Elle (6/?)

La prise de sang est faite. L'infirmière a trouvé la veine du premier coup et j’étais sortis 5 min après, sans un bleu, juste avec un petit pansement. Malheureusement pour elle, ça n'a pas été pareil. L’ intérieur du coude est parsemé de petits hématomes. Le test est lancé et on aura les résultats probablement en fin d’après-midi.
N'ayant rien à faire durant cette journée, nous avons décidé d'aller nous balader en ville. Le soleil est au rendez-vous et marcher dans les rues et ruelles de la ville est un vrai bonheur. Nous marchons et rentrons dans des magasins pour dépenser notre argent. A l'heure du midi, nous pénétrons dans un petit restaurant et mangeons bien pour peu d'argent. Et nous continuons dans le même état d'esprit que le matin.
Magasins, magasins et encore magasins. Elle a 3 sacs dans sa main gauche, j'en ai 4 dans la main droite et nous nous tenons par l'autre main. On s'engage dans une petite ruelle et tombons sur un magasin dont toutes les fenêtres sont caché avec uniquement des petite affichette au nom plus qu'explicite. C'est un sex-shop.
Elle prit les devants et m’emmena à l’intérieur. Contrairement aux idées que je me faisais des sex-shop, des pièce sombre avec des dvd porno et des capotes usagées jonchant le sol. Le magasin étais plutôt clair et propre, organisé comme un super marché avec divers rayon comme « plaisir anal » ou « menotte et bondage ». La vendeuse s'approcha et nous demanda :
- « Bonjour, vous cherchez quelque chose en particulier ? »
- « Non, a vrai dire, nous cherchons quelque chose pour pimenter nos relations sexuelles. » répondit-Elle.
- « Oui, pas de soucis suivez moi. »
Elle nous emmena à travers les rayons en nous montrant divers accessoires assez « soft » selon elle comme des sous-vêtements aguichants (qu'Elle décida de mettre dans le panier) ou un œuf vibrant (que moi, je mis dans le panier). Nous continuâmes notre petit tour posant des questions sur divers produits ou en mettant d'autre dans le panier.

Environ 40 min après être rentrés nous sommes à la caisse et la vendeuse emballa nos achats dans un sac de boutique de parfum.
- « Certains de nos clients préfèrent la discrétion » répondit la vendeuse à mon regard interrogateur.
Nous ressortons dans la rue avec un sac plein de nouveaux jouets.
17h13 je reçois un message du centre d’analyse me disant que mes résultats sont disponibles. 2 minutes après Elle reçois aussi le même message. Nous arrivons devant le centre. Nous nous pressentons au guichet et demandons les résultats. La secrétaire nous tendis deux enveloppes avec nos noms et des numéros marqué dessus. Je les pris et nous somme donc rentré. Mes parent encore en déplacement Elle vint donc chez moi et on entrepris chacun d'ouvrir notre enveloppe. Quand jus fini de lire les résultat je souffla. Tous est négatif. Je relevai la tête et la vis avec son plus grand sourire.
- Elle s’écria: « Plus besoin de ces bouts de plastique » avant de me sauter au cou.
Je la sentis descendre sa main sur mon ventre pour aller chercher mon érection de sa main. Elle se mit à genoux et se mit à me prendre en bouche. J’étais sur le point de jouir et elle le sentis, elle arrêta tous, et me dit :
- « Bouge pas, je reviens »
Elle partit alors avec notre de sac de « parfumerie ».
Quand elle arriva devant moi, elle était magnifique. Elle portait les bas et le soutien-gorge qu'on avait achetés cet après-midi. Cette tenue mettait en valeur sa paire de seins déjà dressée et ses hanches sensuelles. Elle avait remplacé sa culotte par un string noir aux couleurs du reste de sa tenue. Ce string faisait remonter ses fesses fermes et je ne pus m’empêcher de mettre une petite claque sur ce magnifique postérieur. Je la pris alors par les hanches et la mis à genoux devant moi. Elle obéit ce qui m’étonna mais je ne dis rien. Je la pris par la nuque et lui mis ma bite devant sa bouche en lui disant :
- « Tu as commencé quelque chose tout à l'heure, non ? Quelque chose que tu n'as pas fini ? »
N'attendant pas sa réponse je lui forçai la bouche pour qu'elle m'avale jusqu'à la gorge.
Dès que j'eus atteint le fond, je commençai un léger va et vient. Ses lèvres parcouraient mon sexe de haut en bas, sa langue parcourait le dessous de ma verge et, dans les rares moments où je me retirais de sa gorge, tournoyai autour mon gland. Elle se redressa et m’emmena dans la chambre et me donna une paire de menotte en cuir. C'était donc ça qu'elle était partie chercher avec la vendeuse quand je regardais les différents plugs anaux.
- « Je veux que tu m'attaches avec ça. » me dit-elle en me lançant les menottes.
Je m'entrepris donc à lui passer les mains dans le dos et lui serrai les bracelets de cuir autour des poignets.
Je la poussai alors sur le lit et elle tomba à plat ventre sur mes draps. Je me positionnai derrière elle, soulevai ses fesses et la pénétrai en levrette. Je m’enfonçai en elle avec facilité et sans préservatif. Cette nouvelle sensation se répercuta dans tout mon être et je ne pus m’empêcher d’accélérer le rythme. Je l’entendis commencer à respirer de plus en plus fort et dans un soupir elle me dit, ou me cria plutôt, juste avant de jouir.
- « ne jouis pas en moi, je ne prend pas la pilule. »
Je pris en compte sa demande et la pris par les menottes pour l'emmener dans mon rythme. Je continuai à la pénétrer de cette façon encore quelques minutes et, en ayant assez, décida de la retourner pour lui faire face. Je la regarda dans les yeux et la pénétra d'un coup jusqu'à la garde. Elle ferma les yeux en savourant son second orgasme. On continua cette danse, puis quand je ne pus me retenir, je sortis d'elle et dirigeai ma queue vers sa bouche et elle m'aspira. Et là, je lâchai tout. Tout le sperme emmagasiné depuis ces derniers jours se déversa dans sa bouche. Elle avala les premières gorgées mais ne put pas tout garder en bouche et quelque gouttes tombèrent sur sa poitrine. Je sortit de sa bouche, lui souris et lui dis :
- « Ça change d’être enfin réunis sans un bout de plastique entre nous ? »
- « oui c'est sûr, de plus tu as meilleur goût sans le préservatif.
Tu n'as plus l'horrible goût de latex quand je te finis à la bouche. D’ailleurs, je commence à prendre goût à ça » elle me fit un clin d’œil sur cette dernière phrase.
J'entrepris donc de détacher ses poignets et m'allongeai à coté d'elle. Je tombai dans un profond sommeil et ne me relevai que le lendemain matin et elle était dans mes bras.

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