La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°187)
(Suite de l'épisode précédent - Ecrit par Christine)
Lhomme à la Noble Stature me tourna autour en ne quittant pas le contact de mon corps
comme on passe les doigts sur une étoffe pour en suivre le droit-fil. Ses doigts
allaient et venaient, marquant parfois ma peau de ses ongles courts. Puis le Marquis
se plaça dans mon dos menlaçant tendrement en me re-mordillant le lobe de loreille.
Nos deux corps ainsi serrés, je sentis la verge tendue du Marquis. Il frottait son
membre emprisonné dans son pantalon contre mes fesses nues. Un nouveau frisson me
parcourut tout le corps. Le Marquis le remarqua :
- Chris, tu sais que tu as la chair de poule ?
Et il ricana doucement. Ma bouche entravée, je ne pouvais plus émettre un son à part
des gémissements dexcitation.
- Chris, je ne veux plus entendre le son de ta voix, ajouta Monsieur le Marquis, en me
vrillant durement un téton et me donnant une claque sur les fesses de son autre main.
Je tentais de menfermer en moi-même pour ne plus réagir. Cétait cependant sans
compter sur lexpérience du Marquis dEvans.
-Humm je te sens, je sais que tu es en train dessayer de téchapper mentalement
hummmm, cérébrale que tu es
Non, non, je ne ten donnerai pas la possibilité. Je
tordonne de rester ici, me dit-il en ôtant le bandeau qui me voilait la vue. Là,
ainsi je verrai tes yeux ! Me lança-t-il en me faisant face en ouvrant ses yeux en
grand et plongeant dans les miens.
Jétais quasiment nue, les mains attachées à la chaîne qui descendait du haut plafond,
ne portant que mes bas en voile et mes chaussures et le fameux bâillon. Je me sentais
à nouveau troublée et anxieuse dêtre à la merci du Marquis. Il se plaqua à nouveau
contre moi, prenant soin de se placer de manière à ce que je sente son membre viril
frôler sur mon clitoris et dans le même temps me pressant contre lui.
bras comme pour essayer de maccrocher à mon entrave. Je sentais cette sensation de
feu dans mon bassin et descendant dans mes jambes. Cela faisait trembler mes genoux et
je sentais également ma respiration saccélérer :
- Notre Chris est habile dans lart de lesquive, je vois, dit-il en plongeant sa
langue dans ma bouche ouverte et me léchant, maspirant ma langue dans sa bouche pour
me faire tendre le menton, humm, je sens que tu aimes ça ma belle, humm, oui tu aimes
alors ne résiste plus et offre-toi au Marquis dEvans que nous fassions de toi
ensemble ce que tu es vraiment, me dit-il entre deux coups de langue.
Homme habile, il descendit sa main le long de mon dos, puis vers ma cuisse. Il appuya
doucement pour me faire lever la jambe et la mettre sur son épaule.
- Là, maintenant, laisse moi faire connaissance avec
hummm regarde-moi un peu toute
cette mouille, me dit-il en me jetant un regard admiratif. Chris, Chris, Chris
hum,
hum, hum
je crois que je vais avoir besoin dun peu de renfort
Walter, voudrais-tu
bien venir maider, je te prie ? Cria-t-il.
Des pas se fit entendre et Walter entra dans le salon :
- Monsieur ma fait appeler ? dit Walter sur un ton digne dun majordome dun lord
anglais
- Oui, viens maider, sil te plait. Je crains que si je décroche notre jeune amie,
elle ne puisse pas marcher vu
Le Marquis montra sa main mouillée de ma cyprine à son
Majordome et de poursuivre : Et pourtant, je ne lui ai encore rien fait ! Les deux
hommes éclatèrent de rire et moi, à nouveau jeus honte de moi, de mon abondante
humidité naturelle.
- Où Monsieur veut-il poser notre demoiselle fontaine ?
- Voyons, voyons
que penses-tu de notre bonne vieille table décriture là ? Elle en a
vu tant dautres au cours des siècles, je pense quelle sera honorée de recevoir Chris
! Oui cette fameuse table qui a même été utilisée par le fameux Marquis de Sade !
(voir les Origines de la Saga)
- Hummm
pourquoi pas lemmener dans la bibliothèque juste à côté ?
- Non, je lui réserve dautres surprises dans la bibliothèque.
Le Marquis éclata dun rire franc et pervers. Les deux hommes me décrochent de
lentrave, mamènent sur la table et my placent sur le dos. En entrant, je navais
pas remarqué les attaches en cuir accrochées aux quatre coins. Walter et le Marquis
my attachent en ricanant.
- Merci Walter, je nai plus besoin de toi pour le moment.
Walter sinclina légèrement devant son patron et sen alla. Le Marquis appuya ses deux
bras sur la table passant son corps entre mes jambes ouvertes et attachées et me lance
:
- Maintenant ton corps mappartient totalement, je vais te montrer comment, depuis la
fin du XVIIe siècle, les Marquis dEvans prennent possession dun corps et le font
devenir femelle. Il ajoute : Ma belle, je tordonne dêtre puits de jouissances et
daccepter de vivre cette expérience
en
toute
li-ber-té !
Instinctivement, je cherchai à me redresser. Le Marquis me repassa le doigt sur la
bouche comme on demande à un de se taire, en me disant dune voix malicieuse
arborant un large sourire :
- Chuutt, tout doux
je te lai déjà dit ! Que crois-tu ? Les liens ne te permettent
pas de te redresser mais juste de bouger de quelques centimètres pour ne pas être
blessée lorsquun corps est utilisé. Alors que tu sois Domina ou Soumise maintenant
apprends !
Cette dernière phrase sonna à mes oreilles comme une exhortation et me transit.
Javalais ma salive difficilement observant le visage du Marquis dEvans qui sétait
comme transformé. Mes yeux le dévisageaient et, par des mouvements rapides et ils
tentaient danalyser ce visage imperméable qui me dominait. Son visage ressemblait à
un de ces masques tout droit issu de la Comedia dellArte, bouche allongée par les
commissures des lèvres tirées en arrière dégageant ainsi un menton plus pointu. Ses
yeux en amandes dont les pupilles bleues paraissaient vous pénétrer jusquau plus
profond de votre âme pour mieux en analyser les effets.
les narines harmonieuses terminaient son front haut et droit. Le tout lui donnait
lair dun aigle agile à scruter la moindre parcelle de votre âme ; hypnotisant
envoûtant mais tellement excitant
Le Marquis se redresse un peu pour se libérer de son appui et commença à parcourir mon
corps avec ses mains, dabord mon cou, puis mes dessous de bras, goûtant ainsi luvre
de mon rasoir du matin puis commença à me manger de sa bouche, menton, cou, haut de la
poitrine. Je navais quune envie. Cétait de pouvoir me mordre la lèvre inférieure
mais je ne pouvais pas. Arrivant sur mes seins, il les prit à pleine main et se Il mit
savamment à les sucer, les mordiller. Je sentais ma respiration devenir plus ample
suivant les caresses et les étirements et mouvements de sussions
Je pensais en moi-
même que ces caresses étaient divines, je fermais les yeux et tentais de renverser la
tête en arrière. Monsieur le Marquis me dit en me regardant :
- Oui, ma belle, oui, vas-y hummm respire encore profondément
Je sentis comme un sanglot venir du plus profond de mon plexus. Le remarquant, le
Marquis arrêta un instant pour placer sa main droite sur mon plexus et lautre sur
lépaule gauche pour mapaiser.
- Chuutt, laisse-moi faire, nous allons y aller ensemble
Je me demandais ce quIl
pouvait bien vouloir dire et je le regardais dun air interrogateur.
- Non, non, je ne vais pas répondre à ta question, ça ne marche pas comme ça ici ! Me
lança-t-il en riant tout en se remettant à mâchouiller mes seins à pleine bouche.
Je commençais à voir jaune, des flots de sensations totalement nouvelles
menveloppaient et toujours ce feu qui gagnait maintenant tout mon bassin jusquau
nombril. Ma chatte que je sentais couler de plus en plus, le cur battant et gonflant
mes lèvres intimes que le Marquis navait fait queffleurer un peu avec son pantalon.
Sa bouche délaisse alors mes seins pour descendre dans la vallée en leur milieu
arriver sur mon ventre. Là Monsieur le Marquis plonge sa langue dans mon nombril. Ma
respiration saccéléra avec ma surprise de me découvrir ainsi dégustée.
- Oui, oui, humm, cest bon humm de te dévorer ainsi ligotée humm sans que tu puisses,
humm bouger. Chris, ton corps est délicieux ! Allons voir ici, un peu plus bas hoo
mais quest-ce donc ? quas-tu donc là
juste ici
A ces mots, le Marquis décalotta
mon clito hyper sensible et appuya son pouce juste sur la turgescence. Je ne pus
retenir un râle. Oh, oh
Christine, je crois que je vais changer ton bâillon et tout
de suite !
Monsieur le Marquis attrapa un bâillon-boule et procéda à léchange. Je ne pouvais
plus respirer que par le nez. Je lançai un regard implorant au Marquis qui me donna
une petite tape du bout du doigt sur le nez. En saccoudant à la table il frotta son
nez au mien avant dy déposer un baiser et de me dire :
- Non, non, non, tu es à moi
je veux mamuser !
Argh
Il veut samuser à r mes désirs. Mais Chris
après tout nes-tu pas là
pour ça, me dis-je en moi-même. Jesquissai un sourire du mieux que je pus pour lui
répondre. Rapidement il revient à lautre bout de la table, empoignant mes pieds lun
après lautre pour défaire mes chaussures, puis remontant le long de mes jambes, il
arriva en haut de mes cuisses et descendit mes bas lun après lautre.
- Là, ça non plus tu nen as plus besoin ! me dit-il.
Mille sensations et émotions habitaient ma tête et mon corps. Je pris une grande
respiration et au moment où je commençais à expirer, comme si le Marquis avait prévu
ce moment, le Marquis sempara de ma chatte coulante avec sa bouche. Jen eus le
souffle coupé. Monsieur le Marquis me caressait cette zone sensible légèrement à
lintérieur des cuisses dont la peau si fine procure tant de fourmillement tant à un
homme quà une femme
A nouveau ma poitrine se remplit pendant que mon bassin essayait
de se cambrer. Jétais obligée de me soumettre à ce supplice ou plutôt à ce plaisir
dune violence si excitante de désirs brûlants pour les sens sans pouvoir bouger,
réagir, crier, subir ces lents et divins supplices qui vous prennent plus loin que les
tripes à nen plus finir, juste se laisser couler au propre comme au figuré et tout
mon suc intime léché, bu par un Marquis !
(à suivre
)
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