Pour Tenir Compagnie À J.F.
"recherche j.f. bien tout rapport pour tenir compagnie à j. f. tél.
au....... " C'était la petite annonce que je lisais. Etant à la recherche
d'un emploi Je me présentais avec l'espoir d'être retenue. Je suis
jeune et dit-on plutôt jolie. Je passe le coup de fil et on me demande
de venir le lendemain après midi. Déjà heureuse je me prépare pour
l'entretien d'embauche. Enfin je suis reçue dans une grande
demeure style castel. C'est une femme d'une trentaine d'année qui
me reçoit: c'est la gouvernante, je lui donne mes certificats de travail.
Elle y jette un oeil distrait. Je me sens examinée, presque comme
dans une foire. Elle me donne le montant de mon salaire, pratiquement
20.000 euros par an, logée, nourrie et en partie habillée. J'interroge mon
interlocutrice: que dois-je faire: tenir compagnie à une jeune femme
de 20 ans. Si je suis libre je peux commencer aussitôt.
Tenir compagnie n'est pas à priori une occupation bien difficile. Je
suis d'accord. J'aurai un jour de repos par semaine. Cette femme
me montre ma chambre, au 2° étage, ma salle de bain. Je
découvrirai bien le reste par la suite. En attendant il faut me
changer: je ne doit porter que des tenues très légères, d'ailleurs mes
habits sont déjà posés sur le lit: un t-shirt léger, une mini jupe et pas
de sous vêtement. Je me doute que mes prestations ne seront pas
de celles recommandées à des débutantes dans le sexe. Je précise
que j'aime bien jouir, à peut près avec tous.
Je me change, devant cette dame et elle inspecte mon corps, m'en
félicite et ajoute que je vais beaucoup plaire à celle que je dois
accompagner. Le fait de m'être mise nue devant cette étrangère
m'avais un peu excitée. Je sentais mon sexe déjà en ébullition.
Je suis menée vers cette jeune personne qui est dans une grande
chambre, nue, jambes écartées et qui se masturbe.
surexcitée devant cette fille bien faite qui ne s'embarrasse pas de
chichi. C'est une eurasienne aux longs cheveux noirs, ses seins sont
un peu petits. Il ne me déplairait pas de baiser avec elle. La
gouvernante s'approche et l'embrasse sur la bouche. Elle m'invite à
l'imiter. Je ne refuse jamais une invitation pareille. Je pose mes
lèvres sur celles de la fille. Ma langue part à la recherche de la
sienne. elle répond tout en continuant à se branler. Elle me donne
réellement envie d'elle. La gouvernante part et me laisse seule.
Enfin cette fille jouit et en ouvrant ses yeux me découvre. Elle me
tend les bras et m'entraine encore dans un profond baiser:
- C'est toi la nouvelle. Tu me plais. On pourra jouer souvent
ensemble même avec Marie, la gouvernante qui ne me fais pas
toujours jouir comme j'aime.
- Oui, c'est moi. J'aime faire jouir les filles et en jouir aussi. J'aime
aussi les garçons.Si tu veux nous pouvons baiser maintenant
ensemble.
- Oui, c'est une bonne idée. J'ai aussi un joli godemiché, on pourrait
s'en servir l'une et l'autre.
Elle s'approche de moi et pose une main sur un genoux. Elle la
remonte très lentement vers mon sexe. J'écarte les jambes et elle a
libre accès. Elle me caresse tout le long de la chatte en s'arrêtant un
instant sur mon anus. Mon clitoris l'attire et elle y met deux doigts
autour. Elle me branle comme je ne l'ai jamais étée. Je frémis sous
ses doigts. Elle me fait jouir. C'est à mon tour de rendre le plaisir.
C'est facile, nue comme elle est je peux accéder à tout son corps.
Je lui embrasse le cou et descend ma bouche vers ses seins. Ils
sont petits, mais sensibles. Les tétons bandent dès que je les
prends dans mes lèvres et que ma langue les caresse. Ma bouche
va plus bas, plus bas encore. Ses jambes s'écartent à nouveau. Je
passe ma langue sur son con.
bouton: je veux aller à un endroit plus intime: son cul. Elle se laisse
faire, je lèche les bords de l'anus avant de plonger un peu de langue
à l'intérieur. Elle prend ma tête entre ses mains et la plaque encore
plus sur elle. Je rentre le maximum de langue et la fait aller et venir.
Je la sens jouir vite, presque trop vite. Elle me dit simplement
"encore". Je reste comme je suis, mal à l'aise et le lui dit. Elle me
demande de venir sur elle. Je reste avec ma langue en elle. J'écarte
mes jambes: elle met sa langue sur mon bouton et me lèche avec
dextérité. je n'y tiens plus: je jouis comme elle maintenant. Nous
nous mettons cote à cote en échangeant un long baiser. Je porte
toujours mon peu de vêtement. Elle me demande de les enlever.
- Tu est belle et tu me plais beaucoup.
- Toi aussi tu est belle, tu me plais, tu baise bien et tu aime jouir,
comme moi.
- Si tu veux on arrête un peu, nous reprendrons tout à l'heure, après
diner.
Nous nous levons. J'allais m'habiller, si l'on peut dire, elle me
préfère nue: comme elle. Elle n'aime pas être vêtue, c'est gênant.
Nous passons à la salle à manger où la gouvernante vient nous
servir. Elle aussi est en petite tenue: mini jupe et foulard autour se la
poitrine qui semble bien ferme. Au cours du repas arrive l'oncle de la
fille qui me voyant l'interroge:
-Est-ce qu'elle te plais , L'as-tu essayée.
Elle ne répond pas et se penche vers moi, me prend un sein, le
caresse et m'embrasse.
L'oncle parait satisfait et rajoute à mon intention:
- Son père me la laissée pour faire son éducation. en guise d'éducation
elle a eu ce qu'elle voulait: baiser et jouir. La seule façon
qu'elle ne connait pas est la sodomie. Etes-vous assez dévergondée
pour la faire bien jouir, par tous les orifices.
- Bien sur je l'ai faite jouir avec ma langue dans l'anus.
- Par le cul ? c'est formidable, elle se dirige enfin vers une enculade.
- Sans doute. j'essaierais tout à l'heure.
- Si vous avait besoin d'un homme pour vous baiser, n'hésitez pas, je baise
pas mal d'après la gouvernante.
Je ne sais quoi dire: j'aime bien avoir une bite en moi, devant ou
derrière et de préférence dans le bouche quand le sperme m'envahi.
- Je ne dit pas non.
- Quand vous voudrait. La nièce, mon amante met son grain de sel.
j'aimerai que vous fassiez ça devant moi et qu'elle se fasse enculer:
je ne l'ai jamais vu.
La gouvernante s'interpose:
- Dans ce cas je serait là aussi, j'aime bien baiser avec une homme
et ton oncle est un cas: il a une grosse queue et débande très peu.
On peut en profiter longtemps.
Au début je me demandais où j'étais tombée. Finalement je sens que je vais
passer du bon temps, en baisant avec ses deux femmes ensemble ou séparément
et avec un homme bien monté.
Quoi demander de plus si je suis logée, nourrie et bien payée pour jouir.
Nous nous retrouvons avec l'eurasienne, toutes seules. Nous allons
baiser maintenant plusieurs fois, je le sens. elle sort le godemiché,
le met dans sa bouche, comme si elle suçait une bite. Me demande
de le lui mettre dans le con et si je peux la sucer aussi. J'arrive à la
baiser et ensuite à y mettre la langue. Cette fois elle gémit sans
arrêt: elle m'excite au plus haut point. je le lui dit. Elle pose sa main
sur mon sexe, met ses doigts à peu près partout avant de m'en
mettre trois dans le con. Elle sait bien branler. Elle sait également
bien jouir. J'allais retirer le gode, quand elle me disait mets moi le
encore, plus bas s'il de plait.
- Plus bas, tu sais où te le veux ?
- Oui, dans le cul !
- Laisse tu est vierge de ce coté là.
- C'est ce que croit mon oncle: je me le suis fait seule un soir, juste
avant de dormir.
- Et tu n'a pas eu mal ,
- Ben, non pourquoi, c'est bon dans le cul.
Son pauvre oncle qui la croyait innocente de ce coté était trompé par
sa propre nièce.
Je faisais ce qu'elle demandait et l'enculais lentement. Elle me
demander de la mettre à fond. Elle se cambrait plusieurs fois, à
chaque orgasme. J'était tellement occupée à lui donner du plaisir
que j'en était moins excitée. Elle jouissait presque d'une façon
continue. Et sans rien me dire elle se branlait le clitoris, c'était la
cause de ses orgasmes.
Elle me demandait d'arrêter: c'était à mon tour de prendre mon pied.
Elle prenait ma chatte dans sa bouche et m'embrassait avec
beaucoup de conviction; Je sentais ses lèvres sur ma fente et elle
descendait pour venir sur mon anus. Elle était maladroite au
possible, pourtant elle y mettait beaucoup de bonne volonté.
Lorsque soudain sa langue enfin venait de faufiler juste sur mon cul.
Elle en trouvait l'entrée et y mettait une bonne partie de la langue.
Son anulingus, loin d'être parfait me donnait un plaisir fou: j'en
jouissais. Fière d'elle elle m'enculait complètement avec le gode, à
mon tour de me branler. Pour finir nous étions en 69 et cette fois je
l'enculais tout en la suçant. Sa langue venait sur mon bouton d'abord:
j'en jouissais et ensuite elle venait se poser encore une fois sur mon
cul. J'appréciais cette façon de faire. La fatigue sans doute faisait
que nous nous endormions dans cette position tête bêche.
En pleine nuit nous étions réveillées par la dame de compagnie: elle
avait besoin de moi pour baiser avec l'oncle. Je ne pouvais refuser
une bonne bite. Je n'allais pas être déçue.
Dans le salon où j'avais été reçue, l'oncle attendait, complètement
nu, la bite bien bandée longue et surtout grosse, très grosse. Il sa
branlait devant nous sans aucun complexe. Je regardais sa main
aller et venir rapidement. Il m'excitait tant qu'à mon tour je ne
pouvais m'empêcher de me branler. J'en était gênée par la
gouvernante qui remplaçait ma main par la sienne. Elle savait bien
me masturber avec sa main gauche, alors que la droite lui caressait
son bouton. J'avais les yeux fixé sur la bite tendue. J'avais envie de
l'avoir en moi.
Cette main féminine me faisait jouir encore. Enfin après un instant
de pose, j'allais voir de plus près cette queue qui m'attirait. J'ouvrais
la bouche: j'était gourmande je voulais la gouter et la faire juter.
D'avance j'aimais le goût de ce sperme.
Il s'installait bien à l'aise sur un fauteuil je me penchais vers sa bite
en me mettant à quatre pattes. Je posais ma langue sur le bout. Je
n'avais pas le temps d'ouvrir ma bouche que cette pine était sur ma
langue. Je sentais sur mes fesses les mains de la gouvernante qui
les écartaient. Elle avait un gode énorme, presque aussi gros que
celui de cet oncle, pour me le mettre dans le cul. Je n'avais pas peur
de cet engin de plaisir. Je ne pouvais prendre qu'une faible partie de
la queue dans la bouche. C'était suffisant pour que je lèche le
principal: le gland violet qui déjà coulait de secrétions agréables. Ma
langue s'activait sur lui. Je sentais en même temps ce gros engin
dans mon cul: la femme qui le maniait savait bien s'en servir. Mes
fesses accompagnaient les mouvement réguliers et je jouissais
plusieurs fois. Enfin je sentais le jet de sperme envahir ma bouche.
Je le dégustais et allais l'avaler quand la gouvernante me demandait
de lui en donner une part. Comme il m'avait été dit, la queue de cet
homme ne débandait pas. Il m'entrainait vers lui.
- Je veux te la mettre où tu veux. Moi je préférerait te la mettre au
con, et si tu veux après je t'enculerai. Ma compagne en profitera
pour te sucer à ce moment là.
-Oui, baise moi et encule moi, j'en meurs d'envie je veux ta queue
dans mon ventre, s'il te plait.
Il restait assis et je montais sur ses cuisses, les jambes bien
ouvertes. Je m'installais juste sur la queue et il rentrait facilement
tellement j'étais mouillée. Je le laissais faire: la grosseur de cette
bite me donnait tant de plaisir dans mon sexe que je n'aurais pas
voulu qu'il cesse. Je jouissait encore. Je ne me pensais pas capable
de jouir autant en une seule journée. Je jouissais deux ou trois fois,
je ne sais plus, quand encore une fois son sperme m'envahissait.
Sans attendre il me faisait tourner et cette fois mon dos contre lui. Il
me levait un peu avec ses mains, écartait largement mes fesses et
posait son monstrueux engin juste à l'entrée de mon cul. Il me
laissait redescendre lentement de telle sorte que je me trouve avec
presque toute sa queue dans mon anus. Je craignais d'avoir mal. il
n'en était rien, je faisais plus que le supporter: j'en jouissais. A ce
moment là je sentais que la langue de l'autre femme se posait sur
mon clitoris. J'étais dans un autre monde peuplé d'orgasme.
Enfin il arrêtait la baise. Il ne bandait qu'un peu, pas assez en tout
cas pour baiser. Il nous demandait ne nous aimer devant lui avec
l'autre femme. Elle nous couchaient cul à cul, avec son gros gode
qu'elle se mettait dans le con, elle me le mettait au même endroit et
encore une fois je jouissais. C'était la dernière.
Il bandait encore quand, réveillée par le désir sa nièce venait voir ce
qui se passait. Elle nous avait vu quand il m'enculait et aurait voulu
qu'il lui en fasse autant. Gêné, cet homme refusait tout d'abord: la
vue de cette jeune eurasienne aux cheveux longs, a raison de lui.
Elle vient sur ses genoux: ils s'embrassent longuement. elle lui pend
la bite entre les mains et le branle comme si elle avait fait ça toute
sa vie. L'oncle la laisse faire un moment et ensuite la pose comme
moi pour l'enculer. Très lentement sa queue rentre dans le cul bien
exposé. Je me précipite entre les cuisses féminines ouvertes et ma
langue trouve vite le clitoris de cette folle d'amour. Elle jouit comme
moi, plusieurs fois. Quand elle reçoit la dernière dose de sperme,
elle se retire et va prendre dans sa bouche la bite pleine de sperme
pour le gouter. Elle trouve que le goût n'est pas à la hauteur de la
sodomie qu'elle vient de "subir".
Enfin le jour se lève et nous allons nous coucher. La gouvernant me
demande de dormir avec elle en me disait ce qu'elle attend de moi:
elle veut se faire sucer dès le réveil et me rendra la pareille.
Je pense avant de m'endormir que je suis tombé dans une maison
où le sexe avait toute sa place: je n'en demandais pas tant, j'en
profite.
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