Leslie Su04
Leslie SU04 Sumalee, le voyage infini, le début
Allongée nue, jétais aux mains de Sumalee.
Elle se déshabilla à son tour, nue devant moi, le corps baigné par les rayons du soleil levant, elle paraissait encore plus belle, plus désirable.
Je sentais en moi monter le désir et mon corps réagissait sans que je le veuille, Sumalee sen aperçu et me dit en riant :
- Chérie, voyons, je nai pas commencé, un peu de tenue voyons !
Je lai regardée, sans bouger, senduire le corps dhuile parfumée, de la tête au pied, noubliant aucune partie, même les plus intimes. Elle luisait, caressée par les rayons qui rendaient son corps encore plus ambré. Délicieuse créature dun rêve fou.
Elle sapprocha du lit et sallongea sur moi en disant :
- Tu ne me touches en aucun cas, tes mains restent allongées le long de ton corps, tu ressens cest tout.
Le contact des corps se fit, et un frisson me parcouru, puis Sumalee commença à frotter son corps contre le mien, lentement et avec une douceur extrême, en fait elle meffleurait en appui sur ses mains et la pointe de ses pieds.
Elle me survolait, laissant la pointe de ses seins durs et pointés frôler mon corps, ma poitrine, mon ventre, puis mon sexe qui raidissait sous les caresses.
Puis ce fut sa bouche, membrassant du bout des lèvres les zones de plaisir.
Parfois ses lèvres venaient en contact des miennes, un instant, à peine une seule seconde, tout au plus, me laissant dans le désir dun baiser inachevé.
Tout était fait de subtilité que je navais jamais vécue, lextrême douceur que minfligeait ma compagne était sans pareil, je ne pouvais contenir cette érection que je trouvais incongrue, comme jaurais aimée être femme à cet instant, ne montrant que mon plaisir à ma douce amante.
Les caresses devenaient plus précises, plus appuyées aussi, comme jaurai aimé à cet instant la caresser, lui rendre le plaisir quelle me donnait, mais jaurais rompu le charme et le rêve se serait envolé avec la fin de linstant.
Maintenant, elle me caressait le corps avec ses fesses, sattardant sur mon sexe érigé, me faisant feuler de douleur de ne pouvoir rien faire, elle jouait avec mes désirs et mon plaisir, me laissant dans cette attente insoutenable, mais au combien extraordinaire.
Ses mains rentrèrent dans la danse, parcourant des doigts mon corps qui réclamait de plus en plus, Sumalee savait ce quelle faisait, me laissant, à chaque caresse, entre plaisir et désir.
Ce nétait que du don, Sumalee se donnait entièrement à mon seul plaisir, jai soupiré quand les bouts de ses doigts ont effleuré mon sexe, jai gémis quand sa main à emprisonner mon sexe, comme pour en vérifier la raideur, jai perdu pied quand, menjambant pour me chevaucher, jai senti sa vulve contre mon sexe.
Se penchant sur moi, elle a collé ma bouche sur mon oreille, et dans un soupir elle ma dit :
- Maintenant tu es prête, je vais te recevoir en moi
Elle a descendu lentement son bassin à la rencontre de mon sexe, sa vulve souvrant sous la pression de son corps sur mon sexe, me recevant en elle, elle se mit à feuler.
Mon sexe glissait en elle lentement, et la douce chaleur de son intimité menveloppait le membre, pendant de longues minutes elle est descendue sur moi, pour sembrocher délicatement.
Une fois complètement empalée, elle est restée ainsi sans bouger, pendant de longues minutes, ne faisant jouer que ses muscles intimes qui me massaient le sexe, divines pratiques que les asiatiques savent exécuter et qui donnent des sensations proches de lextase.
Elle se tenait droite, à genoux sur moi les jambes repliées sous ses fesses, entièrement pénétrée par mon sexe qui palpitait au fond delle. Elle se tenait la poitrine et se caressait, comme pour se donner encore plus de plaisir.
Je la regardais et je la trouvais tellement belle, dans le don absolu et le plaisir qui montait lentement en elle, je la regardais et me sentais amoureuse, plus rien nexistait, que nos corps reliés par mon sexe et le plaisir qui nous vrillait les reins.
Elle se pencha en arrière et posa ses mains sur mes cuisses, découvrant, à mes yeux, sa petite vulve, imberbe, aux fines lèvres remplit de mon sexe.
Elle me regarda tendrement, un sourire sur les lèvres, se releva un peu en poussant de ses mains et retomba pour sembrocher encore un peu plus.
- Ohhh ! Dis Sumalee, sous la pénétration quelle venait de sinfliger.
Elle recommença, une fois, dix fois, exultant à chaque fois un :
- Ohhh ! Satisfaction et plaisir mélangés.
Je sentais mon sexe enveloppé dune douce humidité, Sumalee jouissait doucement dans le silence, pudiquement, puis un flot de jouissance se déversa sur mon sexe, les yeux de Sumalee sembuèrent de larmes, et elle partit dans un orgasme qui la tétanisa.
Elle se raidit, tout son corps trembla, sa vulve se resserra sur mon sexe et dans un souffle elle dit :
- Ohhh, je jouis, je jouis.
Et elle seffondra sur moi en pleurant.
Je lai serré fort contre moi, pour la rassurer, pour laccompagner sur le chemin qui la ramenait vers moi, partie dans un autre monde elle tremblait de tout son corps en répétant :
- Oh, serres-moi fort, serres moi fort, ne mabandonnes pas, restes avec moi.
Nous sommes restées ainsi longtemps sans bouger, au moindre mouvement que je faisais, Sumalee repartait dans son plaisir, au bord de lorgasme elle narrivait pas à se calmer.
Mon sexe en elle, à chaque soubresauts, la faisait repartir dans un orgasme fulgurant, je ne sais combien de fois elle est partie ainsi. Ce nest que bien plus tard que reposant sur moi, elle ma dit :
- Merci !
Elle a roulé sur le côté, séchappant de mon étreinte, puis reposant sur le dos, je la voyais songeuse, perdue dans ses rêves et dans ses pensées.
Ne voulant pas rompre le charme, je me suis levée pour préparer le thé.
Nous avons bu le thé assises sur des coussins près de la table basse, lovée tout contre moi Sumalee se laissait aller dans cette douce quiétude qui vient après lamour.
Elle se retourna pour membrasser et dans un souffle elle me dit :
- Un jour tu visiteras mon jardin où jamais personne nest jamais entré.
A suivre
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