Asservi Par Maitre Karim
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je m'appelle Aurélien, 25 ans, 1m75, mince mais sportif et dessiné, cheveux brun, plutôt mignon à ce qu'on dit. Je me suis toujours considéré comme bi, jusqu'à ce soir là où tout a basculé. A l'époque, je sortais avec une fille, Élise. Plutôt mignonne, mais un peu coincée. J'avais toujours fantasmé sur les garçons, maté pas mal dans les vestiaires, mais je n'avais jamais osé sauter le pas.
Ce soir là, je rentre chez moi après le sport. Il est passé 23h, les rues sont vides et silencieuses. Vers mi parcours je croise un beau rebeu d'une trentaine d'années. Grand, cheveux noirs, large de carrure, musclé, barbe de 3 jours, en jogging. Tout en marchant, mon regard descend instinctivement vers son entre jambe, où une bosse impressionnante se balance au rythme de ses pas. Je sens mon propre caleçon se gonfler légèrement d'excitation face à cet étalon si viril. Tout à coup, il s'arrête. Je relève la tête et vois qu'il m'observe. Sentant mes joues rosir de culpabilité, je détourne rapidement le regard et continue de marcher un peu plus vite, passant devant lui. Je peux sentir son regard sur ma nuque jusquà la fin de la rue.
Quelques pâtés de maisons plus tard, j'arrive devant la porte de la résidence où je loue un appartement. j'ouvre la première porte et franchis le seuil, préparant déjà la clef de mon appartement, qui est le premier en face. C'est alors que je me rends compte que quelque chose ne va pas. La première porte ne sest pas refermée derrière moi ! Du coin de l'oreille, j'entends un bruit de pas rapides et furtifs. Je veux me retourner, mais trop tard. Un homme vient de me plaquer contre le mur de tout son poids. Une main sur ma bouche, un bras autour de moi, je suis incapable de bouger, complètement à la merci de ce corps massif. Il approche sa bouche de mon oreille et me lèche le lobe. Sa barbe picote dans mon cou, je ne peux retenir un frisson.
« Alors, salope, tu crois que j'ai pas remarqué que tu me matais le paquet ? Tu voulais du zob de rebeu, tu vas en avoir ! J'ai plus baisé depuis trois jours et t'as un beau cul de femelle, tu vas ramasser. Aller prends tes clefs et ouvre ta porte. Si t'essayes quoi que ce soit je te défonce ! »
C'est le rebeu de tout à l'heure. Mon cur bat à 1000 à l'heure. Je ne peux pas nier mon attirance, mais je ne peux pas me laisser faire comme ça. Je fais rapidement le tour de mes options. Mes voisins les plus proches, les plus susceptibles d'entendre un appel à l'aide, sont en vacances. Et de toute façon, le temps que quelqu'un vienne à mon aide, mon assaillant m'aura massacré et se sera fait la malle depuis longtemps. Je suis tellement frêle par rapport a lui que toute tentative de fuite est vouée a l'échec. Je n'ai pas le choix. Ma seule chance est d'obtempérer pour le moment. Les mains tremblantes, je parviens à entrer la clef dans la serrure. Je sens son étreinte se resserrer autour de moi. Je peux sentir une pression dans le bas de mon dos, à hauteur de son entrejambe. Encore une fois, je devine un sexe impressionnant. Ça ne fais que renforcer ma terreur.
« Tu m'exites déjà ma salope.. Tu sens ma bite ? Je suis sûr que ça t'excite.. Aller ouvre maintenant"
Impuissant, je fais tourner la clef et ouvre la porte. Il me propulse sur le sol, s'engouffre à son tour dans mon appartement, ferme la porte à clef et la met dans sa poche. Il me regarde avec une lueur vicieuse dans les yeux. Il est terriblement impressionnant.
« Bon on va mettre les choses au clair tout de suite. Je crois que t'as bien compris ce qui allait se passer. Tu vas être ma petite pute. Ton cul vas me servir de chatte et de bac à sperme jusquà ce que je sois satisfait. Accepte le, tu peux rien faire pour empêcher ça. Par contre y a deux options. Si tu résistes, ça va me mettre de mauvaise humeur. Je te cognerai jusquà ce que tu puisses plus bouger, et j'aurai aucun scrupule à te détruire le cul définitivement.
Tout mon corps tremble de peur à ces propos.
« Je t'en supplie, tu peux prendre tout ce que tu veux ici, mais s'il te plait ne.. »
Il me balance un coup de pied dans le ventre et je ne peux achever ma phrase. Ma respiration est coupée et je sens des larmes monter à mes yeux. Je me recroqueville sur le sol.
« Je crois que t'as pas bien compris.. Aller deuxième chance. Tu vas être une bonne chienne bien docile ou pas? »
Je hoche la tête, incapable de parler. Il me prends par les cheveux et me fais regarder dans ses yeux.
« J'ai pas entendu.. »
« Oui » parviens-je à articuler dans un souffle.
« Oui quoi ?»
« Oui.. je serai.. une bonne chienne.. bien docile.."
« Bien, tu apprends vite.. »
Il passe devant moi et s'assied dans mon fauteuil, les jambes bien écartées.
« Ok dessape toi, ne garde que ton slip. »
Je hoche la tête, honteux, me lève et enlève mon t-shirt.
« Plus lentement. Regarde moi dans les yeux, salope ! »
Je lève la tête et soutiens son regard en enlevant lentement mon pantalon, en essayant de garder le peu de dignité quil me reste. Je ne suspecte pas à ce moment combien de dignité il me reste à perdre en réalité.
« Mmh c'est bien petite pute.. Je vais prendre mon temps avec toi.. Va me chercher une bière fraîche"
Lentement, je me dirige vers la cuisine et prends une canette de bière dans le frigo. Aucune fuite possible de ce côté. Je reviens dans le salon et lui apporte sa bière.
« Ouvre la, salope »
J'obéis et lui tends sa bière. Il la prend et boit une gorgée.
C'est bien salope. Maintenant à 4 pattes et baisse les yeux. »
Je m'exécute.
« Enlève moi mes pompes »
Je me rapproche de lui et lui enlève ses baskets. Une faible odeur se dégage, mais rien de trop écurant. Ayant peur de ce qui allait suivre, ça me rassure.
« Les chaussettes aussi"
Encore une fois, je fais ce qu'il me demande. Sous ses chaussettes, ses chevilles sont puissantes et couvertes de poils noirs. Bon sang ! Malgré ma position et ma peur, je ne peux mempêcher de le trouver excitant. Lorsque je lui ai enlevé la deuxième, il me la prend des mains.
« Ouvre ta gueule »
« Mais .. »
La baffe qu'il me donne me fais voir des étoiles.
« J'ai dit ouvre la gueule, sale chienne"
Jouvre la bouche à contrecoeur. Il me met toute la chaussette à l'intérieur. Je sens le goût âcre de sa transpiration dans ma bouche et ne peux réprimer un haut-le-cur.
« Tu kiffes ça bâtard ? »
Comme je ne réponds pas, il me gifle à nouveau.
« Tu kiffes ça ? »
Je hoche la tête, ne sachant pas quoi faire d'autre..
« Réponds ! »
« Oui»
« J'aime mieux ça.. gueule à terre, salope ! »
Toujours à quatre pattes, je pose ma tête sur le sol. Il la coince entre ses chevilles poilues, juste au dessus de ses pieds. Maintenant, j'ai sa sueur en bouche et son odeur de pieds dans mes narines, humilié, rabaissé au rang d'esclave. Il me donne une claque sur les fesses et les palpe fermement .
« T'as un bon cul, ma salope, tu feras l'affaire.. Voyons un peu cette chatte.. »
Il passe sa main sous mon caleçon, amène son index sur mon anus et presse légèrement. Je sens son doigt tester la résistance de mon sphincter. Je gémis de peur et de désir non assumé.
« Ouiii je savais que tu aimerais ça.. ça s'annonce bien, t'as l'air bien serré.. »
Il retire sa main, et j'entends un bruit de crachat. Il reviens sous mon caleçon et presse à nouveau son doigt, maintenant bien lubrifié, contre ma rondelle. Je me crispe, essayant désespérément de retarder la perte de ma virginité. Il presse plus fort, et son doigt s'enfonce d'un coup dans mes entrailles.
« Putain c'est serré, je vais bien kiffer te défoncer.. Tu t'es jamais pris de bite dans le cul ? »
« Mmmmg » supplie-je en faisant non de la tête.
« Je le crois pas t'es puceau ? Une putain d'aguicheuse comme toi ? Je le crois pas.. T'es mal tombé mon bâtard, tu vas bien sentir mes 23cm.. »
« MMHMMMH » fais-je encore, plus terrorisé que jamais
« T'inquiète, je ferai en sorte de pas trop t'abimer.. Je t'aime bien, tu vas être ma petite pute personnelle. Aller relaxe toi, plus tu seras détendu plus ça sera facile». Il dit ça presque avec affection. Ce mec est complètement malade.
Son doigt commence à faire des va-et-vient dans mon rectum. La sensation est très dérangeante, mais jessaye de suivre son conseil. À ce stade, rendre les choses plus faciles est tout ce que je peux faire pour mépargner un massacre. Je sens mon sphincter se dilater petit à petit. Sans prévenir, il menfonce un deuxième doigt. Je laissai échapper un cri et me cabre de douleur.
« Ta gueule, chienne ! Normalement je t'aurais déjà déchiré avec ma bite. Je fais preuve de clémence, là, alors tu restes bien calme et tu encaisses, compris ? Cambre toi ! Mieux que ça ! Voilaaa ça c'est une bonne femelle. »
Il continue ainsi quelques minutes jusquà menfoncer trois doigts, puis s'arrête.
« Bon ça suffit, il faut que ça reste serré pour ma bite. Il me prends par les cheveux et relève ma tête. Il sort sa chaussette trempée de salive de ma bouche.
« Ouvre grand"
J'obéis. Il crache un molard dans ma bouche.
«Avale"
Retenant un haut-le-cur, j'avale son cracha gluant.
« C'est bien ma chienne, c'est ça l'esprit. Maintenant tu vas pouvoir commencer ton taf.. commence par laver mes pieds avec ta langue. Vas-y, lèche !
Je baisse la tête et maffère à la tâche. Je suis habitué au goût, maintenant. Ça me semble moins désagréable. Je passe ma langue entre chaque orteil, sur chaque centimètre carré de peau, jusquà avoir tout nettoyé.
« On va commencer les choses sérieuses maintenant. Tu es d'accord ? »
Je laisse échapper un sanglot, désespéré.
« Tu es d'accord ???! »
« Oui » dis-je minablement.
« Oui qui ? »
« Je sais pas comment tu t'appelles.. »
Il me gifle
« Et t'as pas besoin de le savoir. Dorénavant quand je t'autorise à parler je veux que tu m'appelle maitre, c'est compris ? »
Ok »
Nouvelle baffe.
« Tu le fais exprès ou quoi ? »
« Oui maître »
« J'aime mieux ça.. »
Il me saisis la tête et l'écrase dans son entre jambes. Je peux sentir son sexe dur comme la pierre sous son jog. Je peux aussi sentir son odeur de mâle en rut bourré de testostérone.
« Tu la sens, ma bite, salope ? ça t'excite ? »
« Oui maître »
La vérité est que je ne peux pas mempêcher de ressentir de lexcitation. Je n'avais jamais succombé à mon attirance pour les mecs. Je n'avais jamais fait qu'observer discrètement au sport dans les vestiaires. Cet énorme chibre contre mon visage, cette odeur de mâle.. tout ça correspond à mes fantasmes les plus secrets
« Vas y lèche mes couilles à travers. Elles sont pleines de jus pour toi.. oui comme ça.. remonte maintenant. Jusqu'au gland. »
J'exécute tous ses ordres en sentant croître malgré moi ma propre excitation dans mon caleçon.
« Oh oui c'est bon.. Je vais faire de toi une bonne suceuse ! Tu veux ma bite ? »
Voilà, on y est arrivé. Je rougis de honte.
« Oui.. maitre »
« Mieux que ça »
« Oui maître, s'il vous plaît, je veux votre bite"
Il se relève.
« Qu'est-ce que t'attends, enlève mon jog »
Je fais glisser son pantalon le long de ses cuisses jusquà ses pieds, dévoilant son énorme zob circoncis qui se balance sous mon nez. Comme j'avais pu le deviner, il est très large en plus dêtre long, légèrement courbé vers le bas. Des veines gonflées le parcourent sur toute la longueur. Lodeur de mâle est plus forte que jamais. Il me donne une bifle.
« Ouvre la bouche et sors ta langue de chienne"
Je fais ce qu'il demande et sors la langue. Il tapote d'abord ma langue avec le bout de son gland, puis me rentre sa queue dans la bouche jusquà la glotte. Je tousse et essaye de me dégager. Il mimmobilise la tête en me tenant par les cheveux et continue de me baiser la bouche en vas et viens sauvages.
« Oh putain ça fait du bien ! On t'avais jamais baisé la bouche non plus alors, p'tite pédale ? T'aimes ça hein ? c'est ce qui te manquait, une bonne bite de rebeu ? T'inquiètes tu m'a trouvé maintenant, je te lâche plus. Tu vas être mon vide couilles personnel »
Soudain, mon téléphone sonne.
« C'est à toi ? Vas chercher ! »
Que va-t-il faire ? Inquiet, je vais chercher mon smartphone dans la poche de mon pantalon. « Élise » s'affiche sur l'écran. Mes yeux s'écarquillent d'horreur.
« Raccroche pas, donne moi ça ! »
Je le regarde d'un air suppliant, misérable.
« Donne moi ça, salope"
Résigné, je lui tends l'appareil.
« C'est qui ça, Élise ? »
« C'est ma copine.. S'il vous plait maitre, raccrochez, ne la mêlez pas à ça.. » Je fais mon possible pour le mettre dans de bonnes conditions..
« Tu me dis pas quoi faire , salope, compris ? »
Dépité, je baissai les yeux.
« Oui maître.. »
« Une copine, tu dis ? Une petite suceuse de bite comme toi ? C'est elle qui t'a appris ? » Il a l'air intéressé en disant ça.
« Non, elle aime pas sucer" réponds-je, en essayant de casser dans l'uf les idées perverses qu'il pourrait se faire. C'est vrai, Elise n'a jamais aimé ça. Mais ça ne le regarde absolument pas, et je regrette directement ma réponse.
« Parce que t'es une petite sous-merde de femelle, ça. Les femmes le sentent
»
Humilié, je baisse la tête. Il se rassied en pacha sur mon fauteuil les jambes écartées.
« Vas-y, viens me sucer les couilles pendant que je réponds à ta copine, pédé . Mets moi de bonne humeur et peut être que je te laisserai la garder un peu »
Sans me faire prier, je reprends ma tâche entre ses jambes poilues, en y mettant le plus de cur possible. Ses couilles sont lourdes et énormes comme sa queue, et poilue. Mon visage est couvert de peau, de poils et d'odeur de mâle en rut.
« Mmmmh c'est bien ma chienne. Allo, Élise ? Non c'est pas Jeremy, c'est Karim, un copain du sport. »
Je m'horrifie de ressentir une pointe de jalousie. Elle a eu droit à son nom, elle..
« Il pouvait pas te parler tout de suite, il a la bouche pleine. Non tu ne me connais pas, c'est normal, on s'est rencontrés aujourd'hui.. Je l'ai invité à manger après la salle.. une spécialité arabe. Il a l'air d'adorer ça ! Pas vrai Jeremy ? Vas-y, mets les deux en bouche en même temps. (Il s'adresse à moi). Si je peux me permettre Élise, tu as une très belle voix. Non de rien c'est vrai. Bon aller je te le passe. J'espère qu'on se rencontrera un de ces quatre.. »
Il me donne le combiné.
« Allo, Jeremy ? Ça va ? C'est qui ce Karim ? » Entends-je à l'autre bout du fil. Elle a l'air un peu inquiète.
Je décide de faire comme si de rien n'était. Je suis allé trop loin. Elle ne doit jamais savoir ce qu'il s'est passé ici. Elle ne me regarderait plus jamais de la même façon.
« Oui oui ça va bébé. T'en fais pas, il voulait te taquiner. Je l'ai rencontré aujourd'hui, il est vraiment sympa
Il m'a donné des boulettes protéinées. Il y a deux goûts différents, il faut essayer de les mélanger en en mangeant deux en même temps.. Bon aller je te laisse, on se parle demain. Bisous.. Je t'aime. »
Je raccroche et lève les yeux vers Karim. Il se branle en me regardant, hilare.
« C'est bien ma pute. Tu joues le jeu.. Des boulettes protéinées ? » s'amuse-t-il. « Si ta meuf veut essayer, je peux lui faire goûter aussi"
« Pitié, maître, faites moi ce que vous voulez, mais laissez Élise en dehors de.. »
Il m'envoie son pied au visage pour me faire taire.
« Ta gueule, chienne ! Tu m'appartiens, maintenant. T'as plus de volonté propre, vu ? Obéis c'est tout. Ton plaisir est mon plaisir, et si t'es bien docile, tu finiras par être heureux. T'as bien compris ?? »
« Iui maître » La soumission complète est ma seule chance.
« Maintenant va dans ta chambre. Je veux que tu m'attendes à poil sur ton plumard, sur le dos, la tête penchée en dehors du lit, bouche ouverte et langue dehors. »
Je rougis de honte de me laisser traiter comme ça. Résigné, je me dirige vers la chambre. Karim madresse une claque sur les fesses et un « bonne pute » quand je passe devant lui, ce qui ne fait qu'accroître ma gêne. J'arrive dans la chambre, enlève mon caleçon et me couche sur le lit. Je penche ma tête vers la porte et attends qu'il arrive.. Je m'en veux d'être autant excité de ce mec qui me traite avec moins de respect qu'un animal. J'ai peur aussi. Peur de me prendre ses 23 cm dans le cul, peur de ce qu'il va me faire.
Il ne vient pas tout de suite. Je l'entends siroter son reste de bière, probablement en se branlant, vu les petits claquements répétitifs. Au bout de 5 minutes, je l'entends se lever. Ses pas se rapprochent. Il apparaît dans le coin de la porte, nu, la queue tendue. Je ne peux qu'admirer la perfection de ses muscles saillants, de son torse, de ses cuisses, sa virilité, l'épaisseur et la courbure de sa queue. L'espace d'un instant, je me crois dans un rêve. C'est l'homme parfait. Je vais me faire défoncer par l'homme parfait..
« Mais tu bandes bâtard" s'amuse-t-il.
C'est vrai, j'ai rarement bandé aussi fort. Je me sens coupable. Que dirait Élise ?
« C'est pas ton petit bébé qui te fait bander, je parie . T'as besoin de bite.. Je vais bien m'occuper de toi.. »
Il se rapproche. Sa queue tendue se rapproche et occupe bientôt tout mon champs de vision. Il pose son gland sur mes lèvres entrouvertes.
« Ouvre ta gueule plus que ça, pédé. Je veux pas sentir tes dents ! »
A peine ai-je ouvert la bouche qu'il enfonce son chibre d'un coup jusqu'à mes amygdales. Mon réflexe vomitif se met en route. Je convulse, mais rien ne se passe. Sa bite occupe tout l'espace. Rien d'autre ne peut entrer ni sortir. Même sur ça, il a le contrôle absolu.
« T'apprendras à réprimer ce réflexe, avec le temps » m'assure-t-il. « Ton corps doit apprendre que ma bite est plus importante que ta respiration. »
Il ressort sa bite, son gland reste relié à ma bouche par un filet gluant. À peine ai-je pris une respiration qu'il me renfonce sa queue au fond de la gorge. S'ensuivent plusieurs minutes de pilonnage intense. Je respire par fractions de seconde, dès que j'ai la possibilité, entre les coups de bite les convulsions de mon estomac. Je ne vois que ses grosses couilles, qui claquent violemment contre mon nez et mon front. Petit à petit, un mélange de bave, de glaire et de mouille sort de ma bouche, coule dans mon nez, dans mes yeux, sur mon front, dans mes cheveux, recouvre mon visage. Je suis aveuglé. Ses bourses s'éclatent en saccades dans ce jus de bouche et de bite, envoyant des gouttes un peu partout. Je ne suis qu'un jouet. Un trou qu'il utilise à son plaisir, sans se soucier que je sois même encore conscient.
« Haaaan oui salope.. c'est bon.. t'es bien offert, comme ça. Je te défonce la gorge, pédé.. »
Il sort enfin de sa fureur sexuelle et me libère la gorge. Jhallète bruyamment, soulagé de pouvoir à nouveau respirer. Je m'essuie les yeux. La bite de Karim me domine le visage, reliée à lui par de multiples filets baveux.
« T'as bien mouillé sur mon zob, salope. Ce sera plus facile pour toi pour la suite. » Dit-il avec un rictus cruel. « Mets toi à genoux, petite lope".
« Oui, maître"
Je me surprends à l'appeler maître sans qu'il ne l'aie exigé. Qu'est-ce qu'il m'arrive ? Je me rassure en me disant que c'est ma meilleure défense. Autant jouer le jeu jusqu'au bout pour ne pas le fâcher. Je me lève en tremblant, sors du lit, et m'agenouille devant lui.
« C'est bien petite chienne, tu commences à comprendre où est ta place. Nettoie mes panards et le sol de ta sale mouille. »
Je baisse la tête : effectivement, il y a de la mouille partout. Je m'applique à laver le sol avec ma langue, puis ses pieds. Je prends même l'initiative de remonter le long de ses chevilles.. de ses jambes poilues.. Je m'aperçois que j'ai encore soif de sa queue ! Il a changé quelque chose chez moi. Je finis par vraiment aimer mon rôle d'esclave. Je tente un coup de langue sur ses couilles. Il me gifle gentiment.
« C'est bon ma salope, t'as eu assez pour le moment. Je suis content que tu finisses par comprendre ton job, mais ça suffit. Laisse ma bite et mes boules. J'aime que ça glisse bien.. Gueule à terre ! »
Je baisse la tête au sol. Il se place derrière moi et me claque les fesses.
« Écarte tes fesses ! »
Je place mes mains sur mes fesses et écarte comme je peux, lui montrant ma rondelle offerte. Il pose son pied sur mon cul et me titille l'anus avec son gros orteil.
« Je vais tellement kiffer te détruire le cul et te souiller comme ma petite femelle.. »
Il s'abaisse, et je sens son gland se poser sur mon trou. Je frissonne.
« Tu veux ma bite, salope ? »
« Oui maître"
« Je vais te déchirer les entrailles et te féconder bien comme il faut. Ça t'excite, grosse chienne ? »
Je tremble.. Je ne veux pas qu'il me baise sans capote !
« Maître, pitié.. »
« Je répète avant que tu dises une bêtise.. T'es prêt à servir de sac à foutre à ton maître adoré ? »
« oui, maître", dis-je, résigné.
Lentement, il enfonce son membre dans mon cul, centimètre par centimètre. Je suis surpris par sa douceur. Et reconnaissant. Je sens mon cul lutter autour de sa bite, qui s'enfonce impitoyablement dans mes entrailles. C'est interminable. Et ça fait mal. Je gémis en silence.
« Laaa du calme, respire, ça va aller. Donne toi, abandonne toi à ma teub. Tu es né pou lui servir de bac à foutre. Abandonne toi. Abandonne tout le reste.. »
Étrangement, ça m'aide. Je m'abandonne. J'essaye de ne plus penser. Je me focalise sur l'odeur de Karim, enivrante, sur son corps de rêve, que j'imagine tout tendu de muscles derrière moi. Ça fait moins mal. Ça se détend. Bientôt, je sens ses bourses lourdes tomber sur les miennes. Ça m'emplis de désir.
« Tu vois pédé, tu es fait pour recevoir mon chibre. Maintenant je vais te baiser bien comme il faut. »
Il reste quelques secondes immobiles, puis fait quelques vas et viens en douceur, et finalement accélère la cadence. Bientôt il tambourine au fond de mon cul comme un taureau déchaîné. De mon côté, la douleur s'estompe pour faire place à autre chose. À chaque coup de rein de Karim, sa bite écarte tout mon intérieur, le remodelant à son image. Son gland frappe ma prostate en saccades régulières, qui font monter en moi une sensation de plaisir que je ne connaissais pas encore. Je sens un liquide s'écouler de ma queue qui balance en dessous de moi au rythme de ses assauts. Je suis vraiment en train de devenir sa chienne. Je pourrais rester comme ça une éternité, pendu au bout de son membre puissant. Je ne retiens plus mes gémissements, que je ne peux plus faire passer pour de la douleur.
« Mais tu kiffe ça petite pute ! Tu kiffes te faire éclater par ma bite en fait ! T'aime ça hein petite pédale"
« ooh oui maître.. je.. j'adore ça"
« Supplie moi de te défoncer, salope ! »
Ses mouvements de queue sont plus puissants que jamais. Mon plaisir est à son maximum. Je ne veux surtout pas qu'il arrête. Je ne pense plus qu'à sa queue qui me laboure le cul, plus rien d'autre n'a d'importance. Je ne suis plus un être humain. Je suis sa chose, son objet, son esclave, au service de ses moindres pulsions.
« Pitié maitre, défoncez moi. Honorez votre serviteur de votre queue. Je suis votre vide couille, votre pute aaaaaah"
Je jouis. Dune façon nouvelle je jouis. Je ne me suis pas touché, je n'ai rien senti à partir de ma queue, mais tout à coup je suis incapable de penser, et des jets de sperme jaillissent de mon sexe. Karim aussi est surpris. Il se retire.
« Je le crois pas, t'as jouis ? Je te viole le cul et tu jouis ? Avant moi en plus ?? T'as pas honte ma salope ? »
Je ne réponds, pas. Le plaisir passé, je reprends mes esprits et je suis sous le choc. Que suis-je en train de devenir ?
« Aller hop, à 4 pattes sur le lit, j'en ai pas fini avec toi"
Je monte sur le lit et lui présente ma rondelle, que je sens encore béante. Je sens sa main m'enduire d'un liquide chaud et gluant.
« Putain je t'ai bien explosé le cul ma salope.. Et maintenant je vais te baiser avec ton propre sperme. Cambre toi comme une bonne femelle. »
Mon sperme ! Il m'a enduit de mon propre sperme ! Je m'exécute.
« Tu peux faire mieux que ça, pédé. J'ai dit cambre toi comme une bonne femelle !! »
Il m'att pas les cheveux et tire ma tête en arrière, accentuant encore la courbe de mon échine. Mon regard tombe alors face au miroir de la chambre, en face de nous, et je me retrouve face à moi-même. Et le choc est rude. Je suis rougis, le visage encore remplis de mouille, les cheveux souillés et en bataille, les yeux explosés de mon pilonnage de gorge de tout-a-l heure, je suis une épave. Karim, accroupi derrière moi, approche son sexe monstrueux de mon trou, prêt à l'accueillir. Il est en sueur, déterminé, féroce, sans pitié. Il est prêt à m'achever. En moins d'une heure, il m'a complètement soumis à sa volonté. Je vois qu'il regarde aussi le miroir, contemplant sa victoire.
« Tu as vu, tu n'es plus qu'une larve à mon service. A partir de maintenant tu vis pour me servir de sac a foutre. Qu'est-ce que tu dis de ça ? »
« Je suis honoré de vous servir de trou à jus, maître. Merci de donner un sens à ma vie. »
« Bonne pute"
Il enfonce sa bite d'un coup, marrachant un cri de plaisir. J'aime le sentir profondément en moi. Il me baise encore plusieurs minutes dans cette position à coups de bite acharnés. Mon cul est en feu. Heureusement, l'effet lubrifiant de mon sperme est efficace. Au bout d'un moment, il m'écrase à plat sur le lit et s'étale de tout son long sur moi.
« Je vais te féconder, maintenant. Tu en as envie ? » me susurre-t-il a l'oreille, presque amoureusement. J'ai presque l'impression d'avoir le choix.
« Oui maître, je veux sentir votre semence couler en moi. » Je ne mens même plus, je suis complètement accro à sa bite.
« Ça fait plusieurs jours, tu vas prendre la dose, ma salope. Tu es sûr que tu la mérite ? » Dit-il en remuant doucement dans mon cul.
« Non, je ne la mérite pas, mais s'il vous plaît, maître, abreuvez moi, j'en ai besoin ! »
« C'est vrai, tu ne la mérite pas. Supplie moi encore. »
« Je vous en supplie maitre, fécondez moi »
Il accélère le rythme.
« Encore, salope, crie le »
« PITIÉ MAITRE, FÉCONDEZ MOI"
Il accélère encore. Je sens ses couilles claquer contre les miennes.
« Dis que t'es ma petite pute"
Il me laboure le cul à une vitesse folle
« JE SUIS VOTRE PETITE PUTE, MAÎTRE ! »
« ENCORE »
« JE SUIS VOTRE PETITE PUUUUTE"
« AAAAhh"
Nos cris se mélange, il s'immobilise et je sens littéralement les jets de sperme remplir mon cul. Il se retire et se laisse tomber sur le côté. Il m'entoure de ses bras, comme dans un câlin. Au bout d'un moment, je sens sa respiration changer contre ma nuque. Je reste immobile, ne sachant pas quoi faire. Je sens le sperme couler doucement de mon anus, et je me sens heureux, satisfait.. Au bout d'un moment, je m'endors à mon tour.
Le lendemain, lorsque je me réveille, Karim n'est plus là. Ai-je rêvé ? Mon anus encore un peu douloureux, dilaté et débordant de sperme me confirme que je n'ai rien inventé. La culpabilité me ratt. Comment ai-je pu me laisser aller à ce degré de soumission ? Que faire maintenant ? À qui en parler ? Dois-je aller à la police ? Que dirait Élise ? Tendu, je me lève et vais chercher mon téléphone, pour vérifier mes messages. Le dernier date de ce matin, de « Maître Karim ». Il a ajouté son propre numéro dans mon annuaire!
« J'ai passé un bon moment, salope. J'ai gardé ta clef. À partir de maintenant c'est ce que je veux, quand je veux. Un mot à la police et j'envoie tes exploits à tes contacts. »
S'ensuivent une série de photos de moi gueule à terre, en train de lui lécher les pieds. Je n'avais même pas vu qu'il me prenait en photo. Je suis piégé.
A suivre..
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