plaque contre le mur et me renfonce en elle violemment. Ce coup de butoir lui arrache un petit cris de surprise mais je continue à la pilonner avec force. Je claque ses fesses de nombreuses fois et serre ses seins avec force. Je la sens se contracter sur moi, elle jouit. Son cri de jouissance se répercute dans toute la cave. Là, je n'en peux plus. Je me retire d'elle et la met à genoux devant moi. Elle retire le préservatif et recommence à me sucer avec tellement de force que je ne peux plus me retenir. Je prend sa tête et m'enfonce dans sa bouche pour jouir au fond de sa gorge. Elle toussote encore une fois et recrache un peu de ma semence qui coule sur ses sein.
Je referme mon pantalon et la regarde refermer son chemisier. Elle est belle et a retrouvé le sourire.
- « la prochaine fois, c'est sans ses bouts de plastique. » me dit elle en me lançant le préservatif.
Sur ce point je suis d'accord. Nous regardons tous les deux nos disponibilités et décidons d'aller faire un test le jeudi prochain. On est samedi, il est 22h30, il me reste donc encore 5 jours à patienté avant de pouvoir encore une fois me perdre en elle.

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