Studieuse Et Vicieuse 1
Fille des îles où il fait toujours beau, cette aventure mest arrivée à ma première année duniversité, je venais davoir dix neuf ans, mon teint café au lait, mes yeux noirs en amande, mes cheveux corbeau, un corps qui fait se retourner les hommes de tous âges, surtout lorsque je suis légère et court vêtue.
Luniversité étant située loin de chez moi il fut décidé que je logerais chez Prisca une amie que javais connue plus jeune, des parents adorables John et Nora, a peut prés de lâge des miens, c'est-à-dire fin quarantaine, profs tous deux, un petit ami ? Oui
oui et non je nétais pas spécialement amoureuse déçue par plusieurs expériences sexuelles pendant lesquelles je nai jamais atteint lorgasme, pourtant jai les hormones en ébullition.
Dés les premiers jours nous nous retrouvions chez Prisca avec une ou deux copines pour réviser, mais les conversations sont vite orientées sur les garçons de luniversité, pour ma part je ne pouvais détacher mes pensées qui se concentraient en secret sur John, le père de Prisca, un homme très bronzé toujours en caleçon de bain après le travail ,une musculature impressionnante, sa créole a loreille lui donnait un air de pirate , quand je le croisais je marrangeais toujours pour le frôler soit avec mes seins soit avec mes fesses, son regard en disait long sur ses pensées que je devinaient lubriques.
Ce soir là couchée avec Prisca je narrive pas à trouver le sommeil, une main dans ma culotte je me caresse la foufoune imaginant que ce sont les doigts de John qui sintroduisent dans mon vagin
- ROOOOOH arrête de bouger Malika !
- Excuse moi je narrive pas a fermer lil, je vais prendre une douche
La porte de la salle de bain fermée je pose un pied sur un tabouret et écarte à nouveau ma petite culotte, mes doigts ouvrent ma chatte gonflée de désir pour flatter mes petites lèvres et mon clitoris, les yeux fermés je vois le père entre mes cuisses me fourrant une queue que je devine démesurée à en juger par le short anormalement déformé
Soudain entre ma respiration rauque et espacée je perçois des échos sourds, indéterminés, je prends peur et cesse mes activités, les bruits viennent den bas, frustrée je décide de voir ce qui ce passe, marches par marches en évitant de faire craquer lescalier de bois je descends, des lueurs proviennent du salon, sur la télé défilent des images très osées, dans le canapé tourné de coté, John le caleçon aux genoux, son bras monte et descend lentement
il doit se masturber, malgré la boule qui me noue le ventre je me déplace afin de voir ce quil agite ainsi, la lumière diffusée par la télé éclaire une queue a la mesure de mon imagination , de temps a autre il enduit sa main de salive pour caresser le gland ovale et la hampe interminable, ma main retrouve le chemin de mon entre- jambe, mon doigts tournent a une vitesse folle autour de mon clito, ce qui devait arriver arriva : jai poussé un cri aigu quand la jouissance ma gagnée.
- Viens par ici Malika
.
Jai hésité entre remonter quatre à quatre et avancer vers le canapé
. Cest le canapé qui la emporté, je me suis installée dans un fauteuil face a lui les jambes repliées, les talons sur le bord du siège, la télé ne servait plus qua éclairer mon entre cuisse quil ne se privait pas de mater, la vicieuse qui sommeillait en moi se réveille, je repasse une main dans ma culotte, il recommence a faire ce que la surprise lui avait fait stopper, cette fois je vois les veines qui serpentent sur le pieux de chair poilu jusquen moitié, il est privé de la vision directe de ma masturbation, aussi je lève mes fesses et fais glisser le rempart insignifiant qui protège mon intimité , ses yeux deviennent tout ronds, sa bouche aussi, son souffle redouble de puissance, va-t-il décharger devant moi ?
Ma chatte dégouline, je renverse ma tête en arrière en jouissant, quattend-il pour approcher ??????
Quand jai rouvert les yeux il est penché au dessus de moi, ses mains saisissent mes chevilles et font passer mes jambes sur les accoudoirs, ainsi offerte son visage descend
son souffle brulant attise mon désir, je lentends renifler mon con
- Tu es prête, pas besoin de mignardises
Il avance sa queue vers mon entre jambes, son gland mafflu bouscule mes lèvres entrebâillées, dés les premiers centimètres introduit je ressens autre chose, rien à voir avec les quéquettes lisses qui mont déjà baisée, mes replis intimes déployés épousent a merveille sa bite, je découvre de nouveaux point sensibles
- Raaaaaaah ooouuiiiiiiiii je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiis
- Ne restons pas là tu va tacher mon fauteuil, accroche toi a mon cou
Jai le réflexe dattr ma petite culotte avant quil ne me soulève, mes quarante six kilos ne limpressionnent pas il me soulève comme un fétu de paille, de mon seul poids, accrochée a son cou je mempale totalement sur sa hampe, jai limpression dêtre ouverte en deux, ma mouille séchappe de ma vulve , nos lèvres soudées il se dirige vers la sortie ou la porte nest jamais fermée la nuit pour rafraichir la maison, arrivés sur la pelouse il se courbe pour me déposer sur lherbe, mais vu ma petite taille nous nous démanchons , jen profite pour me mettre en boule et saisir cette queue poisseuse que je me met a suçoter avec gourmandise léchant pour la première fois mes propres sécrétions, John se laisse faire appuyant même sur ma tête pour menfoncer son zob plus loin
- Je ne métais pas trompé tu es une belle salope, ouvre bien la bouche je sens tes dents
.
La mâchoire prête à décrocher je manipule la peau a toute vitesse, jai hâte de gouter a sa sauce, elle arrive, le canal déférent gonfle sous mes doigts, je reçois la première giclée en pleine gorge ce qui me fais recracher le membre, les quatre autres fusent sur mon visage et mes cheveux
- Excuse moi il ne fallait pas retirer ma queue de ta bouche
- Cnest pas grave
Avec ses doigts il écrème le plus gros de sa semence et le glisse dans ma bouche, je serre les lèvres pour assécher les doigts
- Baise-moi encore !
Dans la foulée je me mets en levrette, le front dans lherbe, les avant bras repliés, cambrée au maximum jattends
..
- Regarde-moi cette chatte ! comment résister ? lintérieur de tes cuisses est tapissé de mouille !
Ses doigts écartent mes lèvres pour pointer son gland sur mon trou, jaccompagne dun long râle lincursion du pieu de chair, il reste immobile savourant létroitesse da ma gaine vaginale, je donne un coup de cul pour le décider à bouger, mal men as pris, cramponné a mes hanches il me démonte la chatte a grands coups de bite pendant dix minutes avant que son liquide chaud ne se rependre dans mon ventre, assouvie je me laisse glisser a plat ventre, sa queue séchappe dans un gargouillis obscène, un flot visqueux sécoule de ma fente déformée.
- Met toi sur le dos petite je nen ai pas finis avec toi.
Sa queue toujours raide se dandine au dessus de moi, il relève mes jambes pour les poser sur ses épaules et sans préambule réinvestit ma chatte à la différence que deux doigts titillent mon anus en même temps.
- Nai pas peur ce nest quun test, pourquoi essayer de tout faire en une seule fois ? nous avons toute lannée scolaire, je vais te prescrire des cours particuliers, Prisca et ma femme ny verront que du feu, que dirait tu si un ou deux collègues participaient ?
- Pas au début, avant je veux me rassasier de ta verge
bourre moi bien à fond cest tellement intense, ta queue me fait voir des milliers détoiles
- Tu verras autre chose quand deux bittes se logeront dans le même trou
- Vous allez me déformer le minou avec vos grosses queues
- Putain tu mexcites ! Raaaaaaahhhhhhhhhh oooooooooooooooohhhhhhh ça va venir
.
OOOOOuuuuuuuuuiiiii !
- Ooooooooooouuuuuuuuuuh tu me gonfles le ventre avec ta sauce je joooouuuuuiiiiiiiis
Nous sommes restés allongés à nous remettre de nos émotions, puis je suis allée prendre une douche bien méritée et cette fois aussitôt dans le lit je suis tombée dans les bras de Morphée, mais le lendemain matin le réveil fut dur
.Prisca ma prise à part
- Tu es allée sur la pelouse cette nuit ?
- Pourquoi ?
- Regarde, cest à toi non ?
Au bout des ses doigts pend mon slip taché
- Tu avais rendez vous avec un garçon ? il est tout amidonné et la pelouse est toute écrasée, sans parler des traces douteuses dans lherbe
..
- Beeeennnn Euuuuhhh
oui javoue !
- Je peux savoir qui cest ? tu donnes limpression de les fuir tous.
- Tu ne le connais pas et puis ça ne se reproduira plus ici, ne dit rien à tes parents ils me renverraient chez moi
- OK promis mais jaurais bien aimé partager ton amant
- Impossible
A suivre ??????
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