Leslie Su08
Leslie SU08 Sumalee, le voyage infini, suite
Jai passé une mauvaise nuit, hantée de rêves.
Je pensais à la colère de Stéphanie, tous ses reproches et à notre séparation houleuse, en fait, peut-être cela valait-il mieux ainsi, je ne voulais garder que le meilleur et ne pas entacher mon souvenir.
Je pensais aussi à la tristesse de Laure, tous mes souvenirs avec elle remontaient à la surface, je savais quelle mattendrait et quun jour, si jamais je revenais, elle maccueillerait sans me poser de question, juste parce quelle est Laure.
Mais en pensant à Sumalee, mon cur battait et il me tardait de retrouver ma belle.
Le lendemain, avant de prendre mon train, jai fait des achats pour Sumalee, des petits cadeaux, qui jespère lui plairaient : Des bas couture très chics, un ensemble complet de sous-vêtements noirs Sagittaire de Luxxa, comportant un mini string ouvert en dentelle fleurie incrustée de strass et orné dun pendentif à lentrejambe, venant caresser la vulve de celle qui le porte, et dun soutien-gorge demi-sein assorti.
Un string bijou coquillage de Sylvie Monthulé, en forme de coquillage, avec un doigt articulé pénétrant noir intense, maintenu par des élastiques de coton noir comme un string ficelle, venait compléter mes cadeaux pour Sumalee.
Lorsque je lai retrouvée dans notre chambre, en peignoir asiatique, elle était si heureuse de me voir quelle ma embrassé à pleine bouche en me disant pleins de :
"Je taime, ma chérie"
Je lui tends ses cadeaux quelle découvre avec joie en me jetant des airs coquins qui en disent long. Elle apprécie tout particulièrement le string coquillage, elle me dit alors :
"Je le porterais le plus souvent que possible en pensant à toi !"
Sumalee, à son tour, me tend mes cadeaux. Il y a deux paquets. Jouvre le premier en me demandant ce que pouvait moffrir ma belle.
"Ainsi lorsque je te ferais lamour, en moi je sentirais les douces pénétrations du gode interne et nous aurons du plaisir ensemble"
Le deuxième cadeau est du même genre, il sagit dun gode-ceinture de belle taille, je la regarde dun air interrogateur en la remerciant et elle me dit :
"Ainsi je pourrais te faire lamour et je te prendrais avec comme si tu étais une vraie femme, lorsque tu en auras envie"
Là, elle me surprend et je ne sais que dire, ni même quoi penser.
Sumalee est devenue très coquine et bien que ce ne soit pas pour me déplaire, je suis néanmoins surprise. Dailleurs elle rajoute :
"Tu vas voir, je vais te combler et comme cela, tu nauras pas besoin daller voir ailleurs, des hommes ou des femmes, je serais tienne et tu seras mienne"
Sumalee pour mon retour, avait prévu un petit diner en tête à tête et nous avons diné dans la chambre, en amoureuses.
Après avoir diné, Sumalee est venue près de moi, elle était comme une chatte amoureuse, elle ma embrassé tendrement sur les lèvres, un baiser frais et léger de jeune fille prude.
Ses lèvres étaient chaudes et légèrement humides, je les sentais sentrouvrir sur les miennes et sa langue entra dans ma bouche avec une douceur infinie, je commençais à sentir mon sexe réagir.
Son peignoir sest légèrement ouvert, découvrant ses petits seins, et dans un souffle, dune voix à peine audible, elle me dit :
"Laisses toi faire, laisses toi aller ma belle Leslie"
Elle me déshabilla avec lenteur et douceur, me faisant languir, prenant son temps afin de redécouvrir mon corps, en mempêchant toutefois de la toucher.
Lorsque je fus nue, elle ma allongée sur le lit et ma regardé longuement avec des yeux plein de tendresse, elle me caressait du regard, sattardant sur ma poitrine dressée qui réclamait ses mains, puis ses yeux descendirent vers mon bas-ventre, accrochant du regard mon sexe dressé qui palpitait.
Elle est restée ainsi, sans bouger, un instant, puis ses mains sont venues sur mon corps pour me frôler du bout de ses doigts fins, depuis la base du cou jusquà laine, me faisant tressaillir. La respiration courte, je respectais limmobilité.
Longtemps, elle joua de ses mains sur mon corps, en évitant deffleurer mon sexe qui réclamait les caresses.
Puis dune voix douce, en me regardant, elle ma dit :
"Restes ainsi et regardes-moi"
Elle sest levée, et lentement, a ouvert son peignoir, me faire découvrir ses dessous.
Le peignoir a quitté ses épaules et jai découvert sa poitrine maintenue par un soutien-gorge seins nus en dentelle noire, ses petits seins découverts étaient maintenus par une armature et des bretelles passant de part et dautre, reliées à un tour de cou.
En la regardant, mes désirs ont redoublé, Sumalee était ravissante.
Puis le peignoir est tombé à ses pieds, me laissant découvrir Sumalee en porte-jarretelles et string fendu assortis au soutien-gorge, et des bas noirs.
Jai tendu la main vers elle, mais elle sest reculée en disant :
"Leslie, ma chérie tu nes vraiment pas raisonnable !"
Elle à pris les devants, et avant que je ne lui saute dessus, rompant le charme, en mettant un doigt sur ses lèvres, elle a émis un :
"Chut !"
Puis, prenant des foulards de soie, elle ma attaché les mains et les pieds au lit, en me faisant un doux sourire.
"Ainsi tu ne pourras plus bouger, ma chérie", Me dit Sumalee.
Puis elle est montée sur le lit, telle une panthère. Elle sest approchée de moi à quatre pattes, elle ma regardée de ses yeux plein de tendresse et de douceur, et elle ma dit :
"Tu mas tellement manqué !"
Attachée au lit, je ne pouvais bouger. Sumalee se redressa et enjamba mon corps, les jambes de part et dautre de mes hanches, à genoux devant moi.
Mon regard fut attiré par un cordon sortant de son sexe et qui se terminait par un anneau. Sumalee se renversa un peu en arrière pour me montrer encore plus son intimité.
Puis, passant un doigt dans lanneau, elle tira doucement dessus, faisant se tendre le cordon, puis ses lèvres sentrouvrir et une boule apparut, distendant la vulve de ma chérie. Sa vulve laissa échapper une boule, puis une autre.
Sumalee soupira et dit :
"Cest trop bon !"
Elle venait de se retirer les boules de geisha qui étaient dans son intimité, elle soupira à nouveau en se reculant et en soulevant son corps.
Elle a pris mon sexe dune main et la guidé pendant quelle sempalait sur moi, puis elle ma chevauchée longuement, sans un mot, sans un cri, jusquau moment où, ne pouvant plus me retenir, jai joui en elle.
Elle a continué de me chevaucher jusquau moment où elle a joui à son tour dans un râle.
Elle sest penchée pour membrasser et, ses lèvres sur les miennes, je lai entendu dire :
"Je taime !"
Elle sest détachée de notre étreinte, ma embrassé encore une fois, et nous nous sommes endormies.
A suivre
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!