Isabella
Les années sont passées et les délicieux moments passés avec ma cousine Anaïs me semblent bien lointains. Depuis ce temps, je nai point évoqué mon fétichisme aux filles que je rencontrais. Ce qui mempêchait dassouvir pleinement mes fantasmes.
Jétais loin de me douter que je serais très bientôt comblé
Mon nom est Patrick Boulard, jai 25 ans et je travaille comme médecin résident à lhôpital de Marseille, encadré par ma supérieure hiérarchique, le docteur Isabella Fico, une belle brune dâge mur dorigine italienne qui était très compétente dans son domaine, avec un corps qui na pas cessé de se bonifier avec le temps. Elle avait un visage au teint légèrement mat, des yeux bleus profonds qui bouleversaient quiconque les croisait, une poitrine généreuse qui donnait limpression de vouloir déborder de son chemisier serré et de longues jambes qui faisait fantasmer plus dun
De plus, ses lunettes carrées noires lui donnaient un air sévère, ce qui nenlevait rien à son charme.
Isabella et moi étions assez proches en dehors du boulot mais on faisait preuve dun grand professionnalisme sur le lieu de travail. Par exemple, javais lhabitude de lappeler Isabella mais à lhôpital cest madame et interdiction de la tutoyer.
Je dois avouer que, parfois, ça mexcite quand elle me donne des ordres. Je mimagine alors dominé par une femme pareille
Un jour, jai commencé mon travail par une tournée de routine pour le suivi de mes patients. À la fin, je devais aller en parler à Isabella. Je rentre dans son bureau où je la trouve en train de rédiger un rapport.
Elle me demanda sèchement de fermer la porte derrière moi. On parla ensuite dun patient interné la veille :
-Où en êtes-vous avec lui ?
-Je lai examiné, madame, et tout semble indiquer une maladie de système. De plus, les dèmes et la cyanose sont dues à une insuffisance cardiaque droite.
-Et à propos des examens complémentaires ?
-Lhémogramme indique une augmentation des polynucléaires neutrophiles, signe dun état inflammatoire ainsi quune diminution du volume globulaire moyen, lionogramme est normal.
-Et quen est-il de la radiographie du thorax ?
-Excusez-moi mais je nai pas estimé utile de la demander
-Vraiment ? dit-elle en se fâchant tout rouge, et que feriez-vous si vous passiez à côté du diagnostic et que votre patient meurt par votre faute ?
-Eh bien, je
- Combien de fois devrai-je vous répéter quil ne faut JAMAIS rien négliger ? Vous narrivez pas à comprendre ou quoi ?
Jétais debout à côté de son siège et en baissant les yeux, jai été surpris de constater quelle avait retiré ses escarpins noirs et quon pouvait admirer des pieds dune rare beauté ornés dun vernis rouge vif
Malgré la situation tendue dans laquelle je me trouvais, je ne pus mempêcher de mémerveiller devant une telle perfection
-Vous mécoutez ?
Je revins brusquement à la réalité.
-Oui, madame.
-Jexige donc une meilleure mise au point diagnostique de votre part
Et pendant quelle me parlait, elle fit tomber son stylo par terre (volontairement ou pas, je nen sais rien). Elle fit le geste de se lever mais je fus plus rapide. Je me mis à quatre pattes et rampai sous son bureau à la recherche du stylo. Lorsque je le ramassai, je sentis son pied nu exercer une pression sur ma nuque, mempêchant ainsi de me relever.
- Restes-y ! Tu y es à ta place !
Elle amena ensuite son autre pied près de mon visage et me dit :
«Voyons si tu es au moins capable de me lécher convenablement les pieds.»
Lodeur de son pied m'atteignit avant même que mes lèvres ne laient touché. Cétait la senteur la plus douce que j'avais connue. J'étais perdu dans un état de jouissance euphorique. L'odeur âcre de son pied me faisait saliver comme si l'on avait placé un plat succulent devant moi. Je me mis à lécher son pied, bavant presque dessus, savourant chaque seconde. Je déplaçai ensuite ma bouche pour lui sucer les orteils quand elle retira brusquement son pied et me gifla violemment :
-Ne touche JAMAIS entre mes orteils sans ma permission! C'est un endroit privilégié auquel moi seule pourrai te donner l'honneur d'accéder.
-Oui, madame.
-Alors, demande la permission.
-Je vous en supplie madame. Pourrais-je avoir lhonneur de vous sucer les orteils et vous débarrasser de la crasse qui sy trouve ?
- Vas-y.
Je me mis alors à sucer un à un ses orteils en les mordillant légèrement pendant quIsabella fermait les yeux pour mieux apprécier ce moment de détente. Jouvris ensuite la bouche pour y introduire la totalité de ses orteils et glisser ma langue dans chacun des petits espaces.
Je continuais à vénérer ses pieds quand elle les retira de nouveau et me lança :
- Allonge-toi sur le dos à mes pieds !
Je mexécutai sur-le-champ. Elle posa ensuite ses deux plantes sur mon visage.
-Ne lèche pas, jai juste besoin dun repose-pied en attendant que je finisse mon rapport.
Je suis donc resté ainsi, savourant ce moment magique pendant de longues minutes jusqu'à ce quelle estima quil était temps pour moi de men aller :
-Relève toi, bon à rien, rechausse-moi et file reprendre ton travail !
Je repris donc tant bien que mal, mais mon esprit ne faisait que repenser à cette dominatrice mature et ses pieds divins
Oh mon Dieu ! Quel moment je venais de passer !
En sortant de lhôpital en fin de journée, je croise Isabella qui me propose de venir chez elle. Jen fus bien évidemment surpris vu ce qui sétait passé dans le bureau. Néanmoins, jai pensé que cela pourrait peut-être aller plus loin. Jai donc accepté.
En cours de route, plein de questions tourmentaient mon esprit : en quoi lépisode du bureau allait changer nos relations ? Certes, jai lhabitude daller chez elle mais y aller aujourdhui serait pour le moins gênant.
Aurait-elle des idées derrière la tête ?
Une fois chez elle, Isabella se laissa tomber sur le canapé et me dit :
-La cuisine est au fond, amène-moi un verre de jus de citron bien frais sil te plait.
Je mempressai dobéir, et à mon retour, je vis quelle avait croisé les jambes au-dessus de la table basse.
Puis, tout en sirotant son jus, elle me dit :
-Retire mes chaussures et masse moi les pieds Jai eu une rude journée
Là enfin, cette venue prenait tout son sens. Isabella voulait un serviteur à ses pieds à domicile ! Cette idée mexcita au plus haut point et il est inutile de préciser quune bosse impressionnante sétait formée au niveau de mon entrejambe.
Je me mis donc à genoux devant ma déesse, retirant religieusement ses chaussures telle une sainte relique que lon séparerait de son écrin. Une fois ses pieds divins devant moi, je pris délicatement entre mes mains le pied droit et commençai à le masser avec ferveur pendant quil s'abandonnait à mes caresses. Je pressai la plante, j'étirai lentement les orteils, un par un, pour revenir vers la plante, puis la cheville. Après un moment, Isabella qui, entre temps, avait fini son verre de jus et l'avait reposé sur la table, rejeta la tête en arrière en soupirant :
-L'autre, maintenant. Et elle tendit impérieusement son pied gauche, tout cambré vers moi. Je m'occupai de la même façon de son pied gauche, le droit reposant sur ma cuisse.
Au cours de ces moments, mon esprit flottait et le temps n'avait plus cours. Seule comptait cette sublime vision de ces tendres pieds que jidolâtrais du mieux que je pouvais
Une fois la séance de massage terminée, Isabella me dit que ce serait sympa si je pouvais rester dîner et passer la nuit avec elle. Cette proposition cachait évidemment une tonne de sous-entendus. Mais jétais dans tel état de vulnérabilité que jaurais volontiers refusé tout lor du monde pour être à ses pieds qui étaient devenus ma drogue.
Après le dîner et quand vint le moment de rejoindre Morphée, je vis quelle allait directement vers son lit sans maccorder dimportance. Intrigué, je lui demande :
-Isabella ? Où est-ce que je pourrais dormir ?
-As-tu meilleur endroit où te mettre quà mes pieds ? lança-t-elle en entrant dans son lit.
Jai saisi sur-le-champ ce que cela signifiait mais javais du mal à réaliser que mon rêve le plus fou était en train de se réaliser.
humer leur doux parfum
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