Leslie Su12

Leslie SU12 – Sumalee, le bonheur sans fin, suite

« Sumalee se réveilla à huit heure le lendemain et s’étonna de se retrouver, seule,
dans le lit, se souvenant d’avoir passé la nuit dans les bras de Leslie, son amante.
Un petit mot de Leslie, posée sur la table de chevet, la rassura :
« Ma Sumalee chérie, je suis parti pour suivre l’évolution du projet, je reviens le
plus vite possible. Je t’adore, à ce soir, Leslie. »
Sumalee sourit en lisant le mot de Leslie, puis au chaud dans le lit, elle rêvassa de
son amante si particulière, un jour il faudrait qu’elle la présente à ses parents… »

En allant au travail, le souvenir de Laure s’imposa à moi dans mon esprit et un sourd
empressement me submergea, il fallait que je lui téléphone et prendre de ses nouvelles
et peut-être la voir.
Dans le reflet d’une vitrine, je me suis regardée, la rue était presque désert ce
matin.
Là, je me suis regardée, tournant sur moi-même, rajustant les bretelles de mon
débardeur blanc et jouant innocemment avec ma mini-jupe bleu nuit.
Tout à coup, je vis un homme qui me regardait, passant non loin dans moi. Il m’adressa
un sourire de félicitation complice et je répondis par un sourire enjoué, dissimulant
mal le rouge qui lui montait aux joues.
L’homme m’aurait sûrement abordée s’il ne paraissait si pressé d’aller à son travail,
je me suis à cet instant trouvée très désirable.
Il était à peine neuf heures lorsque je suis arrivée au cabinet, j’allais téléphoner à
Laure et je fus surprise de sentir mon cœur battre si fort dans ma poitrine.
Après deux sonneries, la voix de Laure se fit entendre :
- Allo, Laure à l’écoute !
- C’est Leslie, dis-je.
- Ma chérie, comme je suis heureuse de t’entendre…
Et nous voilà parties dans une longue conversation.
La discussion dura un petit moment, nous avions tant de chose à nous dire, comment
nous vivions séparées l’une de l’autre, le manque que nous éprouvions de plus nous
voir et de pouvoir tendrement nous enlacées.

Si bien qu’à la fin Laure me proposa de
venir déjeuner chez elle ce midi.

Rendue chez Laure, enfin chez nous, car ma présence était encore palpable dans cet
appartement que je connaissais si bien, d’autant plus que rien n’avait changé et que
certaines de mes affaires se trouvaient encore là.
Quand Laure m’ouvrit, j’avais sonné bien que j’ai encore les clefs de l’appartement,
je la trouvais très en beauté, habillée d’un petit chemisier blanc, sur ses seins nus,
noué autour de sa taille et d’une mini-jupe en jean qui, si courte ne cachait rien
sinon que l’essentiel, mais sans plus.
Après un baiser, nous avons pris un whisky avant de passer à table.
La discussion commença rapidement et continua pendant le repas, puis après…
Enfin, elle vira sur notre amour l’une pour l’autre et les futures relations que nous
pourrions avoir avec d’autres femmes et d’autres hommes.
Je me sentis gênée tout à coup, regardant ma montre j’ai voulu éluder le sujet en
affirmant qu’il fallait que je parte, mais Laure se levant, posa les mains sur mes
épaules, me bloquant sur ma chaise et me faisant frémir sous ce doux contact.
Laure continua à faire glisser sa main sur l’arête de mon épaule gauche, jouant du
petit doigt avec mon débardeur et, puis sa main descendit et Laure, m’enjambant
s’assit face à moi sur mes genoux. Nous nous sommes alors face à face, à quelques
centimètres l’une de l’autre, nos bassins et nos jambes collées. Laure dit alors :
- Dis-moi que tu n’as pas envie de moi et je te laisse partit !
La main qui caressait mon épaule passa dans ma chevelure, me faisant frémir.
- Tu te laisses faire, murmura Laure.
Je ne répondis pas, mais ouvrit ma bouche lorsque la langue de Laure s’avança, et nos
langues se mêlèrent pour jouer ensemble.

Nos lèvres se séparèrent comme à regret et Laure commença à tirer sur mon débardeur
blanc libérant, du côté gauche, un de mes seins, pendant que je rejetais ma tête en
arrière et poussais un soupir, où se mélangeaient la détresse, le plaisir et la
fatalité.

Mon soupir se transforma en gémissement lorsque Laure caressa de sa langue mon téton
gonflé d’appréhension et de désir.
Je me dis que cela était écrit d’avance, que je m’étais menti depuis le début de ma
relation avec Sumalee, et que je ne pourrais jamais me passer de Laure, enfin pas
encore. Il me faudrait certainement un long moment, si jamais je devais ne jamais
retourner près de Laure.
Je me laissais aller sous la caresse de ma belle en soupirant et en essayant de ne
plus penser.
Laure senti peut-être de la peur ou de l’appréhension, et elle me dit :
- Tu es si belle, si tu ne veux pas, dis-le maintenant.

Mais je ne dis rien, me laissant caresser et passer ma main sur la chemisier de Laure,
et défaire trois boutons, juste assez pour dévoiler son adorable poitrine et la
caresser à pleine main.
Laure m’embrassa à nouveau et joua avec sa langue hors de mes lèvres, puis plongea
dans le creux de mes seins, Laure poussa un petit gémissement quand je lui pinçais le
téton et finis de défaire les boutons de son chemisier.

Ensuite, tout alla très vite, nous nous connaissons si bien, nos corps n’ayant pas de
secret l’une pour l’autre. Elle passa ses mains dans mon dos et tira sur mon
débardeur, et me l’enleva révélant ma poitrine gonflée de désir aux caresses de ses
mains et de sa bouche.
J’en profitais pour dénouer le bas du chemisier de Laure et celle-ci le retira d’un
mouvement d’épaule qui fit saillir ses seins. Nous nous sommes frottées nos poitrines
l’une contre l’autre, en nous embrassant à nouveau et en léchant nos lèvres humides.

Puis, sans réfléchir, je glissais une main entre nos bassins, et c’est seulement à cet
instant que Laure se rendit compte que sa mini-jupe était complètement remontée et ne
cachait plus rien.
Je laissais un doigt glisser sur son string bleu clair, en suivant sa fente avec
justesse, la faisant fondre littéralement.
Mon doigt finit par s’infiltrer dans son
string et ressortit presque aussitôt. Je murmurais alors à l’oreille de Laure :
- Mais tu es trempée, ma parole !
Pour toute réponse, Laure reprit ma main et la refit descendre vers sa culotte. Cette
fois, je fis glisser ma main dans le string et Laure sentit bien vite deux doigts
s’enfoncer en elle sans difficulté tant son excitation était grande, cela la fit
gémir.
Puis Laure se recula un peu et me murmura :
- J’ai envie de toi. Tu viens ?

Laure se retira de sa position sur mes genoux et me prit par la main.
Allais-je trahir Sumalee ?
Pour moi il n’y avait pas de trahison. Faire l’amour avec Laure, c’était naturel, nous
nous aimons tellement et elle me manquait aussi.
Avec Sumalee c’était différent, je me sentais envoutée par sa douceur asiatique, sa
prévenance à mon égard, toutes ses petites attentions pour me donner du plaisir.
Suivre Laure ou partir maintenant, je ne savais pas, je ne savais plus…

Laure me conduisit jusque dans la chambre, notre chambre, mais me plaqua contre le
premier mur venu.
Elle m’embrassa passionnément, puis les lèvres de Laure descendirent dans mon cou,
puis sur ses seins offerts, et ensuite sur mon nombril. Pendant ce temps les mains de
Laure avait ouvert mon jean et lorsque ses lèvres arrivèrent à la hauteur de mon bas
ventre
Je gémissais sous la caresse des lèvres de Laure autour de mon sexe érigé et je
caressais mes seins de mes mains augmentant mon excitation. Laure jouait avec sa
langue pour exciter mon gland.
Je sentis Laure se repositionner et repérais le mouvement d’un des bras et comprit que
Laure se caressait en m’offrant du plaisir. Aussitôt je pris la tête de Laure pour lui
imprimer une cadence, Laure se laissa faire avec plaisir en redoublant d’effort sur
son intimité.
Laure se releva et avant que je puisse faire quoi que ce soit, elle laissa tomber sa
mini-jupe et son string et m’emmena vers le lit où elle m’allongea sur le dos, le sexe
dressé.

Elle m’enjamba pour se mettre au-dessus de moi et, s’aidant de la main, elle s’empala
sur mon sexe en hurlant de plaisir.

Bientôt, je sentis la langue de Laure passer de l’un à l’autre de mes seins, décrivant
de petits cercles autour de mes aréoles, donnant de petits coups de langue à mes
tétons dressés.
Je gémis lorsque ses dents mordillèrent les pointes de mes seins, mes mains accrochées
aux hanches de Laure lui imposaient un rythme et je sentais glisser ses lèvres intimes
sur mon sexe qui la pénétrait.
Laure gémissait en disant :
- Ohhh, oui, vas-y doucement, comme tu es douce, ohhh comme c’est bon.
Laure reprit ses petits cris, elle se redressa sur moi pour monter et descendre en
massant maintenant sa poitrine tendue, elle en était presque indécente.
Elle sentit bientôt un de mes doigts entrer dans son anus, et elle se mit à crier, en
m’invitant à le mettre plus profond, et à la baiser bien à fond.
Laure jouit une première fois, de mon sexe et de mon doit en elle, vibrante de plaisir
elle se tenait droite au-dessus de moi, mon sexe au plus profond d’elle, mais ne
s’attendait pas à ce que je continue aussi vite de lui faire l’amour.
En effet, Laure fut surprise et poussa plusieurs gémissements et commença à haleter
lorsqu’elle sentit mon sexe sortir de sa vulve et se poser sur sa rondelle.
Elle ne put que pousser un petit cri :
- Ohhh !
Elle sentit son petit trou s’ouvrir quand mon membre entra en elle, la faisant feuler,
puis glisser en elle et envahir ses entrailles
Laure, docile, prise de plaisir se laissa aller à la sodomie, se laissant pénétrer et
jouir comme une folle, puis au bout de plusieurs minutes quand je lui ai rempli les
entrailles, nous avons hurlé notre bonheur ensemble, nous laissant vaincues par le
plaisir, épuisées mais rayonnantes.

A suivre…

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