Ma Femme Chez Ses Collègues
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Après lincroyable scène qui sétait produite chez le couple Jacques et Myriam ( « Ma
femme chez mes amis »), les semaines et les mois sont passés ou à la fois ma femme
refusait de se montrer nue ou en sous-vêtement dans la vie de tous les jours mais
acceptait certains petits jeux en prélude aux cunnilingus quelle me réclamait .. Mais
au bout dun moment il lui arrivait de freiner son plaisir pour aller senfermer dans
la salle de bain .. Par ailleurs il métait presque impossible durant tout ce temps de
lui faire lamour sans la revoir se tortillant sur la table dauscultation.. alors
quelle même narrivait pas à retrouver ces sensations qui lui semblait interdites et
honteuses. Au point, je lappris plus tard quelle se confia à son amie, Catherine,
collègue de travail dans lentreprise pharmaceutique où elle était secrétaire..
Bien sûr fasciné par le souvenir de cette soirée de strip-tease imposé et par ce qui
avait suivi, je navais de cesse dimaginer un stratagème pour retrouver toute
léquivoque dune telle situation
Au point par exemple déchafauder tous les
scénarios possible quand par exemple nous faisions les courses au supermarché,
jaurais donné nimporte quoi pour nous voir entraîner dans le local des vigiles,
quelle soit suspectée de vol et doivent subir une fouille qui passait ment par
un effeuillage sous la contrainte.. mais en vain, on est pas dans une histoire
car la
séance dabus physique que jimaginais de la part de jeunes vigiles aussi bien membrés
que pervers relevait bien du pur fantasme délirant et jen étais quitte pour me
tourner la scène quand ma femme acceptait de me sucer du bout des lèvres et dans le
noir.
Mais la chance allait maccompagner au-delà de toute espérance avec cette collègue de
travail que je connaissais dailleurs à peine pour lavoir rencontré à la maison
quelque fois .
à la sortie de son travail
elle avait dans la cinquantaine, et était assez allumeuse
dans son comportement
me brancha sur une petite soirée que le service administratif de
la boite organisait la semaine suivante
Patricia ma raconté votre petite mésaventure chez le copain toubib
ça lobsède
Elle a besoin de se changer les idées, venez-donc à cette petite soirée, on sera entre
nous et on pourrait encore trouver un moyen de samuser
Là vraiment je ne saisissais pas ou elle voulait en venir mais jai commencé à avoir
des doutes quand dix minutes après Patricia a fini par mavouer quelle lui avait
aussi parlé des petites mises en scènes érotiques que jinventais ou surtout voulait
quelle accepte du genre se dévêtir dans des allées dimmeuble ou quiconque pouvait
surgir.
Bien sûr je me gardais bien de faire allusion aux propos équivoques de Catherine sur
la fameuses soirées.. les jours qui suivirent javais la tête en ébullition et
limagination en cavale
.mais je me raisonnais face aux désillusions quotidiennes de
mes tentatives de stratagème
Javais fini par penser quon allait lui faire raconter
en public sa petite expérience, suprême affront avec ses collègues de travail
de toute
façon ma femme ne voulait pas y aller, mais là javais ma petite idée.. dautant que
je métais fait préciser le lieu et ladresse en téléphonant à la réception de la
boite..
Le soir arriva et je réussi à convaincre Patricia de shabiller pour sortir au
restaurant
cest à dire mettre une robe et des chaussures à talon, ce qui la
connaissant était un exploit depuis notre mésaventure ou elle avait plutôt banni les
jupes ou les robes
Elle portait un ensemble chasuble avec petite veste cintrée.. Le
printemps approchait et allait ramener les vêtements légers, mais les femmes dans la
rue étaient encore habillées comme en hiver
dans la voiture jen profitais pour mater
ses genoux sur ses collants couleur chair
Nous dînâmes dans un petit restos que je métais fait conseillé non loin de ladresse
en question et en repartant je en me souviens plus comment je me suis emmêlé les
pinceaux pour lui rappeler la soirée, que je connaissais ladresse et que justement
nous passions devant la maison du lieu de la soirée.
Je réussi à la convaincre que si tout le monde était là, la seule absente se ferait
allumer le lundi suivant
Juste un petit quart dheure, le temps de dire bonjour
Je vous épargne la suite car je sens que vous avez très envie den venir au fait
Nous
fûmes reçus avec des cris de bienvenue, visiblement on samusait bien dans cette
atmosphère vaporeuse provoquée par les fumées des cigarettes et une musique de salsa
qui faisait se trémousser quelques couples au centre dun vaste salon.. je ne
connaissais pas la moitié des invités.. peut-être une trentaine de personnes, surtout
des couples
moyenne dâge quarante ans.. donc pas vraiment de minettes à part une ou
deux stagiaires plutôt mal habillées
Je sentais les regards des hommes sur ma femme presque la mieux vêtue de cette soirée
avec sa robe et ses chaussures à talons.. il faut dire et je ne lavais pas précisé
auparavant quelle est plutôt mignonne, cheveux châtain blonds mi longs, yeux
noisettes, un mètre 68, le genre poupée réservée avec un voix très douce qui traîne
sur les labiales.. depuis peu elle devait porter des lunettes pour la fatigue des
yeux, elle les avait mise puisque nous étions en fin de soirée
des petites lunettes
rondes qui lui donnait un air un peu intello
de plus elle était assez gironde avec des
fesses rebondies et du 95D de poitrine et comme elle est assez cambrée, sa poitrine
forte ressort en général.. là sa robe la moulait plutôt très prés
et je pris un grand
plaisir a voir les regards masculin suivre le mouvement de ses jambes quand elle
sassit dans un des sofa et que la robe remonta presque à mi-cuisse et quapparu la
démarcation plus foncée de ses collants. Patricia le remarqua aussi et sempourpra,
elle connaissait tous ces mâles qui avaient plus lhabitude de la voir en pantalon ou
avec des vêtements assez flou. Catherine qui nous avait rejoint enfonça le clou :
elle est très coquette , notre Patricia
ce soir !
Elle avait dit cela très fort avant de disparaître vers un groupe voisin.
quart dheure fut assez long et après trois biscuits et un jus dorange Patricia
voulait partir.. Jean Bernard surgit alors, je savais que ce cadre avait tourné autour
de mon épouse au boulot, il fit taire lassistance en déclarant : je propose puisque
lambiance retombe que lon rejoue a nouveau au jeu de la vérité et je propose que ce
soit la dernière arrivée qui sy colle pour commencer Et de designer Patricia qui
faillit en renverser son verre.. Malgré une bonne minute de négociations et
dhésitation, elle put évidement rien faire pour refuser face à lassistance qui
approuvait, elle concentra ses efforts pour se lever de ce sofa bien bas sans que le
bas de sa robe ne remonte trop.. je la reconnaissais bien.. et cest toute confuse
quelle prit place au centre du vaste salon emmenée par Jean Bernard. Sans sa veste
avec sa robe et ses bras nus , elle dandinait légèrement en croisant ses mains devant
elle .
Javais entendu parler de ces petits jeux de société entre collègues relancé sans
doute par les lofteurs , mais jimaginais mal ce quelle allait bien raconter.
Catherine linvita a quitter sa veste, la aussi son refus initial fut balayé par
linsistance des premiers rangs et cest dans sa petite robe crème , les épaules nues
quelle se retrouva debout, très gênée parce quelle a horreur de sexprimer en public
, pour subir lépreuve du jeu de la vérité.. Catherine pris le relais en interrogeant
tout haut lassemblée :
Quest ce quil faut demander à Patricia ? ? ce jeu dans sa version branchée veut
que lon pose des questions très précises en général tres intime et quune fois la
réponse apportée selon le sujet le groupe clame :
Prouve le !
Très en vogue dans les fin de soirée mondaine
Age, défaut principal, manie, passion en dehors du boulot, Patricia passait le cursus
habituel et se détendit quand il fallu prouver que le chant était son dada ( elle fait
partie dune chorale ) et nous en poussa une.
et jen vins presque à regretter mes pensées obscènes du début.. pourtant je ne
pouvais mempêcher dans certains regards de deviner quelques arrières pensées en la
voyant là avec robe couleur crème qui moulait avantageusement son buste , toute
gentille et timide à la fois
mon regard croisa celui de Catherine : jeus la
sensation quelle devinait mes pensées et elle sadressa à moi :
à présent demandons à Patrick quelle serait la dernière question à ne surtout pas
poser à sa femme devant tout le monde ?
Alors là
déjà électrisé sans doute en voyant celle-ci blêmir comme si elle
sattendait à ce que jallais dire , et je ne sais toujours pas comment jai pu dire
ça, mais je le dis à haute voix :
Lui demander ce quelle porte sous sa robe..
Il y eut comme une chape de plomb .. personne ne sattendait à ce que je dise cela :
mais quand on jette un os dans larène ça peut transformer une foule
quelques haa de
stupeur et quelques rires étouffés
Dautres indignés, surtout des dames me semblait-
il.. mais Catherine rebondit aussitôt :
Voilà une bonne question.. qui va mettre du piquant au jeu, bravo Patrick !
Jétais tétanisé, tout le monde me regardait à présent
Javais oublié Patricia, quand
je revenant sur elle attiré par sa voix :
Arrête, Patrick ; je ten prie et toi Catherine ce nest pas drôle !!
- Cest le jeu
ma chérie..
Patricia renchérit en disant quelle ne jouait plus mais ce fut un tollé dans la
pièce..
Catherine la mit devant le fait accompli :
Tu vas pas encore jouer la sainte nitouche ici, ça suffit au boulot.. hein, quest
ce que vous en pensez tous ?
Patricia ne savait plus que faire face à une déferlante de huées la concernant.. Elle
resta finalement muette comme en signe dacceptation..
De nouveau je ressentais cette atmosphère particulière qui mavait subjugué durant
lexpérience précédente : jimaginais ce qui pouvait arriver mais ce qui allais suivre
dépassera mon imagination
Comme Patricia restait totalement muette aux invitations de
Catherine et des autres pour décrire ce quelle portait sous sa robe, ce que
jignorais dans le détail également.. Mais je ne pensais pas quelle porte de
combinaison ou jupon nayant aucunement aperçu de dentelles quand elle sétait assise
ou levée.
Sa collègue contourna ce silence :
alors je pose les questions et tu réponds : tu as sans doute un soutien-gorge sous
cette robe ?
Patricia les yeux baissés ne répondait toujours pas ..
Si tu ne répond pas , tu as un gage, Patricia
Les autres sexclamèrent oui, un gage ! !-
Alors ma femme dune petite voix prononça un oui imperceptible ; mais Catherine ne
lui laissa pas le temps de respirer :
Alors quel couleur ? Puis sadressant aux autres La petite Patricia doit
certainement être sagement une adepte du blanc , non, cest ça ?
Ma femme sétait décomposée : elle me regarda mais ne sétonna pas de voir
certainement que je commençais à jubiler. Pressée par Catherine elle hocha finalement
la tête pour indiquer quelle portait du blanc .
. Sa collègue de bureau leva les bras et invita lassistance comme prévu à pousser le
fameux Prouve -le !
Patricia sétait reculée.. On entrait dans le vif du sujet : évidemment la menace dun
gage peut-être encore plus contraignant poussa malgré tout ma femme à tenter de
prouver en montrant le moins possible : elle tira une des épaulettes de sa robe sur
un morceau de bretelle effectivement blanche.
Non, ma chérie, on ne voient rien du tout comme ça
Moi, doù jétais placé javais bien compris quelle était bien simplement en soutien-
gorge sous le haut de sa robe
Cest Jean-Bernard qui sétant approché, a conduit les
invités en leur désignant du doigt la fermeture à glissière dans le dos , à réclamer
que celle-ci soit descendu pour avoir réellement une preuve
Patricia ne savait plus
quoi faire, elle sempourprait de plus en plus.. La situation glissait vers sur un
terrain plus quexcitant
Elle supplia les premiers rangs darrêter cette comédie ,
mais sa supplique déclencha plutôt une franche hilarité..
Elle voulut quitter le centre de la pièce mais un mot glissé à loreille la retint ;
une menace ?
Elle comprit sans doute quil ny avait plus grand chose à faire que de céder à cette
soi-disant dernière épreuve
Jean Bernard sétait attaqué au bouton dans le haut du dos et puis a commencé à
descendre le zip, lentement, plusieurs personnes se sont alors déplacé pour regarder..
Patricia croisait ses mains nerveusement en sentant sa fermeture descendre.. Jean-
Bernard paru déçu de ne pas pouvoir aller plus loin quà moitié du dos : le zip ne
descendait pas plus bas.. On apercevait cependant très nettement lattache dun
soutien-gorge blanc avec une double agrafe.. Catherine leva les bras pour inviter le
groupe a réclamer plus
On ne voit toujours rien !! ce fut en gros ce quelle
incita tout le monde à crier
Cette petite séance semblait vraiment beaucoup amuser
tous ces gens
Autant les hommes que les femmes dailleurs
Patricia était loin de
samuser, elle réagit très mal à cette harangue de lassistance :
Cest terminé ! Vous me laissez tranquille maintenant..
Elle était furieuse
Selon lexpression ses yeux lançaient des éclairs derrière ses
petites lunettes
Je tiens maintenant à préciser que ce qui va suivre sest déroulé très vite
Tout va
basculer en moins dune minute peut-être, je nai pas calculé
tout le contraire de ce
qui sétait passé chez Jacques et Myriam où lexhibition de ma femme avait duré un
long moment au fur à mesure quelle sétaient dénudée..
Ici tout a été très rapide dans une ambiance non plus lourde mais électrisée, mais la
sensation était pourtant décuplée avec tout ce monde , et en plus des gens qui
connaissaient très bien ma femme
Cest Jean Bernard qui se trouvait toujours derrière elle qui a saisi la balle au bond
: Non, ce nest pas terminé, puisquon te dis quon ne vois rien.. En même temps
quil parlait il sest accroupi..je ne comprenais pas son geste puis en prononçant je
crois un truc du genre : maintenant on va voir ! il a brusquement écarté et tiré
sur les deux épaulettes et tout en pliant les jambes descendu dun coup sec le haut de
la robe jusquà lestomac de ma femme, dévoilant pour de bon le soutien-gorge blanc
qui enfermait sa poitrine : elle poussa dabord un petit cri aigu sous leffet de la
surprise, suivi dun cri plus rauque qui modulait un non ! plaintif
Elle secouait la tête en essayant de se débattre parce que la robe baissée lui avait
enfermé les avant bras et elle était offerte en soutien-gorge sans pouvoir se
rhabiller : les rires fusaient dans lassistance mais aussi les commentaires des
hommes en découvrant le soutien-gorge de marque quelle portait : toujours à armature,
tulle brodé sur les bretelles et sur le décolleté, petit nuds à la base des bretelles
et des broderies florales sur le haut des bonnets qui dissimulait partiellement les
pointes de ses seins bien ronds : ma femme se contorsionnait sous leffet de la honte
et elle se mit a vociférer en traitant Jean-Bernard de salaud.. tandis que Catherine
tout en la désignant du doigt à la cantonade se moquait delle apparemment.. tout cela
encore une fois en quelques secondes .. car en sattendant traiter de salaud Jean
Bernard qui était toujours accroupi derrière a dit quelque chose comme :
là je suis un salaud
tout en saisissant à nouveau les deux pans de la robe qui faisaient des plis tout
autour du ventre de Patricia et en tirant à nouveau pour amener le vêtement sur ses
pieds .. il du sy reprendre à deux fois car Patricia ayant compris la manuvre avait
tenté de sécarter, mais elle ne put éviter le pire : la robe entraînée toute entière
à ses pieds la dévoilant en collant ! Elle cria encore plus fort je me souviens et
libérée de ses mains essaya de rattr sa robe , mais en sursautant sous leffet de
la surprise, elle lavait enjambée et ce qui nétait plus quun morceau détoffe avait
déjà été poussé du pied par Catherine sous les hourras du groupe..
Voyant quelle ne pouvait plus se couvrir, Patricia se baissa maladroitement tout en
tournant et couvrant de ses mains son bas ventre et de ses avant-bras sa poitrine
Beaucoup riait aux éclats, un voisin sexclama : Génial !.. une femme plus loin :
elle est pas gênée de se montrer comme ça !!
Patricia ne savait plus ou se mettre en pleine lumière au milieu de la pièce, elle
était à moitié recroquevillée tentant de cacher comme elle le pouvait le haut de son
collant et la culotte quil couvrait mais de par sa position , le buste en avant, sa
poitrine débordait du soutien-gorge et la rendait encore plus excitante et ridicule à
la fois : de plus elle se mit je crois à dire au secours ! ou encore ne me
regardez pas ! ce qui eut pour résultat daccen les rires et moqueries à son
égard, aussi comme si elle prenait conscience de sa situation elle se mit ensuite à
trépigner en fermant les poings
découvrant pour de bon le bas de sa personne et les
hommes purent à loisir détailler le collant chair à démarcation, plus sombre au dessus
des cuisses et dessous en transparence la culotte gainante blanche quelle portait :
un losange uni au dessus du bas-ventre , galon de dentelles et le reste de la culotte
chamarré de motifs fantaisies
sous un collant ma foi très sobre dont lélastique
remontait pratiquement jusquau nombril
Jhallucinais, ma femme en sous-vêtements
devant tous ses collègues de travail.. Certains cris A poil commençaient à se
faire entendre
Patricia injuria ceux qui avaient crié sans trop discerner doù cela
venait
Je nen revenais pas , elle employa des mots que je navais jamais entendu dans
sa bouche
Cela eut pour effet de réveiller le fameux Jean-Bernard qui sétait relevé
et reculé pour contempler son oeuvre et mater celle quil avait dépouillé de sa robe,
rejoint par un petit groupe dhomme qui voulait voir de plus prés la gentille
secrétaire en petite tenue
Jean-Bernard dit quelque chose à loreille de Catherine
qui fila dans une autre pièce tandis quil faisait signe aux hommes dattr
Patricia par les bras ..
Un se pencha vers moi en disant un truc du genre :
Avec les sous-vet classiques de ta femme , ca me rappelle mes branlettes sur les
catalogues de la Redoute ! «
Plusieurs hommes sétaient avancé pour maintenir ma femme, ils la main tenaient avec
un plaisir non dissimulé, et en voyant ma femme se faire tenir les bras en collant et
soutien-gorge par quatre ou cinq homme et continuer à la fois à hurler et pleurer de
dépit je sentis une onde parcourir toute ma colonne vertébrale jusquà mon sexe ;
cétait trop bon, et jai carrément senti cette sensation se multiplier quand
Catherine est réapparue avec une paire de ciseau..
Encore une fois les secondes sécoulaient à toute vitesse mais la scène est imprimée
dans ma tête
Jean-Bernard alors raconta un truc sur les injures de ma femme lui
demandant de les retirer, elle lui cracha au visage !!! Je répète : elle lui cracha au
visage tenue par les deux bras, incroyable, cest alors que sous les bravos il coupa
la bretelles droite du soutien-gorge, son sein gauche entraîné par les mouvement
brusques de Patricia sortit presque du bonnet libéré..
Je me faisais tout petit imaginant quon allait me dire Patrick fais quelque chose
mais personne ne se préoccupait de moi à ce moment là, dailleurs aussitôt Patricia
hurla de rage mais le ciseau avait déjà sectionné la bretelle gauche ayant le même
effet pour lautre sein, mais les armatures maintenaient encore les bonnets sous
leffet des armatures .. ce qui surprit un peu Jean-Bernard, un répit où une voix
séleva : une femme brune plutôt plantureuse qui se leva en criant assez !
Elle exigea que Patricia soit libérée et se rhabille : ce devait être un cadre, mais
ce silence qui sétait établi comme si lassemblée reprenait ses esprits, fut troublé
par une gerbe de sanglots : Patricia comme soulagée de sentir la fin de son calvaire
proche pleuraient à chaudes larmes
Ce fut au contraire un stimulant pour les hommes qui la maintenaient toujours : lun
deux apostropha la brune :
D accord, Laurence, mais tu prends sa place !
Elle recula
Jean-bernard la toisa : Alors ?
Cette Laurence eu une hésitation puis avec un air de défi elle lança :
Sil le faut !
Jean -Bernard sapprocha en posant son regard sur les rondeurs que laissaient deviner
son pull moulant :
Donc tu vas retirer ton chandail et descendre ta jupe
Laurence eut un sursaut puis esquissa un geste vers son pull quand un homme la
rejoignit en lui ordonnant darrêter ses conneries et la prenant par la main il
lentraîna vers le vestiaire puis la sortie.. sans doute son mari.. le couple fut
suivi dune demi-douzaine de personne qui protestaient mais qui ne levèrent pas le
petit doigt en passant près de Patricia toujours maintenue, sanglotante, les seins a
demi pendants dans son soutien-gorge relâché et les jambes à moitié pliées dans son
collant comme si elle était sans force.. les rires réapparurent à cause dun autre
couple : la femme tirait vers la sortie son mari qui voulait lui rester au contraire
Quant ils furent tous partis, il y avaient encore plus dune vingtaine de personnes
dans la pièce .. et un coup dil sur les visages laissait voir une certaine avidité à
regarder la suite..
Une femme sétait approché de Patricia prostrée avec les bras croisés sur ses seins :
je la reconnus ; Odile, une peste , une commerciale que ma femme détestait : elle
lapostropha :
Tu ne fais plus ta mijaurée.. Patricia.. maintenant que tu les seins presque à
lair et je suis sûr que ça te plait dexciter les mecs en petite tenue avec ta
frimousse de fille modèle
je suis sur que ça te suffit pas dêtre à moitié à poil !!!
Catherine sapprochant :
Oui, elle doit mouiller, cest une habituée maintenant.. on va vérifier
Patricia ne cessait de répéter -arrêtez, arretez
!
Invités par les deux femmes, le même groupe dhomme la saisit une fois encore et le
releva tant bien que mal : elle était comme un poids mort à présent
Catherine avait
repris le ciseau :
Tu vas dabord mieux nous montrer ta culotte, ma vieille ..
Elle parlait avec une voix perçante, emportée par la situation, se régalant de la
détresse de mon épouse.
Patricia avait trouvé la force de dire :
je vous en prie, jai trop honte dêtre comme ça
puis Pas devant les hommes
Ma femme avait toujours le mot de lévidence, mais certaine femmes présentes, ça se
voyait, prenaient autant leur pied de la voir ainsi bafouée et humiliée
Catherine tira lélastique souple du collant et tailla dedans malgré les coup de
jambes que lui donnait ma femme, elle arracha le collant par lambeau sur la culotte
gainante qui révéla enfin toute sa blancheur puis encouragé par lassistance elle
essaya de passer sa main entre le tissu et le ventre, mais le sous-vêtement était très
tendu et Patricia recommençait à se débattre en poussant de petit cris affolés.
Jean Bernard sétait pendant ce temps là occupé de dégrafer son soutien-gorge, il
tomba ; libérant les deux seins lourds ballottés par les mouvement désordonnés de
Patricia
Catherine alors aidée dOdile était occupée à rouler le bord de la culotte rene
et la glissa par saccade jusquà la lisière du pubis : je me disais dans ma tête :
est-ce bien possible ce que je vois : deux femmes en train de déculotter mon épouse ,
désormais seins nus , maintenue par quatre homme qui nen perdaient pas une miette
De
plus pendant que les deux femmes saffairaient à baisser la gaine-culotte Jean Bernard
et les autres sétaient mis à lui peloter les seins mis a lair sans retenue,
titillant les bouts bien érigés et faisant pousser de petits cris aigus à Patricia
Finalement à mi-course Odile glissa sa main vers le sexe de Patricia qui se mit alors
à gémir mais de honte et en agitant sa main elle sexclama :
Cest ça , elle mouille, la garce !!!
Etait-ce vrai ? Patricia ne me le dira pas
Puis Odile dit un truc comme on va la
contenter , là je ne me rappelle plus, tant jétais sous le coup de cette situation
mais cette phrase déclencha une véritable scène dhystérie, plusieurs hommes et femme
se précipitèrent sur ma femme , elle fut emmenée , portée vers un des sofas au fond la
pièce : japerçu quon la déculottai pour de bon tandis quelle suppliait le contraire
: je voulus me lever mais les mêmes mains ou dautres me saisirent encore pour me
retenir, sauf que cette fois cétait pour aller voir
Tout cela se passait très vite
il avait tout un groupe autour du sofa ,je ne voyais que des dos , les femmes riaient
tout ce quelles savaient tandis que les hommes faisaient des plaisanteries : tout
cela couvrait les cris de Patricia , des cris qui se transformèrent petit à petit
Japerçu sa culotte qui était passé de mains en mains
puis ma femme se mis à glousser
de sa façon si caractéristique quand elle commence à avoir un plaisir intense
je ne
voyais toujours rien et lon me tenait toujours bien que je réclamais pour aller voir
: cétait atroce de ne rien voir après avoir justement vu tout ce qui sétait passé
Les femmes riaient de plus belle, lune delle était penché entre les jambes de
Patricia, je ne distinguais pas qui.. Patricia haletait à présent , japerçus Jean-
bernard qui se vautrait sur sa poitrine et qui lui suçait un bout de sein, puis à
nouveau rien, seulement les gloussements de plaisirs qui prenait de lamplitude..
Quelquun apporta ce qui me semblait être un vibro-masseur
ce devait être ça car
juste après jentendis des non, non répétés de Patricia puis une longue plainte
quelquun cria à peu prés : on va la faire jouir par tous les trous et puis plus
rien
Patricia mexpliqua après quelle avait du sévanouir tant la jouissance quelle
ressentit fut forte
En tout cas ils prirent peur et lon mappela
je trouvais ma femme
nue sur le sofa les yeux fermés en train dhaleter doucement, les jambes très écartées
au point que malgré sa pilosité rien nétait caché de son sexe ouvert surtout au
niveau du vagin dou sécoulait un liquide un peu visqueux .. je mapprêtais à lui
demander si elle avait mal quand au contraire elle me répondait quelle avait joui
comme jamais.. Je me suis demandé si je ne rêvais pas
Une femme ma proposé alors de
me sucer devant Patricia
Jétais pourtant encore bien raide mais jaurais préféré
menfuir.. On me posa dans les bras sa robe déchiré et sa culotte
ainsi que ses
lunettes, je navais pas remarqué quand elle les avait quitté
Je lai rhabillé tant bien que mal sous les quolibets
la musique avait repris et une
fille sétait mis seins nus au milieu du salon en criant Regardez , je suis
Patricia
Seulement cette parodie nintéressais plus personne.. beaucoup dhomme
avaient disparus et deux femmes étaient en train de se caresser mutuellement sur un
des fauteuils..
Jai trouvé tout ça difficile à croire
Patricia rhabillé tant bien que mal , nous avons pris un taxi car jétais incapable de
me rappeler ou nous étions garé : elle tremblait de froid..
Cette soirée la anéanti mais a développé son envie de retrouver un plaisir défendu
parce que lié à des situations extrêmes
arrêt maladie, puis prolongation et
démission, elle na remis les pieds quune fois à la boite pour lentretien de préavis
: elle mavait demandé de laccompagner
au delà de la honte de traverser laccueil et
les bureaux administratifs, le plus difficile fut de se retrouver face à face dans un
bureau avec un des hommes qui lavait maintenu lorsquon la dénudait
Et ce connard lui a sucré une partie de ses indemnités par la suite sous la menace
dans un courrier manuscrit que la petite soirée avait été filmé avec un caméscope
et
quil fallait peu de chose pour que la cassette circule
Cétait des bobards en fait,
jen ai eu depuis la preuve..
Par contre la publication sur un site dhistoires érotiques de notre mésaventure
initiale a attiré lattention dun couple qui a prévenu Jacques et Myriam et jai reçu
un e-mail de Jacques : il mexplique que ce couple fait partie des nombreuses
personnes a avoir pu visionner un enregistrement de strip-tease de ma femme, parce que
Jacques aurait un dispositif pour filmer certaines de ses patientes
Le couple en
question qui a reconnu lhistoire les a prévenu et Jacques souhaite nous revoir au
plus vite
Intox à nouveau
?
Patricia na pas du tout apprécié et veut savoir si ce film existe. Mais que faire ?
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