Copain: Copine
Bien sur nous nous connaissons depuis toujours, en habitant le
même quartier, sauf que quand j'étais jeune je trouvais que les filles
étaient bêtes à ricaner tout le temps. Plus tard je la trouvais plus
jolie que les autres. En 5° nous commencions à revenir du collège
ensemble, à tel point que les voisins disaient de nous que plus tard
nous serions mari et femme. Quel horreur, nous voir mariés ne
nous plaisait pas du tout. pourtant un jour...........
Un jour nous étions en 2° quand je ne sais comment ça c'est fait,
nous avons échangé un baiser maladroit, vite corrigé par une envie
de mettre ma langue dans sa bouche. elle y répondait. Les choses
en restaient à ce niveau pas mal de temps.
Je me branlais souvent en pensant à elle: je la voyais nue avec moi
dans un lit, elle les jambes écartées et plongeant ma queue dans
son sexe.
A l'époque des cerises, nous allions avec un grand panier chercher
les fruits dans un jardin voisin. Je montais dans l'arbre et
commençais la cueillette, elle tenant le panier. Elle voulait aussi
monter sur l'arbre. Je descendais pour tenir l'escabeau où elle devait
passer. Sans sans douter nous accomplissions là la seule façon de
nous rapprocher encore plus l'un de l'autre. J'avais juste à hauteur
de mes yeux ses mollets, en levant la tête je voyais la totalité de ses
cuisses, jusqu'à se culotte blanche. Je ne pouvais me retenir: je
mettais mes mains sur ses jambes et remontait. Elle me laissait
faire. Ce n'est que quand je touchais son sexe, qu'elle se défendait
mollement. Elle ne cueillait strictement aucune cerise: elle
descendait et sans rien dire venais contre moi m'embrasser. Je la
serrais bien fort: notre baiser était plus profond que les autres. Je
sentais contre moi sa poitrine gonflée: elle devait sentir contre son
ventre ma queue bien dressée.
l'arbre, sur l'herbe. Pour ne pas se salir, elle enlevait sa robe et je la
voyais presque nue, seulement avec une soutien gorge et un
slip.J'étais presque sur elle et nos baisers devenaient de plus en
plus chaud. Nous restions ainsi un bon moment, comme des
imbéciles, sans oser aller plus loin. Elle avait bien senti que je
bandais, mais retenue par un reste de morale chrétienne, elle n'osait
pas faire le premier pas. C'est moi qui poussé pas le désir que
j'avais d'elle lui mettais la main sous son petit slip. Je trouvais
quelques poils et en descendant je trouvais son intimité. Elle me
laissait faire et même me guidait vers son bouton. Je ne savais pas
de tout comment lui donner du plaisir: elle me faisait caresser
lentement son clitoris. Elle poussait de petits soupirs. D'un seul
coup, elle se tendait en me disant dans un souffle qu'elle jouissait.
Je n'osais pas lui demander de m'en faire autant: dans un geste
d'exploration elle touchait ma bite à travers le pantalon. J'enlevais et
ce vêtement et mon slip. Je me trouvais avec ma bite bien dressée
et à moitié nu. Elle venait prendre ma queue et la regardait avec un brin
de curiosité. A mon tour je lui montrait comment me faire du bien: elle
apprenait très vie et sa main allait et venait tout le long de ma tige. Je
fermais le yeux pour mieux profiter de cette caresse. Et enfin j'éjaculais.
elle n'avait pas cesser de m'embrasser et nos langues mêlées se caressaient
dans nos bouches.
Nous sommes restaient ainsi un moment dont je ne saurais décrire
la longueur. La seule chose sure était que je bandais à nouveau.
Cette fois je la désirais totalement: je voulais son con autour de ma
queue. Je crois que notre amour commençant me faisait lui
demander la permission de la faire mienne. En guise de réponse se
fut un baiser.
déshabillait et j'en faisait autant. Nous nous regardions ainsi, nus
comme au premier jour. Qu'elle était belle!! Avant de la baiser, je lui
embrassais le con: elle écartais ses jambes pour que lui lèche le
clitoris. Je trouvais cet endroit très doux et sa cyprine était plutôt
agréable. Elle se laissait aller à une autre jouissance. Enfin elle
m'attirait sur elle. J'avais mes jambes entre les siennes. je cherchais
l'entrée de sa grotte. Elle m'y menait en me guidant avec sa main. Je
n'osais pas trop y rentrer de peur de lui faire mal. Je restais presque
au bord. Elle ne voulait d'avantage et me disait d'y aller complètement
au fond. J'obéissais et le dépucelais sans qu'elle ne pousse le
moindre cri: elle s'était retenue. Je commençais mes aller et
venues. Elle ne disait toujours rien ce n'est qu'au bout d'un petit
moment qu'elle poussait encore des petits soupirs. J'étais à l'aise
en elle. Je m'y sentais fort bien et je n'en serais pas parti si d'un seul
coup je jouissais, en même temps quelle.
Nous rentrions avec moins de cerises que prévu. Par contre nous
nous proposions d'aller le lendemain en ramasser. Le lendemain,
avant de commencer la récolte nous baisions avant. Depuis les
jours sont rares où nous ne faisons pas l'amour. Relativement
chastes au début, nos ébats devenaient plus évolués. Nous
commencions nos premiers 69. Après quelques jouissances dans
sa bouche elle commençait à apprécier mon sperme. Un jour elle
voulait essayer par derrière. Je l'enculais très lentement. A ma
surprise elle aimait la sodomie que nous pratiquons souvent depuis
que notre liaison s'est officialisée
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