Soulevé Comme Une Plume Et Dominé Par La Grande Et Forte Stéphanie(4)
L'apothéose de la soirée
A mon retour dans le salon, les filles avaient migré dans les canapés et buvaient une bouteille dalcool fort au goulot. Le vin commençait à faire effet et je me sentais tout étourdi. Javais envie de me faire prendre comme une chienne ! Ingrid et Catherine étaient assises cote à cote. Stéphanie minvita à masseoir à ses cotés. Je massis au bord du canapé, gardant mes jambes lune contre lautre et le dos droit. Mes mains étaient lune dans lautre dans mon giron. Je commençais de plus en plus à prendre des postures de femme. Grisé par le vin, jaimais de plus en plus les regards teintés de désir bestial que madressaient mes trois maîtresses. Croisant ma jambe gauche sur ma jambe droite, jadressais un regard langoureux à Catherine, tout en décroisant mes mains pour remettre en place sensuellement mes bas résilles et en passant ma langue sur mes lèvres brillantes de gloss. La jeune brute se mit quasiment à baver denvie en passant la main dans son survêtement au niveau de son pubis. Je fus surpris de la bosse qui sétait formé à ce niveau. Cette fille avait vraiment quelque chose détrange... Stéphanie qui était affalée dans le canapé me regardait de derrière. Je sentis sa large main me caresser le dos puis les hanches. Ses deux mains vinrent alors sous mes aisselles pour me tirer et me soulever afin de minstaller sur ses genoux. Je me retrouvais donc dos à elle, à califourchon sur ses larges cuisses, exposant ma culotte à Ingrid et Catherine, mes pieds pendant à 20cm du sol. Posant mes mains sur ses genoux, je cambrai mes anches pour lui offrir mes fesses. Elle saisit ma taille de guêpe dans ses longs doigts et sexclama une nouvelle fois :Mais que tu es mince, tu as vraiment une silhouette de salope. Le vin me tournant de plus en plus la tête, je gémis de plaisir. Stéphanie mis alors ses mains sous mes genoux, et les releva pour écarter mes cuisse et exposer ma culotte encore plus. Je sentais dans mon dos ses tétons dressés dexcitation.
Elle saisie alors ma culotte dans sa main droite et arracha le petit morceau de tissus qui noffrit que peu de résistance à la force ce cette brute. Jexposais alors totalement mon anus et mon petit pénis qui bandait. Catherine s'esclaffa :Regardez, son clitoris est tout raide ! . Clitoris ! Cette amazone me prenait vraiment pour une femme. Elle caressa alors mon petit sexe avec le sien. La différence de taille était impressionnante. Le sien paraissait 10 à 20 fois plus gros. Elle entreprit alors de me pénétrer. Posant son gland sur mon anus, elle força pour l'insérer, mais ma rondelle était bien trop petite. Catherine pris alors la motte de beurre ramollie qui traînait encore sur la table et me la posa sur le fion pour lenduire copieusement, ses doigts nhésitant pas à explorer mon anus. Elle tenta à nouveau de me sodomiser et y réussit enfin. Je sentis à la fois avec douleur et plaisir son monstrueux pénis en moi. Quand elle commença à limer, jai eu limpression quelle allait traverser mon corps. Je la sentais au plus profond de mes entrailles.
Elle dit alors à Stéphanie : Laisse moi prendre cette petite trainée. Je veux la sentir en entier. Les mains de Catherine remplacèrent celle de Stéphanie sous mes genoux et les miennes vinrent sur sa nuque musculeuse. Elle me souleva alors tout en me pénétrant, comme si je ne pesais rien. Jétais au comble du plaisir, encourageant Catherine de Vas y, vas y, auxquels elle répondait avec tu aimes ça que je te prenne par derrière petite salope. Elle me secouait de bas en haut avec un facilité déconcertante, je navais aucun effort à faire pour que son chibre coulisse dans mon petit fessier. Javais limpression dêtre une de ces femmes de poche dont les hommes seuls se servent pour se soulager. A un moment, elle me jeta plus haut pour pouvoir déplacer ses mains directement sous chacune de mes petites fesses.
Elle tira alors vers le haut pour que ma bouche vienne en contact avec son sexe. Je sentis immédiatement son clitoris qui était durci par son excitation. Je navais même pas deffort à faire, les coups de boutoir de Catherine sur mon arrière train suffisait à faire aller et venir mes lèvres et ma langue sur le sexe dIngrid qui mouillait abondamment. Mon visage et mon buste qui était déjà maculé du sperme de Catherine commençait à être un peu plus recouvert de jus de la géante blonde. Javais totalement perdu la notion du temps. Ma prostate hyper stimulé par lénorme vérin de la jeune brute mavait déjà fait jouir 3 fois. Ingrid gémissait de plaisir tout dégoulinant un peu plus sur mon visage. Elle jouit dun coup et un flot supplémentaire de jus déborda de ma bouche, jétais au bord de la noyade. Catherine jouit quasiment en même temps à nouveau. Je sentis son sperme chaud couler en moi, et jaillir sous la pression par les failles de mon anus. Si Ingrid ne mavait pas tenu, je crois que jaurais pu être expulsé contre le mur par la lance de pompier de Catherine.
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