Corine
Je ne lavais pas remarquée jusquà ce matin : un blonde presque blanche. Il faut dire
pour excuser ce manque de savoir vivre que limmeuble en bord de Seine est immense :
jhabite au 15° étage avec une belle vue sur le fleuve. Ce qui fait une bonne
quarantaine de logements. Je descends en ascenseur qui sarrête létage en dessous :
cest elle. Nous ne nous connaissons pas : un signe de tête suffit. Je ne veux pas
être indiscret, je ne la regarde que dans les yeux, ce qui me permet quand même
dapercevoir sa poitrine. Nous nous séparons au rez de chaussée. Je la laisse passer
devant moi, je vois une paire de fesses qui me laisse rêveur.
Bonne surprise le soir en rentrant, nous sommes à nouveau seuls dans lascenseur.
Cette fois nous échangeons quelques mots. Oh, pas grand-chose : je sais sur elle
quelle est employée comme cadre chargé de la communication dans une grande boite.
Elle sait de moi que je sui cadre dans une boite technique. Son appart a aussi une
belle vue sur le fleuve. Quand nous nous arrêtons pour quelle descende, elle me dit
au revoir.
Je pense à elle en me disant quelle est belle, Que cette couleur pâle des cheveux la
sert bien, que son cul me plait que
jaimerai laimer. Pas avec le cur, non, avec mon
sexe. Le temps de me cuisiner un petit quelque chose, le temps de prendre une bonne
douche, de rester nu ensuite pour regarder la télé, se sens que ma bite est daccord
avec moi : Une nuit passée à ses cotés nest pas faire pour me déplaire. Ma nudité me
sert bien, je peux me masturber en pensant à elle, jimagine son corps nu contre le
mien. Cest je crois la première fois que je me masturbe si longtemps : je fais durer
longuement les vas et viens de ma main sur ma bite. Je reçois mon jet de sperme
jusquà mes lèvres. Encore une nouveauté, il faut que jessuie ma bouche avec le
revers de ma main, jaurais du le lécher, je ne lai pas fait.
Il me tarde le lendemain de la revoir : elle est comme une horloge, elle arrive à
temps pour descendre avec moi. Jai envie delle, de lembrasser sur le bouche, de la
mettre nue, de lui faire lamour, allant mêle mimager en train de lenculer. Cette
fois nous commençons à bavarder, elle men dit plus sur elle : ses études, sont
travail, prenant. En partant je lui dis
- A ce soir.
- Entendu ! Je mappelle Corine.
- Joli nom !
Nous arrivons pratiquement ensemble : cette fois cest moi qui linvite à passer la
soirée avec moi, je lui propose un restaurant, ce quelle accepte, à conditions de
pouvoir se faire belle. Se faire belle, elle exagère beaucoup, belle elle lest,
naturellement.
Je lattends en bas : jentends lascenseur. « La beauté » est là : la seule chose que
je vois ce sont ces yeux fardés avec un peu de noirs sur les cils. Elle a changé de
tenu, adieu la robe, vive le tailleur. Elle fait classe. Je me demande si je mérite
une telle femme qui ne peut exister que dans les magasines. Elle prend mon bras et
nous voilà parti à la recherche dun taxi. La station est très proche, nous trouvons
une Citroën C6, bonjours la classe. Le restaurant se trouve à moins dun kilomètre. Je
le connais pour y avoir invité un client.
Nous sommes placés presque au milieu de la salle. Au moins il ny a aucun risque de se
faire ignorer. Je remarque les yeux envieux des femmes qui la regardent passer. Moi je
regarde ses fesses. Une fois installés nous commandons le repas. En lattendant je
prends ses mains que je caresse : Corine me laisse faire en me regardant dans les
yeux. Jallonge mes jambes pour trouver les siennes : elles sont écartées sous la
nappe. Je me penche pour voir ses dessous. En guise de dessous, je vois sa chatte.
Quand je regarde dessous, elle écarte encore plus ses cuisses.
Cest une invitation à continuer ou je ne my connais pas.
réaliser. La conversation qui était anodine jusque là prend un tour disons réaliste.
Je lui avoue mon désir de son corps. Je la veux nue contre moi. Elle ne rougit même
pas, elle me dit oui :
- Moi aussi jai envie de toi. Il y a longtemps que je nai pas eu de rapports
sexuels.
- Je suis un peu comme toi, sauf que je me contente seul.
- Figure toi que cest-ce que je fais aussi. Si jétais longue pour me préparer cest
que je me suis fait du bien toute seule : je pensais à toi.
- Moi cétais hier au soir, je me suis masturbé en pensant çà toi.
- Jai envie de toi, finissons de manger et allons nous coucher.
La grave question se pose : chez Corine ou chez moi ? Cest vite réglé, elle choisit,
nous allons chez elle. Notre nuit commence par e que nous navons pas pu faire depuis
que nous nous connaissons : un baiser. Nos lèvres sont closes sauf que les langues
sont de sortie. Je cède le premier, sa bouche est encore plus vorace que je le
croyais. Jembrasse son cou, je peux ainsi défaire sa veste pour la lui retirer.
Heureusement que la veste du tailleur navait quun seul bouton : sa poitrine est
dégagée dun seul coup.
Je ne sais quels mots employer pour la décrire, disons un mélange de star des années
50 et de la vénus de Milo. Je ne sais pas mesurer des seins, les siens sont
relativement gros, ne tombent pas dun centimètre, ses aréoles sont presque brune, ses
tétons sont longs.
Je ne peux me retenir je prends les deux seins dans mes mains en passant derrière
elle. Je remplace le soutien-gorge absent, les tétons emprisonnés entre deux doigts
sont caressés longuement : elle en gémit. En passant ses mains derrière son dos, la
voilà qui cherche également mes tétons. Elle ne peut y arriver. Corine baisse ses
mains pour défaire ma ceinture. Je ne voudrai pas quelle soit la première à toucher
un sexe.
sa main est toujours sur ma bite. Elle sait que je bande.
Je cherche louverture de sa jupe pour ne pas être obligé de passer mes mains sous ce
vêtement. Je trouve lagrafe : elle rentre son ventre pour que je défasse facilement
la jupe. Je la fait tomber : je sais quelle est nue dessous. Je suis obligé de
méloigner un peu pour voir une femme gracieuse, sexy, en un mot plus que baisable. Je
remercie les dieux de lavoir mise sur mon chemin. Je ne reviens pas vers elle, cest
elle qui à son tour me déshabille : je suis plus long puisque je suis normalement
habillé pour un homme. Lamusant est quelle garde pour la fin mon slip. Je me tourne
pour lenlever, je lui fais face quand je suis totalement nu : Ma bite a gonflé
considérablement. Il me semble quelle est plus grosse. Nous sommes à égalité : je
vois des goute sur sa fourrure.
Corine mentraine sur son lit. Elle sy couche les jambes serrées comme pour me faire
comprendre quelle ne veut pas que je la baise aussitôt. Je viens juste lembrasser
par un court baiser. Ma bouche court sur toute sa poitrine : ses seins durcissent
encore : ce nest pas possible, elle est drôlement excitée.
Ma bouche descend vers sa fente, je lèche au passage sa fourrure douce sous la langue.
Je sens déjà son odeur personnelle : un parfum exotique sen échappe. Je me tourne
pour être allongé à ses pied, jécarte ces jambes, ma langue lèche lintérieur dune
cuisse pour monter jusquà la jonction des membres. Ma langue ne chôme plus à partir
de cet instant. Jécarte les grandes lèvres pour trouver les petites plus sensible.
Corine commence à gémir. Le contraire maurait étonné : jen aurais été déçu. Bien sur
au passage ma langue entre dans son réservoir à sperme. Son gout y est plus prononcé.
Jentre au maximum pour trouver son point sensible.
montant. Ses mains sont sur ma tête pour la caresser. Je sens ses doigts me peigner.
De temps en temps, elle me serre un peu au moment où je la sens jouir.
- Lèche-moi le clitoris.
- Après je vais te mettre la langue dans le cul.
- Personne ne me la fait.
- Il faut un début à tout ;
- Oui
..
Elle se tait maintenant dans lattente de ma langue sur son anus. Je le lèche
longuement comme pour la préparer à une épreuve sportive. Quand je sens à nouveau ses
doigts sur ma tête, pour poi ça veut dire, aller, vas-y.
Je transforme ma langue en petite bite, en la durcissant. Jentre petit à petit dans
son cul. Elle appuie sur ma tête : traduction vas-y encore. Cest une sodomie en
miniature que je fais. Je sens ses crispations de jouissance. Gagné.
Je remonte sur son clitoris, puisquelle le voulait. Là je trouve ce petit morceau de
chair bien bandé, sorti de son étui. Je nai quà le prendre sur ma langue pour lécher
un peu. Elle se cabre encore pour mieux me sentir. Quand elle est sur les talons et la
nuque, là elle fouit encore.
Je retourne lembrasser :
- Tu mas bien faite jouir, chéri (tiens elle mappelle chéri)
- Je voudrais te baiser maintenant.
- Je voudrais te sucer la bite avant.
Pour moi du moment quelle me fait jouir, je ne suis pas regardant. Elle se tourne,
prend ma bite dabord dans une main, puis sa langue lèche le gland. Elle engame tout
le restant. Si sa cachette est aussi agréable que sa bouche je vais prendre un pied
pas possible. Corine se sert de sa bouche comme dun sexe, avec en plus sa langue.
Elle me bloque souvent entre une joue et sa langue. Cest délicieux. Je lavertis
quelle va me faire jouir : elle laisse ma bite. Jen suis déçu, jaurais voulu jouir
dans sa bouche.
- La prochaine fois tu jouiras dans ma bouche, je te veux ailleurs ;
Son ailleurs et enfin sa chatte. Je viens sur elle : je sens ses seins toujours aussi
durcis. Elle prend ma bite pour la guider vers elle. Jy serais bien arrivé seul en
prenant mon temps. Dun seul coup de rein elle me fait entrer dans son ventre. Je ne
pensais jamais ressentir un tel plaisir, par de quoi jouir encore, simplement le fait
dêtre dans un endroit aussi chaud et humide.
- Tu es douce, mon cur, je suis bien en toi dans ton con.
- Je te sens bien, tu baise bien, mon chéri.
- Attention jy vais :
Jentre maintenant dans son puits. Nous allons et venons en cadence, jaime la baiser,
elle aime que je la baise. Je vais tout au fond de son ventre. Elle resserre les
muscles de son vagin par vague. Je ne sais doù elle sort ces mouvements, en tout cas
nous jouissons ensemble. Pour une première fois, cest une réussite. Je suis écroulé
par le plaisir sur son corps. Elle se dégage lentement. Je reçois un baiser sous
loreille puis plus rien.
Je la sens bouger sans savoir ce quelle fait. Corine me retourne pour prendre encore
une fois ma bite dans sa bouche. Comme jai débandé, elle sarrange pour que je bande
à nouveau. Je sens ses doigts sur mes couilles, ma bite, un peu sur mon cul. Je sens
surtout sa langue qui lèche le prépuce et le gland dès quil sort un peu. Finalement
ma bite est en entier dans sa bouche. Je ne suis pas totalement durci. Elle sen
arrange : je bande bien maintenant.
Corine recommence à me sucer : cest meilleur que la première fois. Il me semble
quelle le fait exprès. Il lui arrive dentrer ma bite presque au fond de sa gorge. Je
lavertis encore que je vais jouir : elle me garde en bouche : mon sperme séchappe de
ma bite. Je la sens avaler le tout lentement.
- Ton jus est délicieux, donne men encore.
- Pour le moment je nen ai plus;
- Je vais te recharger.
Elle y arrive la coquine : je bande à nouveau peut être plus fort. Cest étonnant :
après deux coups je suis sur les genoux/
- Tu oubliais ce que tu mas promis.
- Quoi donc ?
- Menculer, même si cest la première fois, dépucèle moi le cul.
- Avec plaisir, si ton cul est aussi agréable que ton con, je vais passer un bon, très
bon moment. Mouille toi bien avec ton jus ;
Je la regarde faire quand avec ses deux mains, elle mouille son arrière train,
largement trop. Elle se met seul en levrette, écarte ses jambes un peu, ouvre ses
fesses à deux mains :
- Je suis prête, encule met moi la.
Elle me le demande gentiment. Je nai plus de scrupule: elle veux que je la dépucèle
du cul, je le fais. Jai peur de lui faire mal: alors jy vais à toutes petites
touches. Mon gland doit mettre plus de deux minutes à traverser son sphincter. Il
sécarte sans que je lentende se plaindre. Jentre en totalité. Elle métonne en me
disant:
- Que cest bon de lavoir dans le cul. Encore, plus profond.
- Je suis au fond.
- Dommage. Je vais jouir du cul. Que cest bon je jouiiiiis.
Corine est bien la première qui me dit quelle joujit le première fois dans le cul.
Comme quand nous baisions, elle fait cvomme moi les allers et venues. La seule
différence est que je tarde à jouir, à son grand plaisir. Par contre elle ne se gêne
pas; elle doit joir une bonne demis douzaine de fois avant moi.
Depuis nous avons déménagé pour un pavillon dans une grande ville, nous nous sommes
mariés et avons deux s. Nos baises se poursuivent: nous sommes devenus
libertins.
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