Les Gladiateurs Du Xxième Siècle Ii

Je me retrouvai seule dans ma chambre du club libertin, mes amis et mon copain étant allés se renseigner sur mon futur combat. Je me remémorais avec plaisir l'humiliation que j'avais fait vivre à Pauline en la forçant à regarder son petit ami (maintenant son ex) me baiser et m'étais mise à me caresser. J'introduisis trois doigts dans mon vagin et fis des va et vient afin de m'exciter le clito, ce qui ne tarda pas à faire sortir de ma chatte trois puissants jets de cyprine qui formèrent une tâche énorme sur les draps du lit sur lequel j'étais couchée. Apaisée par ce petit plaisir pris en solitaire, je me levai et me mis un peu de crème sur les bras et la poitrine. Robert, Bob, Karim et Michaël entrèrent dans la pièce quelques minutes plus tard tandis que je mettais la crème sur mes cuisses. Robert parla le premier:
«Ça y est! Nous savons enfin qui sera ta prochaine adversaire. Elle s'appelle Caroline. Elle est Suédoise.
Méfie-toi. D'après ce que nous avons entendu à propos de son combat, elle est très forte. Surtout, applique les conseils de Bob à la lettre si tu veux gagner.»
« Moi aussi, je suis très forte» lui répondis-je sur un ton de défi. Il me répondit par un sourire et plus personne ne pipa mot jusqu'à ce que le responsable annonce mon combat:
« Et maintenant, nous allons commencer le premier quart de finale qui va opposer Rosalie et Caroline. Veuillez les accueillir!»
Je montai sur le ring avec les encouragements de mes amis sous les applaudissements du public. Face à moi, je vis mon adversaire. J'eus tout de suite un choc. Caroline me ressemblait beaucoup. Longs cheveux blonds, yeux bruns, poitrine 95D et une chatte impeccablement soignée. J'éprouvai tout de suite un grand respect pour mon "clone" suédois. Je sentis son regard me jauger. Elle aussi semblait éprouver du respect pour moi. L'arbitre nous fit venir au centre du ring et siffla le début du combat. Au coup de sifflet, je me jetai sur Caroline qui esquiva mon attaque et tenta de me donner un coup de pied au dos que je pus éviter en reculant de deux pas.

Je levai ensuite mes poings comme une boxeuse et avançai vers Caroline. Je me mis alors à ruer son ventre de coups de poings rapides. Les premiers la touchèrent puis elle mit ses poings devant son ventre et se baissa pour se protéger de mes coups. Je tentai de me glisser entre ses jambes et de la faire tomber à l'aide de mes bras mais Caroline anticipa et m'immobilisa. Coincée sous son corps, je me débattais comme une diablesse tandis que le compteur des trois secondes s'était activé. Je ne voulais pas perdre. Cela m'était impensable. Avec la rage de vaincre qui me possédait, à une seconde de la fin du temps, je rassemblai toutes mes forces dans mes abdos et saisis Caroline par les hanches. Je réussis à faire basculer mon adversaire en arrière et je me couchai sur elle de tout mon poids. Ma rivale se débattait sous la pression de mon corps pendant que les trois secondes s'écoulaient. À une seconde de la fin, Caroline parvint à rouler sur le côté et à me renverser. Instinctivement, juste avant de toucher le sol, je roulai moi aussi sur le côté et cette réaction donna naissance à un petit jeu de roue que je finis par remporter sous les rires amusés du public. Je bloquai les bras et les jambes de Caroline et les serrai contre moi. Les trois secondes s'écoulèrent et je fus déclarée vainqueur. Je levai les yeux vers le public pour connaître son verdict. Tous les pouces étaient levés vers le ciel. Je lâchai donc Caroline et lui donnai sportivement l'accolade. Je glissai ensuite à son oreille:
« Ne pars pas comme ça. On peut encore s'amuser toi et moi»
Je lui caressai les seins afin de lui montrer explicitement ce que j'entendais par "s'amuser". Caroline sembla surprise pendant un moment puis elle me rendit ma caresse avec un sourire libidineux. Nous arrêtâmes de nous caresser et descendîmes du ring pour aller jusque dans ma chambre où nous pouvions avoir un moment d'intimité, mes entraîneurs étant partis boire un verre au bar du club. Je m'allongeai sur le lit et invitai ma copine suédoise à me rejoindre.
Caroline se coucha sur moi et me roula une pelle. Je lui rendis fougueusement son baiser et passai mes bras sur son dos. Notre baise dura deux minutes puis je renversai Caroline sur le dos et lui léchai la chatte. Caroline jouit rapidement sous mes coups de langue. Je remplaçai ensuite ma langue par mes doigts. Je fis une série de va et vient dans le sexe de ma partenaire. Caroline cria de plaisir et ne tarda pas à m'arroser les doigts de sa cyprine. Je sortis mes doigts de l'antre d'amour de ma rivale et les léchai libidineusement en la regardant droit dans les yeux. Excitée, Caroline se jeta sur moi et me plaqua sur le lit, allongée sur le dos et se mit à me lécher la chatte avec ardeur. Ses coups de langue me firent jouir et trois puissants jets de mon liquide entrèrent dans la bouche de Caroline qui avala le tout. Je tendis le bras pour ouvrir le tiroir à côté du lit et en sortir un gode de 25 cm de long et 5 cm de diamètre. J'ordonnai à Caroline de se mettre à quatre pattes, le cul tourné vers moi. Ni une ni deux. Je lui enfonçai les 25 cm dans le cul, ce qui lui fit pousser des cris de douleur aussitôt changés en cris de plaisir.
Je fis une série de va et vient avec mon gode. Caroline hurla de plaisir et je sortis le gode de son anus pour me le mettre dans le vagin. J'ordonnai à Caroline de me regarder me donner du plaisir. Je m'enfonçai le gode dans la chatte en poussant des hurlements de plaisir sous le regard excité de Caroline qui se masturbait. Au bout de vingt minutes, je sortis le gode enduit de cyprine de ma chatte et le suçai. Elle avait bon goût, ma cyprine bien que je trouvais cela étrange de boire mon propre liquide d'amour. Je mis ma tête entre les cuisses de Caroline et lui léchai la chatte afin de boire toute sa cyprine et de la comparer à la mienne. Je trouvai que ma cyprine était meilleure bien que celle de Caroline avait bon goût, elle aussi. Des voix se firent entendre non loin de ma chambre. C'était mes amis. Caroline sortit de ma chambre à toute vitesse tandis que je me dépêchais de paraître présentable.
Mes amis entrèrent dans la chambre et me félicitèrent pour ma victoire. Nous attendîmes tous ensemble mon prochain combat. La suite allait être géniale pour moi, je le sentais.
La suite dans le prochain épisode
Rosalie

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