Colette
Le temps est à lorage : cétait prévu. Tant pis nous continuons notre balade avec mon
amie de toujours Colette. Nous sommes un peu inconscientes de rester dehors alors que
les éclairs traversent violemment le ciel sombre. Linévitable arrive quand la pluie
la plus violente sabat sur nous. Nous sommes vite trempées, mouillée et refroidies.
Heureusement que Colette nhabite pas loin. Nous sommes vite chez elle. Nous nosons
même pas nous avancer, une mare se forme autour de nous.
- Reste là, me dit Colette, je vais chercher des serviettes.
Puis, sans se soucier de moi, elle enlève presque tous ses habits pour ne rester quen
petite culotte et soutien gorge. Elle est bien fichue. Elle revient avec deux
serviettes de bains. Nous voilà tranquille pour nous sécher. Je me trouve aussi bien
nue quand tout à disparu. Tant pis si elle me voit ainsi. Après tout ce nest que pour
un moment.
Elle me tend sa serviette pour que je lessuie. Me voilà nue passant une serviette sur
le corps dune autre fille aussi nue que moi. Ca me fait une drôle dimpression. Je
sens mes seins balancer pendant que jagis. Je sens mes mains passer sur des endroits
précis. Pour le dos et les fesses cest rapide, par contre je suis tentée de passer ma
main entre les fesses : après tout cest mouillé aussi à cet endroit.
Elle se retourne pour que je continue devant. Ses seins ont droit à toutes mes
attentions, je commence à avoir envie delle. Mon essuyage se transforme en caresses
quelle accepte. Après la poitrine je moccupe de son ventre et surtout de son pubis.
Jinsiste pour bien sécher les poils. Elle tend son ventre, à la recherche peut-être
involontaire de caresses coquines.
Je ne veux pas la décevoir, soublie la serviette pour me servir directement de mes
mains. Je fouille un peu sa chatte pour trouver les lèvres épaisses et les petites
qui en dépassent un peu.
libre de faire ce quil lui plait. Je nai pas à chercher son clitoris : il bande déjà
en sortant de sa cachette. Je ne fais que le gratter un peu pour quelle pousse de
longs soupirs daise.
Son ventre est tendu pour mieux ressentir ce que je fais. Ce nest quà ce moment que
mes lèvres se posent sur les siennes. Je déguste dabord la souplesse de sa bouche et
ensuite le gout de sa salive. Nos langues connaissent assez ce genre de baiser pour
bien le faire. Je sens ses mains venir sur mes seins : elle ne subit plus, elle
participe.
Elle me serre contre pour continuer à me peloter tout en messuyant. Nous sommes
presque sèches. Colette me prend par la main et sans dire un mot mentraine dans sa
chambre. Nous restons toujours liées à nouveau par nos bouches.
Colette me fait coucher, mécarte les cuisses pour poser sa tête entre mes jambes.
Elle mavait caché quelle savait baiser les filles. Je sens ses lèvres entre mes
cuisses monter lentement vers ma chatte. Je mouille jusquentre mes fesses. Dès que sa
tête est à portée, mes mains lui caresse le crane. Il me tarde quelle vienne dans mes
endroits secrets.
Enfin je sens sa langue fouiller toute mon intimité. Je suis à sa disposition, même
pour faire des choses étranges.
Jai déjà branlé des copines sans pour autant les sucer ou pénétrées. Elle sait faire
tout ça.
- Je vais te sucer le con, tu jouiras comme jamais.
- Je le veux, oui, baises moi.
Je sens sa langue sintroduite dans mon puits. Je ne sais comment elle fait. Je jouis
facilement. Trop vite sans doute. Elle narrête pas : elle me fait partir encore une
fois. Il me faut quelque chose du plus hard:
- Tourne toi que je te suce aussi.
Cest une simple prière, je veux la gouter et la lécher partout. Elle menjambe
facilement.
moccupe de son con. Je ne résiste pas à lappel de son sexe. Ma langue lèche toute la
fente. Je vais même sur lanus. Elle en frémit. Jaime bien ce que je fais. Je la sens
partir vers le pays de Sappho. Je retire ma bouche de son cul pour venir sur son
bouton tout en maintenant un doigt dans lanus. Jaspire son clitoris : elle jouit
pile à ce moment.
Elle na pas arrêté de me sucer puisquelle aussi a exploré mon cul et ses
dépendances. Que cest agréable ce 69. Nous ne savons plus nous arrêter pour jouir
comme des es. Elle ajoute à sa langue deux seuls doigts.
Elle les met partout où ce trouve un orifice. Je ne pensais jamais quelle soit si
dévoyée. En tout cas jen profite longuement, même si je suis incapable de rendre la
moitié de ses caresses.
Nous sommes au bout de notre résistance quand elle sort deux godes. Le premier est
destiné à un usage banal : pour se baiser, lautre souple pour le mettre à deux. Elle
commence par sucer le souple pour bien le mouiller. Elle me fait mettre sur le dos,
les fesses presque contre les siennes. Je relève la tête pour voir ce quelle fait.
Elle se baise simplement, avant dentrer lautre coté dans mon con. Elle manuvre le
gode avec aisance, montrant quelle doit sen servir souvent. Puis elle me fait
tourner sur le ventre. Je reste avec le gode dans le ventre quand elle mencule avec
lautre. Cest ma première double pénétration. Que cest bon, jaime, quelle narrête
surtout pas. Elle me dit des gros mots :
Je suis une salope de pute, bonne à me faire mettre partout, à ma faire lécher le cul
et le con, digne de me donner à toutes les femmes. Et pendant tout ce temps, je jouis
comme une dingue. Je ne me lasse pas de notre baise, même si dehors les éléments sont
déchainés.
Je voudrais mhabiller pour partir : tout est mouillé.
avec elle. Un seul baiser me convainc.
Reste quil faut bien nous sustenter. Nous allons nues à la cuisine pour faire
un « repas ». Elle prépare deux ou trois bricoles, je trouve deux concombres dans le
frigo. Sans rien lui dire je lui en mets un dans le con. Si au début, elle râle, elle
laccepte et accompagne mes mouvements de baise. Devant le résultat obtenu, je ne peux
faire mieux que de me baiser encore. Cest vrai que la présence de ses légumes dans le
ventre est agréable : je nous fais jouir toutes les deux, montant par là que moi aussi
je peux être dégénérée.
Jai affaire à une dingue du plaisir sexuel. Elle le montre encore pendant la nuit en
avouant quelle est nymphomane lesbienne. Jen profite toute une nuit. Le lendemain
chez moi, je me remémore ce que nous avons fait : je me branle encore en espérant la
branler elle.
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