La Travelo
Lhistoire nest pas mienne. Mais je suis autorisé à vous la conter.
Cette aventure est arrivée à mon meilleur copain. Ce samedi-là, au petit matin, nous rentrions de notre virée dans le quartier chaud de Nice. Bien sûr nous aussi nous étions un peu chaud, légèrement éméchés quoi !
En entrant Roland me dit « Michel tas vu le trave, il nous a dragué sans vergogne. »
- Houai, mais tu las aussi bien aidé
- Oui, cest vrai. Depuis pas mal de temps je les cherche. Faut dire aussi, depuis que tu es partie, jai bien du mal à trouver une salope comme toi. Alors un samedi soir je suis retourné au club privé, cétait soirée mixte. Javais déjà lubrifié les roulements de deux petites lopes et je devais reprendre un peu de force. Je suis allé au bar commander
Tu sais ces trucs qui se boivent comme du petit lait, mais quau troisième verre tu ne peux plus te décoller le cul de ton siège sans piquer le nez par terre ?
- Oui, ils appelaient ça « le ptit qui tue ».
- Houai, cest ça, le ptit qui tue ! Donc, je sirotais ce truc bien tranquillement. Tout en zieutant les environs.
Voie t-y pas que je repère une nana
Au putain un sacré morceau !
Je suis sûr que même un eunuque se serait mis à bander.
Je vois quelle aussi me reluque. Je lui fais un petit signe. Elle me sourit, avec une bouche spécialement modelée pour tailler la turlute. Jinsiste, elle se lève et vient dans ma direction. Je ne te raconte pas de bobards, crois-moi. Si tu avais vu ce châssis !... Au moins un mètre quatre-vingt-dix, mince mais bien en chair. Une belle tête encadrée par une longue chevelure blonde descendant jusquaux reins.
Et ce corps
Putain pas croyable, une vraie madone. Une chute de rein !... Taurais pu y manger ta soupe sur sa croupe sans en renverser une seule goutte.
Et ses nibards
Deux beaux vallons qui encadraient une gorge profonde, le tout enfermé dans un
chemisier satiné blanc. Ils étaient à deux doigts de bondir dehors.
- Bonjour, puis-je offrir une boisson à la princesse de ces lieux ?
Elle me sourit, je fais signe au barman et demande à la nana ce quelle désir.
- La même chose que toi chéri.
Voilà près de dix minutes que nous sirotons tout en discutant, quand
« Bonjour Claude. Tu as pris racine ici ? ». Nous nous retournons et là je reste figé sur place. Je rêve ? Ce nest pas possible ? En plus petite je vois ma déesse. Même visage mais des cheveux courts, même corps sauf les hanches plus arrondies. Plus femme encore que la dénommée Claude. Jen bande. La petite jette un il dans le verre de Claude et lui demande ce quelle boit.
- La même chose que
?
- Roland, vous cest donc Claude et
- Moi, je suis sa sur Isabelle
Isa pour les intimes. Ce nest pas « le ptit qui tue » que vous buvez-là ?
- Si.
- Alors non merci. Je monte, vous me rejoignez ?
Du coup je regarde Claude. On se sourie et nous suivons la belle Isa. Là-haut il ny a que des cabines et des glory holes. A lidée de ce qui mattend, jen bande déjà.
Dix minutes plus tard je suis en train de bouffer la chatte dIsa et Claude me fait une vraie pipe. Javais raison, sa bouche est taillée spéciale turlute. Je bande comme un taureau. Puis je continu en niquant la belle Isa. Je défonce ensuite son cul. La salope, elle aime tout.
Alors quaprès avoir retiré mon latex, je plonge de nouveau dans les profondeurs de son con, voilà que ses jambes me ceinturent la taille et elle me sert le zob de son vagin. Là je me dis que je ne vais pas tenir longtemps. Surtout que Claude, par derrière, me suce les bourses.
Je veux me dégager mais Isa me tient bien. Tu me connais, cest un endroit où je ne laisse personne me toucher. Mais Claude me clou littéralement et je sens sa langue entrer et sortir à toute vitesse. Putain
au bout de deux ou trois minutes de ce traitement je ne peux empêcher mon ptit trou de souvrir et la Claude y fait entrer un doigt. Elle le tournicote à droite, à gauche, elle le rentre puis le ressort. Puis combine les mouvements. Pendant tout ce temps la belle Isa sempale à qui mieux mieux au bambou. La Claude men met un deuxième dans le cul et je ne peux rien faire. Mieux, vois-t-y pas que jy prends plaisir au point daller à la rencontre de la main. Je me retrouve dans la situation que si javance le bassin je plonge dans Isa et si je recule ce sont les doigts de Claude.
Putain !... Pour moi cest la honte. Elles me font subir ce traitement jusquà ce que je me vide dans le con dIsa. Je suis fourbu. Écroulé, avec les jambes dIsa qui continuent de mimmobiliser et Claude qui mappui sur le dos. Quand elle retire ses doigts je me surprends à gendre comme une femelle. Il est vrai quà force de me faire limer la rondelle la douleur du départ cest transformée en un surprenant plaisir. Jen suis presque déçu de ne plus sentir les doigts me niquer. Mais, que fait-elle ?... Je sens quelque chose de chaud et doux à la fois qui prend appui à lentrée de mon anus. Avant de comprendre la chose est entrée.
Cest une fois quelle est bien au fond de moi que je réalise.
- Mais, putain, tes pas une femelle ?
Cest là que je réalise la supercherie. En bas je nai vu dans son corps, sa démarche, son gestuel quune superbe femme. Et à présent jai, bien au fond de mon cul une queue dhomme et quelle queue ! Elle me labour, doucement au début et ensuite de plus en plus rapidement. Jai limpression quelle devient plus grosse et plus raide. Isa ma libéré mais je ne pense même plus à me défiler.
Cest même le contraire. Je prends une meilleure position. Je couine comme une pouliche en rut. Claude se moque de moi « Alors le beau mâle
Tu pensais baiser deux femmes et cest toi qui te fais tringler par un travelo ». Puis il décule et me retourne comme une crêpe, matt par les cheveux et menfile sa bite dans la bouche.
- Allez salope suce moi à fond. Parce que tu es bien une salope ?
Au début je résiste, jévite la tige qui vient de sortir de mon cul. Elle a une odeur pas très agréable. Mais la vue de ce corps de femelle. Sa douceur au touché. Ses doigts fin, tout en longueurs. Les ongles impeccable et vernie à la même couleur que son rouge à lèvres. Plus une force incroyable, fait que je finis par la prendre en bouche. Le gout nest vraiment pas plaisant, mais la Claude me tient fermement et me baise littéralement la bouche.
- Humm ! Ta bouche est chaude et douce
Allé, continue. Nettoie-la bien à fond. Montre-moi comment une salope sait sucer.
Pour moi cétait la honte. Comme humiliation cétait réussie et pourtant je nessayais plus de me dégager.
Je suçais même avec délice son paf. Cela devenait un vrai plaisir. Sentir sa bite vibrer et me limes jusquau fond de la gorge huummm !
Puis je lai senti se raidir et brusquement toute ma bouche cest retrouvée remplie de son nectar. Il venait de menvoyer toute sa sauce et il ma fallu tout avaler.
Ensuite il a pris son téléphone et a composé un numéro.
- Allo, Pascale ?
Ma chérie, tes libre ?
Ah tes en bas
Jai dégoté un macho que je viens de baiser et il suce à merveille, ça te dis ?
Nous sommes au huit. Et tu vas pouvoir lui défoncer le cul. Viens vite mon chou.
- Eh, cest quoi ce délire ? Après deux ou trois minutes une bombe vient dentrer dans mon champ de vision. Le trave a une paire de miches qui ont dû passer par Michelin, ainsi que son cul. Autant la Claude ressemble à une hyper pin-up, autant la Pascale ne peut cacher sa morphologie de mâle.
- Alors, ma chérie, voilà notre macho ?
Et le bibendum sapproche de moi, il matt la bite et tire dessus. Dans la douleur javance et il en profite pour me faire faire un demi-tour sur moi-même. Aussitôt je sens un de ses doigts-boudin me poignarder lanus et avant que je puisse réagir il me colle son bambou sur ma bouche qui, instinctivement, souvre.
Cest un vrai bouchon que jai en bouche et bibendum, dune voix suave, me dit « Allé chéri, montre-moi que tu sais vraiment sucer une bonne queue. Hé, les Lou, remuez-vous, il faut lui dilater la chatte !»...
En moi-même je me dis quil est temps que je lui fasse ma spéciale. Je sais quil ne va pas y résister. -Oh, putain. Arrête !... Il faut que je rentre à lhôtel. Demain jai rendez-vous avec mon patron.
Mais deux minutes après, pour lui, il nest plus question de retourner à lhôtel. Et le restant de
Non, le début de sa journée a démarré dans mon lit. Ce jour-là, je nai pas su la fin de son aventure. La seule chose que je sais cest quà présent il est devenu réversible.
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