Ma Première Fois

Cette aventure s’est passée quand j’avais 17 ans, pendant les vacances d’été. Ma sœur partait en vacances plusieurs semaines et m’avait demandé de passer ramasser le courrier et arroser les fleurs. Je profitais du même coup du balcon pour bronzer au soleil.
Les premiers jours se passaient et je passais tous mes après-midi à bronzer. Au bout de quelques jours, un voisin à la retraite entamait la conversation :
« Elle n’habite plus ici la jeune femme ?
- Si mais elle est en vacances.
- Ah, dommage. Elle était très agréable à regarder. »
Et il repartait. Les balcons n’étaient séparés que par une barrière. Ca durait quelques jours comme ça. On discutait tous les après-midi. Il m’apprit que ma sœur bronzait en string et ça lui faisait alors un beau teint de peau. Je décidais alors d’essayer et mis pour la première fois un string. La sensation de la ficelle caressant mes fesses me procurait un début d’érection. J’allais m’installer, gêné, mais de sentir le risque qu’on me voit ainsi m’excitait. Le voisin me salua et me complimenta sur ma tenue. Je rougis un peu mais un début d’érection se faisait sentir. Il me dit qu’il me manquait juste des talons et je serais aussi sexy que ma sœur. Je lui faisais comprendre que ça n’allait pas arriver et il me dit au revoir.
Le lendemain en revenant, je ne pensais qu’à mettre un string, je montais sans prendre le courrier, me changeait et mis cette petite ficelle bienfaitrice. En redescendant chercher le courrier je vis une paire de bottes à talons aiguilles. Je repensais à ce que l’homme âgé m’avait dit et décida d’aller chercher le courrier en talons.
Arrivé aux boites aux lettres, je croisai le vieil homme qui me salua. Il montait chez lui également donc on partageait l’ascenseur. Ayant fait du bruit dans le hall avec les talons il me dit que j’avais eu raison de craquer, que ça m’allait bien les talons. En me disant ça, il avait glissé sa main dans sa poche et je le voyais se caresser.

De voir que j’excitais un homme me donnait de drôles de sensations.
Après avoir grignoté un morceau je m’habillais pour bronzer avec le string et décida de mettre des sandales à talons aiguilles pour me rendre sur le balcon. Le vieillard était en train de manger sur son balcon. Il me dit « enfin une belle vue ». Je décidais de jouer de la situation lorsque je posais la serviette et me penchant afin de montrer complètement mes fesses à cet homme. Le reste d’après-midi se passe très bien. Il me propose de rester manger chez lui le soir, ce que j’accepte en prétextant à ma mère que je mange une pizza avec un copain, que je dormirai sur place.
En me préparant je décidai de m’habiller sexy, je trouve alors un pantalon en simili cuir, un haut blanc légèrement transparent, des escarpins à talons aiguilles et naturellement le string. En sonnant chez le voisin, un autre homme ouvrait la porte, âgé lui aussi, très gros, barbu avec une chemise ouverte à moitié et des tongs uniquement. Il me dit d’entrer, de ne pas m’inquiéter, qu’il a entendu parler de moi. Je me demande alors de quoi il veut parler mais vu ma tenue et la sienne, je ne me pose pas plus de questions surtout lorsque j’aperçois son sexe sous sa chemise. Mon voisin arrive en robe de chambre et me complimente sur ma tenue en me claquant les fesses.
Il m’explique alors qu’environ 2 fois par semaine, ma sœur va chez lui pour coucher tous les 3 et du fait de son absence ils doivent trouver un substitut, je suis le substitut. Pendant qu’il m’expliquait cela son ami me caressait les fesses à travers le pantalon. Ils me proposent alors de partir immédiatement ou alors d’assouvir tous leurs fantasmes. Etant un peu curieux j’avais bien envie de savoir ce qu’ils me réservaient, j’acceptais alors d’être leur « vide couille » pour la soirée. Le voisin, Jean, ayant servi 2 verres, me dit de le sucer lui et son ami, Georges, pendant l’apéro. Ils s’installent chacun dans un fauteuil, j’écarte le peignoir de Jean et le suce.
Pendant ce temps, Georges me caresse les fesses avec ses pieds et finit par les poser sur mes reins en disant à Jean « c’est bien ta pouf, elle fait tout ! ».
Jean saisit son sexe et me gifle avec, me montrant sa supériorité. Je me retourne et me met à sucer Georges qui a un sexe énorme. J’ai dû mal à le prendre en bouche. Je suce ses boules, sa longue tige… Pendant ce temps Jean ouvre mon pantalon et donne des fessées. Il me fait mal au début mais je finis par aimer ce traitement. Il me glisse un doigt puis deux, dans mon petit trou. J’ondule des fesses, j’aime vraiment ce traitement. Georges pendant ce temps s’enfonce un peu plus dans ma gorge pour, au final, me baiser la bouche.
Je sens alors un gel s’introduire dans mon anus et les doigts de Jean qui me rentrent plus aisément dans mon antre. Il me caresse la raie avec son sexe, pose son gland à l’entrée de l’orifice et comme à me pénétrer. J’ai deux bites en moi pour la première fois de ma vie, je me sens salope et je me surprends à aimer ça. Georges finit par m’éjaculer dans la bouche mais me force à garder sa semence en moi. Il se retire et je recrache son sperme. Il m’appui sur ma tête, la posant contre le sol sur sa semence et me dit de lécher et d’avaler. Je commence à me sentir humilier mais j’obéis. Jean, pendant ce temps, pousse de grands râles et je sens un liquide chaud en moi.
Georges lui dit de se pousser car il va reprendre le flambeau et « une salope comme ça, il faut en profiter ». Il me triture un peu plus l’anus, y insère sa main et la déplace dans tous les sens. J’ai mal avec un tel traitement, je me plains et Georges dit à Jean de me faire taire. Jean m’oblige à le sucer en me disant qu’il ne faut pas parler la bouche pleine. Il est alors tout mou mais il m’oblige à sucer, ce qui complique la tâche. En attendant, Georges a commencé sa pénétration. Mon cul étant vierge (presque) il a du mal à le baiser. Il fait de petits va-et-vient pour au final me pénétrer entièrement. J’ai une larme qui coule mais j’aime cette soumission.

Jean bande à moitié mais il apprécie son traitement. Il m’appuie sur la tête tout en fumant son cigare. Georges me donne de violents coups de reins et dit à Jean de venir voir le trou qu’il m’a fait. Ils tapotent chacun leur tour dessus comme si j’étais leur pouliche.
Une fois qu’ils se sont félicités, Jean ouvre la porte et me dit de partir.
Ils me jettent mes affaires dans le couloir et me disent de partir vite. Je me rhabille assez rapidement, d’autant plus vite que j’ai entendu quelqu’un arriver. Je rentre chez ma sœur, vais m’asseoir mais décide de rester debout, ils m’ont vraiment trop fait mal mais j’ai aimé ce traitement.

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