Marie Ma Nouvelle Voisine - 07 - Le Mercredi Soir
Lorsque j'arrive chez toi, tu es sous la douche et me rends directement dans ta
chambre, et ouvre ton armoire et commode pour te chercher des vêtements sexy? Je
sélectionne une jupe au dessus du genou et un haut moulant en lycra décolleté
permettant de libérer tes outres, si on tire dessus vers le bas avec par dessus une
veste de tailleur
Lorsque tu arrives dans ta chambre, lavée et maquillée, tu aperçois tes vêtements
posés sur le lit, J'y ai déposé une paire de bas noirs dim up que j'ai trouvé dans ta
commode et posé au pied du lit, une paire d'escarpins à talons.
Tu remarques très vite que je n'ai pas prévu de dessous, aussi oses-tu demander :
« Vous avez oublié de mettre des dessous.
- Oh ! Non ma belle, tu n'en as pas besoin, et ainsi tu pourras t'habi à sortir
sans rien sous tes vêtements, chose que tu devras faire chaque fois que nous sortons
ensemble et par la suite, quand tu sortiras seule.
- Oh mon dieu je n'oserais jamais le faire sans vous.
- Si et de toute façon je ne t'en laisserais pas le choix et en plus tu ne mettra pas
la veste, tu la porteras au bras, cela accena le contraste avec ton débardeur
moulant tes mamelles qui tressauteront à chaque pas ».
Tu baisses la tête, vaincue sachant qu'effectivement tu devras le faire. Et tu
commences à t'habiller mettant d'abord les bas, puis la jupe et enfin le débardeur et
tu termines par enfiler tes escarpins avant de te positionner devant moi.
« Tu es splendide, une vrai petite salope fière d'exposer ses grosses mamelles en
cachette de son mari ».
Tu retiens tes larmes, pour ne pas avoir à te remaquiller et tu sors de la chambre.
Par discrétion pour le voisinage, pour le moment, nous empruntons le passage entre nos
jardins, puis tu montes directement dans la voiture, alors que je t'ouvre la portière
et là, tu ne prends aucune précaution pour cacher tes cuisses en montant dans la
voiture.
Pendant le trajet je te caresse les cuisses, mais sans jamais touché ni même effleuré
ta chatte. Timidement tu me demandes où nous allons et je te réponds que je t'emmène
dans un petit restaurant dont la spécialité est les grillades en ajoutant que c'est
bon pour perdre les quelques kilos que tu as en trop.
« Vous trouvez que je suis trop grosse ?" dis tu humiliée
- Non ma chérie, tu as déjà perdu du poids je suis sur, depuis le début de la semaine
et encore 3 ou 4 kilos et tu seras parfaite.
- Merci monsieur Cello » dis tu rassurée que ton physique me plaise
Il y a peu de voitures de garées sur le parking ce soir, il faut dire que nous sommes
en milieu de semaine, et ainsi tu seras moins intimidée Lorsque nous arrivons à la
porte du restaurant, contrairement à l'usage je te laisse entrer la première, afin que
le peu de clients présent t'aperçoivent en premier. Tu avances timidement me serrant
fortement la main comme une gamine effarouchée.
Le patron vient à notre rencontre et nous désigne une table dans un coin de la salle.
Je note qu'il mate ta poitrine lourde tout en parlant avec nous. Une fois que nous
sommes installées, je te demande de retrousser ta jupe pour t'asseoir les fesses
directement en contact avec le siège et ensuite de ne pas serrer tes cuisses. Comme tu
es placée, le seul client présent ne peut te voir de face, seulement ce gros VRP assis
à une table pas très loin de la notre, peut te voir de profil et donc juste mater tes
cuisses en sapercevant parfaitement que ta jupe est remontée. Mais cela suffit à la
fois à te gêner et à t'exciter.
Tu as les cuisses légèrement ouvertes, environ 15 centimètres, ce qui me permet de
glisser parfois ma main entre elle, sans te toucher intimement.
Lorsque le patron vient nous apporter la carte, je lui commande par la même occasion
un verre de porto pour toi et un Ricard pour moi, en précisant que je souhaite qu'il y
ait des glaçons dans le pot à eau qu'il va y joindre pour diluer ma boisson anisée.
Une fois servi, je mets un peu d'eau et deux glaçons dans ma boisson alcoolisée et
trinquons à ton éducation et à ton plaisir. Tu trinques heureuse d'être en ma
compagnie, sans réellement en comprendre la signification.
Alors que nous buvons une première gorgée, je prends un glaçon et le passe sur tes
tétons au travers du tissus pour les faire durcir, ce qui rend ton corsage quasi
transparent et tes tétons dressés bien visibles, le VRP se rince l'oeil très excité !
Lorsque nous avons finis nos verres tout en jouant avec quelques glaçons sur tes
tétines bien érigés, je fais signe au patron de nous remettre la même chose. Il
revient avec deux nouveaux verres d'apéritifs, ce qui après les avoirs bu, te rend un
peu plus détendue.
Nous décidons de commander deux viandes grillées avec une salade verte, mais avant que
le patron ne revienne pour prendre la commande je te dis :
« Ecarte tes cuisses davantage, pour l'instant personne ne peut vraiment te voir, et
lorsque le patron se baissera devant toi, surtout garde bien tes cuisses ouvertes.
- Pourquoi voulez vous que le patron se baisse devant moi ?
- Parce que je vais m'arranger pour faire tomber un couvert et je suis certain qu'il
mettra beaucoup plus de temps que prévu pour le ramasser, lorsqu'il verra comment tu
es assise.
- Oh non je vous en prie !
- Ne discute pas, tu veux que je te baise avant le retour de ton mari oui ou non ?
- Oh oui monsieur cello !
- Alors tu sais ce que tu dois me dire ?
- Oui je veux être votre soumise obéissante, votre petite chienne, votre objet sexuel.
- C'est bien, donc tu dois obéir et faire tout ce que je t'ordonne.
- Oui monsieur cello je garderais mes cuisses ouvertes
Quelques instants plus tard, alors que le patron vient vers nous, je fais
volontairement tomber une cuillère et aussitôt le patron saccroupit pour la ramasser
et c'est à ce moment là, qu'il aperçoit ta chatte que tu offres à son regard, en
gardant les cuisses bien écartées.
Il prend son temps le bougre pour ramasser le couvert et dit, lorsqu'il se redresse :
« Monsieur aime montrer les trésors de madame, je peux vous assurer que j'apprécie...
- Oui, je l'éduque pour qu'elle devienne une bonne salope soumise ».
Après avoir pris la commande, sans détacher son regard de ton visage et de ta poitrine
il retourne derrière son comptoir.
MARIE : Honteuse, mais excitée de cette exhibition, dont vous savez que cela me
trouble tant, je n'ose vous regarder. Vous me dites :
« Alors ma cochonne, tu aurais aimé qu'il te touche ? Quil glisse une main dans ton
débardeur devant le VRP, qui nous regarde depuis tout à l'heure ? ...
- Heu... Je
Je ne sais pas mais heu... Je crois oui monsieur".
Lorsque le patron revient nous apporter sel, poivre et moutarde, vous dites :
« Dites moi, vous qui êtes dans la restauration vous seriez capable de donner le poids
de chacune des mamelles de ma nouvelle voisine ?"
Le restaurateur, heureux que vous lui permettiez d'aller plus loin qu'une simple
observation répond :
« Ho ! Visuellement je dirais 800 g chacun, mais je serais plus précis si je pouvais
soupeser ...
- Mais bien sur, Marie tire sur ton débardeur pour libérer tes mamelles, allez plus
vite !"
J'obéis humiliée sous le regard pervers du patron et celui de plus en plus intéressé
du VRP, qui n'ose pas encore se joindre à nous ...
Alors que tes mamelles sont maintenant totalement libérées, le patron, prend tes
mamelles dans ses mains, les soupesant lentement, mais concentriquement et alors qu'il
maintient le poids de 800 gr chacune, il continue à malaxer et pétrir tes grosses
outres dont les tétons sont bien durs.
Pendant ce temps, le Vrp a discrètement changé de position à sa table pour mieux voir
le spectacle de cette cliente, qui non seulement aime s'exhiber, mais aussi se laisse
peloter sans aucune gène apparente.
Je laisse le patron jouer quelques instants avec toi, sachant que je ne lui
permettrais pas d'aller beaucoup plus loin, tant que moi même je n'ai pas usé et abusé
de tous tes orifices. Et remercie le patron de son évaluation et il repart derrière
son bar.
Marie : J'ai le corsage passé sous les seins, pesées, pressées, malaxées, les tétons
pincés et tirés afin de soulever mes pis ... Malgré la honte et l'humiliation je
respire fort, excitée, espérant que vous allez me prendre ici sur la table du
restaurant malgré la présence du patron et du client qui se rince l'oeil sans se
cacher, je remarque même qu'il se touche le sexe au travers de son pantalon et ose
fixer son regard tandis que je vois ses lèvres me dire sans bruit "grosse pute".
Pendant le repas, je ne te permets pas de recouvrir ta poitrine, t'humiliant de propos
sur salace sur le plaisir que tu prends à être exhiber, et pose régulièrement ma main
entre tes cuisses, allant même parfois, jusqu'à te doigter sous le regard du gros
homme, qui a le regard figé entre tes cuisses.
Lorsque nous avons fini notre plat, le patron vient vers nous avec une bouteille de
champagne et deux coupes qu'il pose sur la table et tout en débarrassant notre table,
il me dit :
« Cela c'est pour vous remercier de m'avoir permis de mater et aussi de lui avoir
pétrit les mamelles »
Il est sur le point de repartir lorsque je lui dis :
« Pouvez vous dire à ce client que je l'invite à boire une coupe en notre compagnie et
ramener une coupe pour lui »
Il acquiesce alors que tu sembles méduser par ce que je viens de proposer au patron.
En nous quittant, il délivre le message au VRP, qui s'empresse de quitter sa table
pour nous rejoindre.
« Bonsoir Monsieur Dame, je me prénomme Bernard et suis ravi de prendre un verre en
votre compagnie »dit le gros homme, transpirant à grosses gouttes.
"Bonsoir, j'ai remarqué que depuis notre arrivée, vous reluquez ma compagne, surtout
ses cuisses et sa chatte et ses mamelles depuis que le patron est venu les triturés.
- Heu...Oui heu...Madame est très belle et bandante et...
- Et vous aimeriez vous aussi peloter les pis de ma voisine ?
- Heu...Bien heu...Oui monsieur ! ». Répond le VRP de plus en plus rouge.
Pendant ce temps, j'ai rempli les 3 coupes de champagnes et lève la mienne en disant :
« A la plus belle salope de la région ! »
Des larmes de honte coulent, sur tes joues, alors que ta chatte coule, mais de
plaisir, plaisir que mes doigts te procurent en te branlant.
Toujours deux doigts dans ta chatte, nous trinquons avant de te dire :
« J'ai bien envie de rappeler le patron, pour que tous les deux, ils te prennent
chacun une mamelle et que je continue à te branler la chatte »
Morte de honte de me retrouver à me faire tripoter comme un morceau de viande et d'y
prendre plaisir, je subie les insultes avilissantes : mamelles, pis, la plus salope de
la région ... puis un verre en main je reste paralysée d'humiliation de me faire
doigter ma chatte brûlante et malaxer les outres par ces 2 hommes, chacun debout
derrière moi. Ils sifflent leur verre rapidement et sur votre invitation
« Vous ne trouvez pas qu'ils sont suffisamment gros pour mériter que vous vous y
preniez à deux mains ».
Ils me les pétrissent plus fort, l'un me les pressant entre ses mains et en les
faisant rouler jusqu'à les tordre comme pour allonger de la pâte à tarte, et l'autre
me compressant la base très très fort d'une main pendant que de l'autre il me pince le
mamelon pour l'étirer
Je pleure en gémissant, incapable de résister à vos doigts qui
me masturbent !
Malgré tes pleurs, le traitement des deux hommes sur tes grosses mamelles et mes
doigts dans ta chatte, t'amène à la jouissance, inondant mes doigts alors que tu
laisses échapper des cris de jouissance non feinte.
Le VRP reste comme ça debout, un de mes seins entre ses mains, extrêmement excité,
mais aussi frustré de ne pas pouvoir se soulager ... Alors vous lui dites :
« Cette grosse salope, si jouisseuse aime que l'on se masturbe sur son visage ... ne
vous gênez pas ! Marie ouvre grand la bouche et tire la langue ! ... »
J'obéis sous le choc de la jouissance mais me sentant plus avilie que jamais pendant
que le gros homme astique sa petite queue sous mon nez, me frottant les lèvres de son
gland et en moins de 2 minutes, gicle sur ma langue et mon menton. Il se rhabille vite
honteux.
Je remercie alors les deux compères, leur promettant de les rencontrer de nouveau dans
l'avenir et que la prochaine fois, au moins pour le restaurateur, il pourra ensemencer
l'épouse infidèle...
Le VRP va ensuite au comptoir payer sa note et pour nous remercier, moi de l'avoir
invité et toi d'être aussi soumise, il demande au patron de nous apporter une autre
bouteille de champagne et s'en va, après un petit geste de la main en sortant du
restaurant.
Le patron apporte la bouteille et nous laisse seuls, retournant derrière son bar. Je
demande alors au patron s'il peut mettre un peu de musique. Il accepte en disant que
de toute façon, personne ne viendra maintenant et que nous pouvons faire ce qui nous
plait, d'ailleurs, il ferme le rideau donnant sur le parking.
Pendant ce temps, je te verse une coupe puis deux tout en te félicitant de ta
docilité, mais aussi en employant des termes humiliants sur ton physique et ta
soumission (tu es une belle grosse pute, un sacré sac à foutre et j'aime que tu me
sois ainsi soumise). Je te verse alors une troisième coupe et te dis, alors que tes
seins sont toujours dévoilés :
« Puisque nous sommes seuls maintenant, retire ton haut en lycra et ta jupe et va
danser au milieu de la salle pour moi ».
Un peu abasourdi par mon ordre, mais excitée par la situation et les idées embuées par
l'alcool, tu obéis et après avoir retirés tes vêtements, ne gardant sur toi que tes
bas dim up, tu commences à danser lascivement au milieu de la salle.
Chaque fois que tu approches de notre table, je te tends une coupe de champagne que tu
avales et lorsque la bouteille est vide, et toi complètement ivre, je te prends dans
mes bras et t'invite à rentrer. Je ramasse alors tes vêtements, passe au bar régler
l'addition et nous regagnons la voiture, tu marches nue en dim up et escarpins sur le
parking pour rejoindre la voiture.
Tu as beaucoup de mal à marcher et je te soutiens par les hanches pour t'emmener
jusqu'au véhicule et te hisser à l'intérieur.
Cela fait à peine deux kilomètres que nous roulons, lorsque tu me dis :
« J'aurais du heu...Allez au wc avant de partir...J'ai envie de pisser.
- Cela ne m'étonne pas ma chérie, avec tout le champagne que tu as bu.
- Heu...Oui vous avez raison, je crois que je suis un peu ivre
- Oui tu es complètement saoule, tu veux dire, et bien retiens toi, je vais m'arrêter
dans un endroit discret, mais ne pisse pas dans la voiture, sinon je te mets dehors et
tu devras rentrer à pied et à poil à la maison
- Oh non pitié ! Pas cela
- Alors retiens toi ».
Je roule encore environ 5 km, ce qui doit te paraître très long car je te vois te
trémousser sur le siège et apercevant une petite clairière au bord de la route, je
m'arrête, viens t'aider à sortir de la voiture, puis te place face à la voiture,
éclairer par les phares du véhicule et te dis :
« Maintenant tu peux pisser, j'ai très envie de te voir uriner devant moi.
- Oh ! Mais je ne pourrais jamais si vous me regarder !
- Cela métonnerait, ta vessie est pleine alors lâche toi et pisse ma belle petite
chienne
Je suis accroupie et l'esprit vaincu, je commence à uriner comme ça, nue en bas devant
la voiture, honteuse d'en ressentir de l'excitation... Vous vous dites que lorsque
vous m'aurez bien dressée et que j'aurai pris l'habitude de prendre des bites dans la
chatte par des inconnus, il faudra que vous me fassiez faire la pute sur des parkings
routiers.
Lorsque tu as fini de te vider la vessie, tu te relèves tant bien que mal, gênée que
tu ne puisses t'essuyer et chancelante, tu viens vers moi et je te hisse une nouvelle
fois dans la voiture. Une fois assise, je me baisse vers toi, écarte tes cuisses et
passe ma langue sur ton sexe poisseux et humide de cyprine et d'urine.
Puis nous reprenons la route à destination de notre lotissement. En arrivant, j'ouvre
le portail télécommandé et rentre la voiture dans le garage, afin de préserver pour
l'instant notre relation.
Nous nous dirigeons alors directement dans ma chambre, et alors qu'après t'avoir
allongée sur le lit, je me mets entièrement nu et te dis :
« Ce soir, tu as pris du plaisir au restaurant, maintenant je veux que tu me fasses
jouir en me branlant entre tes seins »
Je sors de la voiture totalement nue, encore un peu saoule, honteuse de ce que j'ai
accepté et en même temps frustrée de ne pas avoir pu sentir votre virilité en moi ...
Une fois chez vous, allongée sur votre lit, je vous regarde vous mettre nu et en
particulier votre sexe déjà bien épais et long même si vous ne bandez pas encore et je
caresse vos couilles, votre sexe de mes doigts puis je prends mes seins pour les
presser l'un contre l'autre, votre sexe au milieu et je commence à vous branler entre
sans que vous ne bougiez ... Vous durcissez très vite et je me retrouve votre belle
grosse queue bien raide sous le nez, et trop impatiente, je passe une coup de langue
sur votre gland ... Vous me giflez, pas fort du tout, mais avec un beau clac.
« Pas encore, demain tu auras le droit de la sentir te ramoner le gosier, mais chaque
chose en son temps ... »
Je tire alors ton visage en arrière, et ajoute :
« Tu as juste le droit de me branler avec tes pis que tu lècheras lorsqu'ils seront
maculés de sperme ».
Obéissante, tu sers ma enferme ma bite dans ton sillon mammaire...
Je prends mes seins en mains, je les soulève et les presse de part et d'autre de votre
sexe bien dressé et je commence à vous branler en les faisant monter et descendre.
Voyant le plaisir que vous semblez y prendre je me lâche et en profite pour, de temps
en temps les relâcher et vous caresser une peu les couilles, j'ai tellement envie de
recevoir votre semence ! Reprenant ma cravate de notaire, je suis tirée la tête en
arrière ... Vous m'avez agrippé les cheveux :
"
« Laisse moi bien voir tes grosses outres m'astiquer, mets bien la tête en arrière
sinon je vais devoir te raser la tête... »
Je m'exécute de mon mieux et vous me crachez d'un coup entre les seins.
« Il faut lubrifier ! Tu va apprendre à branler mieux que ça, il faudra que je demande
à des amis de se porter volontaire, tu commencera demain avec le livreur de pizza ...
allez crache toi sur les pis ma grosse cochonne ! »
Sur mon ordre, tu craches alors plusieurs fois sur tes grosses mamelles, puis
enserrant une nouvelle fois ma queue entre tes pis, tu recommences à me branler.
« Oui c'est mieux ma chérie, allez continue je veux inonder tes outres de mon sperme.
»
Encouragée par mon compliment, tu accélères la cadence pinçant tes tétons entre tes
doigts et comprimant ma bite dans ton sillon mammaire en l'y faisant glisser grâce à
ta salive a laquelle j'ai ajouté ma contribution ... Je t'ai craché plusieurs fois sur
les outres, ce qui augmente notre excitation, la tienne de découvrir comme le fait
d'être humiliée fait monter en toi le plaisir et la mienne de prendre conscience que
oui, plus que jamais, j'ai au bout de la queue une femelle docile et assez naïve pour
se transformer en une esclave sexuelle prête à tout accepter et à tout subir ... Tant
que je continue a y aller progressivement ...
A cette pensée Je ne tarde pas à éjaculer, maculant abondamment tes seins de semence
blanchâtre et épaisse.
Je me retire alors et t'ordonne de te nettoyer avec ta langue, te disant que tu es une
bonne salope et que je vais faire de toi une pute, si tu continues à progresser aussi
vite
Marie : Je ne proteste pas à cette idée, n'y voyant pas une promesse, mais des paroles
dites dans le feu de l'action... Je suis si contente de vous avoir fait jouir sans
compter que moi aussi j'ai jouir, sans me toucher, uniquement du fait de me faire
stimuler ainsi la poitrine et humilier verbalement.
Epuisée et submergée de la morphine produite par mon cerveau par cette jouissance
mammaire, je m'affale sur le lit, tout contre vous et m'endors sans même me couvrir
d'un drap.
De votre coté, vous pensez à ces derniers jours, satisfait d'avoir transformé une
petite bourgeoise mariée prude et timide en grosse salope soumise et heureuse de
l'être, découvrant la jouissance d'être un objet de plaisir sans se rendre compte
qu'elle va finir sous peu en pute de chantier, divorcée, cédant ses biens à son maître
pour qu'il l'accepte chez lui comme esclave domestique et sexuelle... Vous vous
endormissez
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