Adorable Mélanie

Je viens d’emménager chez Lucette une femme de quarante ans divorcée. Moi aussi j’ai quarante cinq ans, je fais partie de l’éducation nationale, Lucette très courageuse se lève à cinq heures tous les matins pour aller bosser et débaucher à quatorze heures, elle m’a annoncé ce matin que sa petite nièce Mélanie, tout juste dix huit ans, allait venir pour les quinze jours de vacances scolaire.
- Tu vas passer tous les matins avec elle mais tu vas voir c’est une adorable gamine, un peu turbulente comme tous les jeunes mais très serviable, elle m’aide beaucoup pour les taches ménagères et la cuisine, ce n’est pas le genre à se lever à midi ! si tu es cool tu vas bien t’entendre avec elle !
- J’en suis sûr surtout si elle ressemble à sa tata !
J’ai vu arriver une jeune fille aux cheveux roux avec une frange qui lui cache les yeux, d’adorables taches de rousseurs sur les pommettes, ça lui donne un air à la fois espiègle et garçon manqué, mais ce qui fait la différence c’est qu’elle a un corps de femme...
- Alors c’est vous Laurent ? depuis que tata lulu me parle de vous ! ça va vous n’êtes pas mal pour un vieux !
- Mélanie voyons !
- Laisse j’ai l’habitude...
- C’est vrai que vous êtes prof ? prof de quoi ? vous n’êtes pas dans mon lycée ?
- Je suis prof d’histoire au lycée Victor Hugo
- Dommage ce n’est pas le mien sinon j’aurais de meilleures notes !
- Aller n’embête pas Laurent va ranger tes affaires !
Le diner se passe bien, des blagues fusent, le courant passe bien et ça rassure Lucette, tout le monde va se coucher de bonne heure vu que la tata se lève tôt… le lendemain matin je suis réveillé par un bruit d’aspirateur … huit heures ? Bon de toute façon c’est mon heure, j’enfile ma robe de chambre, j’ouvre la porte …et là dans le couloir, à trois mètres Mélanie à demi penchée passe méthodiquement l’aspirateur, c’est bien, sauf qu’elle n’a sur elle qu’une chemise d’homme sans rien dessous et j’ai sous les yeux une adorable paire de fesses entre lesquelles j’aperçois des lèvres arrondies , si je passe à coté d’elle elle va sursauter ….

J’attends qu’elle avance un peu pour pouvoir entrer dans la salle de bain pour me raser avant le p’tit dej, mais en attendant caché dans l’embrasure je mate ….
Je distingue nettement la vulve et si j’en crois mes yeux c’est une vulve sans aucuns poils sur les lèvres, un magnifique petit abricot fendu comme par une lame, une chatte pas encore formée comme celle d’une femme dans la force de l’âge, au gré de ses pas le sexe change de forme… putain mais je bande ! Bon ça y est la porte de la salle de bain est dégagée tu peux y aller au lieu de mater cette gamine !
Une fois calmé et rasé je vais dans la cuisine, Mélanie continue d’œuvrer, à ma vue elle arrête l’aspirateur et pas gênée le moins du monde vient me faire la bise, les pans de chemises cachent la chatte, cette fois c’est les seins qui me sont offerts par le large décolleté, des seins tout ronds, des seins qui donnent envie d’être palpés
- Bonjour Laurent ! j’espère que je ne vous ai pas réveillé ?
- Non pas du tout, bonjour Mélanie déjà au travail ?
- Eh oui, ma tenue ne vous choque pas ? c’est maman qui m’a donnée cette habitude, elle passait toujours l’aspirateur nue, ça donne chaud le ménage !
- Ça ne me choque pas du tout tu es ravissante ainsi.
- Ce n’est pas la peine de le dire à tata, elle est un peu vieux jeu !
- Juré ce sera notre secret ! je bois un café et je vais me laver à tout à l’heure !
- A tout à l’heure Laurent
Le café avalé je me fais couler un bain, je me détends dans l’eau chaude recouverte de mousse revoyant le petit cul affolant de cette petite minette indécente quand soudain la porte s’ouvre, je n’ais pas pris la peine de mettre le verrou, la fille entre et le plus naturellement du monde défait les boutons de sa chemise.
- Amandine ? que fais-tu ?
- Ben ça se voit, je vais me laver, je pue des dessous de bras et pour faire des économies à tata je vais prendre mon bain avec vous, y’a de la place !
Pas le temps de dire ouff, elle enjambe la baignoire et s’assied en face de moi, je remonte les genoux, angoissé j’ai le temps de voir la chatte imberbe, sa poitrine est à demi recouverte de mousse, décontractée elle allonge ses pieds entre mes jambes … ses orteils effleurent ma queue qui réagit pour la deuxième fois de la matinée, je ne sais pas comment engager la conversation pour casser cette gène !
- Vous voulez bien me nettoyer le dos ?
Et hop ! La voilà qui se tourne à genoux devant moi, bon prince je saisie l’éponge naturelle et frotte le dos étroit jusqu’au bas des reins n’oubliant pas les hanches galbées, je n’ose pas descendre jusqu’aux fesses.
- Mmuuummm ça fait du biiiieeeennnnn, frottez plus fort là aussi sous les bras …..
Les mains tremblantes je passe sous les bras, tout prés des seins … trop prés des seins …….
- Oui, vous pouvez là aussi … n’ayez pas peur d’appuyer ils sont durs.
Elle se laisse aller sur moi, mon érection appuis sur son dos, je passe l’éponge sur la poitrine tandis qu’elle ronronne, je dois rompre le silence à n’importe quel prix… est ce la bonne question ?
- Dit moi Amélie tu te rases partout ?
- La chatte ? oui, c’est mon amant qui m’a habituée à ça, je crois que ce vicieux veut me faire paraitre encore plus jeune que je ne suis !
- Ton amant ? si jeune tu as un amant ?
- Ouuiii, c’est un copain à papa qui m’a dépucelée, j’ai aussi un petit copain mais il ne tient pas la distance ! et je me sens plus en confiance avec une personne plus âgée, et puis rasée c’est mieux pour les caresses, vous ne vous épilez pas ?
- Tu as vu tout ce que j’ai sur la poitrine ? en bas c’est pareil, ça ferait bizarre juste un endroit tondu !
- En tout cas ce n’est pas du poil que je sens dans le bas de mon dos… ça n’a rien à voir avec la verge de mon amant la votre est plus…… volumineuse.
- Excuse-moi.
- Oh c’est rien, ça me fait plaisir de voir que je ne vous suis pas indifférente.
- Bon en tout cas tu vas sortir de là, nous deux dans cette baignoire ce n’est pas raisonnable, je suis un homme et tu es trop jeune pour moi.
- Mais je vous dis que j’aime les hommes âgés !
- sort de là je te dis !
- ah ! quel mauvais caractère !
La fille prend tout son temps pour s’essuyer, j’ai tout le loisir de détailler son corps qui ne me laisse pas indifférent, je me suis d’ailleurs masturbé dans l’eau du bain, heureusement l’arrivée de Lucette met fin à ce trouble, la journée s’est finie comme si rien ne s’était passé.
Le soir Lucette a largement profité de mon excitation refoulée, le lendemain matin une fois debout sa chatte laisse s’échapper le sperme emmagasiné lord de notre copulation.
- Hé bien hier soir tu m’as baisée comme un dieu chéri ! par contre tu ne trouves pas qu’il fait froid dans cette chambre ?
- Pas étonnant il y une coupure d’électricité, je vais m’assurer que ça ne vient pas de la maison et je me recouche !
- Tu as raison attend que le chauffage se remette en route, moi je me sauve, bonne journée chéri.
- A tout à l’heure Lucette
La panne est extérieure à la maison, je vais vite me remettre au chaud dans le lit en chien de fusil, soudain un courant d’air me refroidit le dos …un corps glacé se colle à moi et deux seins s’écrasent sur mes omoplates, le bas ventre épouse mes fesses.
- Laurent ça caille ! qu’est ce qui se passe ?
- Une panne de courant, mais tu ne devrais pas venir dans ce lit, tu es nue en plus ?
- Je dors toujours à poil, réchauffe moi s’il te plait.
- Bon ça va, tourne toi vers le mur je vais te réchauffer un moment après tu te tires.
Mon ventre contre son dos, mes jambes contre les siennes, Amandine prend mon bras et s’en fait une écharpe, ma main épouse son sein tout rond…. J’ai beau penser au contrôleur des impôts rien n’y fait, je bande comme un forcené, pour l’instant je réussis à coincer ma queue entre mes cuisses sinon elle va pointer droit sur l’entre- jambe...
- Ça va mieux ? tu peux revenir dans ta chambre ?
- Encore un peut s’il te plait j’ai encore froid là.
- Où ça là ?
- Là ici au ventre, touche...
Amandine pousse mon bras vers le bas, je touche son nombril …c’est vrai il est frais ….
- Tu as les mains chaudes ça fait du bien …frotte bien partout !
La petite futée pousse encore mon bras, mes doigts effleurent le mont de vénus avant d’effleurer les lèvres, elle relève une cuisse… je pose ma main à plat sur toute la longueur de la vulve, dans un sentiment de culpabilité je la retire aussitôt, au même instant dans un ultime soubresaut ma queue trouve le chemin de la liberté et vient cogner sur le fruit défendu.
- Oh qu’est ce c’est ??
Un réflexe et sa cuisse se referme vigoureusement emprisonnant ma verge, impossible de me retirer je suis pris au piège.
- Oooh Laurent mais tu bandes ?
- Laisse-moi me dégager s’il te plait.
- Attend un peu je ne vais pas te la mordre, ça fait drôle c’est comme si j’avais une quéquette !
Se doigts fins emprisonnent mon gland et jouent avec :
- Petite dévergondée laisse ma verge tranquille.
- Huuuuummmmmm elle a l’air contente ! ça coule au bout, j’adore caresser le bout avec ce liquide poisseux… ça te fait du bien ?
- Ce n’est pas la question…. Huuuummmm
- Tu vois ? ça t’excite ! laisse toi faire je vais le faire pleurer.
Vaincu je la laisse me masturber, elle se frotte mon rouleau sur ses lèvres qui finissent par s’ouvrir, ma queue lubrifiée par sa mouille glisse merveilleusement sur son vagin ouvert, elle glousse et se cambre je comprends trop tard qu’elle veut pointer mon gland sur l’entrée de sa moule.
Dans une exclamation de joie elle s’empale, d’un seul coup et ma verge se retrouve au chaud dans sa matrice brulante.
- Va y baise moi Laurent j’en ai tellement envie depuis que je t’ai vu.
- Et tata Lucette ?
- Elle n’en saura rien je ne suis là que huit jours, fait moi profiter de ton expérience.
Sans ajouter un mot mes mains enserrent ses hanches et je commence à limer la chatte imberbe lubrifiée a souhait, trouvant que je la baise trop à la papa son cul vient percuter mon bas ventre, dans un mouvement acrobatique je la propulse à quatre patte sans retirer mon membre du fourreau soyeux, j’ai envie de voir ma queue coulisser dans cette gaine étirée exagérément, les lèvres sont tellement tendues qu’elles ont pratiquement disparues, une mousse compacte se forme autour de mon membre, amandine pousse des cris de lapin qu’on égorge , des oui, oui ,non, non, encore ,encore ! C’est bon c’est bon !
Je ne cache pas que je prends un plaisir immense à baiser cette fille, ce dos félin étendu devant moi m’excite tellement que rien ni personne ne pourrait m’arrêter avant que je n’ai déchargé, j’attire amandine à moi et la pilonne à grands coups de reins jusqu'à ce que je l’inonde de mon foutre.
- Laurent tu me tues ! défonce ma chatte je vais jouiiiiiiiiiiiiiiirrrrrr ! aaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhh !
Son corps se raidit, ses cuisses tremblent, et elle devient une loque entre mes mains qui la soutiennent pour ne pas qu’elle s’affale sur le lit, si ma queue s’échappe de ce trou une mare de jus va inonder les draps.
- Ne bouge plus amandine, je vais te porter ainsi jusqu’à la salle de bain, si Lucette voit ses draps sales ça va être une catastrophe, accroche tes jambes aux miennes, reste emboitée sur moi….nous continuerons dans la baignoire si tu veux.
- Je suis vannée, quelle partie de cul ! tu sais quoi ? mon amant aimerait inviter un autre homme pour nous amuser à trois, serais tu partant ?
- Faut voir, comment s’appelle- t- il ? quel âge a-t-il ?
- Armand, quarante ans, je lui en parle demain….