Pour Du Rire
Samedi dernier, Paulo avait décidé dinviter Paul et Fabrice, nos voisins den face à venir passer la soirée à la maison.
Sur le coup de 19 heures, les voici qui arrivent. Paul et Fabrice, on les connait bien. On les connait même intimement. Ils sont gays comme nous, ils habitent juste en face, au dernier étage comme nous, le même type dappart avec de grandes baies vitrées, sans rideaux
comme nous ! Jour et nuit, on peut voir ce qui se passe chez lun ou lautre. Car, comme nous, ils sont voyeurs et exhibs aussi Ensemble, on a déjà baisé plusieurs fois, à lépoque où Rémi était encore là. Jimagine que Paulo a du imaginer quelque chose de nouveau pour « pimenter » la soirée. Comme à chaque fois.
Ca faisait un petit moment quils nétaient pas passés. On est content de se revoir et on a pas mal de choses à se raconter tout en buvant moult chachaças. Avec Paulo, il ny a nul besoin de chercher à shabiller car comme vous le savez sûrement déjà-, on se balade tout le temps en slips ou en maillots de bain dans lappart, tout au long de lannée. Les voisins den face en savent quelque chose et ils apprécient beaucoup. Une habitude quil a sûrement gardée du Brésil.
Donc, aussitôt entrés, Paulo leur propose de « se mettre à laise » en enfilant un slip ou un slip de bain de son imposante collection. Ils choisissent deux ultra mini slips bleu et rose en nylon fin. Tiens, ils ont laissé repousser leur toison depuis la dernière fois, leurs poils débordent de chaque côté du slip. Joli.
La soirée se passe à boire, à écouter de la musique, à picorer des trucs, à rigoler, à danser- un peu -. Ils nous demandent des nouvelles de Rémi. Dentrée de jeu, Paulo nous a annoncé que ce soir, ce serait « spécial ». Chacun se demande ce que cela peut bien vouloir dire. Surtout avec Paulo
Vers 23 heures, ils nous entraînent enfin vers la chambre.
« -Tonight, i twill be sadomasochistic ! Ooooh ! Dont be afraid, i twill be light
Who wants to be the first ? ( Ce soir, ce sera sadomaso.
-Me ! » mécrais-je.
Il menfila une cagoule de satin noir sur la tête. Il y avait un trou pour le nez et un autre pour la bouche. Le tissu était soyeux. Ca ne mempêchait pas du tout de respirer. Etait-ce un fantasme secret de Paulo ? Depuis toutes ces années, il ne men avait jamais parlé. Mais où donc sétait-il procuré cette cagoule ? A partir de ce moment, je ne pouvais que deviner qui me faisait quoi.
Ils mattachèrent les mains dans le dos avec une cravate, je pense- et me firent enfiler un autre slip que je supposais être en soie tant il était
soyeux ! De temps à autre, ils meffleuraient de leur peau nue. Ils se mirent à me caresser partout, partout à trois, je pense -, assez « rudement ». Pas désagréable pour autant. Dès que jai été cagoulé et privé de la vue, on aurait dit que les autres sens étaient décuplés. Lodorat mais aussi le ressenti aux caresses. Incroyable. Ils prenaient grand soin déviter mon slip et ma bite. Frustration organisée ?
On me fit mettre à genoux et on présenta à ma bouche des slips bien remplis, fleurant bon une forte odeur de mâle
Avec mes dents, je mordais lélastique pour entrebailler le slip et libérer ainsi leur bite. Je crus reconnaître celle de Paulo, mais je navais pas le droit de parler. Tout juste gémir. Leurs bites mexplosèrent au visage, tendues à lextrême ils démarrent tous au quart de tour
-. Je commençais à leur suçoter le gland à tour de rôle mais une main mempoigna les cheveux et me fit faire une gorge profonde. Surpris, je faillis m. Mais bon, jétais là pour obéir. Alors, allons-y carrément. Jessayais de la satisfaire au maximum en me demandant bien qui pouvait être son propriétaire
Jhésitais entre Paul et Fabrice. La bite se retira et se présenta aussitôt la seconde. Je voulus lenfourner. Cette fois, une main me retint par les cheveux. Je compris que je devais me concentrer sur le gland. A lodeur, je reconnus celui de Paulo.
Létape suivante, ce furent deux bites qui se présentèrent à ma bouche en même temps. Jouvrais et enfournais les glands
Je les sentais bouger légèrement dans ma bouche. Je me doutais bien que le troisième allait arriver. Comment allais-je faire ? Ca ne sert à rien de se poser trop de questions à lavance. On verrait. Cela ne tarda pas. Eh bien, jouvris une bouche encore plus large et je me mis à suçoter les têtes de glands, toutes dégoulinantes de mouille, plus ou moins bien... Sous ma cagoule, je souriais en mimaginant comment ils avaient du se placer pour arriver à coller leurs trois bites ainsi
A un moment, quelquun me prit la tête, me dégagea et me fit me baisser légèrement. On me présenta une couille à gober ou à suçoter, comme il me plairait
Jadore ça. Par contre, je reconnus nettement lodeur de Paulo et je me frottais la joue contre les poils de Paul ou de Fabrice ? Je les entendais gémir à tour de rôle. Certains mempoignaient les cheveux et mappuyaient la tête, signe quils appréciaient.
Jimaginais déjà que la prochaine étape serait les raies et les rondelles. Je ne me trompais pas. On mencourageait vivement à pousser ma langue pointée le plus possible au fond des rondelles. Je reconnus sans hésitation aucune la raie de Paulo à sa largeur importante. Je la titillais de mon mieux.
Puis, on me fit me relever, tout en me remerciant pour le plaisir donné, on me détacha les mains pour me les rattacher aussitôt à la barre de gym
On mécarta les jambes. On commença à me fesser gentiment, à même le slip. Petit à petit les tapes se firent plus fermes sans jamais aller jusquà la douleur. Ils sy mirent même à deux pour me fesser en même temps. Je bandais comme un âne ! Finalement, jaimais bien ça ! Jamais jaurais cru
Pour me récompenser ( ?) ils se concentrèrent alors sur mon slip.
Trop cool !
On me baissa alors brusquement mon slip, en le déchirant carrément. A ce moment précis, jai eu envie de rire parce que ça paraissait comme dans les films sm - comme un jeu - mais, en même temps, ça mexcitait grave, mais grave. Je sentis aussitôt un gland pousser contre mon trou. Je compris aussitôt quil ny aurait pas de gel
Mais, heureusement, comme ils étaient excités comme des poux, leur mouille remplacerait. Une, deux, trois poussées. Il est dedans. Je souffle un grand coup. A coup sûr, cest la bite de Paulo. Je la reconnaitrais entre mille. Il senfonce jusquaux couilles en une seule fois. Je souffle à nouveau mais jaime aussi. Il se met aussitôt à me limer rudement. Je gémis. A moitié de douleur, à moitié de plaisir. Il va me pistonner ainsi un petit moment puis il se retire et je sens aussitôt une autre pine qui vient memplir. Légèrement plus fine que celle de Paulo, elle se faufile dautant mieux. Je dirais
Paul ? Cadence soutenue, là aussi. La troisième arrive, plus épaisse.
Et là, clou du spectacle ! Je mattendais à une alternance entre les bites de chacun mais sûrement pas à celle là ! A peine la troisième retirée quun gode super glacé - mais lubrifié me pénètre ! Mais doù ça sort ça ? Du congélo ? Eh bé, ça peut être que ça
Jentends le rire de Paulo dans mon dos. Encore une de ses « private jokes » ! Surtout quà lappart, ce ne sont pas les godes qui manquent. Déjà, chacun en a un moulé sur sa propre bite, les autres, on les a achetés. Nempêche que lalternance vraies bites chaudes et godes super gelés est
assez décoiffante ! On ressent larrivée dune vraie bite chaude comme un vrai soulagement. Ceci dit, lalternance des deux nest pas désagréable
Jadore.
On me détache ensuite pour mamener sur le lit.
Arrive alors lapothéose. Un des trois vient mécarter les jambes au maximum, me les relève et les pose sur ses épaules puis il vient, doucement, me pénétrer. Je suppose quil doit être à genoux, face à moi car mon bassin est très très relevé par les gros coussins placés sous mes reins. Une sorte de levrette à lenvers ! Cette position doit sûrement porter un nom
Il commence à me limer puissamment. En même temps, on me prend chacune de mes mains et on me les pose sur deux slips bien tendus. Je comprends quelles aimeraient quon les branle. Ce que je fais du mieux possible en baissant légèrement leurs slips sous leurs couilles. A un moment, ils se reculent et je sens sur deux de mes doigts de chaque main une sensation de froid. On me les enduit de gel. Compris ! Il va falloir que je les dilate. Ils ont baissé leurs slips et je passe rapidement un doigt, puis deux. Cest rigolo car je me rends compte quil faut, en fait, pas mal de concentration pour faire ça des deux mains en même temps. Je tourne mes doigts pour les dilater du mieux que je peux. Après tout, je suis leur « esclave sexuel » dun soir. Je me dois à mes « devoirs »
Celui qui ma pénétré ne bouge plus. Je comprends quil est entrain de se faire fourrer par le second qui se fera probablement fourrer par le troisième
Ils vont alors se mettre doucement à me limer. Celui qui me fourre met beaucoup de douceur dans la façon quil a de glisser en moi. On dirait quil cherche à me procurer des sensations agréables et, peut être aussi, à se faire pardonner quelques rudesses. Je jurerais quil ne sagit pas de Paulo. Je connais trop bien sa bite pour lavoir « hébergée » de très nombreuses fois. Son glissement est doux et tendre. Trop bien ! Au fil de la séance il va aller un peu plus vite, de plus en plus vite
Cest incroyable. Est-ce parce que je suis attaché ou que je suis cagoulé mais la sensation me paraît encore plus forte que dhabitude. Ils ne vont plus séchanger leurs places à tour de rôle mais ils vont aller, chacun, jusquà la jouissance et moi à la mienne.
Dans la dernière ligne droite, celui qui me fourre empoigne mes chevilles et se met à me bourriner à toute allure. Il jouit dans un grand râle. Je ressens alors un, deux trois longs jets brûlants qui minondent les entrailles. Mon inconnu retombe sur moi, débranché, inerte. Presquaussitôt, sans même me toucher, je jouis à mon tour en inondant de sperme le ventre de
?. Par contre, je ressens encore les coups de boutoir du second et probablement du troisième
Au bout dun moment, je ne sens plus aucun mouvement. Chacun a du jouir. On me retire alors ma cagoule. Je découvre Fabrice, puis Paulo, puis Paul enchassés sur moi.
« -Merci les gars ! Cétai trop cool ! Finalement, jai bien tout aimé ! Jaurai pas cru ! Et vous, ça vous a plu aussi ? »
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